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LA DESTINEE DE MON AMIE MIRABELLE – Chapitre 1




CHAPITRE I

Ses premiers

Nous étions ensemble depuis quelques mois. Mirabelle est une femme grande, mince, les cheveux blonds, ramenés en arrière dégageaient des traits délicats, avec de grands yeux gris-vert qui reflétaient la douceur et la fragilité, et une remarquable poitrine aux seins hauts plantés, de superbes longues jambes conduisant vers une croupe vertigineuse et cambrée, bref une belle paire de fesses rondes parfaitement musclées admirablement moulée tendues naturellement, comme une invitation agressive à les croquer. Tout en elle attirait les regards, même si elle ne faisait rien pour cela. Le visage pâle, mince, une jolie bouche pulpeuse, avec une expression timide. Bref, un joli petit lot incroyablement sexy.

Elle avait alors 25 ans et travaillait comme institutrice dans une sympathique ville du sud.

Elle avait pris lhabitude daller déjeuner dans un restaurant populaire proche de son lieu de travail, car cela lui permettait de se déstresser. Un jour quelle avait oublié son argent, le garçon lui avait dit de ne pas sinquiéter, et quelle pourrait payer en fin de mois. Aussi prit-elle lhabitude de déjeuner et de porter laddition sur sa note. Un jour, après son repas, le garçon lui tendit la note, dautant plus importante que cela faisait plusieurs semaines quelle déjeunait sans payer, mais surtout que la note était majorée dintérêts très importants. Elle indiqua au serveur quelle ne pouvait payer cette facture immédiatement mais celui-ci ne la laissait pas sortir et haussait le ton sous les regards des autres clients. Très gênée, elle lui demanda un délai. Le garçon lui répondit quil ne pouvait laccorder sans lautorisation du patron et lui ordonna daller le demander elle- même. Il la poussa alors vers la porte de la cuisine.

Elle portait ce jour là un pull blanc moulant sur un jean et des chaussures à talons compensés.

Lorsquelle entra dans la cuisine, elle vit la cuisinière aux fourneaux et le patron, assis derrière un bureau encombré de papiers. Aldo, le patron, était un homme légèrement corpulent, dune cinquantaine, de belle taille, vêtu dun costume en soie, fumant le cigare. Il porte un pantalon de ville noir avec une chemise noire. Ces traits sont fins, une peau un peu foncée et des yeux clairs.

Il la regarde sapprocher :

Quest ce que tu veux ?

On vient de me donner ma note, mais vu la somme, je voudrais vous la régler en plusieurs fois.

Mais, je ne suis pas la soupe populaire. Cet argent, tu me le dois et chaque jour passé augmente les intérêts.

Je vous en prie, faites moi ce plaisir.

Il est assis et la regarde, debout devant lui. Ce regard la gêne profondément, mais elle ne peut rien faire que subir en attendant son bon vouloir. Le silence dure et la cloue sur place.

Mais où sera mon plaisir à moi ?

Je vous paierai le plus rapidement possible.

Il me faut un acompte immédiatement.

Comme vous voudrez.

Lordre bref a claqué

Et il lui dit « Je veux savoir à qui jai affaire ».

Avance prés du bureau !

Mirabelle ne comprend pas,

Jattends,

Retire ton jean et ta culotte,

lordre bref a claqué,

Allez à poil vite !

déshabille-toi vite fait. Je veux voir comment tu es foutue.

Mais Monsieur…

Cest ça, où les flics. Allez, dépêche-toi.

Elle se sent coincée : emmenée au poste pour grivèlerie ou se montrer à cet homme. Elle prend sa décision et enlève son pull, laissant apparaître un soutien-gorge blanc qui masque ses seins.

Elle ouvre sa robe qui tombe sur ses chaussures. Elle voit alors le flash dun appareil photo. Aldo la photographiée en slip et soutif. Elle en rougit de honte et se cache derrière ses mains. Elle est prise comme un poisson dans la nasse.

Mais Aldo poursuit, sèchement :

A poil !

Sans résister, elle enlève le soutien gorge et ses seins apparaissent, avec leurs aréoles pâles, mais raidis par la honte. Ses mamelons sont durs comme de la pierre. Cest au tour du slip de se retrouver par terre, elle est nue, Aldo examine les poils de sa toison, très fins qui laissent voir le haut des lèvres, le début de ta fente. Elle est fendue très haut sur le pubis.

Les chaussures aussi, je te veux toute nue.

Mirabelle se retrouve alors à poil et les pieds nus sur un carrelage pas très propre. Elle a gardé une main devant sa poitrine et lautre devant son sexe, elle a les yeux baissés et les joues rouges. Nouveau flash.

Mirabelle ressent tout de suite le ton différent. Le tutoiement la perturbe. La voix reste dure mais chaude cependant.

Tu nes pas vraiment nue à mes yeux. Débarrasse-toi de tes bijoux, de tes bagues et de ta montre.

Mirabelle dépose ses bijoux sur le bureau de Monsieur Aldo,

Mirabelle doit ainsi se débarrasser du dernier rempart de sa féminité sociale assumée et reposer ses pieds nus sur le sol. Les femmes savent bien que marcher pieds nus devant un homme est déstabilisant quand elle se sent observée. Elle éprouve un sérieux manque de grâce et déquilibre. De plus en lui tournant le dos elle doit présenter ses fesses et en se baissant, une partie de son intimité. Tout cela est photographié. Sa tête tourne. Il lui faudrait une pause dans cette suite dévénements.

Les mains derrière la tête.

Mirabelle a conscience quelle va sexhiber pour la première fois devant un inconnu, mais que faire dautre à ce moment précis. Elle met les mains comme demandé, ce qui a pour effet immédiat de faire se redresser ses seins. Encore un flash.

Tourne-toi,

Elle fait demi-tour et se rend compte alors que la cuisinière et le serveur sont en train de lobserver. La honte grandit pendant quAldo photographie maintenant ses fesses offertes.

Regarde-moi et écarte les jambes.

Plus que ça, tu es une femelle qui vient pour se faire dresser et écarter les cuisses !

Maintenant tourne moi le dos et enlève lentement tes chaussures sans plier les genoux. Gros plan sur les lèvres de sa chatte.

Ouvre ta chatte avec tes doigts.

