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Nadine, la vengeance d'une maman – Chapitre 24




La chaleur est plus suffocante que jamais. Comme tous les matins, Nadine fait la vaisselle de la veille. Vêtue d’une légère mais décente chemise de nuit, elle frotte, récure plats, assiettes sales et couverts gras. Toute à sa corvée ménagère, elle n’entend pas son fils qui approche par derrière. Elle sursaute quand il l’enlace, se débat quand il lui fourre sa queue raide dans la raie. Elle l’envoie promener.

Depuis plusieurs jours, elle prend ses distances avec lui, mais elle voit bien que le pauvre gamin y perd son latin, qu’il ne comprend pas pourquoi elle refuse ses avances. Elle en a le cur meurtri, mais elle tient à recoller les morceaux avec son mari, afin que leur couple reparte du bon pied.

Le sale gosse ne l’entend pas de cette oreille, se montre particulièrement entreprenant ce matin. Il la touche partout, la supplie de lui accorder une dernière fois ses faveurs. Il est si convaincant qu’elle n’a pas la force de le repousser quand il lui soulève sa nuisette ; elle l’aide même, presque malgré elle, à retirer sa culotte.

Elle ne sait plus sur quel pied danser. Elle veut sauver son mariage, mais la formidable complicité sexuelle qu’elle partageait avec son fils lui manque. Elle a beau prétendre le contraire, elle l’a encore de travers, n’a pas pardonné à son mari ses errements passés. Elle est devenue une mère incestueuse par sa faute, alors elle estime qu’elle a le droit de se comporter comme telle quand elle en a envie.

S’offrir à son fils alors que son époux se douche juste à côté – l’affole d’autant plus qu’il n’a pas l’intention de la baiser, mais que c’est après son cul qu’il en a ! 

L’idée de lui accorder ce qu’elle a toujours refusé à son conjoint et en sa présence cette fois, pour ne rien gâcher l’excite terriblement. Elle sait que ce vilain garnement lui en veut de l’avoir négligé, pourtant elle est surprise qu’il la sodomise aussi brutalement. A sa demande il devient moins violent, mais ne s’arrête pas pour autant de lui remplir le cul, tout en échangeant avec elle des considérations d’une rare perversité. Quand il éjacule sur son visage – pour la punir ? , elle ne lui en tient pas rigueur ; elle met même beaucoup d’ardeur, au contraire, à lui lécher, lui nettoyer la queue, comme pour sceller leur connivence retrouvée.

Les jours suivants, il l’entraine dans des jeux sexuels qui lui donnent beaucoup de plaisir, mais qui le laissent sur sa faim ; elle réalise que leurs rapports brefs et clandestins ne lui suffisent plus. Alors qu’il se contentait de faire avec elle des cochonneries matinales, il monte d’un cran le soir où il la branle sous la table, pendant qu’ils dinent tous les trois. Elle le masturbe à son tour, échange avec lui des regards entendus, des sourires complices. Ce qui l’amuse, mais la met aussi dans une rage folle, c’est que son mari est bien trop préoccupé par sa petite personne pour soupçonner ce qui se passe sous son nez.

Il franchit un nouveau palier quand il entre en pleine nuit dans la chambre conjugale. Elle réalise que s’il est capable de venir défier son rival sur son territoire, rien ne l’arrêtera. Elle est sensible à son audace, mais inquiète parce qu’il prend de plus en plus de risques. Il s’agenouille sur la descente de lit. Ses doigts connaissent le chemin, savent comment s’occuper de son bouton, quand s’introduire dans son vagin. Ses caresses la rendent folle. Elle surveille, du coin de l’il, son mari qui ronfle à côté d’elle, épouvantée parce qu’elle sait qu’elle ne pourra pas se retenir de crier.

Elle jouit bestialement, bruyamment, le réveille. Alors qu’elle a refusé comme cela lui arrive de plus en plus souvent ces derniers temps qu’il l’honore un peu plus tôt, elle lui permet de lui grimper dessus. Elle manifeste un enthousiasme disproportionné à sa piètre performance, pour faire comprendre à son fils qu’il a dépassé les bornes, mais surtout pour le rendre jaloux.

