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Mon beau-père, étalon couleur ébène ! – Chapitre 1




Cette entrée en matière risque d’être maladroite, mais je pense qu’il est nécessaire d’introduire mon histoire avant quoi que ce soit.

Je m’appelle Marine, j’ai dix-huit ans, je suis depuis peu étudiante en économie. Je vis actuellement avec ma mère et Charles, son compagnon de trente-deux ans, ce qui lui fait huit ans de moins que ma mère.

Charles est un bel homme d’origine ivoirienne. Il conserve un très beau grâce à une pratique sportive régulière. Il est très grand puisqu’il mesure plus d’un mètre quatre-vingts, contrairement à moi qui fais à peine un mètre soixante. Je suis donc d’apparence menue. Je dois ma longue chevelure blonde et ma peau très claire aux origines russes de mon père que je vois très peu, le dernier étant trop occupé par le bon fonctionnement de son entreprise.

Charles, tout comme mon père, est un homme qui a réussi, puisque à tout juste trente-deux ans, il est déjà à la tête d’une entreprise fructueuse, ce qui fait de lui un homme très sur de lui à l’opposé de ma timidité, bien que j’ai un peu changé cette dernière année.

Ce soir, je sors assez tard de mon cours de macroéconomie qui fut long et fastidieux.

Je suis donc heureuse en retrouvant Charles seul à la maison. Nous profitons alors d’un moment de détente privilégié devant une émission consacrée à notre écrivain favoris, la littérature étant notre passion commune. On se taquine tout en accordant une importance particulière à lémission.

Alors que cette dernière touche à sa fin, Charles étend la télé avant de s’adresser à moi : << Suce-moi, Princesse ! >>. Chose que je m’empresse bien sûr de faire.

J’admets que cela est un peu déroutant de lire cela, de but en blanc, sans plus d’explications. Je vais alors revenir au début de cette relation un peu particulière.

Cela a commencé il y a environ un an.

C’était lors d’un week-end où ma mère était partie pour le travail.

J’étais alors une jeune fille dont l’expérience sexuelle était très limitée. En effet, j’avais perdu ma virginité encore un an auparavant dans les bras de mon petit ami de lycée. Bien que j’appréciais notre relation, elle ne fut jamais, sexuellement parlant, à la hauteur de mes espérances.

Charles était arrivé depuis déjà quelques mois, il m’avait tout de suite fait beaucoup d’effet. Je fantasmais alors régulièrement sur lui, m’imaginant son corps et que les rumeurs sur les hommes noirs étaient fondées.

Le premier soir de ce fameux week-end, en rentrant, je surpris Charles, sortant de la douche, complètement nu. J’en fus bouche bée, ce qui euy pour effet de faire sourire mon "beau-père", surement conscient de l’effet que son corps pouvait avoir sur une femme.

Une fois seule dans ma chambre, je me jetai dans mon lit pour m’adonner au plaisir solitaire similaire à celui que je m’offrais régulièrement en pensant à Charles, à la fois honteuse et excitée.

Mais je fus vite interrompu. En effet, après quelques minutes, Charles pénétra dans ma chambre en disant : << Marine, le repas est… >>

Il s’arrêta net, me voyant m’agiter sous ma couverture, gênée. Il se mit alors à sourire :

<< – Je vois que mon corps ne t’a pas laissée indifférente.

— Non non, ce n’est pas ça… pas du tout !

— Ne me mens pas chérie, dit-il en caressant ma joue, j’ai bien vu comment tu me regardais. Mais je ne pensais pas que tu me désirais autant. Ne te dérange pas pour moi, tu peux continuer ! >>

Je baisse alors les yeux, embarrassée au plus haut point. << Bon, je vois que ça te met mal à l’aise, alors suce-moi! >>

Cet ordre me laisse sans voix, mais sans bien savoir pourquoi , j’obéis. Je m’avance au bord du lit, j’ouvre la braguette de son jean pour me saisir de son sexe. Je pose alors timidement ma bouche sur son sexe si imposant. Je lui offre une fellation délicate, comme je l’ai toujours fait.

Il pose sa main sur ma joue qu’il commence à caresser. << Tu es si différente de ta mère. Tellement docile ! J’adore ça ! Bon, rhabille-toi et retrouve-moi en bas; le repas va être froid. >>

Il remonte alors son pantalon avant que j’ai eu le temps de finir la fellation.

Je le rejoins moins de cinq minutes après, très gênée. Le repas se déroule calmement, je réponds à quelques questions qu’il me pose comme si de rien n’était. Une fois le repas terminé, il s’installe sur le canapé et me prie de le rejoindre. Il me sourit et commence à caresser mes cuisses nues car je porte qu’un petit short. Il me dit alors qu’il me trouve belle. Sa main se fait de plus en plus imposante, elle s’approche dangereusement de mon sexe.