Tourne-toi et écarte tes fesses,

Cambre-toi,

Caresse tes tétons,

Suce ton doigt comme si cétait une belle bite,

Elle happa son doigt et le suça,

Bouche ouverte,

Couche-toi sur le sol et écarte grand les jambes,

A quatre pattes,

Et à chaque position ordonnée, flash de lappareil photo.

Il faut que jaille travailler. Je vais être en retard,

Il faut que jaille travailler… qui ?

Il faut que jaille travailler Monsieur,

Bien entendu petite salope. Mais noublie jamais que tu devras toujours mappeler Monsieur,

Bien Monsieur. Puis-je aller travailler Monsieur,

Vas-y, mais pose ta culotte sur la table. Tu viendras la chercher demain midi.

Mirabelle lui dit quelle se sent gênée de ne pas avoir de soutien-gorge et là, Aldo se lève, et une gifle mit fin à sa phrase. Si tu ne viens pas, les photos de ta chatte et de tes nichons atterriront chez tous les parents délèves. Je tattends ici, demain, à midi. Et maintenant, dégage.

Mirabelle enfile rapidement ses vêtements, noublie pas de poser son slip sur la table et part à lécole, la tête toujours tournante de ce qui vient de lui arriver. Elle voudrait que ce ne soit quun cauchemar. Pourtant la sensation de la fermeture éclair sur la peau nue de son pubis lui rappelle que cest bien la réalité.

Que va-t-il se passer demain ? Comment faire pour que son ami (moi) ne se rende pas compte quelle a les fesses nues ? Heureusement pour elle, je nétais pas encore rentré et elle a pu se vêtir normalement avant mon arrivée. Toute la soirée et une grande partie de la nuit, elle sest demandé ce qui allait lui arriver le lendemain, les photos lempêchant de se défiler aux ordres de Monsieur Aldo.

Toute la matinée de ce vendredi, Mirabelle a beaucoup de mal à se concentrer sur les mathématiques et le français. Dans sa tête tournent les images de la veille. Elle entend encore les ordres de Monsieur Aldo. Que va-t-il se passer ce midi ? Même si elle a eu dautres expériences sexuelles avant moi, jamais elle navait fait cette expérience de la soumission. Et elle ne peut pas dire quelle y a pris goût, non pas du tout. Cependant elle sait quelle est coincée la dette, les flics, la honte…

Le temps passe vite, très vite. Cest déjà la pause du midi, les élèves sortent. Voilà Mirabelle seule devant son destin modifié, imposé, obligé par un maître tout puissant.

Elle sort de lécole, traverse la rue et se retrouve devant la porte du restaurant.

Mirabelle pousse la porte. La salle est pleine dhommes qui la regardent. Le serveur lui fait signe de la tête de passer dans la cuisine. Avec le jean qu’elle portait, on voyait son cul bien moulé.

Le cauchemar recommence. Aldo, toujours assis derrière son bureau, lui adresse un bref coup dil avant de replonger dans son assiette. Mirabelle reste debout, ne sachant quoi faire.

A poil ! Je ne devrais pas avoir à te le dire.

Mirabelle se déshabille immédiatement et attend, debout devant la table, les mains croisées devant son sexe. Elle est rouge de honte. Lattente dure. Pendant ce temps, le serveur entre et sort plusieurs fois, sans se gêner pour fixer ses fesses, ses seins.

Aldo relève enfin la tête, la fixe dans les yeux.

Enlève tous tes bijoux. Je te veux toute nue,

Ouvre la bouche, grande ouverte !

Mirabelle enlève ses bagues, son collier. Elle na plus rien sur le corps. À ce moment, Aldo fouille sur la table et lui lance un collier pour chien, large, épais, en cuir noir clouté sur lequel étaient fixés plusieurs anneaux de bonnes dimensions. Cela permettait d’y assurer, chaînes, cordes et autre laisses, pour obtenir de celle qui le portait, une obéissance absolue quand on la dirigeait.

Attache toi ça,

Puis il lui jette une laisse quelle doit mettre au collier. Photo avec la laisse qui se termine entre les cuisses de Mirabelle, photo avec la laisse dans la bouche, photo avec la laisse tenue par le serveur. Puis :

Bien, tu es venue pour manger. Ton gamelle est là,

Mirabelle voit une assiette emplie de riz posée dans un coin de la cuisine.

A quatre pattes, tu reconnais ton auge ? et bien tu manges tout, sans les mains,

Mirabelle sagenouille puis avance vers le coin de la pièce. Elle a conscience de ce quelle montre : une femelle avec les fesses à lair et les seins qui ballottent à chaque pas. Photos. Elle baisse la tête et tente de manger le plat qui lui est proposé.

Cela fait beaucoup rire Aldo et la cuisinière qui ne privent pas déchanger des propos salaces :

Quelle belle chienne !

Quelle salope tu veux dire !

On doit pouvoir bien samuser avec cette pouffiasse !

Ce discours inquiète beaucoup Mirabelle qui sait quelle est coincée, mais aussi que chaque nouveau jeu lenfonce encore un peu plus.

Allez ça va, reviens ici,

Mirabelle se redresse et revient se présenter devant Aldo. La belle jeune femme est nue, bras le long du corps, le visage barbouillé de riz. Aldo ne se prive de regarder sa poitrine, dont les longs tétons sont tendus par la honte, le ventre barré par la laisse de chien dont la boucle effleure le sexe.

Je pense que je pourrai récupérer mon pognon. Quen penses-tu, dit-il à la cuisinière.

À condition quelle soit bien obéissante, cette pute.

Mais elle sera obéissante, sinon cest les flics pour la dette et la perte de son boulot avec les photos.

Hein, tu seras obéissante, petite chienne ? Cambres toi plus petite pute ! Tu dois devenir une bonne salope obéissante, dit-moi qui tu es !

Oui Monsieur, je suis une femelle qui doit être dressée, je suis là pour vous,

Mirabelle a répondu, la tête basse, des larmes perlèrent dans ces yeux. Elle était un jouet entre les mains de Monsieur Aldo.

Elle ne sait pas où tout cela va la mener, mais, pense-t-elle, elle est sûre de ne pas avoir le choix.

A genoux, maintenant.

Écarte bien les cuisses. Ecarte davantage.

Gros plan sur les seins, sur sa fente bien haute et visible entre les cuisses écartées, bien en avant, qui ne demande quà être forcée. Nue, la tête incline dans une posture de totale soumission. A genoux, les cuisses grandes ouvertes, prête à être baisée, se faire mettre, et obéir à n’importe quel ordre de Monsieur Aldo.

