Elle m’a envoyé un simple mail contenant une adresse et une heure.

Rien d’autre. Je sais que je dois obéir.

Je me présente à la porte à l’heure précise et sonne. Sa voix retentit depuis l’intérieur de l’appartement :

Entre et ferme la porte derrière toi !

Je m’exécute et me trouve dans un couloir sombre. A nouveau, je l’entend, elle doit se trouver dans une pièce au fond de ce long couloir.

Déshabille-toi, entièrement, et mets-toi à quatre pattes.

J’obéis immédiatement, plie mes vêtements et dépose le tout au sol, à côté de moi.

Le temps s’étire, j’attends sur le carrelage froid, jusqu’au moment où j’entends enfin ses hauts talons claquer et vois apparaître ses magnifiques jambes galbées dans des bas noirs.

Dans cette position, je ne peux pas voir plus haut. Je sais que je n’ai pas le droit de lever les yeux. Et n’ai pas intérêt à le faire…

Sa main caresse ma tête nonchalamment, glisse le long de mon dos. Elle appuie sur les reins pour me faire me cambrer un peu plus et flatte ma croupe, satisfaite de ma position.

Elle passe alors autour de mon cou un collier de cuir et surprise ! me mets un bandeau sur les yeux. J’entends le cliquetis d’un mousqueton. Elle a attaché une laisse à mon collier. Elle tire d’un coup sec.

Suis-moi.

Comme un bon petit chien, j’avance, guidé par sa main, aveugle mais confiant malgré l’appréhension qui noue mon ventre.

Nous avons dû arriver au bout du couloir, elle me fait tourner, j’entre dans une pièce au sol en parquet, sûrement éclairée de bougies d’après le doux et suave parfum de cire qui règne dans la pièce.

A genoux soumis, les mains derrière le dos.

Je prends la position. Je sais ce qu’elle veut de moi, cette position, je la connaît bien, maintes fois corrigée à coups de cravache. Je me tiens bien droit, les poignets croisés au niveau des reins.

L’inspection commence, ses mains alternent caresses et tortures. Elle me pince les seins, joue avec mes couilles pendantes, les maltraite un peu, s’en amuse. Ses mains sur mes fesses sont d’abord douces, puis les claques tombent, alternées avec des effleurements délicieux. Je n’ai aucun moyen d’anticiper les coups, cela décuple les sensations.

Elle se colle à moi, prends ma tête entre ses mains et la plaque entre ses jambes, brutalement.

Lèche esclave !

Je sors ma langue et lape comme un chien son sexe magnifique. Elle est déjà mouillée, je bois sa cyprine abondante. Elle écrase mon visage dans son sexe assoiffé. Je ne peux plus respirer, mais je continue de lécher, de pénétrer de ma langue cette sublime intimité qu’elle m’offre et qui m’enivre. D’un coup elle me repousse.

Redresse-toi !

Je reprends immédiatement la position.

J’entends ses pas, elle s’éloigne, me laisse un instant dans le noir, anxieux de savoir ce qui m’attend.

J’entends à nouveaux ses talons, elle s’approche, pose sa main sur ma tête et me susurre doucement :

Ouvre la bouche.

Alors j’ouvre grand et sors ma langue. Là encore, c’est un ordre que je connais, je sais ce que je dois faire.

Sa main appuie sur ma tête.

Suce.

Je me laisse faire et prends dans ma bouche… Ce n’est pas le gode auquel je m’attendais. Ce n’est plus notre jeu habituel qui se déroule ici. C’est un gland de chaire bien réelle que je sens sur ma langue.

J’ai un mouvement de recule.

Un coup de cravache sec sur mes fesses me rappelle à l’ordre.

SUCE !

La voix est impérieuse, ne souffre aucune désobéissance. Il est trop tard pour reculer, j’obtempère. Je prends cette queue dans ma bouche, ce gland qui palpite sur ma langue. Je l’engloutis et la fais aller et venir entre mes lèvres. Je fais au mieux malgré le dégoût qui me serre la gorge.

Allé petite salope, suce-le mieux que ça. Je sais que tu peux bien mieux faire.

