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Maman…pourquoi es tu aussi salope ? – Chapitre 9




Ma mère prisonnière d’une autre bande de la cité ! Mais merde, qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu !

Reprenant le même chemin qu’elle, une semaine auparavant, je me rendais chez le petit épicier arabe… lui pourrait peut-être m’en dire plus ! Et je songeais aux événements de cette dernière semaine…

Après le coup du chien, le vieil homme libéra ma mère comme il avait été convenu. C’est alors que je sortis du petit bois et lui rendis ses vêtements. Elle ne fut autorisée qu’à remettre sa robe, sans sous-vêtements. Puis nous rentrâmes à la maison. J’ordonnais à ma mère de prendre une bonne douche et de bien se laver ses orifices qui avaient reçu tant de sperme… humain et animal et je lui demandai de se vêtir d’un porte-jarretelles et de bas que je lui choisis dans sa garde-robe. Garde-robe d’ailleurs pas très érotisante, il faudrait que je remédie à cela. Je me régalai déjà de toutes les saloperies que j’allais pouvoir réaliser avec elle. Avoir une pute soumise à disposition, chez soi, même si c’était sa propre mère, ne pouvait laisser indifférent le jeune homme en manque de sexe que j’étais. Depuis sa rencontre avec la bande à Mario, je n’avais pas cessé de bander.

Assis sur le canapé dans le salon, j’attendais que ma "petite pute" sorte de la chambre à coucher, où elle devait se faire belle et désirable pour le mâle en rut que j’étais ! Je la vis arriver nue, avec des bas couleur chair et un porte-jarretelles blanc. Elle ne portait rien d’autre, suivant en cela mes prescriptions. Je lui demandai de m’apporter un whisky avec de la glace. Elle s’exécuta et vint me le remettre ; je lui ordonnai de se pencher en avant pour le déposer sur la petite table à côté du canapé. Ce qu’elle fit, m’offrant une vue royale sur son petit cul de salope :

Alors sale chienne, ça t’excite tout ça ? Tu n’as pas honte de te balader les miches et la chatte à l’air devant ton fils. Saloooppee !

— Non mon maître, c’est bien ainsi que tu veux que je t’appelle dorénavant ?

— Oui petite pute, ça me va très bien. Penche-toi encore en avant.

Elle obtempéra, et sans façon je lui flattai la croupe. Mes doigts s’enhardirent dans son entrecuisse et je doigtai l’abricot ainsi offert sans vergogne ; elle commença à gémir:

Putain de nympho ! Dès qu’on te tripote la moule, tu prends ton pied ! Hein salope !

— Oui maître !

— Pose les mains sur la tête, et tiens-toi debout sur le tapis au milieu de la pièce, ferme les yeux… ne bouge pas, je reviens.

Je partis chercher mon appareil photo et revins silencieusement. J’observai l’objet de ma conquête. Je lui mis un bandeau sur les yeux et lui ordonnai de ne pas bouger. Elle était splendide et offerte à tous mes caprices: brune, les cheveux mi-longs, 1,65 mètres pour environ 60 kilos, aux formes généreuses. Je lorgnai sa chatte avec concupiscence, un beau triangle de boucles brunes,… il allait falloir que je taille tout ça… ça allait être un régal ! Une très belle paire de fesses et une poitrine magnifique, des petites aréoles roses et des petites pointes, qui se dressaient sous le coup de l’excitation.

Je la pris en photos sous tous les angles, et lui caressai doucement les seins. Sa respiration s’accélérait. Je lui passai la main entre les cuisses, et la retirai les doigts humides de cyprine. Elle se mit à gémir…

Il y a quelque chose que je ne comprends pas maman. Tu es ma mère, je t’ai vu faire des trucs pas possibles avec cette bande de jeunes. Je t’ai baisée alors que tu acceptais de te donner au premier inconnu passant par là. Je te ramène à la maison, et je te dis de te présenter nue à moi, et d’obéir à mes ordres et tu le fais ? C’est quoi ton problème dans le fond ? Tu ne t’es jamais conduite comme cela avec mon père, ni n’as jamais pris un amant… que je sache du moins. Alors, pourquoi ce comportement de traînée ?

Dis, tu m’entends quand je te parle ? Je t’ai posé une question, tu réponds s’il te plaît ! On se comprend ou pas ?