Peut-être était-elle fière de rentrer le ventre, projetant en avant ses seins orgueilleux pour signifier son appartenance…

Ousmane va tasperge

Ousmane, viens ici.

Tu vois cette femelle à genoux, tu vas te branler et gicler sur ses nichons.

Oui Monsieur Aldo,

Mirabelle est effarée. Elle voit le serveur sortir son sexe de son pantalon, sapprocher delle, toujours à genoux les cuisses écartées et commencer à se masturber sans un mot en détaillant chaque partie de son corps. Le sexe imposant semble la viser. Photo.

Regarde bien, petite pute. Ousmane va tasperger et tu vas me remercier.

Allez bouche grande ouverte,

Les yeux exorbités, Mirabelle voit le sexe se raidir encore plus, puis, soudain, un jet de sperme sabat sur ses seins. Deux giclées supplémentaires sur son visage et ses cheveux. Du sperme, débordait dentre ses lèvres et coulait sur son menton.

Ses seins sont couverts de cette substance blanchâtre et collante. Photos encore.

Merci Monsieur,

De quoi ?

De mavoir faite asperger de sperme, Monsieur,

Quelle honte pour Mirabelle. Elle est toute nue, à genoux sur un sol pas très propre, les seins couverts de sperme et elle sentend remercier son bourreau. Pourtant ce nest pas encore fini.

Étale la crème sur tes nichons. Masse les biens.

Et Mirabelle obéit. Elle se frotte les seins avec le sperme du serveur. Ceux-ci en deviennent tout brillant et les tétons, malgré elle, pointent. Nouvelles photos.

Relève-toi et reste avec les mains derrière la tête et les jambes écartées !

Bien, ma salope. Maintenant tu vas pouvoir aller au boulot, mais avant, Ousmane va encore soccuper de toi,

A toi Ousmane,

Et Ousmane le pantalon sur les chevilles, la queue dure, bien bandée, se rapproche de Mirabelle,

Allez, arrive que je te fourre ma bite dans la bouche, et suce moi bien chienne,

Il impose le rythme en la tenant par les cheveux. Elle a les mains derrière le dos, la bouche docile, baveuse, elle saffaire sur le sexe dOusmane. Les mouvements infligés font valser quelques filaments de sperme encore appendu à ses joues et à son menton.

continue comme ça, surtout ne bouge pas, ça vient,

Elle ne sait pas encore quaprès avoir si longuement sucé elle sera fouettée,

Ce nest pas du travail, tu dois faire mieux salope, il faut que tu suces à fond, jusquau fond de ta gorge, je vais apprendre, à la chienne que tu es,

Oui, Monsieur Ousmane, je vais mappliquer Elle haletait mais pas de fouet

Sans un mot, il la fit lever sèchement, attache ses poignets au dessus de sa tête avec des menottes, la conduit contre la porte, et face à cette porte, elle présente son cul charnu relevé et offert. Là, avec un fouet, il fait rougir les fesses de caresses cinglantes, mordantes, elles sont striées de marques rouges. Elle tente de séchapper, de fuir limpact de linstrument, mais en vain, la malheureuse tourbillonna avec un cri de douleur. Mais le terrible fouet, la poursuivit. Le fouet la suivait, zébrant le corps entier de larges stries écarlates. De nouveau, le fouet recommence son travail, il siffle, la mord aux reins. Elle pleure.

Une pose, la main dOusmane glisse entre ses cuisses, quelle écarte malgré la douleur, pour bien montrer à Monsieur Aldo qui regarde, combien elle est sage, docile. Ousmane cajole sa fente humide, pénètre son intimité avec ses doigts quil lui fait sucer. Puis le fouet reprend sa danse.

Tourne-toi que je moccupe de tes nichons. Je vais les faire durcir, les faire bander. Allez salope plus vite que ça, bombe bien tes miches, tes mains sous chaque mamelle,

Elle se retourne, donne ses seins bien en avant, et le fouet recommence avec vigueur sa danse folle, mais cette fois sur les mamelons. Des larmes coulaient malgré elle, Mirabelle sent la lanière du fouet la cingler. En sanglots, elle attend la fin de sa punition

La correction cesse, elle attend quOusmane la détache

Joli spectacle que ce corps de jeune femme nu, se tortillant sous les coups de fouet en hurlant…

Monsieur Aldo intervient,

Cest bien pour aujourdhui, rhabille-toi, mais tu me laisses ton slip et ton sou-tif,

Mais Monsieur, je ne peux pas…

Ta gueule. Obéis, un point cest tout,

Mirabelle renfile donc son jean et son pull à même la peau, enlève le coller de chien et la laisse et pose ses sous-vêtements sur la table. Ce faisant, elle se rend compte que ses seins ballottent, indiquant labsence de soutien-gorge.

A lundi. Tu porteras une jupe et un chemisier boutonné. Mirabelle sort de la cuisine. Elle traverse le restaurant où quelques dineurs la suivent du regard. Quelques uns la sifflent. Elle entend même :

Elle est à poil là-dessous,

Laprès-midi va être longue.

Durant tout le week-end des images traversent la tête de Mirabelle : nue devant un inconnu, à quatre pattes en train de manger dans une gamelle et surtout ce sexe qui se vide sur elle. Il lui semble encore ressentir ce sperme dont elle a eu bien du mal à se défaire sous la douche. Et lundi, que va-t-il encore lui arriver ? Quest ce que Monsieur Aldo va encore trouver, pour la rabaisser ? Pourtant elle sait quelle devra se rendre dans cette cuisine.

Moi, son ami, je me rends bien compte que quelque chose ne va pas, mais elle me répond quelle a des problèmes avec sa classe. Lundi matin, je suis surpris de la voir enfiler une jupe, ample et mi-mollet, et un chemisier sage, mais quand même ce nest pas une tenue habituelle pour aller travailler pour elle qui aime le confort sportif. Elle me parle dune visite importante et je ne cherche pas plus loin.

Lundi midi.

De nouveau ce restaurant bondé quelle traverse, vacillant légèrement sur ses talons, pourtant pas très hauts. Ousmane, qui la regarde, avec dans les yeux une lueur lubrique et aux lèvres, un petit sourire goguenard en coin.