Et sa main pousse ma tête en avant pour que je prenne cette bite bien à fond dans ma gorge et elle retire mon bandeau. J’ouvre grand, mais un haut-le-cœur me prend, je recule un peu et retourne à l’assaut, mes yeux découvrant une toison rousse sous un ventre musclé. Je m’applique, fait jouer ma langue autour du gland, je l’agace. Je fais coulisser ce membre dans ma bouche avide et le prends de plus en plus loin. Ma salive se répand sur la bite qui, maintenant, bande dur et m’étouffe presque tant elle est grosse. Je me prends au jeu.

C’est bien ma petite chienne, tu deviens une bonne suceuse, je suis fière de toi.

Ses paroles m’enflamme. Moi qui ne suis pas bisexuel, qui n’ai jamais été attiré, encore moins excité par un corps d’homme, de m’avilir ainsi pour le plaisir de ma Maîtresse, de me soumettre à son bon vouloir et de savoir que cela la réjouit, j’en suis terriblement excité et ai plus que jamais envie de lui offrir une belle performance. Je me fais salope et prends goût à sucer, à entendre les gémissements et les râles de cet homme.

Dans un claquement de lèvres, je lâche cette bite énorme, la branle de la main droite pendant que je lèche ses couilles. Ma langue remonte le long de la bite et joue sur le gland pendant que je continue de branler doucement sa tige et que ma main gauche caresse ses couilles.

C’est bien ! Voilà, comme ça, continue. Et cambre toi, montre moi ton cul !

Je sens l’excitation dans la voix de ma Maîtresse, j’entends son souffle qui se fait plus profond et accélère. Ses mains caressent mes fesses, et un doigt me pénètre. Surpris, je lâche la queue.

Continue ! Suce-le pendant que je t’ouvre le cul. Mais vas-y doucement, ne le fais pas jouir surtout…

Je n’ose pas imaginer ce pour quoi ma Maîtresse me prépare. Je laisse ses doigts me fouiller, m’ouvrir, me titiller la prostate Dieu qu’elle est douée pour me faire jouir du cul, dans ces cas là, elle me fait complètement perdre la tête. Je m’efforce de rester concentré sur cette queue qui réclame ma bouche. Son désir se fait impatient, il donne des coups de reins, essaie de prendre jusqu’à ma gorge. Je suis obligé de garder une main à la base de ce membre hors-normes pour éviter qu’il ne me fasse vomir. Je suce, branle, caresse, lèche, astique… Je me déchaîne sur cette bite turgescente comme jamais je ne m’en serais cru capable. Je deviens totalement salope.

Une main s’abat violemment sur mes fesses.

Arrête petite traînée ! tu vas le faire jouir, je te l’ai interdit !

Je reprends conscience, calme mes ardeurs et lâche cette queue frémissante.

Bon, mets-toi face contre le sol et relève bien ton cul, ouvre-le bien grand de tes deux mains.

Cette position aussi je la connais bien. Maîtresse adore regarder, photographier et jouer avec mon cul dilaté. Que je l’ouvre grand pour elle avant qu’elle me prenne avec son gode ceinture. Mais là, elle ne me prendra pas, elle veut juste regarder… J’obéis, tendu d’appréhension.

Toi, viens là.

Le second soumis se déplace, il vient derrière moi.

La peur me serre la gorge, j’articule à peine.

Je…

Chuuut… Laisse toi faire petit soumis. Je sais que tu veux me faire plaisir, alors obéis sagement. Tu verras, tu aimeras ça. Tu m’en redemandera comme une belle grosse salope.

Je me tais et me prépare.

Vas-y ! Encule le.

Le gland vient s’appuyer sur ma rondelle, j’écarte mes fesse autant que je peux, mais je suis tendu, et sa poussée me fait mal.

Allons, laisse-toi aller, tu n’as pas à avoir peur, tu sais que tu adore t’en prendre dans le cul.

Oui Maîtresse, mais elle est si grosse…

Pas de mais ! Ouvre-toi !

Alors je pousse, vais à la rencontre de ce gland qui me perfore. J’ai l’impression de me faire déchirer. J’ai mal, mais continue, me faisant dilater jusqu’à ce qu’enfin, il soit passé.

Mon enculeur s’arrête un instant, m’offrant un répit. Je reprends mon souffle.

Allé, vas-y à fond !