Elle est loin d’être comblée, espère qu’elle a suffisamment contrarié l’effronté pour lui donner envie de prendre le relais. Il l’entraine dans sa chambre. Elle le suit, bouillante de désir, mais il gâche tout en la baisant à la va-vite, en se montrant aussi peu à la hauteur que l’imbécile heureux qui lui sert de mari. Elle reste sur sa faim, s’emporte, mais elle est effondrée quand le pauvre chéri lui confie qu’il ne supporte plus de la partager.

Elle retourne dans son lit, médite l’aveu qu’il lui a fait les yeux ouverts dans le noir. Elle en a assez. Cette mascarade ne peut plus durer. Son mari n’est qu’un imposteur, un intrus qui a perdu le droit de leur imposer sa présence. Elle envisage alors de se débarrasser de lui une bonne fois pour toutes, mais elle hésite encore sur le moyen pour y parvenir.

La journée qui va bouleverser leur vie commence pour Nadine par une dispute une de plus. Elle n’est pas tout à fait réveillée, encore tout engourdie de sommeil quand l’homme qui partage son lit lui réclame une fellation. Il est tout nu, les jambes écartées, le sexe dressé ; il attend qu’elle le suce sans discuter.

Ses manières de pacha insupportent Nadine. Elle n’en peut plus de cette façon qu’il a de la considérer comme si elle n’était qu’un sexe béant, une bouche vorace à sa disposition pour peu que Monsieur en émette le souhait. Elle se penche, lui gobe le gland, le fait se pâmer en lui engloutissant la queue tout entière. Elle le pompe à fond, s’applique, use de toute sa technique, puis le laisse subitement en plan. Elle se redresse, le défie du regard, pouffe devant sa mine déconfite. Il parait stupéfait qu’elle ose se rebeller, fulmine, sort du lit en colère et frustré. 

Quand elle rentre le soir, épuisée après une journée de travail harassante, il boit une bière sur le canapé devant la télé. De la cuisine émane un délicieux parfum ; il leur a préparé un somptueux repas. Elle est sur le point de s’émouvoir, de le remercier pour cette délicate attention quand on sonne à la porte. Il l’informe alors, sans prendre la peine de se lever, qu’il a invité ses parents. Nadine voit clair dans son jeu, comprend parfaitement la raison de cette invitation.

Après l’apéritif qu’ils prennent sur la terrasse dans une ambiance glaciale, ils dinent dans la salle à manger. L’alcool aidant, ils se dérident. Quand son mari part en roue libre, son fils lui étreint le genou. Nadine est sidérée qu’il se permette ce geste d’intimité alors qu’ils sont tous attablés, mais c’est le signe qu’elle attendait. Elle affronte leur tribunal improvisé qui a déjà rendu son verdict, tout en faisant doucement remonter sa main entre ses cuisses. Elle sent qu’il panique, qu’il se crispe, mais elle est résolue à aller jusqu’au bout.

Elle se souvient du jour où ils sont rentrés de la plage, au discours qu’il lui a tenu sur le chemin du retour. Il lui avait avoué qu’il l’aimait ce jour-là ; pas comme un fils mais comme un amant. Elle s’était sentie démunie sur le moment, coupable de lui inspirer des sentiments interdits. Pourtant, les jours suivants, elle s’était livrée avec un abandon total. Elle ne lui avait pas seulement offert son corps – dont il avait disposé à sa guise à toute heure du jour et de la nuit – mais son âme aussi, son être tout entier. Même son mari – l’homme qui avait partagé sa vie et son lit pendant si longtemps – ne la connaissait pas aussi intimement. Quand ce dernier était revenu, elle s’était efforcée de se comporter comme une mère de famille respectable, l’épouse qu’il attendait qu’elle redevienne. En vain. Car elle savait bien, au fond d’elle-même, que les liens qu’elle avait tissés durant son absence avec le seul amour de sa vie étaient plus forts que tout.

