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Fanfan, Miss infirmière – Chapitre 3




Fanfan reprend son service de nuit.

Elle fait le tour des chambres qu’elle doit surveiller et fini par celle de David. Avant d’entrer dans sa chambre, elle se souvient de ce qu’elle a fait avec le fils de son amie Muriel et avec un sourire coquin, elle déboutonne deux boutons dans le bas de sa blouse.

Il a l’air beaucoup plus gai et lui dit qu’il se sent beaucoup mieux, mais son regard est attiré irrésistiblement par le petit coin de chair qu’il aperçoit juste au-dessus de la lisière de ses bas. Sa main se faufile derrière le pan de blouse et se déplace vers le haut de sa cuisse. Il commence à caresser son cul.

— David ! Veux-tu bien retirer ta main. Tu dois oublier ce que nous avons fait la nuit dernière.

— Ooohh, Fanfan, vous ne pouvez pas me blâmer de tenter ma chance, c’était si bon.

— Oui, David, mais je ne suis pas sûre que ta mère verrait ça d’un bon il.

— Vous voulez que je lui demande la permission ?

— Sale garnement ! Maintenant dors et fais de beaux rêves.

Lorsqu’elle passe devant la salle de repos, Michel, le plus vieux des internes qui ne manque pas une occasion pour lui peloter ses fesses, l’interpelle.

— Alors ma jolie, tu as fait la bise à ton petit chéri…

Fanfan l’ignore et va faire l’inventaire des médicaments pour les commandes de demain.

Vers trois heures du matin la chambre 312 isolée dans l’aile gauche clignote, ce qui surprend Fanfan car celle-ci est en réfection. Lorsqu’elle entre dans la chambre, les lumières sont allumées et Michel se tient au milieu de la pièce. Les autres internes se glissent derrière elle pour fermer la porte.

Michel est un solide gaillard, assez corpulent, cheveux noirs comme les poils de sa poitrine qui dépassent de sa blouse ouverte.

— Fanfan… mes collègues et moi pensons que ce n’est pas juste que tu baises avec le jeune David et pas avec nous. Qu’est-ce que tu en penses ?

— Ne sois pas stupide, rien de ce genre est arrivé.

— Ne nous prends pas pour des cons. On n’est pas sourd et on a compris que tu es une belle salope et nous aussi on veut baiser Miss infirmière 1995.

— Mais… je ne vous permets pas de…

Elle ne finit pas sa phrase car un interne la saisit par-derrière et la plaque contre lui.

— On va s’occuper de toi Fanfan. On va bien te soigner et pendant une semaine, tu auras un sourire permanent sur ton visage, même si tu as quelques difficultés à t’asseoir.

— Ne faites pas les imbéciles, je suis infirmière principale et je peux vous dénoncer pour viol.

Répond nerveusement Fanfan pour essayer de maintenir son autorité.

— Mais on n’a pas l’intention de te violer… enfin pas tout à fait. Vous avez envie d’elle les copains ?

Les autres internes rigolent sauf Roland qui déclare.

— Michel… on ne devrait peut-être…

— Roland, si t’as les miches, assieds-toi et branle-toi pendant qu’on s’occupe d’elle.

Michel dégrafe la blouse de Fanfan et lui retire pour la jeter sur un des lits.

Fanfan est magnifique dans ses sous-vêtements sexy rouges que son mari lui a offerts récemment.

Le soutien-gorge bien garni par la moitié de ses gros seins est à peine retenu et ses aréoles brunes sont nettement visibles avec ses tétons tout au bord de la dentelle. Le string assorti est si minuscule qu’il couvre à peine son pubis bombé et la mince bande de tissus arrière est entre ses fesses charnues.

Fanfan baisse sa tête quand les internes la reluquent salement et se dit qu’elle va devoir assurer face à ses hommes en rut.

Avec cette pensée, elle relève sa tête et elle les regarde avec un air de défi.

Michel lui prend ses bras pour mettre en valeur sa poitrine et la fait tourner sur elle-même pour exposer son cul à tous ses acolytes.

— Ça c’est de la gonzesse, les mecs ! Fanfan tu nous gâtes. Quelle beauté ! Mais sans sous-vêtement ce sera encore mieux.

Michel prend entre ses doigts le soutien-gorge et le fait sauter en tirant dessus puis il fait de même avec son string. Il tend le soutien-gorge à l’interne derrière.

— Attache-lui les mains avec.

Michel la soulève facilement dans ses bras et la couche sur le lit avec ses bras attachés dans son dos. Deux internes écartent largement ses cuisses et Michel se met à genoux en mettant son nez entre les lèvres intimes pour renifler sa chatte avant de la lécher vigoureusement et sucer son clitoris.

