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Premières vacances naturistes – Chapitre 1




Cet été, j’ai emmené ma femme Irène dans un village naturiste. Je voulais lui faire une surprise, aussi à l’entrée du village, je lui ai demandé de mettre un bandeau sur les yeux. Puis je me suis déshabillé et je suis allé remplir les formalités à l’accueil pendant qu’elle m’attendait dans la voiture. Ensuite j’ai repris le volant jusqu’à l’emplacement réservé devant notre bungalow. Alors seulement j’ai demandé à Irène de retirer son bandeau, tout en descendant de la voiture. Irène a eu un choc quand elle m’a vu : elle me regardait de la tête aux pieds comme si elle avait la berlue ! Derrière elle, une employée de l’accueil passait voir si tout allait bien. Quand elle l’a vue, Irène a eu un deuxième choc : cette jeune femme avait pourtant la tenue adéquate ! Quand Irène s’est vue cernée par les naturistes, elle a compris qu’elle était piégée !

Ne me jugez pas trop rapidement ! Je ne l’aurais pas emmenée de force dans un village naturiste si je pensais qu’elle était choquée par la nudité. Je savais pertinemment que ça ne la dérange pas. Pour preuve, elle aime qu’on regarde des films pour adultes pour pimenter nos soirées ! Mais elle est pudique : elle va devoir faire un petit effort pour s’intégrer au village.

Une fois dans le bungalow,  Irène s’est assise sur le canapé et s’est pris la tête entre les mains. Les mots ne sortaient pas. J’ai essayé de la rassurer :

-Je comprends ta réaction. J’ai été maladroit en voulant te faire une surprise. J’espère que ne m’en veux pas. Tu as peut-être de fausses idées sur le naturisme : on n’est pas obligés d’être nus tout le temps. Tu pourras sans problème mettre un paréo autour de tes hanches si ça peut te faire sentir plus à l’aise.

Malgré cela, le premier jour, Irène n’est pas sortie. Ce n’est qu’au deuxième jour qu’elle a pu se résoudre à mettre un pied en dehors du bungalow, mais en ayant pris la précaution de revêtir deux paréos, l’un sur les hanches, l’autre sur le torse.

Je l’ai emmenée faire une petite balade pour découvrir le village : les bungalows étaient disposés en cercle autour de la piscine. Plus loin il y avait des terrains de sport où certains faisaient de la gymnastique, d’autres jouaient aux boules, d’autres encore couraient après un ballon. Irène regardait tout ce petit monde avec attention ! Elle matait tout, pas seulement les visages, mais aussi les nichons, les popotins et même les foufounes, les zobs et les roubignoles !

Le troisième jour, Irène m’a paru un peu plus à l’aise. Pas encore au point de se désaper, mais pas loin. Alors j’en ai profité pour lui proposer de se rendre à la plage dans un coin vraiment tranquille, loin des regards. Irène a accepté de me suivre, vêtue d’un paréo autour des hanches. Pour la première fois, elle avait laissé sa poitrine à découvert, ce qui constituait un cap très important !

La plage était vraiment immense et on s’est installés à un endroit désert. Après avoir déposé ma serviette, j’ai dit à Irène :

-Viens ! On va se baigner ! Laisse ton paréo !

J’avais peur qu’elle refuse mais elle avait sans doute très envie de se baigner. Et comme elle n’avait pas pris son maillot, elle n’avait pas d’autre choix que de se baigner nue ! Elle a laissé tomber son paréo en jetant des coup d’ils furtifs aux alentours.

Sa nudité la rendait encore plus désirable, en dévoilant sa croupe rebondie, ses seins bien galbés, et son pubis parfaitement lisse.

Cette épilation intégrale était une de mes idées. Habituellement, elle adoptait l’épilation maillot mais j’avais réussi à la faire changer ses habitudes en lui assurant que je la préférais glabre pour l’été. La vraie raison, c’est que c’était plus conforme aux coutumes naturistes.

D’un pas décidé, on s’est dirigés vers la mer. Nous étions comme deux enfants, à barboter dans l’eau. Irène était ravie d’être débarrassée des accessoires inutiles ! Deux jours avant, je n’aurais pas cru possible qu’elle se baigne sans son sacro-saint bikini. On est restés un long moment à profiter de la mer, avant qu’Irène ne revienne vers sa serviette. Elle voulait effacer ses affreuses marques de bronzages : elle s’est allongée toute nue, profitant que la plage était déserte.

Soudain, elle m’a interpellé :

-Peux-tu me mettre de la crème ?

J’ai pris le tube de crème solaire et je l’ai étalée sur son corps. D’abord le dos, puis les bras, les cuisses et le ventre.

Puis un peu malicieusement, Irène a ajouté :

-N’oublie pas les seins ! Ils en ont besoin eux aussi !

Quand j’ai touché des doigts ses obus, j’ai éprouvé un plaisir particulier ! J’y ai mis plus de crème qu’il n’en fallait !