La porte de la cuisine. Monsieur Aldo, derrière son bureau, qui la détaille.

Alors, ma petite salope, tu mas obéi. Mais je nai pas dû être assez précis : la jupe, cest ras la touffe, le chemisier, cest transparent, tu es ici pour être dressée, utilisée, obéir, tu dois être aguicheuse,

Mais, Monsieur, je nai pas ce type de vêtement. Et puis je ne peux pas aller travailler ainsi,

Cest ton problème, chienne,

doit obéir à tous mes ordres, en contrepartie de cette obéissance aveugle, je veillerai sur toi,

Le maître a aussi des devoirs envers son esclave.

Oui Monsieur, je vous obéirai,

En tout cas, tu seras punie pour te présenter attifée comme cela,

Quest-ce-que ça veut dire « être punie » ? Mais Mirabelle na pas le temps de réfléchir davantage.

Allez, à poil pouffiasse !

Le cauchemar qui recommence. Les vêtements quelle enlève. Le contact du sol gras sur ses pieds nus. Le collier et la laisse qui lui sont lancés et quelle se dépêche dattacher autour de son cou. Mais là, nouveauté :

Écarte les jambes, plus que ça. Mains derrière la tête. Mets la laisse dans ta bouche.

Flash. Mirabelle imagine les photos : une femme (elle), toute nue, jambes grand écartées qui font clairement apparaître son sexe (légèrement luisant), mains derrière la tête qui font dresser ses seins, un collier de chien et la laisse dans la bouche. Cest une image desclave quelle voit.

Maintenant, retourne-toi. Attrape tes chevilles avec tes mains,

Flash. Mirabelle imagine la photo : ses fesses et son anus doivent être clairement visibles.

Elle entend Aldo qui lui demande de se tourner face à lui, mains sur la tête. Bien entendu, elle obéit immédiatement.

Dis-moi ce que jai photographié.

Vous avez photographié ma poitrine, Monsieur,

Tes nichons, salope. Répète,

Mes nichons, Monsieur,

Tu dois apprendre à les mettre en valeur,

Et jai photographié quoi dautre ?

Mon sexe et mon cul, Monsieur,

Le cul, cest bon, mais pour devant tu parleras de ta chatte, de ton trou à bites,

Oui Monsieur, ma …chatte,

Viens ici, petite pute,

Mirabelle sinquiète. Cest la première fois quelle doit sapprocher de Monsieur Aldo. Elle avance, les mains toujours derrière la tête. Elle sent ses seins se balancer doucement. Aldo attrape alors le haut de la laisse et la couche à plat sur ses genoux. Sensation bizarre pour Mirabelle : Monsieur Aldo na pas touché sa peau et pourtant elle est allongée sur ses genoux, toute nue, les fesses en lair, la tête tirée vers le bas par une laisse tendue, les seins écrasés sur le pantalon.

Marie, viens ici (cest la cuisinière) Il faut lui trouver un nom à cette petite salope.

Fessée, fouet, martinet ?

Bambie Monsieur Aldo, joli nom pour une jeune salope, quen pensez-vous ?

Pourquoi pas. Va pour Bambie, mais elle na pas fait deffort pour paraître devant moi. Elle doit être punie.

Oui Monsieur Aldo. Fessée, fouet, martinet ?

Marie, on va commencer par la fessée. Cinq claques sur chaque globe de ce beau cul. Il doit rougir,

Bien Monsieur Aldo,

Mirabelle nen croit pas ses oreilles. Elle va être fessée, cul nu. Ce nest pas possible. Pourtant une première claque tombe dun côté, suivie dune autre sur lautre globe. Flash.

Monsieur Aldo a la femme sur ses genoux, il la retournée comme une crêpe en la couchant en travers. Marie frappe la main bien à plat, fermement à cheval sur les deux fesses. Elle vise la raie, bien au milieu, il faut que la Mirabelle s’ouvre, quelle s’offre, se donne un peu plus à chaque coup. Mirabelle sursaute, se débat, pleure.

Tais-toi sinon je frappe plus fort !

Et vlan ! un autre coup sur lautre fesse, et Mirabelle serra les dents pour ne pas crier de nouveau.

Mais rien ny fait. La laisse est trop tendue pour quelle puisse bouger. Flash. Les claques se succèdent : deux, trois, quatre, cinq. Mirabelle gémissait de douleur, ça y est. Elle a enduré sa punition. Ses fesses sont rougies. Elle ravale ses sanglots.

Va me chercher Ousmane,

Bien, Monsieur Aldo,

Et toi Bambie, à genoux devant le bureau. Mains derrière la tête bouche ouverte et écarte bien les cuisses,

Le serveur arrive. Il ricane en voyant Mirabelle dans sa posture dhumiliation.

Monsieur Aldo ?

Cette chienne ne ma pas donné satisfaction. Comme punition elle a été fessée. Mais ce nest pas assez. Tu vas toccuper de ses tétines. Un tour complet pour chacune.

Oh non Monsieur, sil vous plait ?

Ta gueule, et ne crie pas, ne bouge pas, sinon…

Ousmane sapproche de Mirabelle Il prend un téton entre ses doigts, tire dessus pour lallonger et se met à lui faire faire un tour complet. Mirabelle se mord les lèvres pour ne pas hurler, certaine que la punition pourrait durer. Même chose avec lautre téton. Quand Ousmane a terminé, les aréoles de Mirabelle sont rouge violacé. Elle sanglote.

Ousmane, tu peux vider les couilles

Maintenant, Ousmane, tu peux vider les couilles sur Bambie,

Vise bien la bouche et les nichons,

Mirabelle revoit encore une fois le sexe dOusmane, face à elle. Flash. Ousmane redressa Mirabelle par les cheveux et puis cest le jet de sperme qui latteint dabord sur le nez et sa bouche ouverte, puis sur les seins.

Tu sais ce que tu dois faire, salope,

Mirabelle ne réfléchit plus.

Merci, Monsieur, de mavoir fait recouvrir de sperme,

Elle masse ses seins, qui de nouveau brillent de sperme. Flash. Mais ce nest pas fini.

Ramasse le foutre sur ton nez et ta bouche et bouffe-le. Lentement Mirabelle sexécute. Elle a un haut-le-cur quand le sperme pénètre sa bouche, mais elle soblige à tout avaler. Flash.

