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Bloquée chez mon ex – Chapitre 2




Assise au bureau d’Anthony, je relis mon texte. Après les événements de la veille, j’ai ressenti le besoin de mettre tout ça à l’écrit pour prendre du recul. Quelque part, j’aurais aimé que l’écrire fasse disparaître ce souvenir honteux. Mais ça n’a pas été le cas. L’écrire a fait revenir l’humiliation, mais ça a été aussi très excitant. Ça fait maintenant trois fois que je me relis, et maintenant, l’humiliation a complètement laissé sa place à l’excitation. J’ai vraiment fait ça, moi. J’ai baisé avec deux mecs. Comme ça. Et bien baisé.

Je crois que j’ai besoin d’en parler à quelqu’un. Mais qui ? Puis je n’oserais pas l’avouer… Je n’ai rien fait de mal non plus, mais tout de même, quelque chose me retient. En me baladant sur internet, je finis par prendre une décision : et si je publiais mon histoire quelque part ? Ça me libérerait sans doute d’un poids, c’est une façon de l’assumer. Je change donc les noms et fais ça. Soulagée, un peu nerveuse, je supprime maintenant mon fichier de l’ordinateur et pars me laver. Alors que je cherche de quoi m’habiller dans ma valise ensuite, je découvre mon string taché. Intriguée, je regarde de plus près… Pas de doute, c’est du sperme. Je suis sûre que Mathieu et Fred sont repassés hier soir, les enfoirés. J’ai un flash soudain, mes propres mots me revenant à la mémoire, « viens jouir dans ma bouche », et le goût du sperme de Mathieu qui gicle entre mes lèvres, coule sur ma langue… Je déglutis, frémissante. Je vais finalement à la salle de bain, le string en main pour le laver. Là, j’ouvre le robinet, regarde l’eau couler, puis me vois dans le miroir, troublée, je ne me reconnais pas. Durant une seconde, j’ai eu envie de passer le doigt sur la dentelle noire, pour en récolter le foutre collant et le mettre dans ma bouche, en savourer le goût comme hier. Je jette vite le sous-vêtement sous le jet d’eau et tente de reprendre mes esprits.

Le soir même, nous dînons, Thomas, Etienne et moi, j’apprends soulagée que Fred et Mathieu sont repartis. Bien plus à l’aise, je plaisante tranquillement avec l’oncle et le père d’Anthony, tous deux très sympathiques, et je suis bien contente que la situation n’ait pas changé notre relation complice. Les deux frères vivent dans la même maison depuis quelques années, ils s’entendent très bien, surtout depuis leur séparation : Etienne a quitté sa femme qui est partie vivre à l’étranger, Thomas lui n’a jamais été un grand exemple de fidélité, et sa femme (qui n’en était pas un non plus) a fini par rencontrer quelqu’un d’autre. Tous deux m’ont déjà confié qu’ils s’amusaient beaucoup plus qu’avant, et que « le mariage, plus jamais ! ». C’est sur cette exclamation que Thomas m’annonce soudain, après le dessert :

« Bon, Claire, on a une surprise pour toi.

— Une surprise ? Pourquoi ça ?

Il n’y a vraiment aucune occasion à fêter, pensé-je. Et je n’aime pas franchement les surprises.

— Comme ça, un cadeau d’adieu on va dire ! Rit Thomas.

— On pourra se revoir, tu dramatises tout… répliqué-je amusée.

— Mouais, traîner avec des vieux mecs comme nous, t’auras autre chose à faire, répond Etienne.

Je soupire en signe de contestation et demande de quelle surprise il s’agit.

— Ah non, on va pas te dire enfin…

Thomas part alors dans le salon et revient avec un bandeau. Allons bon, de pire en pire.

— Ne bouge pas.

Dans mon dos, il m’applique le bandeau sur les yeux et le noue serré.

— Je n’aime pas les surprises, vous devriez le savoir…

— Celle-là, je suis sûre que tu vas l’aimer !

Je sais pas pourquoi, il y a quelque chose dans sa voix qui ne me rassure pas. Il me tient ensuite par la main et me demande de le suivre. J’obéis, et comprends qu’on se dirige vers l’étage et les chambres. Je préfère ça, au moins, ils n’ont pas l’intention de me faire sortir de la maison. Je crois qu’il me fait entrer dans la chambre d’Etienne.

— Allonge-toi sur le lit, la surprise arrive.

— Que je m’allonge ?