Puis on a échangé nos rôles : j’ai donné le tube à Irène et elle m’a enduit le corps de crème. J’avais plutôt l’impression qu’elle me donnait un massage sensuel. Ses doigts parcouraient ma peau, des épaules aux talons en passant par le torse, les cuisses et les fesses. Pour finir, Irène a étalé une large couche de crème autour de mon engin tout dur ! Ses doigts montaient et descendaient sur ma tige, me donnant un plaisir exquis.

Après cela, nous nous sommes assoupis… Quand je me suis réveillé, j’en ai profité pour la mater en douce : le soleil éclairait son petit minou, ce qui me permettait d’examiner en détail ses minces replis de chair comme jamais auparavant ! Il n’en fallait pas plus pour me donner une joie supplémentaire !

Quand Irène s’est réveillée, je lui ai proposé de remettre de la crème. Je m’étais rendu compte que je n’en avais pas mis partout. J’ai versé une dose de crème dans ma paume et j’ai enduit à nouveau son corps, allant même cette fois entre ses cuisses. J’ai introduit mes doigts tout luisants de crème dans son intimité et j’ai massé avec application. Je guettait sa réaction pour localiser son point G : quand son visage s’éclairait un peu, j’insistais davantage ! Quand j’ai considéré que j’avais rempli ma mission, j’ai posé le tube de crème.

Là-haut, sur la dune, des hommes munis de jumelles regardaient dans notre direction. Ils étaient trop loin pour que ça nous dérange réellement : je pouvais sans problème continuer à m’occuper d’Irène.

Changeant de stratégie, j’ai approché ma bouche de son ventre pour titiller son petit berlingot du bout de la langue. Plus je la léchais, plus elle poussait des petits soupirs de plaisirs qui m’encourageaient. Quand j’ai relevé la tête, je me suis aperçu que les voyeurs s’étaient rapprochés. Ils étaient à quelques mètres de nous, la pine à la main.

Je replongeais entre les cuisses de ma femme, poussant la langue sur les recoins les plus profonds de son entrecuisse : je m’appliquais à faire progressivement monter son plaisir.

Pendant ce temps, la foule des voyeurs était devenue plus importante encore. Le premier rang était constitué d’hommes agenouillés autour d’Irène : mue par une pulsion soudaine, elle avait agrippé une pine. Et plus étonnant encore, une autre pine était descendue dans sa bouche et elle s’était mise à la lécher ! Petit à petit, d’autres pines se faisaient palper entre ses doigts agiles, ou sucer entre ses lèvres. La scène était quasi-irréelle !

La vision me perturbait et me déconcentrait ; mais consciencieusement, j’ai remis la tête entre les cuisses d’Irène. La langue sortie, je m’attaquais à nouveau à sa petite fente en la balayant d’avant en arrière pour un plaisir encore renouvelé.

Je ne voulais pas qu’Irène laisse son attention s’échapper : c’était le moment de donner l’estocade. Son bouton de rose que je savais tellement sensible était devenu l’objet de mon attention. Ma langue le stimulait maintenant par une sorte de vibration. Je m’appliquais à tenir ce rythme pendant quelques secondes de forte intensité. Le but final était à portée de main.

Portée au paroxysme par mes efforts répétés, Irène n’était plus maîtresse de ses réactions : son bassin s’est cambré en un sursaut, me laissant espérer qu’un orgasme était imminent.

Je n’ai même pas eu besoin de rajouter un petit coup de langue. La volupté se lisait sur son visage et soudain elle a joui en hurlant de bonheur ! Le nectar jaillissait de son petit temple devenu une vraie fontaine ! Les voyeurs s’étaient lancés dans une branlette frénétique et ils avaient fini par décharger sur son ventre. Elle en était inondée…

L’un des coupables, voulant réparer les dégâts, a même eu l’audace de venir lui lécher les tétons !

Pour un spectateur arrivé à cet instant, le tableau était étonnant : qui aurait cru qu’Irène était une personne respectable en la voyant recouverte de foutre, avec plusieurs bites entre les doigts, tandis  qu’un homme lui léchait les nichons et un autre la moule ?!

Mais à ce moment précis, Irène s’en moquait. Elle n’arrêtait pas de répéter :

-Waouh !  Waouh ! Waouh ! …

L’un des spectateurs lui a demandé :

-Félicitations, chère Madame ! Vous donnez ce spectacle souvent ?

-Sur une plage, c’est la première fois !

-Vous revenez quand vous voulez !

Irène n’a pas su quoi dire à cet homme maladif qui faisait un peu pitié.

Quand les voyeurs se sont éloignés, elle m’a fait cette confidence qui en disait long :

-Merci de m’avoir emmené ici ! Je n’ai jamais joui comme cela !

Je savourais modestement mon triomphe. Mais le séjour n’était pas terminé…

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