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Comment je suis devenue travestie ! – Chapitre 1




Depuis tout petit, jai une chance cest davoir une sur Audrey qui à 10 mois de plus que moi.

Avec elle nous avons été très complice pour tout même chose qui nest pas possible dans dautres familles nous pouvions nous parler de sexe à 14 ans tous les 2 sans tabous.

Faut dire que nous passions nos journées soit à lécole ou chez nous tous seuls, notre père était chauffeur routier et notre mère VRP pour une grande marque de médicaments. Notre père partait le lundi matin et rentrait le samedi matin et notre mère partait souvent à 7 heures du matin et ne rentrait jamais avant 21 heures et souvent plus tard.

Cela à commencé vers 16 ans, nous parlions de sexe sans tabous et nous connaissions le corps de lautre, un soir nous regardions tous les deux un reportage sur la transformation dhommes en femmes et la question de ma sur a été et toi taimerais ? Je fus surpris par cette question et ma réponse avait été il faut essayer et nous avons beaucoup rie.

Le lendemain à la maison nous avons parlée de cette émission, et de nouveau, elle ma posée de nouveau la question et pour toi quen penses-tu ?

Je lui répondis que cela pouvait être une belle expérience mais que je ne connaissais rien à la vie et la façon de shabiller pour une femme, elle éclata de rire et que cela elle pouvait me faire voir.

Elle commença à me faire voir ce quelle portait, je lui dit écoute nous allons dans ta chambre et tu me fais essayer, elle répondit OK on y va.

Là je commençais à me déshabiller, en gardant juste mon caleçon elle éclatât de rire en me disant que non les filles ne portaient pas ce genre de chose, et je me suis mis tout nu devant ma sur pas à laise, en cachant mon sexe elle éclatât de rire en me disant si tes gêné je peux en faire autant me mettre toute nue, je lui répondis confus que cétait pas la peine mais que jaimerais quand même voir son corps qui se transformait en femme, mais pas aujourdhui, elle dit oui.

De son armoire elle sortit un joli soutien-gorge blanc, elle me lagrafa et régla les bretelles, et dit pas mal, ensuite elle me tendit une petite culotte bleu, dès que je la passa je la fis monter pour cacher mon sexe qui commençait à gonfler, jétais gênée devant elle, elle rigolait et me dit que cela était normal devant une fille ma réaction mais que cela lui plaisait et que pour elle cétait un honneur de voir cela.

Ensuite, elle me tendit une mini jupe en coton noire, elle était un peu petite et elle me tendit une blouse blanche qui était pour moi trop petite, elle dit pas grave viens avec moi, nous nous sommes dirigée vers la chambre de nos parents elle ouvrit larmoire de notre mère quelle ne fut la surprise de voir toute cette lingerie de toutes les couleurs et de toutes les formes, je reconnais quà lépoque jétais très naïve sur les sous vêtements ! Là elle me tendit un chemisier qui pour moi était un peu trop grand mais avec une ceinture il me moulait le corps ça allait, elle eut un petit rire en me voyant elle dit il manque quelque chose, elle chercha au fond de larmoire et me donna des collants, elle choisit une jupe courte de notre mère qui mallait très bien.

Jéclatais de rire, puis nous nous rendîmes dans la salle de bain, ou elle me maquilla un peu et avant de me regarder dans une glace, elle me dit, il manque autres choses, elle me tendit des culottes en disant quil me manquait de la poitrine.

Quand je me vis dans la glace, je ne me reconnaissait pas, je lui dis cest pas possible, cest pas moi.

Elle me fit marcher vers le salon, le frottement de sa culotte et des collants sur mon sexe ne faisait que me donner un plaisir immense, javais une belle érection qui se voyait à travers la jupe qui me moulait les fesses, elle me dit cela pas bon il ne faut pas penser à cela, nous éclations de rire, je restait habillée comme cela une bonne heure et après nous avons rangée les affaires de notre mère en espérant quelle ne sen aperçoive pas.

Le lendemain elle mavoua quelle ne pensait pas que je le fasse et en plus elle me dit que cétait la première fois quelle voyait un garçon tout nu, jétais rouge de honte, je lui répondit quelle ne manquait rien et ma vengeance serait terrible.

Quelques jours plus tard, un mercredi, elle me dit que notre mère avait laissée un peu dargent pour aller faire des courses, et avec largent quil resterait, elle pouvait sacheter un vêtement, et si je le voulais bien je pourrais aller avec elle choisir avec elle.

Cet après là jétais aux anges, elle essayait plein de fringues, des dessous sexis aussi beau les uns que les autres moi aussi jessayais elle portait un petit jugement critique sur mon choix mais du moment que je portais jétais heureux.