— Elle mouille déjà… et pas qu’un peu ! Je vous l’avais dit, c’est une salope.

Encore une fois son corps la trahit car la langue de Michel qui fouille l’entrée de son sexe l’excite et révèle son addiction au sexe.

— Tu vois Fanfan, tu apprécies mon traitement pour infirmière stressée.

Michel baisse son froc et son slip et lui présente son sexe en érection.

Fanfan ouvre grand ses yeux car la bite de Michel est énorme, pas très longue mais d’une grosseur qu’elle n’a jamais vue à ce jour, avec des veines gonflées en surface, et un gros gland écarlate. Instinctivement Fanfan resserre ses cuisses que les internes avaient relâchées pendant le broute minou de Michel.

— Ouvre tes cuisses !

Fanfan reste les cuisses bien fermées. Michel la retourne et lui claque plusieurs fois ses fesses. Elle est plus humiliée que blessée par ça.

— Allez Fanfan, cambre bien ton dos pour m’offrir ton cul et ta vieille chatte qui a dû en voir passer des bites.

Dit Michel en repoussant ses mollets pour la mettre à genoux.

Fanfan fait ce qu’il lui demande et posant sa tête sur le lit, elle se cambre pour bien mettre en valeur ses fesses et ses cuisses gainées par son porte-jarretelles qui encadre son vagin ouvert et bien humide.

Michel qui la tient par les hanches pousse son gland entre ses grosses lèvres ourlées et s’enfonce lentement, mais en forçant, dans sa chatte.

Fanfan a pris les deux tiers de sa bite dans sa chatte et elle mord l’oreiller pour ne pas gémir de plaisir sous cette queue qui la remplit merveilleusement. Michel s’enfonce entièrement et commence à la baiser en claquant à chaque fois son pubis sur ses grosses fesses. Fanfan a du mal à retenir ses gémissements car la bite de ce salaud de Michel lui fait un bien fou et elle sent qu’elle ne va pas tarder à jouir.

Michel la baise de plus en plus vite sous les commentaires graveleux de ses potes et Fanfan a son premier orgasme qui fait trembler ses jambes et sous quelques forts coups de queue, elle jouit en gémissant bruyamment.

La bite rigide de Michel toujours dans sa chatte, elle s’écroule sous les applaudissements et les encouragements des internes, comme s’ils regardaient un match de tennis.

— Match pour Michel, dit l’un d’eux.

Michel retire son sexe de la chatte trempée de Fanfan, fait le tour du lit, tire Fanfan au bord, lève sa tête et lui enfile sa queue dans la bouche.

L’un des autres internes a remis immédiatement le cul de Fanfan en l’air et remplacé la bite de Michel par la sienne. Sa bite est nettement moins grosse que celle de Michel et il la baise tellement vite qu’il ne tiendra pas bien longtemps.

Pendant ce temps, Michel, qui maintient la tête de Fanfan entre ses deux mains, baise sa bouche consciencieusement.

Fanfan à l’air d’apprécier, tout comme Michel, même si sa langue et ses dents qui frottent parfois sa grosse queue qui remplit sa bouche et l’empêche d’aller au fond de sa gorge.

— Elle suce mieux qu’une pute, déclare Michel hilare.

Puis il fait la grimace, grogne, maintient bien la tête de Fanfan, et il se vide les couilles en enfonçant profondément sa queue pour envoyer dans sa gorge, jet après jet, son sperme chaud.

Fanfan manque d’étouffer et avale le plus vite possible le foutre gluant. En même temps, l’assaillant qui la baise par-derrière, éjacule dans sa chatte et Fanfan a un nouvel orgasme en sentant son sperme lui remplir son vagin hyper sensible.

Quand Michel retire sa queue de sa bouche et qu’il se finit sur son visage et ses yeux, Fanfan ne peut s’empêcher de lécher son gros gland quand il passe près de sa bouche.

Fanfan déteste d’avoir joui sous ce quasi-viol mais elle a eu un sacré orgasme comme elle les aime. Elle se redresse et se tourne vers les deux garçons restants qui la fixent, leurs queues bien raides, avec ses mains toujours attachées derrière elle, son visage taché de sperme qui goutte sur sa grosse poitrine.

Ils s’approchent tous deux ensembles, la retournent et elle se met dans la même position que précédemment leur offrant son cul et sa chatte luisante.

Le stagiaire l’embroche d’un coup sec et la baise sous un rythme effréné pendant que Roland se décide à participer en s’occupant de ses seins en les pétrissant avant de les soulever pour mordiller ses tétons en érection et tous durs.