Tu vas pouvoir repartir, traînée. Mais avant, tu connais les habitudes,

Mirabelle pense vite.

Je dois vous donner ma culotte et mon soutien-gorge, Monsieur (surtout ne pas oublier le « Monsieur »),

Cest mieux, Bambie. Reste à poil pour poser tes sous-vêtements sur mon bureau. Et viens membrasser. Mirabelle (ou Bambie, elle ne sait plus très bien) avança son minois quune rougeur enflammait et donne ses lèvres à Monsieur Aldo,

Bouche ouverte, salope,

Elle ouvre la bouche et sent alors la langue dAldo lui fouiller la bouche. Après ce long baiser, Aldo lui envoie un jet de salive sur le palais.

Avale, ma pute,

Ce quelle fait sans trop vouloir penser à ce quelle fait.

Maintenant Bambie, je veux que tu me dises comment tu seras fringuée pour venir demain. Et ne te trompe pas dans les mots, sinon… Noublie que tu es une salope.

Demain, je viendrai avec un chemisier transparent et une jupe ras la… touffe,

Et, sans savoir pourquoi, elle ajoute :

Parce que je suis une chienne, une salope, une pouffiasse,

Aldo éclate de rire.

Tu apprends vite, Bambie. Et noublie pas des talons hauts, au moins quatorze centimètres. Maintenant, casse-toi.

En sortant, Mirabelle, qui na pas fait attention aux ricanements dans la salle, sinterroge. Elle ne sait plus trop ce quelle fait, ni, surtout, pourquoi elle le fait. Elle est en train doublier la dette, les photos compromettantes et se sent devenir la chose, plus exactement un objet sexuel, appartenant à Monsieur Aldo.

Elle ny prend pas de plaisir, mais ces midis deviennent des moments quelle ne peut pas arrêter, cela laffole un peu car elle navait pas eu vraiment le temps de se préparer a cette idée.

Dès quelle sort de lécole, elle se met à la recherche des vêtements exigés par Monsieur Aldo. Elle trouve rapidement des escarpins noirs, sattachant autour des chevilles, avec des talons de 14cm.

Quand le vendeur, à ses genoux, lui demande de marcher, elle voit dans la glace son image, mais différente. La hauteur des talons cambre ses fesses et projette ses seins vers lavant. Elle se souvient alors quelle est sans culotte ; elle est sûre que le garçon en face delle sen est rendu compte. Tant pis, tout pour que Monsieur Aldo soit content delle. Il va pourtant falloir shabituer à marcher sur de tels talons. Si le chemisier transparent blanc est facile à trouver « Il faudra mettre un petit caraco dessous », lui dit la vendeuse (si elle savait !). Impossible de trouver une mini jupe : ce nest plus la mode. Elle ne trouve quune petite jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses. Quand elle se regarde dans le miroir, elle sait quil faut dire adieu aux chaussettes et sachète une paire de collants couleurs chair.

Tout pour que Monsieur Aldo soit content delle, de…Bambie. Jusquà maintenant, personne ne la touchée. On sest contenté de la regarder, de lhumilier, déjaculer sur elle. Elle doit bien reconnaître que cette situation nouvelle dobjet sexuel, la honte quelle ressent lattire. Mais que se passera-t-il demain ? Et comment faire pour que je ne me rende pas compte de ce qui lui arrive ?

En rentrant à la maison, un bon bain (difficile de détacher le sperme qui maquille ses seins), semmitoufler dans la vieille robe de chambre si confortable. Quand Mirabelle se voit dans le miroir, elle ne retrouve pas la Bambie dil y a quelques heures. Qui est-elle vraiment ?

Mardi midi.

Mirabelle passe par les toilettes de lécole. Là, elle enlève le jean, le pull, les chaussettes, les tennis et se prépare à enfiler les habits de Bambie. Un éclair :

Bien sûr, il faut aussi enlever le slip et le soutien-gorge. Bambie ne porte rien dessous.

Bambie est maintenant toute nue dans ces WC où règne une odeur assez forte. Elle enfile les collants, la jupe, le chemisier, sassied sur la cuvette pour attacher les brides de ses talons. Elle passe un manteau afin de cacher à des collègues éventuels ou à des passants sa nouvelle apparence. Quand elle sort, elle sent ses seins se balancer librement et ses tétons frotter le chemisier. Bambie passe la porte du restaurant. Les regards de tous les clients se fixent sur elle, essayant de découvrir, sous le manteau, les seins, les cuisses, les fesses de cette jeune femme dont ils se doutent bien quelle ne vient pas là pour manger. Cest les yeux baissés quelle entre dans la cuisine.

Monsieur Aldo la regarde. Mirabelle est catastrophée. Elle se rend compte que son manteau cache ce quAldo a ordonné. Elle nest pas encore totalement Bambie. Monsieur Aldo se charge de lui faire remarquer :

Est-ce-que cest ce que javais ordonné ?

Oui Monsieur, dit Mirabelle en ôtant immédiatement son manteau pour présenter ses seins nus bien visibles sous le chemisier, sa mini jupe et ses souliers à talons aiguilles.

Tout le monde doit savoir que tu es ma salope

Tu devrais savoir que, dès que tu entres dans le restaurant, tout le monde doit comprendre que tu es ma salope en voyant tes nichons à lair. Compris ?

Oui Monsieur,

Et puis, quest-ce-que cest que cette jupe ?

Je nai pas trouvé plus court, Monsieur,

Pourtant, tu avais bien compris. Quelle hauteur, la jupe ?

Ras la touffe, Monsieur,

Et donc…

Je serai…punie, je mérite dêtre punie, alors punissez-moi, Monsieur,

Aldo lui montre le collier sur la table. Mirabelle sexécute immédiatement, attache le gros collier de chien autour de son cou, puis fixe la laisse. Elle est pourtant un peu surprise. Aldo ne lui a pas encore ordonné de se déshabiller.

Enlève ta jupe,

Mirabelle se dépêche dobéir. Elle pense, avec un peu de fierté que Monsieur Aldo sera content delle.

Quest ce que cest que ça ?

Je nai pas mis de slip pour vous faire plaisir et pour vous montrer que…

Que quoi, chienne ?

Que… je vous… appartiens, Monsieur,

Je sais bien que tu mappartiens, Bambie, mais une pute porte des bas, pas ces saloperies de collants. Enlève-les tout de suite et fous-toi à poil.

