Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe arabes

Mon écart puni – Chapitre 1




Pour commencer, bonjours à tous. Je me présente, Victoire, mariée avec enfant. Physiquement très loin d’un top. Petite, très ronde, un cul énorme et une poitrine opulente (100F). Mon homme, Nicolas, grand, un léger embonpoint et très porté sur le sexe, tout le contraire de moi. Si j’écris sur votre site, c’est que mon homme est un habitué et c’est aussi une partie de ma punition.

Bon commençons. Comme je le disais, je ne suis pas portée sur le sexe. Mon homme a tout essayé pour me faire changer mais rien n’y a fait. En clair, j’aime bien me faire baiser par mon mari mais une fois toutes les trois ou quatre semaines me suffit amplement pour me satisfaire. Vous aurez deviné, une baise classique en missionnaire et de temps en temps en levrette. Cela fait des années que je ne l’ai pas sucé, ni branlé d’ailleurs. La sodomie, jamais. Cela engendre des tensions entre nous et nous vivons ainsi bonant malant. Tout a basculé fin juillet. Les enfants étaient partis en colonie et Nicolas essayait de baiser mais je n’avais pas envie.

Après s’être fait moult fois rembarrer, il renonce, résigné. Après il est grognon car frustré. C’était un mercredi, jour de RTT, donc je ne travaille pas. Ce jour là, j’attendais des ouvriers pour remplacer le portail donc je m’habille en conséquence. Un short large et un t-shirt large, rien de sexy. Les dessous, une culotte en coton et un superbe soutien gorge en dentelle. Je n’ai que des soutifs comme ça à cause de ma grosse poitrine. Je les reçois dans ma tenue de grosse mémère et après les modalités d’usage, ils commencent le chantier. Comme il fait chaud, je vais régulièrement les voir et leurs apporte de l’eau. Bien que banal de visage, leurs corps sont sculptés comme j’aime. Bien taillé, muscles saillant, cul rebondi. Bref à croquer. Cela me surprend, mais je suis toute émoustillée au point que le fond de ma culotte commence à s’humidifier. Je retourne souvent les voir plus pour les mater qu’autre chose.

Désormais, ma culotte est trempée et j’ai la chatte en feu, les tétons sont érigés. Il est plus que temps que j’arrête cette folie naissante. Je file dans la salle de bains, me déshabille et me lave la chatte qui est tout gluante. Rien n’y fait, plus je frotte, plus je mouille. Je vois bien que ma poitrine est gonflée tout comme mon bouton d’amour. Il faut vraiment que cela cesse. Je vais dans ma chambre pour remédier à cela. Je farfouille sous mes culottes pour prendre le gode que Nicolas m’a acheté. Je m’en sers très peu mais là, j’en ai envie. Je m’allonge, prends mes seins à pleine mains et les malaxe sans oublier mes tétons. Je sens ma chatte ouverte dégouliner. Je prends le gode, taquine mon bouton avec puis me pénètre. J’enfonce mon gode d’un coup, sur toute sa longueur. La pénétration de ce faux sexe me fait du bien. Je me gode un moment tout en pinçant alternativement mes tétons. J’arrive à me faire jouir sans que se soit un orgasme salvateur. Ca va mieux mais je sens bien que je ne suis pas totalement apaisée. J’essuie ma chatte puis m’habille. Je prends une autre culotte en coton que je repose pour en choisir une en dentelle et tulle qui bien que couvrant entièrement mes fesses laisse tout voir. Je l’enfile non sans frotter mon mont de vénus.

Ensuite, soutif assortie à la culotte, puis jupe courte que Nicolas m’a acheté et que je n’ai jamais voulu mettre. Enfin je termine avec un chemisier légèrement transparent et bien décolleté toujours offert par mon homme et jamais mis. Je monte dans des escarpins et passe devant mes deux ouvriers en leurs disant que je reviens. L’effet escompté est réussit. Ils me reluquent, semblent attiré par ma poitrine. Je disparais en dandinant du cul. En chemin, je me traite de folle en essayant de me raisonner mais ma chatte me contredit malgré les grands coups de gode qu’elle a reçue. Toujours grande ouverte, ma chatte libère un torrent de miel. Je reviens une demi-heure plus tard avec le pain. Je suis un peu plus détendue car j’ai discuté de tout et de rien avec une maman et j’ai un peu oublié mes ouvriers. Au détour de la rue, j’aperçois mes deux ouvriers. Certainement à cause de la chaleur, ou peut-être à cause de moi, je les retrouve torse nu. D’aussi loin que je les aperçois, je matte leurs peaux transpirantes et leurs muscles en actions.