Celui qui la tringle sentant sa jouissance arrivée, se retire de sa chatte et dit.

— Roland, prends ma place. C’est une vraie fournaise là-dedans ! Elle est bonne !

Les deux internes changent souvent de place et Fanfan à orgasme sur orgasme car la baise de Michel et de l’autre interne a ouvert les vannes de son addiction au sexe. Elle oublie son travail, sa famille, et plus rien ne compte que son plaisir et ses jouissances qui font frémir tout son corps.

Tout à coup, les deux internes la redressent pour la mettre sur ses genoux, mains toujours liées dans son dos, pour lui offrir leurs bites trempées pour qu’elle les suce jusqu’à la garde et les amène à leur jouissance.

Tout près de leur orgasme ils essayent de mettre leurs deux queues dans sa bouche et arrivent à introduire leurs glands que Fanfan caresse de sa langue.

Ils se retirent et en gémissant, ils éjaculent devant la bouche grande ouverte de Fanfan qui se régale de leur sperme en les regardant intensément, avant d’avaler cette crème qui agit comme un aphrodisiaque libérant ses pulsions sexuelles.

Les deux internes s’écroulent épuisés, vidés et Fanfan retombe sur ses hanches, la tête vers le bas, en attendant d’être déliée.

C’est sans compter sur la perversité de Michel qui déclare.

— Une putain n’aurait pas fait mieux que toi. On a tous vu que tu aimes la queue et le sperme ma salope. Viens me remettre en forme pour un deuxième tour !

— Vous êtes dingues ! Il faut que j’assure ma permanence. On va sûrement me chercher.

— Alors tu ferais bien d’être rapide.

Dit Michel, en agitant son pénis en semi-érection et en la mettant à genoux par terre.

Fanfan se traîne sur ses genoux pour atteindre le premier garçon, et entre ses jambes elle aspire sa queue dans sa bouche pour déguster le sperme et son jus qui reste dessus. Toutes les bites se présentent et elle fait de même en les léchant sur toute leur longueur et elle découvre même qu’elle peut avaler toute la grosse queue de Michel.

Michel la recouche sur le lit et soulève ses jambes pour pousser ses cuisses sur ses seins. Sa chatte et son anus sont bien exposés et Michel commence à lécher son anus.

— OOOohhh, non ! crie Fanfan. Pas par-là !

Fanfan sait très bien qu’elle va jouir encore comme la pire des salopes si elle se fait enculer et que sa réputation sera bien méritée. Mais la queue de Michel est tellement grosse qu’il risque de la déchirer.

Michel l’ignore et demande qu’on lui donne le tube de gel pour désinfection des mains qui est sur l’évier.

Il enduit généreusement le trou du cul de Fanfan et commence à préparer son rectum avec deux de ses doigts.

Il se relève et demande qu’on maintienne bien ses jambes vers sa tête avant de placer le gros gland de son pénis en érection sur la couronne fripée du trou du cul de Fanfan qui malgré elle, s’ouvre et se referme tellement elle est excitée.

— Michel, je t’en prie… pas par là ! Ta queue est trop grosse !

— Je suis sûr que tu as dû en prendre pas mal dans ton cul, ma salope. Ton trou du cul doit bien être rodé, je vais juste l’agrandir un petit peu plus. Détends-toi le plus possible et ça va te plaire.

Répond Michel, en appliquant une pression constante sur sa rosace jusqu’à ce que le sphincter laisse passer son gland pour pousser sa bite dans l’anus frémissant de Fanfan.

Fanfan pouce un cri de douleur, vite étouffé par un interne qui plaque un oreiller sur son visage. Les trois autres internes sont fascinés, car c’est bien la première fois qu’ils assistent réellement à une enculade d’aussi près et pas sur une vidéo !

Michel par des petits coups de bite successifs s’introduit un peu plus à chaque fois dans le cul de Fanfan qui a arrêté de crier et qui maintenant gémit doucement pour ne pas alerter le voisinage. Michel l’encule bien à fond un moment puis il se retire pour que ses collègues admirent son uvre.

Le trou du cul de Fanfan est resté ouvert, béant, et Michel dit.

— Roland, tu m’as l’air bien excité ! Regardez-moi sa queue, elle n’a jamais été aussi longue et grosse. Couche-toi par terre, on va lui faire l’ascenseur.

