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Mon histoire d'homme libre – Chapitre 2




JEUDI 06H30

Le réveil sonne. Je me lève, j’ai un peu de mal à immerger. Je regarde dans mon lit, il n’y a personne. Je vais vite au salon, personne.

J’aperçois un mot sur la table : « Merci pour tout ce que tu as fait. Je ne t’oublierais pas. Bisous, Irina »

Elle est partie. Je me sens seul. Je suis bête, elle n’aurait jamais pu rester avec moi longtemps, trop de différence.

Je prends un café. Tout d’un coup, ça sonne à ma porte.

Irina qui revient pense-je.

Je me précipite vers la porte et l’ouvre avec un grand sourire.

Mais non, ce n’est que ma voisine Victoria. Mon grand sourire s’efface de mon visage.

« Bonjour » lui-dis-je.

« Bonjour, désolé de vous déranger, vous pensiez que c’était la jeunette qui revenait. Désolé ce n’est que moi. » me répondit-elle. «Je l’ai vu partir tout à l’heure, ses chaussures à la main pour pas faire de bruit, je pense » continue-t-elle.

« Non », dis-je, « que puis-je faire pour vous? ».

« J’ai un problème, j’ai fait tomber une boucle d’oreille dans mon lavabo, pourriez-vous me la récupérer? »

« J’arrive ». Je prends mes clés et claque la porte de chez moi.

Victoria se dirige vers son appartement, elle est habillée très sexy, chemisier blanc moulant ses gros seins, jupe blanche arrivant à mi-cuisse assez transparente laissant penser qu’elle ne porte pas de culotte et des talons hauts noirs. Je ne l’avais jamais vu ainsi, elle est bandante surtout qu’elle se déhanche bien lorsqu’elle marche devant moi pour m’amener à sa salle de bain.

Je me mets à genou puis me glisse sous le lavabo pour arriver à défaire la bonde. En la regardant, j’ai une vue imprenable sur son entrejambe. Je confirme qu’elle ne porte rien.

Faut que je me dépêche de terminer, car je sens que je commence à bander et que dans quelles minutes la bosse dans mon pantalon va vraiment se voir.

Je récupère la boucle d’oreille, remets la bonde.

Elle me remercie puis me dit: Voulez-vous prendre un café ou ce que vous voulez d’autre même si vous aimez visiblement les petites jeunettes, tout ça en me mettant sa main sur la bosse de mon pantalon.

Elle défait mon pantalon, le laisse tomber et abaisse mon caleçon.

« Je vous fais quand même de l’effet » dit-elle

Elle se met à genou et me prend en bouche. Elle lèche mon sexe sur toute la longueur à plusieurs reprises puis la prend entièrement en bouche. Elle est gourmande, elle y va fort.

Et la cochonne, je sens ses mains me caresser les fesses puis s’insinuer dans la raie et un doigt entrer.

J’aime bien et elle s’en aperçoit. Elle redouble de hargne jusqu’à hoqueter.

Puis elle se relève et me donne un préservatif qui se trouvait dans le tiroir de la table. Je le mets. Elle ouvre son chemisier pour me laisser voir sa grosse paire de seins, remonte sa jupe et se tourne pour s’appuyer sur la table et me présenter son cul.

Elle me dit: « Défonce-moi la chatte, ça fait des mois que j’ai envie que tu me le fasses! »

Ce que je m’empresse de faire avec un grand plaisir.

Je m’introduis dans son trou tout humide et sans ménagement, j’y vais au fond lui arrachant un râle de plaisir. Je continue avec force et elle semble prendre un pied monstre. Avec une de ses mains, elle titille son anus et commence à introduire un doigt.

Je lui fais lécher les doigts de ma main droite et prends sa place dans son cul.

Un doigt, deux doigts, puis trois, elle accepte toujours, alors je continue. Et de quatre doigts.

Là, je retire ma queue et l’enfourne dans son cul.

Après plusieurs coups de butoir, cette cochonne attrape une banane se trouvant sur la table et se l’enfonce dans la chatte avec des cris de jouissance.

Plus les deux introductions la défoncent, plus elle jouit.

Jusqu’à un moment où de plaisir, ses jambes la lâchent et elle tombe.

Elle reste assise par terre, s’appuyant contre un pied de la table toujours avec la banane dans son vagin. Elle est épuisée.

Je vire mon préservatif et je me branle en la regardant pleine de sueur.

« Putain de chienne » me dis-je dans ma tête.

Puis je gicle mon foutre partout sur elle, sur ses cheveux, son visage, ses seins, sa chatte et ses habits.

J’approche ma bite de sa bouche, elle l’ouvre et me la nettoie.

Puis, je m’abaisse et lui dis qu’elle est une bien belle salope et qu’elle cache bien son jeu.

Là, je la laisse au sol, me rhabille et retourne chez moi.

Merde, c’est déjà 08h30, j’envoie un texto à Jean mon collègue pour lui dire que j’arrive.

Je prends une petite douche rapide, puis file au taf.

Arrivée au travail, je me fais naturellement chambrer pour ma cuite.

Mes collègues me disent que je devrais arrêter de boire, car j’ai l’air fatigué.

Ah s’ils savaient ce que j’ai fait, plus d’un m’envierait.

Je fais des recherches sur Irina, je sais que ce nest pas bien mais je dois savoir ce qu’il se passe.

Seulement c’est le néant, pas de trace d’elle sur nos fichiers.

La journée se passe tranquillement.

Le soir, au lieu de rentrer directement à mon domicile, je fais un tour vers l’endroit où se trouvait le groupe de pute pour voir s’il y a Irina, surtout pour voir si elle va bien. Elle n’y est pas. Je fais le tour de mon quartier pour chercher une place, mais aussi pour la voir.

J’ai de la chance, je trouve une place, mais malchance, pas d’Irina.

Je rentre chez moi et là assise sur mon palier, Irina.

« Que fais-tu là? » lui dis-je avec un grand sourire en la faisant entrer.

Elle m’explique qu’elle était partie parce qu’elle pensait pouvoir trouver de l’aide auprès d’une Ukrainienne qu’elle connaissait mais celle-ci a refusé parce que son mac, l’homme qui l’a frappé a fait circuler l’information qu’il tuerait Irina ainsi que toutes les personnes qui l’aideraient. Du coup, comme elle ne savait pas quoi faire, elle était revenue.

Je lui réponds que cela ne me dérange pas.

Elle semble soulagée et vient se blottir contre moi à peine après avoir eu le temps d’enlever ma veste.

Elle pleure.

« Que vais-je faire s’il veut me tuer? Que vais-je devenir ? » me demande-t-elle.

« Je vais t’aider, ne t’en fais pas ! » dis-je.

Comme j’aime quand elle se sert de cette façon contre moi, elle me fait penser à ma fille.

Puis je lui demande si elle a mangé.

Vu que ce n’est pas le cas, je nous fais le dîner que nous mangeons dans le calme.

Je lui dis que demain, je vais travailler et qu’elle peut rester chez moi sans problème.

Après comme nous sommes épuisés, nous allons nous coucher.

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