— …

— Bon, tu as décidé de me pousser à bout, sale petite pute, je vais te punir si tu ne me réponds pas !

— …

Elle gardait obstinément le silence. Je ne pouvais laisser cela impuni, si je voulais conserver ma place nouvellement acquise de maître. Je devais la corriger, lui faire du mal, enfin pas trop. J’enlevai ma ceinture et la lui passai sous le cou, sur les seins, sur le ventre, et enfin après l’avoir fait voyager plusieurs fois contre sa vulve, sur les fesses. Je m’approchai d’elle, et lui parlai doucement à l’oreille.

Tu le fais exprès, tu veux que je te fasse quoi avec cette ceinture ? Tu désires être punie ?

— Ouiii…

— J’ai pas entendu ?

— Oui, mon maître, vas-y, fesse-moi, zèbre-moi les fesses avec ton cuir, je veux en ressentir la morsure. Et après baise-moi comme une pute !

— Bon, c’est toi qui me le demandes…

Je fis claquer la ceinture deux fois sur le sol près d’elle, elle sursauta. Puis je m’en mis un coup sur l’avant-bras pour en étudier la morsure. Le cuir était relativement souple et faisait mal, mais pas irrémédiablement.

Alors la séance commença, je n’avais jamais fait ça, mais j’avais vu ce genre de choses sur le Net. Et je dus avouer que j’y pris très rapidement goût. Elle aussi d’ailleurs …

Mets-toi à quatre pattes, salope !

Elle obéit docilement, attendant le cinglage de la ceinture. J’armai mon bras et commençai à la fouetter, d’abord pas trop fort. Elle reçut des coups sur les fesses. Elle se cambra et se mit à gémir doucement. Je m’approchai de son derrière, et lui passai la main entre les cuisses, pour sentir sa vulve très humide. Elle dégoulinait littéralement… si j’avais eu encore un doute, quant à son degré d’excitation suite à la flagellation…

Moi-même étant très excité, je baissai mon pantalon et plaçai mon sexe entre ses cuisses et la pris en levrette. Je la baisai violemment tout en continuant à la cingler avec la ceinture. Ma mère se mit alors à gémir de façon très convaincante. De toute évidence, elle prenait son pied… que ce soit sous le coup de la baise à la hussarde que je lui infligeai, ou sous le cinglage de la ceinture.

Évidemment, peu au fait de ce genre d’exploit sexuel, je vins rapidement à ma jouissance… elle aussi, d’ailleurs.

Environ une heure après cette partie très réjouissante pour nous deux, mon père arriva de son lycée et ma mère vaquait à ses occupations de gentille petite femme au foyer, comme si de rien n’était…

Moi, révisant un bouquin d’anglais, je regardai mon père à la dérobée, m’amusant du fait qu’il était cocu… et par son propre fils en plus.

Et puis il y avait eu cette séance mémorable avec la prof d’électromécanique, Henriette, la mère de mon pote Philippe… mais quelle salope celle-là aussi ! Ma mère m’avait bien dit qu’elle avait mauvaise réputation dans l’établissement, mais je ne m’imaginais pas à ce point-là ! Organiser une séance de baise avec moi et ma copine Clara ! Les deux femmes se gouinant allègrement !

Le pied ! Si ce pauvre Philippe avait vu tout cela ! Lui qui avait des vues sur ma mère, d’après ses vannes un peu foireuses sur ma génitrice. Sa mère aussi d’ailleurs, d’après ce que j’avais compris. Quant à mon père… qui nous avait surpris et s’était fait manipuler, et prendre en photos, dans une situation très dérangeante pour sa morale de petit bourgeois !

Hum hum , pensais-je ! Mon père que l’on pourrait faire chanter gentiment, ou du moins obtenir son silence bienveillant… j’avoue que l’idée de le faire assister à des "petites parties" avec ma mère et cette chère Henriette… trop excitant tout cela !

L’avenir s’annonçait radieux, sexuellement parlant, et puis PAF ! Cette rumeur et cette vidéo de merde… ma mère dans les griffes d’une autre bande de racailles… et pas des tendres ceux-là ! Le pire c’est qu’elle semblait y prendre plaisir ! OK, mais et moi dans tout ça ?! Je venais de me trouver une "petite pute" toujours disponible, qui pouvait entre autres m’ouvrir les cuisses de la mère de Philippe, et voilà que ces connards me la piquaient ! Merde alors ! Quel manque de bol !