Le soir rentré chez nous je lui demandais si elle avait déjà porté des sous vêtements comme ce qui était à notre mère, elle me dit que non et une fois elle en avait parlée avec notre mère et elle lui avait expliquée quil fallait quelle ai la poitrine formée.

Je lui demandais si notre mère lui avait fait essayer une fois et elle me répondit que oui et quelle trouvait cela joli. Depuis ce jour, je me travestissais presque tous les jours, jétais attirée par les vêtements et sous vêtements féminin, je me rendais compte que jétais attirée par les garçons, et que dans ma tête beaucoup de choses se mélangeaient, jen soufrais et ma sur à été pour moi une personne qui ma beaucoup soutenue, un jour elle me dit quil me fallait faire la connaissance dun homme pour avoir une première expérience et quaprès dans ma tête cela irait mieux.

Plus dun an sest écoulé et, nous avons changé de voisin à létage de notre immeuble un homme tout seul, âgé de 34 ans qui sappelait Frédéric, je ne me doutais pas alors que cet homme allait changer ma vie. Nous le rencontrions souvent dans lascenseur, il était gentil, mais nous nous sommes aperçu quil portait des vêtements de femme. Un jour, nous lui avons demandé de passer nous voir pour discuter ensemble et nous lui avons demandé pourquoi il portait ce genre de vêtements, au début il à été très gêné dentendre ce genre de question, mais ma sur lui à répondue presque de suite que jétais très attiré moi aussi par ce genre de vêtements, il me fixa dans les yeux et il nous avoua que pour lui cétait un plaisir de sentir cette soie sur son corps. Dans son regard, nous avons vue de la tristesse et de la gène, nous compriment pourquoi plus tard, il avait peur de mon age. Il me questionnât beaucoup sur ce que je portais, jaimais, je lui dis que ma sur maidait beaucoup, il la regarda un moment et me dit : < Tas de la chance davoir une sur comme tu as, qui comprenne ta différence, car dans la vie cest dur dassumer sa différence>

Il me demanda si javais eu des relations avec un homme, je lui répondis que non et que depuis un moment nous recherchions une rencontre. Nous savions que la question était un peu osée mais dans son regard, brillait lenvie de me faire plaisir, je lui répondis que javais peur pour une première fois et que si cela se passait avec lui, je désirais auprès de moi ma sur Audrey, il sourit et répondit quil ny avait pas de problème.

Comme cétait le mercredi ou nous avions le plus de temps, nous fixâmes notre rendez-vous chez lui à 10 heures du matin, très pratique, car cétait sur le même pallier.

Dès 9 heures, les préparatifs ont commencés, nous sommes allé dans la chambre des parents, ma sur à commencée à me choisir une guêpière et un string rouge, jétais déjà excitée elle eu un petit sourire et me dit calme toi me fabriqua une fausse poitrine avec des chaussettes en boules, et, elle me tendit une paire de bas que je passais et quelle me fixa sur la jarretelle vue la maladresse que javais.

Après il nous vint une idée, dans la journée nous devions apporter un ensemble de notre mère en satin noir au nettoyage, pourquoi pas essayer et de toute façon elle ne verrait rien. Dès que je mis cela, nous aurions dit quil était fait pour moi, la taille allait bien, la jupe marrivait à mi cuisse, ensuite nous sommes allée dans la salle de bain et là elle mit un temps qui pour moi était interminable à me maquiller, elle minterdisait de me regarder dans une glace, jétais pas content mais bon.

Vers 10 heures, nous allâmes sonner chez notre voisin, javais une peur. Il ouvrit la porte il portait un peignoir, jétais un peu déçue mais bon, il fit asseoir Audrey dans le canapé et commença à me contempler, il me trouvait très belle, que javais du goût pour les vêtements que je portais je répondis avec un sourire que cétait a ma mère et quil fallait faire attention.

Il me fit asseoir dans le divan et lui sest assis aussi et il voyait que jétais nerveuse et que si je ne voulais pas aller plus loin il ny avait pas de problème quil me comprenait, non non je répondis. Il commença à poser sa main sur mon genou, et à ce moment là je sentis uns chaleur monter en moi et sa main montait vers mon sexe et là il découvrit que je portais des bas, quelle ne fut sa joie. Avec lautre main, il ouvrit son peignoir il mapparu en nuisette noire avec un string, je trouvais cela très excitant surtout que son sexe gonflait, il mincita à le toucher ce que je fis avec plaisir. Je réussis à le libérer, et je le vis se dresse devant moi et à grossir ce qui me provoqua un immense bonheur. Je commençais a le caresser avec ma main quand il me demanda si je voulais bien lui donner un peu plus de plaisir avec ma langue, il vit un peu de peur dans mes yeux et la il prit un préservatif dans la poche du peignoir et me le tendit. Une fois en place, je commençais a lécher son sexe je constata quil y prenait du plaisir.