— Oui, ne t’inquiètes pas, répond Etienne.

Je fais ce qu’il dit, je suis en plus fatiguée et je m’étale donc de tout mon long. Je m’attends maintenant à une mauvaise blague, comme un seau d’eau, ce serait bien leur genre, ils sont toujours un peu gamins quand ils sont ensembles. Je sens à nouveau la main de Thomas sur mon poignet gauche. Puis la main d’Etienne, je suppose, sur l’autre. Leurs deux mains rugueuses me font presque frissonner. Ils me relèvent un peu vers le haut du lit, et tout à coup, quelque chose de doux entoure mes deux poignets. Des bracelets ? Je suis un peu décontenancée.

— Qu’est-ce que c’est ?

Et là, j’entends deux clics. Et je comprends. Des menottes. Des putains de menottes.

— C’est une blague, vous m’avez menottée au lit ? C’est vraiment pas drôle…

Non seulement, je ne vois rien, mais en plus, je ne peux bouger que mes jambes. Ce que je fais donc en essayant de leur mettre le pied à la figure en guise de vengeance. Mais ils me les attrapent et les écartent des deux côtés du lit. Tout à coup, je rigole moins.

— Qu’est-ce que vous fabriquez…

J’entends alors Thomas réciter quelque chose. Je ne comprends pas, puis, peu à peu, je reconnais… Mon histoire. C’est pas vrai… Je me fige tandis qu’il poursuit la lecture jusqu’à la fin. Ne m’épargnant pas mes propres détails et commentaires grossiers. Une fois la lecture terminée, après une courte pause pendant laquelle on n’entend plus que nos trois respirations rapides, il dit :

— Je crois qu’on fréquente les mêmes sites.

Je cherche même pas à nier, je vois pas ce que ça changerait à ce stade. Je me sens conne de pas avoir changé plus de détails, j’ai dû laisser passer des trucs évidents, mais je m’imaginais pas que quelqu’un tomberait dessus…

— On se demandait ce qui s’était passé hier, dans la chambre, tu poussais des sacrés cris, t’as cru qu’on t’avait pas entendu ? je crois qu’on a eu notre réponse en tout cas…

— Tu aurais aussi bien pu me le demander, tu sais… Ecoutez je suis désolée, c’est arrivé comme ça.

Etienne me tient toujours les jambes bien écartées et je me demande s’ils regardent sous ma jupe… Un frisson me traverse et je remue un peu, mal à l’aise, mais pas non plus effrayée.

— On en a discuté avec Etienne, et on pense que tu ne sais plus où tu en es, c’est ça ?

Je ne réponds rien tout de suite.

— C’est un peu ça, avoue-je enfin.

— Donc voilà, on est là pour te donner quelques réponses.

— En me menottant, merci bien !

— Ecoute, tu as bien aimé hier, c’est évident. Maintenant c’est toi qui décides, soit tu as deux nouvelles bites rien que pour toi et tu prends à nouveau ton pied, soit tu fais comme si rien n’était arrivé et tu restes frustrée de pas savoir ce qu’il s’est passé, annonce Etienne.

J’ai l’impression d’avoir été percée à jour. Je me sens respirer plus fortement, sans réussir à prendre la moindre décision. J’en ai envie ? Ou non ? Ils sont canons tous les deux. J’ai déjà fait deux rêves érotiques avec Thomas, c’est dire.

— Tu sais combien de fois on s’est branlé en lisant ton truc ? Dit soudain Thomas.

La pensée qu’ils aient trouvé ça excitant provoque en moi une petite décharge électrique. Je ne sais pas, l’idée qu’un mec sur lequel j’ai pu fantasmer fantasme lui-même sur moi… Et un mec d’une quarantaine d’année, beau mec, expérimenté… J’imagine en tout cas. Et Etienne ? Je n’ai jamais trop pensé à lui de cette façon…

— Tu t’es caressée en l’écrivant ? Demande alors Etienne d’une voix plus rauque.

Se masturbe-t-il maintenant ? Je n’entends rien de plus que mon souffle bruyant. Je repense à cet après-midi où je l’ai surpris devant la piscine, nu, en train de faire une sieste. Gênée sur le coup, l’image qui me revient là m’excite pourtant. Si Thomas est un fantasme, Etienne est un peu le genre inaccessible auquel tu penses même pas, et qui un jour, te fait comprendre que là, il te prendrait bien. Je me rends compte que j’ai le souffle haletant.