Fais un quart de tour, mets les mains sur la nuque, et cambre-toi bien ! Tu gardes juste les talons, le collier et la laisse.

Ça y est. Enfin. Mirabelle, ou plutôt Bambie, se déshabille. Elle est debout, grandie par ses talons qui cambrent ses fesses.

Marche,

Cambre-toi mieux,

Stop, écarte les cuisses,

Pose les mains par terre sans plier les jambes,

Nouvelles photos à chaque position. Bambie se surprend à attendre les ordres qui lavilissent un peu plus.

Appelle Ousmane,

Elle pense quelle va encore avoir droit à une douche de sperme. Pourtant, elle entrouvre la porte de la cuisine (pour ne pas que les clients la voient nue) et appelle le serveur.

Approche du bureau,

Donne-moi la laisse,

Aldo tire la laisse vers lui, ce qui a pour effet immédiat de coucher Mirabelle sur le bureau. Ses seins sécrasent sur les papiers. Ses pieds, sur les talons, ont bien du mal à rétablir un équilibre et elle est obligée décarter les cuisses.

Regarde-moi dans les yeux, Bambie. Tu vas devenir une bonne pute.

Oui Monsieur Aldo,

Monsieur Aldo la appelée Bambie, et, curieusement, cela lui procure un grand plaisir.

Finie les « chienne », « salope » et autres gros mots, Il la appelée par son nom… de PUTE. Éblouissement dans la tête de Mirabelle cest cela quelle devient ? Le cou cassé pour regarder Monsieur Aldo, elle comprend quIl est en train de réussir et quelle lui appartient.

Ousmane, tu vois cette belle petite chatte avec la fente bien en avant ? Tas vu sa comme elle souvre et elle est super humide Elle est à toi, baise-la,

Viens, viens me ramoner

Elle est abasourdie (peut-être dépitée)

Elle va se faire prendre là, sur le bureau et même pas par Monsieur Aldo.

Elle sent deux mains qui lui écartent les cuisses et un sexe dur qui cherche ses grandes lèvres. Elle se raidit, mais Aldo lui ordonne de continuer à le regarder et surtout de ne pas crier. Le pénis dOusmane senfonce lentement dans son sexe. Il est gros, il lui fait un peu mal. Mais elle se tait et garde ses yeux dans ceux dAldo, même si coulent quelques larmes, de honte ? de regret ?

Le pénis est au fond de son ventre. Elle sent les testicules contre ses lèvres. Puis commence le va-et-vient, lentement dabord.

Ousmane retire son sexe jusquà ce que le gland effleure les petites lèvres puis lenfonce jusquau fond du vagin. Étrange sensation, un sexe quasi inconnu (elle ne la vu que deux fois) lui fait lamour pendant quelle regarde un autre homme.

Ousmane, je tai dit de baiser cette pute, pas de lui faire lamour, ça suffit ! baise là !

Le scénario change alors. Deux mains agrippent ses fesses et le sexe la laboure à grands coups qui la font sursauter à chaque fois. Ses seins frottent la table, ses fesses claquent sous les coups de boutoir du mâle qui la baise. Elle sent soudain de longs jets de sperme frapper le fond de son vagin. Cest fini. Lhomme sest retiré. Son vagin, encore ouvert, laisse couler des filets de liquide blanchâtre le long de ses cuisses.

Bien Ousmane, mais tu ne peux pas aller dans la salle dans cet état. Bambie, nettoie le bien. Quil ne reste aucune trace,

Bambie, encore une fois ce nom de reconnaissance. Elle cherche quelque chose pour essuyer Ousmane,

Avec ta bouche ! Et surtout, ny mets pas les mains salope !

Le mot a claqué dans sa tête. Vite, elle sagenouille devant le serveur et passe avec promptitude sa langue le long du sexe qui vient de la prendre. Goût et odeur bizarres, pas très agréables. Mirabelle sapplique pourtant et lèche du gland aux couilles pour le rendre tout propre.

Ousmane retourne en salle. Mirabelle est toujours à genoux, pour être plus aisément contrainte, avec la laisse qui pend entre ses cuisses maculées de sperme. Mirabelle vient de se faire baiser et elle a léché la bite de son violeur. Elle nen revient pas.

Punie pour la taille de ta jupe

Viens ici, la chienne. Tu nas pas oublié que tu devais être punie pour la taille de ta jupe,

Mais, Monsieur, ce nest pas ma faute,

Tu ne mas pas obéi. Tu vas être punie. À plat ventre sur mes genoux,

Docilement Mirabelle prend la position. Aldo, vicieusement, lève une jambe. Ce qui a pour effet immédiat de surélever ses fesses.

Marie, vingt coups de cravache sur son cul de pouffiasse.

Marie attache les mains de Mirabelle, saisit la cravache et commença à la faire siffler dans le vide pour la terrifier un peu plus.

Et toi, sac à foutre, tu vas les compter.

Marie visait plus bas : les coups claquent sèchement sur ses fesses, le bas de mon dos, les cuisses

Elle sursaute violemment mais noublie pas de compter « un », « deux », « trois »… Le dernier coup, plus sec encore, latteint au milieu du dos « vingt ». Quelle douleurMirabelle serrais les dents. Marie détache les mains de mirabelle et Mirabelle se laissa tomber sur le sol à genou. Marie la saisit par les cheveux et tout en lui tenant la tête elle lui colle une violente paire de gifles :

Tu es déjà fatiguée ? Alors que nous navons même pas passe une heure ensemble ?

Non Madame, juste ankylosé par la position,

Aldo tire sur son collier pour la forcer à se relever. Ses fesses et son dos la brûlent. Elle ne sait plus où elle est, ce quelle fait, ni même qui elle est.

Mirabelle a dabord joui sous la morsure de la cravache, souvrant même davantage aux coups, mais le plaisir a vite laissé place à une douleur terrible, plus vive à chaque coup porté. Et elle sest mise finalement à hurler comme une folle, implorant la pitié. Elle a limpression dêtre détachée de mon propre corps,

Comprends bien Bambie. Ça ne fait pas plaisir de te faire corriger. Jaimerais que cela ne se reproduise plus. Mais il faut bien que tu mobéisses.

Oui Monsieur.

Il y a moins dune semaine elle était une petite institutrice sage. Aujourdhui, on vient de la fouetter après lavoir fait baiser, et elle, elle comprend, mieux, elle accepte.