<< – Marine, as-tu déjà fait l’amour?

— Oui, bien sûr !

— Et tu aimes ça ?

— Plutôt, oui !

— Depuis combien de temps fantasmes-tu sur moi? me demande-t-il alors que sa main est en contact avec mon sexe à travers mon short.

— Depuis le début ! dis-je à voix basse

— Pardon, je n’ai pas entendu. Peux-tu répéter plus fort? me demande-t-il en frottant ses doigts contre mon sexe. Il a très bien entendu, mais il aime jouer avec moi.

— Depuis le début !! >>

Il passe sa main sous mon short, désormais, il n’y a plus que le tissu de mon boxer qui sépare sa main de mon sexe : "C’est ça que tu veux, hein ? >> dit-il en me regardant droit dans les yeux.

Timidement, je fais oui de la tête.

<< – Alors déshabille-toi, s’il te plaît !

— Entièrement?

— Oui, ça va de soit ! >>

Je me lève et commence à me déshabiller maladroitement, le regard de Charles posé sur moi.

Une fois nue, j’attends sa réaction droite comme un "i" : << Très bien ! Déshabille-moi maintenant ! >>

Obéissante, je me mets à genoux devant lui et ouvre son pantalon. Je fais descendre ce dernier le long de ses jambes avant de lui enlever entièrement. Ensuite, je me lève pour lui retirer son tee-shirt avant de m’asseoir à côté de lui. Sa main recommence l’exploration de mon corps, il commence par ma poitrine qu’il caresse en douceur avant de se consacrer à mes tétons déjà très durs. Il les pince, ce qui a pour effet de me faire gémir. Il adore ça. Sa main descend alors délicatement sur mon ventre, je frissonne comme jamais auparavant.

Sa main ayant continué son ascension se retrouve sur mon sexe qu’elle a survolé du bout des doigts, avant de les plaquer contre mon clitoris. Ses doigts commencent à tourner délicatement , je gémis, mon corps de plus en plus excité par la caresse qu’il prodigue à mon sexe déjà humide. Ses doigts deviennent plus rapides, au même titre que mon rythme cardiaque. Mon plaisir frôle alors son paroxysme. Il s’arrête, attend quelques secondes avant d’enfoncer un de ses doigts en moi. Je suis à la fois frustrée par cet orgasme refusé, mais satisfaire de le sentir me remplir. Je me remets à gémir, après quelques instants, il insère un nouveau doigt dans mon sexe étroit.

Il est très agile et sait comment s’y prendre, mon sexe est trempé, il m’offre alors un troisième doigt. Mon sexe n’a jamais été autant ouvert et pourtant, j’adore ça. Mon bassin ondule comme si je n’avais jamais connu le plaisir auparavant. Prise d’excitation, je le supplie << Encore, encore ! >>. Ça le fait sourire, il va plus vite :

<< – Tu aimes ça, hein?

— Tellement ! Oui ! Oui !

— Tu en veux plus !

— Oui, s’il te plaît !

— Je vais te prendre alors, mets toi à quatre pattes ! >>

J’obéis, excitée, mais craintive. Jamais je n’ai accueilli un tel engin en moi. Le canapé ne lui convenant pas, il me désigne la table basse du doigt. Je me sens à la fois offerte, mais terriblement excitée. Il se place derrière moi, pose le bout de son sexe contre l’entrée du mien et recommence à caresser mon clitoris.

Il enfonce doucement son sexe, au fur et à mesure, jusqu’à la moitié. Il s’arrête alors, positionne ses mains sur mes hanches et enfonce l’autre moitié d’un coup sec, ce qui m’arrache un cri. Il commence alors les vas et viens, ses mains tenant fermement mes hanches. La sensation qu’il me procure est magie; il s’agit d’un subtil mélange entre une légère douleur et le plaisir à l’état pur.

<< – Tu aimes, poupée?

— Oui ! dis-je haletante

— Ce n’est pas trop douloureux ? >>

Je réponds avec un mouvement de bassin et par mes gémissements. Il tire alors mes cheveux pour me ramener vers lui. Il m’embrasse à pleine bouche. Puis il me plaque contre la table avant de se pencher pour embrasse mon dos de mes fesses à ma nuque. Il me chuchote à l’oreille :

<< – Je ne vais pas m’arrêter là !

— Je vais m’occuper de tes fesses qui elles, apparemment, sont vierges.

— Mais tu ne peux pas ! Je ne l’ai jamais fait et tu es bien trop gros !

— Tu ne me fais pas confiance ?

— Si, mais…

— Alors tu vas te laisser faire ! >>

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