Avec l’aide des deux autres, ils prennent le corps de Fanfan, courbée en deux avec ses genoux écrasant ses gros seins et ils poussent son cul sur la bite tendue de Roland jusqu’à ce qu’il touche son pubis. Fanfan se raidit et gémit bruyamment sous cette queue qui l’empale de nouveau et les internes la montent et la descendent rapidement sur ce pieu rigide qui ne faiblit pas.

En dépit de cette agression sauvage, elle finit par avoir un autre orgasme avec une bite dans son cul.

Michel se place entre ses jambes relevées et regardant son visage couvert de sperme, il frotte sa queue sur sa chatte dégoulinante de sécrétions.

Juste à ce moment, la porte de la chambre s’ouvre doucement et quelqu’un regarde ce qui se passe.

Fanfan, en transes, n’a rien entendu ni vu.

Michel regardant la figure dans l’entrebâillement de la porte, à un sourire en coin et poussant un peu son gland entre ses lèvres intimes il lui demande.

— Une bite en plus, Miss infirmière ?

— Oooohh… gémit Fanfan.

— Tu veux ma queue ? Oui ou non !

— Salaud ! Vas-y ! Prends-moi en même temps !

Michel, d’un coup de reins, et malgré le sexe de Roland qui comprime sa chatte, arrive à faire disparaître entièrement sa grosse queue dans le vagin rétréci de Fanfan et il la baise presque violemment en secouant Fanfan comme une poupée. Roland, en dessous, encore profondément dans son anus gueule sous le poids et les coups de cul provoqués par Michel. Lorsque celui-ci jouit en grognant comme un goret, lui aussi jouit sous les contractions de l’anus de Fanfan qui repart dans un énième orgasme.

Fanfan est un peu dans les vapes et un des internes en profite pour s’allonger et demander qu’on lui mette Fanfan sur lui, de face, pour baiser sa chatte en voyant ses gros seins ballotter.

Michel et Roland qui ont récupéré attrapent Fanfan et ils la guident pour enfoncer sa chatte sur le sexe de l’interne. Celui-ci entre très facilement dans son sexe plein de jus mélangés et Michel et Roland lui refont l’ascenseur en la remontant et la laissant tomber aussi vite que possible.

Fanfan geint sans arrêt en regardant fixement l’interne qui se retient le plus possible.

L’autre interne s’approche et lui présente sa queue devant sa bouche. Fanfan l’avale entièrement avant de la sucer le mieux qu’elle peut.

Puis, sans un mot, l’interne retire sa bite de sa bouche, passe derrière elle, pousse son dos vers l’avant, dirige son gland vers son anus défoncé, et il l’encule bien à fond, sans grande résistance du rectum bien rodé par Michel et Roland.

Il l’encule aussi fort qu’il peut allant même à pousser son collègue en dessous planté dans sa chatte, quand il claque son pubis sur ses grosses fesses.

Fanfan gémit de plus en plus, les yeux fermés, jouissant des deux queues qu’elle sent merveilleusement dans ses deux trous séparés par une fine cloison. Elle a de multiples orgasmes et s’écroule sur le sol lorsque les internes la libèrent après avoir vidé leurs couilles dans le vagin et les entrailles de Fanfan.

Michel délie ses mains et lui dit.

— On passerait bien toute la nuit à te baiser pour te satisfaire mais si tu veux faire ton boulot, il faut qu’on te laisse. Mais crois-moi, des salopes comme toi on a rarement l’occasion de tomber dessus ! S’il y a une élection privée de « Miss salope » on vote pour toi ! Viens nous voir demain si tu as récupéré et si tu es en manque.

Tout ce beau monde de pervers quitte la chambre en rigolant et Fanfan se rhabille comme elle peut sans ses sous-vêtements en lambeaux. Elle va dans la salle des infirmières et tombe sur Clémentine qui la prend par le bras et l’entraîne dans la salle de bain attenante.

— Mon Dieu, Fanfan ! Dans quel état tu es !

— Ils m’ont violée ! Tu n’as rien entendu ?

— Si… je suis même allée voir.

— Pourquoi tu ne m’as pas aidé ?

— Ben… j’ai vu qu’un de ses pervers te sodomisait et que tu priais Michel de te fourrer son monstre dans ta chatte. Je n’ai vraiment pas eu l’impression qu’ils te violaient.

— C’était tout comme !

— Tu as réussi à les prendre tous ?

Fanfan se contente d’acquiescer, la tête basse, et avoue à sa collègue.

— À chaque fois que je peux toucher une bite, je ne suis plus moi-même… j’ai envie de jouir avec un sexe en moi. Mais cette nuit j’ai eu plusieurs orgasmes et ils ont eu raison de me traiter de salope et de sac à foutre !

A suivre

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