Au bout dun moment, il me demanda de me lever et de venir face à lui, la il commença par me caresser les jambes et les cuisses, il ôta le bouton de ma robe et fit descendre la fermeture, la jupe glissa le long de mes jambes, il eu un petit râle qui sortit e sa gorge jentendis cest beau ça, il glissa ses main le long de mon ventre sous la veste en direction de ma poitrine, il ouvrit la veste et me la retira, japparu devant lui presque nue, il me quitta le string et commença à me caresser le sexe qui se dressa aussitôt, il y déposa un préservatif et puis me suça, je peux vous dire que jétais aux anges. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir quel bonheur. Après une petite toilette de mon sexe, il me fit mettre à genoux sur le tapis devant le divan, je décidais de me placer en face de ma sur, la tête sur ses genoux, il passa derrière moi et commença par me caresser les fesses et il commença à jouer avec son doigt avec mon petit trou, cela me procurait du plaisir dans tout le corps comme si de lélectricité me traversait, je sentis quil me préparait avec une sorte de gel, et la il mavertit quil allait me pénétrer, javais les yeux fermés, je les ouvris pour voir ce que faisait Audrey, je constata quelle avait défait le bouton de son panta-court et que sa main caressait son sexe, je lui pris la main pour profiter de son odeur intime au moment de la pénétration. Je sentis son sexe entrer en moi, il commença par faire des aller retour doucement, javais limpression dêtre sur un nuage, de temps en temps il accélérait la cadence, cétait merveilleux, à un moment, Audrey saisit ma tête et la dirigea vers son entre cuisse, je voyais juste devant mon nez sa culotte je la sentis et je vis une auréole se former, je plongeais mon nez dedans et une odeur suave et enivrante se dégagea, je compris quelle venait de jouir, cette odeur plus le plaisir que me donnait mon partenaire qui en plus me masturbait, je nétais plus moi-même et je sombrais comme dans un comas.

Quand je repris mes esprits, jétais couchée sur le tapis, Frédéric aussi, fatigué éreinté par tout ce plaisir, nous avons ramassé les affaires et nous sommes partie chez nous, remettre les affaires de notre mère en place, jai prie une bonne douche et faire disparaître tout mon maquillage et je suis allée me coucher, il était 12heures 30 jétais fatiguée.

Vers 14 heures ma sur est venue me réveiller, javais une petite douleur à mon anus mais nous étions heureux ? Audrey mavoua quelle était un peu jalouse du plaisir que Frédéric mavait donné, que cétait un homme formidable pas un mot grossier, pas de vulgarité, pas de violence dans ses mouvements une voie calme qui donne confiance, je lui répondis quelle aussi avait eu beaucoup de plaisir et que cela mavait permis de prendre davantage de plaisir par son parfum intime.

Depuis cette rencontre avec Frédéric, nous sommes devenu amant, nous vivons ensemble, il ma beaucoup aidée car je suis hormonée, ça a été un très mauvais moment pour la transformation de mon corps.

Quand jai annoncée à mes parents que je voulais vivre avec un homme, et que jallais prendre des hormones, mon père a fait scandale et jai due quitter la maison, ma mère je ne lai pas vue pendant 2 ans, mon père jai des nouvelles par ma mère il ne ma plus adressée la parole et un jour elle à pris contact avec moi et la relation est un peu meilleure, nous lui avons demandée pourquoi elle avait de si beaux sous-vêtements, là elle nous répondit quelle adorait cela et elle nous demandait pourquoi cette question, nous lui avons raconté toute lhistoire et mon attirance pour les vêtements de femme. Jai la chance quelle cherche a me comprendre, nous allons toutes les deux faire les magasins et choisir ensemble des dessous sexis.

Avec Audrey, nous avons gardée de très bonnes relations, je peux dire avec du recul que cest elle qui à vue que quelque chose nallait pas chez moi, je suis très heureuse, il mest arrivée de faire des choses avec elle que vous ne croiriez pas, il marrive souvent de sortir le soir avec elle en boîte, car Frédéric me laisse beaucoup de libertés de rencontrer dautres hommes. Mais pour moi cest plus quune sur, plus quune amie et même presque plus dans lintimité (je ne lai jamais vue nue)

Si jai un conseil à donner soyez gentil en famille.

Stéphanie.

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