Et j’entends un coup de cravache cinglant. Mais ce n’est pas moi qui le reçoit. Aussitôt, la poussée reprend et je sens cette bite m’ouvrir les entrailles. Je ne me suis jamais senti aussi rempli. Les va et viens débutent, lents mais profonds. Je me fais défoncer le cul, j’ai mal mais mes gémissements et mes cris de douleurs excitent ma Maîtresse.

Plus vite ! Eclate-lui le cul !

Progressivement, il accélère la cadence, et une vague de chaleur s’empare de mon fondement maltraité. La douleur s’estompe, et le plaisir arrive. Mes gémissements changent de ton, je module sur des cris de plaisirs et des plaintes de douleur. Je me fais enculer par un homme et j’aime ça. Ses couilles battent contre les miennes à chaque fois que sa bite vient cogner au fond de mon cul. Il ressort presque entièrement de mon trou avant de replonger, d’un seul coup, en me tenant par les hanches.

Ma Maîtresse vient se placer devant moi, allongée par terre, les jambes ouvertes.

Lèche-moi. Fais moi jouir en même temps que tu jouis du cul comme une salope. Montre-moi quelle bonne chienne tu fais.

Alors je lape, je lèche, je suce. J’adore sentir son désir, son excitation dans sa voix qui se fait plus chaude et profonde, dans son souffle rapide, dans son sexe trempé. Je m’applique au mieux, mais sous les coups de butoir de mon assaillant, j’ai dû mal à me concentrer et mes cris s’étouffent dans la moiteur de l’entrejambe de ma déesse. Elle me tient la tête à deux mains, tient plaqué mon visage en elle et débute des mouvements de bassin. Je tire bien ma langue et la laisse me dicter son plaisir. Je ne suis plus qu’un instrument entre ses mains. Un objet de jouissance.

Jouis ! Jouis avec moi ! Viens !!! MAINTENANT !!!

Elle crie son orgasme, son corps vibre à l’unisson du mien alors que moi aussi, je jouis. Je jouis du cul comme une belle salope trempée qui ne veut rien que se faire mettre. Je jouis et je sens cette bite en moi qui se gonfle encore un peu plus alors que, bien calée au plus profond de moi, des saccades la parcourt. Il jouit dans mon cul en râlant, comme si j’étais juste une petite pute soumise…

Elle me relâche, sa main barbouille mon visage plein de mouille. Elle me sourit, heureuse, épanouie, superbe, resplendissante.

C’est bien, dit-elle essoufflée. Vous avez été magnifiques. Toi, viens là, lance-t-elle en s’adressant au grand roux mince qui m’a baisé.

Il s’approche d’elle, la bite toujours dressée, bien que moins fièrement.

Elle se relève, lui retire son préservatif en prenant garde à ne pas en perdre une goutte.

A genoux toi !

Je prends position, à nouveau inquiet de ce qu’elle peut avoir à l’esprit. Elle fait se balancer la capote pleine de foutre devant mes yeux perplexes. Je déglutis difficilement.

Ne bouge pas, penche un peu la tête en arrière et ne bouge plus. Tu vas me montrer qu’elle merveilleuse petite pute docile tu peux être.

Et j’obéis, encore, toujours, comme à chacun de ses ordres, incapable de lui résister tant je suis fou d’elle et de ce qu’elle me fait subir.

Elle retourne le préservatif et en déverse le contenu sur mon visage jusqu’à la dernière goutte. J’ai l’impression qu’il y en a des litres, ça ne s’arrête pas. Le foutre coule sur mon front, mon nez, mes joues. Je garde les lèvres bien serrées, il s’écoule sur mon menton, des gouttes frappent ma poitrine, je frissonne.

J’entends le déclic de l’appareil, j’ouvre les yeux. Le flash m’aveugle.

Oui mon beau, oui mon soumis chéri. Tu fais vraiment une très belle salope, un excellent sac à foutre. Toi, ajoute-t-elle en se tournant vers le second soumis, lèche, essuie ton jus sur lui et avale.

Et voilà qu’elle nous filme alors que la langue de cette homme parcourt mon visage, ma poitrine et qu’il aspire, avale son foutre à même mon corps.

Je me sens ridicule, honteux et avilit comme jamais. Mais j’adore ça. Je suis heureux. Ma Maîtresse derrière son appareil affiche un sourire à se damner.

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