J’étais dans tous ces questionnements, quand j’arrivai chez Mourad, épicier et "blanchisseur des activités illicites de ma génitrice.

Par Allah, Luc, mon ami ! Salam aleikoum !

— Aleikoum salam, Mourad… la paix sur toi, Dieu est grand, et touti quanti ! Bon, écoute ça fait longtemps qu’on se connaît, alors ne me prends pas pour un chbeb (abruti efféminé). Tu vas me dire ce que tu sais sur ma mère, et fissa ! (vite)

— Aie aie aie ! C’est le mektoub, la seum (le destin, la misère), mon ami ! Ta mère est dans la semoule !

— Écoute, par le Sheitan, (le démon), je te jure que si tu ne me dis pas tout ce que tu sais je te mets le "dawa" dans ton bazar ! Dobra ? (Je te casse le magasin, compris ?)

— Ne prononce pas le mot de l’Impie dans cette maison. Bien, ta mère est avec la bande à Samir, le conteur … il avait entendu des rumeurs après ce qu’elle a fait avec la bande à Mario… elle a eu une action peu correcte, hash (dégoûtante)… je suis désolé mon ami, mais ta mère s’est comportée comme une karba (une pute). Alors Samir a voulu en profiter aussi, et comme il est beau parleur et plutôt bel homme… ta mère a craqué.

Aux dernières nouvelles, elle fait de jolis spectacles au café de la cité El djamila.

Mais n’y va pas, tu y perdras des dents… ou pire !

— Et tu crois que je vais laisser ma mère entre les mains de ce fils du diable ?

Je vais aller voir Mario, pour qu’il me file un coup de main !

— Aahhh ! Balak ! (attention) Tu veux aller chercher un caïd des gitans pour l’opposer à un caïd des Arabes sur la cité… mais tu es fou mon pauvre ami !

Écoute, je t’ai dit tout ce que je savais, je ne t’ai jamais vu… tu t’en vas maintenant… yallah ! Yallah ! (en avant, vas-y)

J’avais beau être énervé par la situation et la pleutrerie proverbiale de Mourad, le petit bonhomme algérien me faisait sourire avec ses coups d’il en coin, ses expressions du Bled et sa sainte frousse de Dieu et du diable ! Mais ça n’arrangeait pas mes oignons ! Je reçus alors un coup de fil ; c’était mon pote Philippe, fils de cette très chère Henriette !

Alors, tu as fait le point sur les rumeurs concernant ta mère ?

— Ben… non pas tout à fait.

— Écoute, ne me prends pas pour un abruti, je sais tout. Ta mère, Mario, le chien, ton père… et ma salope de mère. Clara m’a tout raconté. Espèce d’enculé, comment as-tu pu baiser avec ma mère ?

— Ça s’est passé en dehors de mon consentement… la situation était très bizarre. Ta mère nous a piégés !

— Ben voyons, et tout cela t’a bien dégoûté, n’est-ce pas ? Bon, arrête de te foutre de ma gueule. Moi aussi je veux me taper ta mère. Elle m’a toujours excité cette pétasse. J’ai toujours rêvé de me la faire. Alors on va arriver à un deal. Tu as besoin de moi, ou plutôt de ma mère pour rameuter la bande à Mario. Toi seul n’y arriveras pas. Mario est un ancien élève de ma mère, et ils étaient en bons termes. Ma mère pourrait intercéder, mais il faudra qu’elle donne d’elle-même. Tu comprends ?

— Non.

— Eh bien il va falloir qu’au moins la moitié de la bande à Mario lui passe dessus, pour qu’ils bougent leur cul de fainéants. Je peux la décider… mais il y aura un prix.

— Bon, lequel ? Mais je crois que j’ai deviné !

— Après tous ses exploits, ta mère pourra bien me faire du bien à moi aussi. Et plus que tout, je veux la voir avec ma mère… Une mère contre une mère…ça me paraît honnête.

Tu vas voir mon pote, on va faire un remake porno de On a échangé nos mamans !

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