— Je…

— Il n’y a aucune honte, tu peux nous dire…

— Oui… Ce matin…

— Et tu mouilles maintenant… ? Demande Thomas.

Oui…

— Je crois, oui…

— On devrait vérifier ça…

Je sens une main qui caresse l’intérieur de ma cuisse et remonte lentement vers ma chatte, en faisant basculer en même temps ma jupe par dessus mon ventre, découvrant mes jambes et ma culotte. Deux doigts passent sur le tissu fin et s’arrête à l’entrée de mon vagin.

— Je confirme, tu es trempée, dit Etienne à voix plus basse.

Il force un peu le tissu de ses doigts et essaie de me les rentrer dans la chatte… Je m’entends gémir :

— Aaaah…

Son autre main resserre ma culotte pour la faire entrer, coulisser entre mes deux lèvres, contre mon clitoris. Je prend une profonde inspiration à ce premier mouvement qui me fait prendre conscience du désir, de mon excitation momentanée… J’écarte presque plus les jambes volontairement pour l’inviter à continuer. J’entends des pas dans la chambre et je suppose que Thomas s’est rapproché à son tour. Le lit bouge, je m’enfonce un peu dans le matelas, quand je sens une présence juste au-dessus de moi. Je devine qu’il a une jambe de chaque côté de ma poitrine et la queue dressée au-dessus de mon visage… Mon souffle me revient plus chaud, comme si sa bite était tout près de ma bouche. Je sens qu’on remonte mon tee shirt au-dessus de ma poitrine. Puis qu’Etienne me retire ma culotte… Je n’ai plus aucune main sur moi et pourtant je me tortille, gémissante, impuissante… Comme je sens encore une sorte de chaleur toute proche, je tends la langue.

— Tiens… me dit-il alors.

Et je sens quelque chose de rêche contre ma langue. Je ne comprends pas ce que c’est tout de suite, puis…

— Lèche ton jus, vois comme t’es trempée.

C’est ma culotte visiblement… Il s’amuse à la passer et la repasser sur ma langue que je garde tendue, docile, surexcitée. Enfin, il l’enlève et met sa queue à la place. Je relève les genoux, remonte un peu la tête et commence à le sucer, difficilement sans les mains. Je sens que je bave autour de son gland et lui s’amuse à garder sa queue le plus longtemps dans ma bouche. Puis il prend ma tête à deux mains et me l’enfonce profondément… Il m’a fallu de la concentration pour tenir… Et il a commencé son va-et-vient sauvage, dans des bruits de déglutition vulgaires. Les sensations sont tellement différentes quand on a les mains liées et les yeux bandés : j’ai l’impression d’arriver plus facilement à le sucer aussi profondément, à bêtement me laisser faire. Quand Etienne a repris ses caresses sur ma chatte, d’un coup, j’ai eu deux doigts qui coulissaient en moi et une langue contre mon clitoris, instantanément j’ai poussé un râle plus ou moins contenu par la bite de Thomas…

— C’est ça, jouis ma salope… Allez… Jouis…

Il répète ça plusieurs fois tout en gémissant lui-même, et c’est quand il retire sa queue pour me faire lécher ses boules que j’explose, serrant les cuisses autour d’Etienne, tremblant de tout mon corps, ne gardant le contrôle que sur ma bouche et ma langue qui s’affairaient sur les couilles de Thomas.

— C’est ça petite pute… Jouis bien… Tu vois on te l’avait dit… Non continue de me sucer, t’arrêtes pas… Oui…

Dès que je jouis, on ne me retient plus, je dévore sa queue, aspire le gland, passe des coups de langue, l’enfonce dans ma bouche, la fait coulisser, aller contre ma joue droite, puis gauche… J’aimerais pouvoir le regarder, qu’il voit que j’aime lui faire plaisir… Mon corps s’arrête enfin de trembler.

— Oh putain t’es bonne… T’aimes te faire baiser la bouche hein ? Salope… Chienne… Si j’avais su…

Thomas n’arrête pas de m’insulter, il me pénètre à nouveau comme un fou, ses couilles tapent contre mon menton et soudain, sa bite explose entre mes lèvres alors qu’il pousse un grand râle et m’adresse un nouveau « salope ! ».

— Garde tout en bouche, attends…

J’obéis difficilement, dans ma position, je risque d’avoir le réflexe d’avaler.

— Ouvre la bouche, montre-moi… Aaah t’as la bouche pleine… T’aimes avoir du sperme en bouche ? Etienne, mate la salope…

— Hmm hmmm…

— On parle pas la bouche pleine, avale maintenant.

Je fais ce qu’il me demande et m’y reprends à deux fois pour en finir. Il jouit bien plus que Fred et Mathieu… Je le sens se redresser et s’éloigner du lit. Par contre, j’ai les deux mains d’Etienne autour de mes jambes et je me demande ce qu’il va me faire… Il fait alors passer un coussin sous mon dos pour me surélever au niveau de la poitrine. Puis, j’ai l’impression qu’il… se lève ? Le lit fléchit vers lui en tout cas… Alors que je me pose toutes ces questions, la sonnette de la maison retentit.

Je me fige, le son me fait l’effet d’un choc qui me ramène à la réalité.

— J’y vais, vous inquiétez pas, continuez, c’est sûrement rien, explique Thomas.

Je n’ai de toute façon pas le temps de réagir puisque les deux mains d’Etienne me saisissent aux hanches et me soulèvent littéralement du lit. À la renverse, il me tient quelques secondes d’une main pour me rentrer sa queue dans la chatte, puis me saisit à nouveau et là… Me défonce. Je suis ballotée, secouée… Les barreaux du lit tapent contre le mur, moi, je crois gémir, je ne m’entends même plus, je suis à nouveau dans un état second…

— Hurle petite pute ! je veux qu’on t’entende, qui que ce soit en bas…

Je ne me retiens plus, je crie, comme toujours…

— T’adores ça en fait hein !

— Aaah ! Han… Oui ! Ouiii ! Etienne continue ! Plus… vite ! Fort ! Han ! Aaaah…

— C’est ça ma salope ! Tu sais j’ai lu… han… ton texte au boulot…

Il me repose sur le lit, me rapproche les jambes qu’il colle ensemble et continue de me labourer comme si de rien n’était…

— Mes collèges… aaaah… l’ont lu aussi… on s’est tous… hmmmm… branlé dessus…

Je me sens tressaillir plus encore à cette idée. Les yeux fermés, je me mets à imaginer des scènes… Je pense à tous ces hommes qui « savent » maintenant que…

— Oh ouiii Etienne je suis une salope ! prenez-moi encore ! Encore !

Je hurle, oubliant complètement qu’il y a peut-être quelqu’un d’autre au rez-de-chaussée… Tout ce que je veux, c’est que ça ne s’arrête pas.

— Ah ah ah tu vois… Tout… tout est clair maintenant…

Je le sens s’abaisser sur moi, tout à coup ses lèvres sont contre les miennes et il m’embrasse longuement, férocement, puis descend vers ma poitrine et me lèche avidement les seins.

À deux doigts de jouir, j’entends la porte de la chambre se rouvrir. Etienne continue comme si de rien n’était alors je me dis que tout va bien, quand soudain…

— Papa arrête.

Anthony. Anthony est dans la chambre, alors que j’ai une bite dans la chatte, que je suis attachée au lit, et que je me fais baiser par son père.

Je sens la queue s’extirper dans un petit bruit de mouille et je déglutis sans savoir quoi dire. Etienne dit alors :

— Antho, je…

— C’est bon, t’inquiètes pas.

— Mais Claire…

— Anthony je… tenté-je.

Mais il m’interrompt comme si je n’existais pas et dit à son père :

— Continue, mais pas comme ça… Tu sais Thomas, la pute a déjà rêvé de toi.

Merde, je lui avais raconté ? Je m’en souviens même pas.

— Hé, salope, tu lui racontes ton rêve ?

Ok, c’est bien à moi qu’il parle. Apparemment pas gêné par la scène.

— Je… J’ai rêvé qu’on couchait ensembles Thomas…

— Oui, un peu plus de détails s’il-te-plaît ?

— J’ai rêvé… que Thomas m’enculait… dis-je d’une petite voix.

Un silence suit ma déclaration, je me trémousse, puis je sens encore les mains rugueuses autour de mes poignets. Ils me détachent ! Mais à peine ai-je le temps de soupirer qu’ils me re-menottent les mains ensembles cette fois. Ensuite ils me soulèvent, comme une plume, me retournent, et me positionnent en levrette. Je sais ce qu’ils vont faire. Ce qu’Anthony veut qu’ils fassent. C’est terriblement pervers maintenant, mais il veut sa vengeance, voir son père et son oncle prendre son ex comme une salope, ça doit être ça pour lui ? Je baisse la tête et pose mon front contre la couverture, les mains liées dans le dos tenues par celles de Thomas, je crois. Soumise, j’attends en silence.