Et pour que tu comprennes mieux, à partir daujourdhui, je ne suis plus Monsieur, mais ton maître.

Oui… Maître,

Mirabelle vient de prononcer ce mot terrible pour elle. Maître. Elle a accepté Monsieur Aldo comme Maître. Mais alors, elle ?

Tu mappartiens Bambie,

Oui Maître,

Je ferai de toi ce que je voudrai,

Bien Maître. Je suis à vous. Je suis une chienne, qui a besoin que vous la dressiez

Elle accepte de prononcer ces mots qui la livrent à Aldo. Celui-ci sort alors de son bureau une courte lettre, simplement une reconnaissance de dettes et ordonne à Mirabelle de la signer. Elle prend le stylo quil lui donne et, après une courte hésitation au vu du montant astronomique de la somme, signe le courrier qui, elle le sait, la met pieds et poings liés entre les mains de son… Maître.

Dès à présent ta vie ne tappartient plus Ici, cest moi qui décide, compris ?

Dabord, ta présentation. Plus de pantalons, ni de tennis. Mini-jupe ras la touffe et talons aiguilles. Répète Bambie !

Plus de pantalons, ni de tennis. Mini-jupe…ras la touffe et talons aiguilles, Maître,

Bien. Plus de ces saloperies de collants mais des bas avec un porte-jarretelles. Les bas devront toujours être noirs. Ou alors, jambes nues,

Oui Maître,

Plus de sous-tif de pucelle. Nichons à lair, ou alors redresse seins. Tes tétons doivent toujours être accessibles. Compris ?

Oui Maître, plus de soutien-gorge. Mes seins doivent toujours être libres,

Jai dit tes nichons, petite conne,

Mes…nichons seront toujours libres, Maître,

Plus de culotte de grand-mère. Chatte à lair ou slips ouverts,

Ma chatte à lair ou slips ouverts, Maître,

Bambie, pour devenir une bonne salope, tu dois être prête à montrer ton cul à tout moment, accepter tous les positions d’amour. Aimer toutes les pénétrations. Accepter de te faire enculer très souvent. Raffoler de culs d’hommes, lécher avec plaisir leur trou et les couilles pleines de bon foutre. Tu suceras toutes les bites avant de te faire enculer Tu as saisis ?

Je vais te vendre pour ramener du fric, tu ferras tout cela pour me faire plaisir, en te faisant payer grâce ton fourreau à bites, as-tu bien compris ?

Tu dois savoir que tu es faite pour être prise, tu es là pour me servir, servir de vide couilles aux hommes à qui je te vends, tu es là pour être remplie !

Oui Maître, je le ferai pour votre plaisir,

À la bonne heure, mais si tu ne ramènes pas assez, tu recevras une dérouillée ! Bambie,

Mirabelle a compris. Salope, pute… quand le maître nest pas content. Bambie quand elle la satisfait. Elle sait quelle fera tout pour le satisfaire, et aimer cela signifier pour elle sa reddition.

Noublie pas de te maquiller les yeux et les lèvres, du rouge sur tes tétons et les lèvres de ta chatte, de vernir tes ongles, pieds et mains. Rouge obligatoire,

Oui Maître,

Tiens, voilà une adresse où tu trouveras une jupe pour une pouffe comme toi. Vas-y dès ce soir.

Bien Maître,

Mirabelle se rend bien compte quelle se donne totalement à celui qui nest même pas son amant.

Avant de ficher le camp, tu laisses ta jupe trop longue et tes collants sur la table,

Mais… Maître, je ne peux pas sortir toute nue,

Aldo ne répond même pas. Il lui demande de sapprocher,

Ouvre la bouche, que je te lèche la glotte.

Mirabelle avance, toujours nue sur ses talons, se penche vers son Maître, toujours assis, ce qui fait pendre ses seins et approche sa bouche grande ouverte vers celle dAldo. Elle sent la langue de son Maître forer sa bouche pour un long baiser violent. La seule partie du corps quil nait jamais prise est donc sa bouche. Mirabelle ne comprend pas. Quand leurs lèvres se détachent,

Garde la bouche ouverte,

Et Aldo lui crache dedans ! Comment accepter ça ? Et pourtant, Mirabelle na aucun geste de recul.

Avale,

Mirabelle enfile maintenant son chemisier, puis son manteau. Elle a gardé le collier de chien autour du cou.

Comme demain cest mercredi, je tattends jeudi. Mais, essaie de ne rien oublier,

Oui, Maître et merci, Maître,

Mirabelle sort de la cuisine, traverse la salle. Les clients encore présents voient, grâce au manteau qui souvre à chaque pas, les cuisses de cette jeune femme mignonne découvertes presque jusquau sexe. Ils ne se privent dapplaudir et de siffler. Ce qui fait monter la honte chez Mirabelle De retour dans lécole, Mirabelle se précipite dans les toilettes pour se rhabiller avant les cours de laprès-midi. Elle renfile slip, jean, tennis et pull quelle avait abandonnés tout à lheure. Cest alors quelle se rappelle les ordres de son Maître : « nichons à lair », « chatte à lair ». Elle enlève la culotte et le soutien- gorge et en profite pour remettre les talons hauts à la place des tennis. Elle se rend compte, alors, quelle est en train de sourire : nichons et chatte à lair, et Mirabelle est heureuse, ou plutôt Bambie est heureuse. Car Mirabelle, elle, se demande comment elle va me faire passer cette métamorphose, à moi, son ami. Elle décide alors de rentrer tôt pour laver les traces de sperme et se rhabiller sagement, sans oublier dôter le collier. Elle ira à la boutique dont elle a ladresse dans la poche après. Mirabelle ne se doute pas à cet instant que linstant de gentillesse de Monsieur Aldo, qui ne loblige pas à venir un jour où il ny a pas décole, cache un piège beaucoup plus profond.

Après être passée dans le bain où elle a dû frotter fort ses cuisses pour décoller le sperme séché, elle enfouit le collier dans son sac. Elle noublie pas de vernir les ongles de ses pieds et de ses mains dune laque rouge vermillon, quelle utilise de temps en temps, et surtout pour les grandes occasions. Quelle occasion ! Les ordres de son Maître.

Rhabillée (décemment), elle cherche ladresse où elle doit aller trouver sa jupe… ras la touffe. Cest une petite rue dun vieux quartier de la ville.