Quand elle glisse la main de son fils dans sa culotte, qu’elle la pose directement sur sa chatte, elle sait que ses beaux-parents n’y verront que du feu ; les pauvres vieux ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Elle le fait, par contre, au vu et au su de son mari, le provoque ouvertement ; elle lui montre ce qu’il ne veut pas voir, pas savoir. Elle n’est pas fière de régler ses comptes de cette façon, mais, vu sa réaction, elle a capté son attention.

Elle se lève, pour ne pas embarrasser plus longtemps son complice involontaire qui vit un calvaire. Elle s’affaire dans la cuisine quand son conjoint la rejoint. Il est cramoisi, au bord de l’implosion, alors elle pose un doigt sur ses lèvres quand il la somme de s’expliquer les yeux exorbités. Il n’insiste pas. Ils retournent dans la salle à manger, et la soirée s’achève dans une ambiance mortifère.

Une fois les invités partis, il laisse libre court à sa fureur, mais Nadine ne s’en laisse pas conter. Il est si prévisible, elle le connaît tellement bien qu’elle n’est pas surprise quand il l’agresse avant de s’excuser. Elle lui dit ses quatre vérités, puis se retire pour le laisser en tête à tête avec l’objet du délit qu’elle briefe avant qu’il ne retourne dans l’arène.

Elle ne reste pas dans sa chambre, va dans le couloir et tend l’oreille. Elle est impressionnée par l’assurance, la répartie dont fait preuve le petit pour parer aux attaques, aux coups bas de son père. Ce dernier ne sort pas grandi de l’affrontement, au grand soulagement de Nadine. Quand il part, après les avoir menacés de représailles, elle craque, nerveusement épuisée par la tension accumulée. Elle est d’autant plus désemparée qu’elle prend conscience de la portée, des conséquences de son acte qu’elle n’avait pas prémédité. Elle se réfugie dans sa chambre, se laisse tomber sur son lit, enfonce son visage dans le traversin et pleure comme une madeleine. Elle sanglote longtemps. 

Soudain, elle sent une main se poser sur son épaule. Elle se retourne, fait face à son fils, le regarde les yeux baignés de larmes. Il s’allonge à côté d’elle sans dire un mot, la prend dans ses bras. Elle l’étreint à son tour, enfouit son visage dans son cou. Il lui couvre l’épaule de petits baisers, l’embrasse dans le cou, sur la nuque, la serre très fort contre lui. Elle se calme peu à peu, renifle bruyamment, essuie sa morve du revers de la main. Elle se sent bien, en sécurité. Elle se demande ce qu’elle deviendrait sans lui, sans sa patiente, sa gentillesse, son amour inconditionnel. Elle est si reconnaissante de savoir qu’elle pourra toujours compter sur lui qu’elle recommence à sangloter de plus belle. 

Il ne lui permet pas de s’apitoyer, recule, la prend par les épaules et lui fait les gros yeux. Il lui enlève sa robe en prenant tout son temps, dégrafe son soutien-gorge, lui baisse sa culotte. Elle se laisse faire, passive, comme une petite fille qu’on déshabille avant de la mettre au lit. Elle a l’impression d’être redevenue la créature fragile dont il s’occupait quand elle était dépressive. Une fois nu lui aussi, il lui monte dessus, la pénètre d’un coup. Il s’enfonce jusqu’aux couilles, lui aspire les lèvres, lui lèche la langue. Elle se prête à la pénétration, lui rend son baiser de bonne grâce. Ils font l’amour longtemps, fougueusement. Elle jouit, hurle son plaisir, libérée de ne pas avoir à se retenir.

Il lui dit qu’il est enchanté de pouvoir à nouveau la baiser sans qu’ils aient besoin de se cacher. Il éjacule, veut se retirer mais elle s’accroche à lui pour le garder sur elle, en elle. Ils dégoulinent de sueur, reprennent leur souffle dans les bras l’un de l’autre. Il bascule sur le côté et cette fois elle ne fait rien pour le retenir. Il pose sa main sur sa vulve, l’empaume entièrement, replie les doigts dans son vagin. Elle lui donne le sein et s’endort pendant qu’il la tète

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