Mon cur s’emballe, ma chatte se liquéfie et mes tétons s’érigent. En passant devant eux, je les allume ouvertement puis après avoir posé le pain, je retourne les voir pour leurs proposer à nouveau de l’eau. Avant de sortir, comme dans un état second, je prends soin de défaire deux boutons de mon chemisier laissant apparaitre le bas de mon soutien gorge ainsi qu’une bonne partie de ma poitrine gonflée. Ils boivent en me reluquant surtout au niveau de la poitrine sachant que j’ai les tétons qui pointent insolemment. Je les laisse finir non sans revenir régulièrement et à chaque fois, avant de sortir, je frotte mes tétons pour qu’ils soient bien visibles. Je retourne une nouvelle fois les voir. Je frotte mes tétons pour les faire darder, remonte légèrement ma jupe et sors. Ils sont en train de nettoyer le chantier. Nous faisons les essais puis je les invite à entrer. Ils sont toujours torses nus. Leurs regards sont sans équivoque et à ce moment précis, je sais. L’un me donne la facture tandis que l’autre s’approche et me frolle. Je m’absente vite fait, reviens et fais le chèque non sans tendre mon postérieur. Le plus grand des deux, se colle derrière moi. Il plaque sa queue entre mes fesses et quand le chèque est fini, il me redresse en me tenant par les seins.

A travers le tissus, il n’a pas de mal à trouver mes tétons. Il les pince et je sens sa queue grossir.

— T’as envie salope! Hein!

Je penche la tête en arrière en fermant les yeux, sans rien répondre. Il m’embrasse le cou, tripote ma poitrine qu’il sort de sa cage de dentelle. Comme j’ai fermé les yeux quand je les ouvre, je vois son collègue nu. Il bande déjà. Sa bite déjà gonflée semble de belle taille mais moins que celle de mon homme, dommage. Il m’attrape le poignet et me libère de son complice. Il me fait agenouiller et présente sa bite à ma bouche.

— Suce-moi!

Sans hésiter, j’empoigne sa queue et la suce. Je m’active goulument sur cette queue alors que cela fait des années que je refuse cette pratique à mon mari. Il s’empare d’un sein et le malaxe sans douceur. Son collègue se présente nu à son tour. J’attrape sa queue et je jongle d’une queue à l’autre. Cette nouvelle queue est bien plus impressionnante. Autant la première est tout ce qui a de plus normale, autant celle là est longue et large. Elle est bien plus grosse que celle de mon mari qui est plutôt bien monté avec ces vingt deux centimètres par cinq. Le mieux monté de deux me fait me redresser. Il appui sur ma tête afin que je suce son collègue. Lui, derrière moi, dé-zippe ma jupe qu’il fait glisser puis ma culotte suit le même chemin. Il m’aide pour dégager les vêtements puis m’écarte les jambes. Il m’assène plusieurs fessées puis m’ôte mon chemisier et mon soutif.

Ma position fait de moi une grosse salope. Jambes tendues, cul à l’air, chatte sans protection, mamelles qui pendent et une bite dans la bouche. Sans autre formalité, il m’enfile sa bite dans la chatte. Malgré sa taille, sa bite me pénètre sans problème et s’enfonce à fond. Il m’agrippe les hanches et me bourre comme une chienne. Je ne tarde pas à jouir délaissant au passage celui que je suce. Pour qu’il ne soit pas en reste, je tiens sa bite et le branle. Je me fais toujours défoncer la chatte par l’un et l’autre me pince les tétons et tire dessus comme s’il voulait me traire. Celui que je branle râle, il veut me baiser à son tour. Il vire son collègue laissant ma chatte avec un vide sidéral. Il m’entraine dans ma chambre et me jette sur le lit. Sur le dos, il m’attrape par les jambes, me tire sur le bord du lit et me pénètre d’un coup violent s’enfonçant jusqu’aux couilles. Il me lime brutalement mais comme il est nettement moins large que son collègue, je ne prends pas autant de plaisir qu’avec son collègue et il le voit. Il se retire de ma chatte, fait glisser sa bite vers le bas et m’encule d’un coup violent comme il a fait avec mon minou. Je hurle tant la pénétration est violente et douloureuse mais il continue à me sodomiser sans vergogne et pour me faire taire me gifle et me claque les seins. Son collègue nous regarde. Sa bite fait des vas et vient, sort parfois et replonge immédiatement. Il me sodomise sans pause, sans douceur et petit à petit la douleur s’atténue à en trouver ça plaisant. Ses coups de hanches s’affolent, sa bite gonfle, il se contracte. Brusquement il se retire, ôte le préservatif et jouit sur mon ventre et mes seins.