— Je vais réaliser ton rêve salope… annonce Thomas.

Je sens ses doigts coulisser autour de ma rondelle. Deux autres mains écarter mes fesses. Et j’entends l’un d’eux cracher pour faciliter la pénétration. Le bandeau toujours sur les yeux, je revis mon rêve. Thomas m’y enculait de toutes ses forces. Le matin même, j’ai demandé à Anthony de me faire pareil, mais c’était différent évidemment.

Je me cambre un peu plus en signe de soumission et je sens tout à coup son gland contre ma rondelle. Puis, sans sommation, il s’enfonce profondément en moi…

— Aaaaaah ! Douce…ment…

Mais il continue sans s’arrêter, je gémis péniblement, me redresse un peu… Clac ! Clac ! Il me donne des fessées à chaque coup de rein et rigole de m’entendre gémir un peu plus à ses coups.

— C’est ça… encule-la bien… Tu aimes ce qu’il te fait Claire ?

— Oui… Oui… j’aime…

— Mais il te manque une queue en bouche…

Thomas accélère encore ses mouvements, je reprends mes cris quand je sens qu’il me soulève un peu en me tenant par les cheveux et les mains liées. Une autre bite s’infiltre dans ma bouche, c’est à nouveau Etienne. Je n’ai rien à faire, je me laisse porter par les mouvements que m’impose Thomas, je bute sur le ventre d’Etienne et ses poils autour de sa queue…

— Oh putain qu’elle est bonne… soupire Etienne. Anthony merci… de nous laisser profiter…

— Elle est à vous maintenant, répond Anthony.

Sa voix est plus essoufflée, je pense qu’il se branle… Je suis moi-même au bord de l’implosion, alors que je ne suis qu’enculée, d’habitude il me faut plus pour jouir.

— Han… On va… t’enculer tous… les jours maintenant…

— Hmmm… Hmmm !

— Tu nous suceras avant le boulot… continue Etienne la queue dans ma bouche.

— Après le boulot, ajoute Thomas en riant.

— Pendant le boulot, conclut Anthony en s’esclaffant à son tour.

— Hmmm…

— « Oui oui à vos ordres je veux vos bites », dit Anthony qui s’amuse à m’imiter, je traduis, c’est pas clair, ajoute-t-il.

— Han putain son cul est trop bon… C’est la première fois que je prends une étudiante comme ça… râle Thomas.

Je n’en peux plus… Je recule soudain pour ne plus avoir la bite d’Etienne en bouche et exploser de jouissance…

— Aaaaaah !

Je ne sais même plus ce que je dis, hurle, mais je jouis, j’exulte, tremble, m’empale plus encore sur la bite de Thomas.

— Ouiii encule-moi Thomas ! Prends moi par le cul ! J’aime quand tu m’encules !

Il se retire finalement alors que je me remets à peine de l’orgasme. Je m’effondre tête sur la couverture, respiration haletante, sans voir le temps passer, je sens ma mouille couler hors de ma chatte, je dois dégouliner… Je les entends l’un après l’autre jouir mais pas sur moi, ni en moi. Epuisée, je ne me pose plus de questions, jusqu’à ce que des mains m’invitent à me redresser, puis à me rabaisser, bandeau encore et toujours sur les yeux, je sens un contact contre mes lèvres, dur, froid.

— Lèche…

C’est la voix d’Anthony. Je comprends. C’est une assiette. Avec plein de sperme dessus. Il m’appuie le visage contre… J’ouvre enfin la bouche et lèche le récipient recouvert de sperme… Je me sens ridicule, à lécher…

— C’est ça comme une bonne chienne, tu aimes ? Demande Anthony.

Je ne dis rien mais « finis l’assiette ». On entend plus que ma lourde respiration et mes déglutitions. Une main, plus douce, passe sur mon visage et retire mon bandeau. Je vois alors Anthony, en face de moi, qui passe son doigt sur le coin de mes lèvres et me l’entre dans la bouche pour me faire lécher le sperme collé à mon visage. Je le fais, les yeux dans les yeux, alors qu’on me détache les mains dans mon dos. Une fois terminé, Anthony me fait un signe de tête et sort de la chambre. Je soupire et regarde les deux autres, encore nus à côté. Ils me sourient et Thomas me dit alors :

— Maintenant, tu peux écrire la suite ».

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