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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 22




En ouvrant les yeux, Chantal se demanda où elle se trouvait. Elle tourna la tête et s’aperçut qu’elle était dans la chambre d’Alain, dans son lit et qu’il était endormi à côté d’elle. Quelques secondes d’hésitations, juste assez pour s’apercevoir qu’il était nu, une jambe par-dessus la couverture. Elle regarda son corps, loin d’être apollon puis pris conscience qu’elle aussi elle était nue.

Mais que faisait-elle là ?

Une question posée sans réelle interrogation, les souvenirs venaient eux aussi d’émerger de sa mémoire un réveil bien étrange, une impression de dégout, d’imposture et pourtant, elle s’entendait encore gémir de plaisir, car elle avait joui et à plusieurs reprises.

Inconsciemment, sa main se glissa entre ses cuisses et trouva une toison poisseuse et encore gluante du sperme qu’Alain lui avait offert plusieurs fois cette nuit. Il savait s’y prendre et semblait aussi endurant qu’intarissable. Elle se souvenait qu’à peine il avait déchargé son plaisir en elle qu’il voulait recommence ; en gourmant affamé, il n’était jamais rassasié.

Bon, les souvenirs sont souvent trompeurs ou déforment un peu la réalité, il y avait des moments de latence, un repos qu’il utilisait à lui offrir un autre orgasme avec sa langue et ses doigts. Elle aurait été incapable de dire comment elle avait perdu sa culotte, mais elle se souvenait que ce fut à ce moment-là qu’elle a eu son premier orgasme. Il l’avait fait jouir dans le canapé avec ses seuls doigts et sa langue. Elle se souvenait qu’il n’avait nullement été doux et prévenant, mais brutal et pourtant, elle avait aimé cela.

La mémoire est sélective et ne s’encombre pas des détails, enfin seulement de certains d’entre eux et elle se voyait toujours dans le canapé, mais entièrement nue, il était face à elle, tout aussi nu et soudain, elle était dans son lit, à quatre pattes et lui derrière elle, ses mains sur ses hanches, son sexe dans son con. Il la prenait en levrette. Là encore elle avait joui.

Elle voulait chasser ces pensées, elle le regardait et était honteuse ; elle le connaissait à peine et qu’est-ce qu’il était laid. Pourquoi avait-elle fait tout cela avec lui, pourquoi l’avait-elle laissé faire, mais aussi, pourquoi y avait-elle pris autant de plaisir ? Marc lui avait souvent répété qu’elle était sa petite salope bien vicieuse  et elle s’était à chaque fois sentie offenser pas ses insultes, pourtant n’avait-il pas raison ?

Pour preuve, elle était allongée nue dans le lit d’un inconnu.

La raison voudrait qu’elle se lève, qu’elle prenne une douche rapidement et qu’elle s’en aille avant qu’il ne se réveille.  Elle devrait même s’habiller en vitesse, sans même prendre une douche pour fuir au plus vite. Mais elle était allongée dans le lit et se laissait envahir par les remords sans pour autant chercher à partir.

Finalement, ce qui devait arriver arriva. Alain se réveilla. Lui n’était nullement étonné de voir Chantal à côté de lui. Il la regarda, un grand sourire aux lèvres.

–    Bien dormi ma belle ?

Il s’approcha d’elle et posa un baiser sur son nez. Puis sa main se posa sur son corps et commença doucement à la caresser. Chantal ne bougea pas. Elle ne voulait l’encourager à poursuivre sa caresse mais n’arrivait pourtant pas à le fuir. Elle était allongée sur le dos, il était penché vers elle, sa main caressait maintenant ses seins et ses doigts tripotaient ses tétons.

–    J’aime faire l’amour le matin.

Dit-il en commençant à s’approcher « dangereusement » du corps de Chantal, il avait déjà posé une de ses jambes sur celle de sa partenaire. Il posa sa main sur sa chatte.

–    Tu ne mouilles pas beaucoup ce matin, hier t’étais une vrai fontaine, mais là on dirait un ru d’Ardèche en été.

Il éclata de rire et s’écarta de Chantal.

–    Bon, on va y remédier.

Il sortit du lit.

–    Ne bouge pas j’arrive.

Il se dirigea vers son armoire, fouilla dans un tiroir et en sorti une reproduction de belle taille d’un sexe humain.

–    Voilà un compagnon qui devrait t’aider à faire jaillir ta source de plaisir.

Il avait pris en même temps un préservatif, il recouvrit l’engin du caoutchouc lubrifié et manipula ensuite  un petit bouton. Un léger ronronnement se fit entendre et Chantal put voir le godemichet vibrer. Alain s’approcha et enleva les couvertures. Il observa le corps nu de sa partenaire quelques instants.

–    Quel beau corps !

Puis posa l’objet vibrant  sur le petit bouton magique de Chantal. Elle écarta spontanément les jambes pour faciliter l’approche. L’amant  mécanique se montra rapidement convainquant. Elle sentait le plaisir monter. Alain s’amusait avec son jouet coquin en alternant les caresses clitoridiennes et la pénétration vaginale. Le copain trépidant de Alain faisait beaucoup d’effet à Chantal, mais ne laissait pas non plus indifférent son propriétaire, Alain affichait une superbe érection qu’il ne put s’empêcher de présenter devant la bouche de Chantal.

 Comment expliquer l’inexplicable ? Elle n’avait nullement envie de lui et pourtant elle s’était offerte à lui toute une nuit, elle voulait le fuir et pourtant, sans qu’il ne lui ait rien dit, elle avait gobé goulument le sexe d’Alain qui s’érigeait devant elle. Elle l’avait sucé pendant qu’il amusait son intimité avec ce phallus artificiel. Chantal s’abandonna dans un bel orgasme pour la première fois depuis son réveil.

Le phallus vibrer encore, mais Alain l’avait éloigné de Chantal pour lui permettre de se ressaisir un peu. Le ronflement stérile meubler le silence, Chantal ne trouva aucun mot pour traduire sa pensée et Alain s’affairait à la guider pour qu’elle se mette à quatre pattes pour exprimer en parole ses intentions. Quand celle-ci fut dans la position qu’il souhaitait, elle approcha il taquina les lèvres intimes de son associée avec son vibrant ami. Les vibrations s’attaquaient maintenant à l’abricot déjà bien excité de Chantal. Alain

, entretemps, s’était agenouillé derrière sa comparse. Il approcha son gland de l’anus de sa coéquipière. Bien que celui-ci ne fût lubrifié que par la seule salive d’Alain, il n’eut aucun mal à franchir la Rondelle de Chantal.

–    Aie

Cria-t-elle quand Alain entre sans ménagement en elle. Il s’immobilisa ensuite un peu pour laisser le lieu s’habituer de l’intrus puis commença de légères oscillations de son bassin. Quant enfin elle accompagna ses mouvements, il dirigea son jouet vers l’antre humide et bien ouvert de Chantal et le fit entrer autant qu’il lui fut possible. Chantal vivait pour la première fois une double pénétration et devait admettre qu’elle aimait beaucoup cela. Alain, quand la machine et le bout de chair engorgé de sang furent bien installée dans leur appartement érotique augmenta la vitesse de vibration de son jouet. L’agréable supplice était alors, pour l’un comme pour l’autre trop fort et dans un même sursaut orgastique, ensemble et au même instant, vécurent une extraordinaire petite mort.

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