Arrivée sur place, elle se trouve face à un…sex-shop. Elle nest jamais rentrée dans ce type dendroit. Après un moment dhésitation, elle pousse la porte et sarrête, ébahie par ce quelle voit : des revues avec des femmes nues, cuisses écartées, pénétrées par le sexe, la bouche et même lanus, des reproductions de sexes dhommes de toutes tailles, des sous- vêtements criards et vulgaires…

Elle entre un peu plus loin pour chercher les jupes. Soudain, elle entend derrière elle :

Quest-ce quelle cherche, la petite dame ?

Un peu honteuse, elle chuchote :

Une mini-jupe,

Mini, comment ?

Les trois hommes présents dans le magasin se retournent à la voix de lhomme et dévisagent Mirabelle, dévisagent, ou plutôt la détaillent, de haut en bas, sattardant sur la poitrine, les cuisses, les fesses.

Très mini, dit-elle à voix basse,

Ah, je vois, ras la touffe, claironne le vendeur. Ne serait ce pas pour faire plaisir à Monsieur Aldo ?

Oui, Monsieur,

Il ma prévenu de ta visite. Jai ce quil te faut,

Et il lui présente une jupe en skaï noire, si courte que Mirabelle se demande un instant si ce nest pas une ceinture. Les clients sapprochent insidieusement pour mieux voir cette jeune femme qui vient acheter des vêtements dans un sex-shop pour plaire à son homme (sils imaginaient que ce nest pas pour son ami, mais pour son Maître !).

Il faut que tu lessayes,

Mirabelle cherche des yeux une cabine, mais :

Essaye-la ici. Il ny a pas de cabine, compris vide couilles,

La honte, à nouveau. Mais elle continue à senfoncer. Elle se décide dun seul coup à enlever son pantalon. Les clients ne se gênent plus :

Dis donc, quelles jambes !

Et regarde ce cul pour y loger son dard !

Dommage que ce slip soit si moche ! Il cache sa moule. Mirabelle enfile la jupe. Elle ne dépasse pas les fesses. Si elle doit se pencher, elle sera plus que nue. Et, évidemment, elle entend :

Penche-toi en avant. Il faut savoir si elle tient bien,

Bien entendu, la jupe remonte jusquau niveau des reins, laissant complètement visible sa culotte.

Cest la bonne taille. Il faudra enfiler un slip plus sexy que celui-là, voire pas de slip du tout. Quen pensez-vous, messieurs ?

La chatte à lair, elle doit être bonne. Sa chatte semble très accueillante

Si je la trouve sur le trottoir comme ça, sûr que je monte.

Abandonnez, messieurs, elle est déjà en main.

Mirabelle passe à la caisse pour régler son achat et senfuit dans la rue, non sans avoir entendu :

A bientôt, Bambie,

Ainsi, Monsieur Aldo avait prévenu du passage de sa nouvelle… nouvelle quoi dailleurs : maîtresse, chienne, esclave ? Maîtresse, non, Maître Aldo (cest comme cela quelle lappelle maintenant) ne la pas touchée. Alors, chienne, esclave, pute…? Autre chose lui traverse maintenant lesprit. Elle va devoir, jeudi, traverser le restaurant avec cette jupe, mais sans culotte et les nichons visibles. Ce nest pas possible et pourtant Mirabelle sait déjà que Bambie va le faire.

CHAPITRE II

Moi, son ami, je suis mis au courant

Ce mercredi matin, je mapprêtais à monter dans ma voiture pour aller faire quelques courses quand un homme dune trentaine dannées marrêta :

Vous êtes bien Monsieur ?

Oui, que voulez-vous ?

Je voudrais vous parler de choses graves concernant votre amie.

Pouvez-vous maccorder quelques instants ?

Oui, mais…

Suivez-moi dans ce café,

Intrigué, jaccompagnais linconnu. Nous nous installâmes à une table un peu à lécart.

Ce que jai à vous dire nest pas facile,

Dites quand même,

Mirabelle, toute nue, jambes écartées

Linconnu fouilla dans sa poche et en sortit une photo quil posa sur la table, retournée. Je pris la photo, et là, stupeur. Sur cette photo, mon amie, Mirabelle, toute nue, jambes écartées, mains derrière la tête, seins projetés vers lavant, dans une pièce pas très propre.

Mais quest-ce que cest ?

Silence de mon interlocuteur, mais nouvelle photo. Cette fois-ci Mirabelle est toujours nue, mais à quatre pattes, visiblement en train davancer. On aperçoit aussi les jambes dune autre femme.

Mais ce nest pas possible !

Troisième photo. Cette fois-ci Mirabelle est à genoux, entrain de sécarter les lèvres de son sexe. Je suis abasourdi.

Il faut que je vous explique. Votre amie a de fortes dettes. Elle fait ça pour éviter la police,

Mais je vais vous payer,

Cette somme-là ?

Et il me présente une reconnaissance de dettes, signée par mon amie, pour une somme astronomique.

Mais nous ne pourrons jamais.

Le problème nest pas là. Présentez vous demain à cette adresse avant midi. Vous comprendrez tout, Et pas un mot à votre amie ou cest la police.

Et linconnu sen va tranquillement.

Je ne comprends rien : Mirabelle toujours si sage quand nous faisons lamour, là, dans ces positions dégradantes. Et que signifie ce rendez-vous ?

Le lendemain, je quitte mon travail plus tôt et me rend à ladresse indiquée. Linconnu me demande où jai garé ma voiture. Il me demande de la cacher.

Ensuite, il memmène dans une pièce où est assis un homme dune cinquantaine dannées.

Monsieur ?

Oui,

Vous allez voir des choses qui vont vous choquer. Cependant, je vous demande de ne pas réagir, de ne pas bouger, tant que je ne vous laurez pas dit. Cela pourrait vous amener de gros ennuis avec la police,

Le premier homme memmène dans une espèce de cagibi, avec une chaise pour tout mobilier, et une vitre sans tain qui permet de vois tout ce qui se passe dans la cuisine. Jattends. Une femme est en train de cuisiner, lhomme dune cinquantaine dannées est assis derrière sa table, mon inconnu a disparu. Soudain, peu après midi, la porte de la cuisine souvre. Je reste stupéfait. Cest Mirabelle, mon amie, qui vient dentrer. Mais une Mirabelle que je n

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