Je n’ai pas le temps de bouger, que son collègue prend la place. Il pose sa bite contre ma rondelle et force l’entrée. Je le supplie de ne pas le faire.

-Les salopes dans ton genre râlent tout le temps mais adorent qu’on les encule comme des chiennes dit-il en riant.

Ma rondelle est dilatée comme jamais et sa bite s’introduit dans mon conduit anal. Je n’aurais jamais pensé que sa bite pouvait entrer et c’est en partie à cause de la taille de la bite de mon mari que je lui refuse la sodomie et là, j’ai une bite encore plus grosse dans mon cul. Alors que je commençais à trouver la sodomie agréable, là, je pleure tant c’est douloureux. Il m’encule encore et encore et dans un mouvement plus ample, il sort par inadvertance. De force, il me fait mettre en levrette et me reprend le cul. La pénétration est plus profonde et plus violente. Il me défonce littéralement le cul. Je hurle de douleur, le supplie d’arrêter mais rien n’y fait.

Accroché à mes hanches, il me pilonne tant que comme lorsque son collègue me sodomisait, je recommence à apprécier cette pénétration. Le plaisir monte, ma chatte dégouline à nouveau et alors que j’allais jouir du cul, il se retire brusquement, me retourne et me jouit sur le visage et la poitrine. Le visage, les cheveux, la poitrine sont couvert de sperme. J’ai la chatte encore ouverte et la rondelle béante. Je me recroqueville sur moi même et ils mes claquent les fesses avant de partir me laissant souillée sur le lit. Je les entends.

— Putain qu’elle était bonne la bourgeoise!

— Tu m’étonnes. Son cul, un régale et t’as vu ses nibards!

— Tu parles, de vraie mamelles.

— Allez, faut qu’on y aille, tas vu l’heure.

J’entends la porte claquer, ils sont partis. Je ne saurais dire combien de temps ils m’ont baisé ni combien de temps je suis restée dans le lit. Quand j’émerge, la poitrine et surtout les tétons sont douloureux et j’ai le cul en feu. Là, je reste tétanisé. Nicolas me regarde dans lembrasure de la porte. Vu la position, il a du voir ma rondelle grande ouverte et maintenant, il voit parfaitement que je suis recouverte de sperme. Il ne dit rien mais ses yeux sont plein de colère. Il tourne les talons. Je me lève d’un bon et l’interpelle en l’implorant sachant que de toute façon mon cas est indéfendable.

— Ce n’est pas ce que tu crois!(Pourquoi je dis cela!!!)

A ce moment son portable du boulot sonne. Il répond en me faisant signe de me taire. Quand il raccroche, il se retourne vers moi et dit:

— Bien sûr! Ce n’est pas ce que je crois! Pour moi c’est culotte de grand mère, pantalon et col roulé mais là je vois (il montre mes vêtements sur le sol) la tenue que t’as jamais voulu porter parce qu’elle fait trop pute et ici, une culotte sexy en tulle qui manifestement est trempée. Mais ce n’est pas je que je crois. Tu me prends vraiment pour un con. Tu t’habilles comme une salope, je te retrouve couverte de foutre avec la rondelle éclatée mais ce n’est pas ce que je crois. D’après ce que je peux voir, j’en déduis que tu t’es habillée volontairement comme une putain, tu les as excité et tu t’es faite baiser comme une grosse chienne! Mais moi, nada……… Je dois partir!

— Écoute

— La ferme grosse pute! On règlera ça ce soir!

Il quitte la maison en claquant la porte. Sa voix tremble de colère. Je reste sans bouger un moment puis je me rends dans la salle de bain. J’ôte un maximum de sperme puis prends un bon bain afin de soulager mes chairs meurtries. Je me caresse plus que je ne me frotte, mes tétons et mon bouton sont toujours sensibles et ma rondelle encore ouverte d’un doigt. Je finis par sortir et m’allonge nue dans le lit après avoir changé les draps.

Je pleure et repense à la folie que je viens de commettre et surtout, j’angoisse pour ce soir.

Je finis par m’endormir.

Merci de m’avoir lue. Une suite en attente…

Related posts

Village Africaine trop hospitalier – Chapitre 1

historiesexe

?rotisme et amitié -b – Chapitre 1

historiesexe

La bourgeoise et ses amants. – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .