Le bungalow est vide lorsque je rentre. Elza s’est enfermée dans sa chambre. Notre couple d’ami fait sa vie à part, je ne sais pas où ils sont. Je trouve Sylvie allongée sur son lit. Je m’assieds à ses côté, et lui fais part du chantage de sa sur.

 

–       La salope ! Je ne la savais pas comme ça.

 –       Ne t’en fais pas. Ça doit juste être une menace comme ça. Elle ne n’oserait jamais.

 –       J’espère que tu as raison.

 Elle se blottit contre mon bras. Je m’allonge à ses côtés.

 La soirée est calme, chacun est dans son coin. Je prépare à manger, mais seule Sylvie passe à table avec moi. Elza reste enfermée.

 Nous nous couchons de bonne heure. L’humeur n’est pas à la fête. Nous sommes allongés l’un contre l’autre, pensifs et silencieux.

 Le lendemain matin, tout le monde semble de bonne humeur. Elza est sortie de sa chambre, et tout le monde plaisante sur un suçon qui marque le cou de Laurent. Nous décidons de profiter de la plage toute la journée. La journée passe dans une excellente ambiance. La soirée se passe dans un bar où nous consommons pas mal d’alcool. En rentrant, Annick et Laurent déclarent vouloir dormir sur la plage. Arrivés au bungalow, ils repartent aussitôt avec des couvertures. Je suis éméché, mes cousines aussi. Elza prend congé de nous, et rejoint sa chambre. Sylvie et moi sommes sur le fauteuil, et croisons nos regards. Nos têtes se rapprochent, et nos lèvres se mêlent. Enfin, nous pouvons nous embrasser !

 Ma main s’immisce sous mon T-Shirt. Sylvie réagit, en chuchotant et en riant :

 

–       Fais gaffe Adrien, je n’ai pas envie qu’on soit surpris.

 –       T’inquiète. Elle est bourrée.

 Elle me retire mon t-shirt. Nous nous embrassons. Elle se lève et me tire par la main.

 

–       Viens, allons prendre une douche.

 Nous titubons vers la salle de bain. Sylvie fait couler l’eau et se déshabille, je fais de même. Je la rejoins sous l’eau. La cabine de douche n’est pas grande, nos peaux s’effleurent. Je prends le savon, et commence à la savonner. Elle fait de même pour moi. Le contact est magique, les caresses excitent nos sens. Ses mains s’attardent sur mon sexe, qui ne met pas beaucoup de temps à se réveiller. Je glisse ma main entre les jambes de Sylvie qu’elle a déjà écartées. Tout en nous caressant, nous collons nos corps qui glissent sous l’effet du savon. Ses tétons sont durs et glissent contre les miens. Mon majeur trouve l’entrée de son vagin, le titille. Je tente une pénétration, Sylvie gémit. Mon doigt entame un petit mouvement dans son intimité, elle s’accroche comme elle peut aux parois de la douche.

 

–       Putain que c’est bon. Arrête avec ton doigt, viens avec ta queue !

 Elle se retourne, s’appuie contre le mur en se baissant, se cambre. La vue est dantesque : ses fesses légèrement écartées, dégageant une vue sur ses lèvres intimes légèrement ouvertes et un sexe offert, gonflé, prêt à m’engloutir. L’eau continue à couler sur ses épaules, ruisselant à la fois sur sa poitrine, ses reins, ses fesses. Je prends mon sexe dur comme de la pierre en main, le dirige vers sa vulve. Mon gland tente une entrée, il y a une résistance puis.. douceur, je suis entré. Sylvie laisse passer un petit cri. Je m’enfonce en elle. La vision de mon pieu s’engouffrant dans son sexe est jouissive. J’écarte ses fesses pour profiter de la vue. Grâce à la position, j’ai l’impression d’être au plus profond d’elle. Je bouge mon bassin, j’agrippe ses seins. La tendresse a fait place à une sorte de férocité. Du sexe. Nous sommes excité, elle prend son pied, moi le mien. Il n’y a qu’elle et moi, sous le jet d’eau chaude, dans la vapeur d’eau. J’explose en elle, en lâchant un grand râle. Sylvie est essoufflée, se dégage, se retourne, et m’embrasse goulument avant de pousser un cri :

 

–       Putain ! Tu fais quoi là ?

 Je me retourne, et vois Elza, la main dans son pantalon de jogging, visiblement en train de se caresser.

 

–       Je vous mattais. Vous êtes excitants mes salauds

 Elle avait fait un air coquin en disant cela. Elle dévisage son cousin nu, chaque partie de mon corps y passe. Elle observe sa sur de la même manière.

 

–       Séchez-vous. Nous irons dans ma chambre.

 Je me sèche, sans savoir quoi penser. Une fois secs, nous suivons Elza dans sa chambre, toujours nus.

 

–       Je suis sympa, j’ai fermé le bungalow à clé. Ainsi si les deux autres rentrent, il ne nous surprendrons pas, nous devrons leur ouvrir. Asseyez-vous.

 Elle sort son smartphone de la poche de son pantalon, semble chercher quelque chose, puis nous montre l’écran. Une photo de Sylvie et moi, en pleine pénétration, est affichée à l’écran.

 

–       J’ai pris un petit souvenir. Je vais garder la photo pour moi, pour autant que vous fassiez selon mes désirs.

 Sylvie reste silencieuse, fixant le sol du regard. Elle semble complètement perdue. Pour ma part, je suis silencieux également, énervé. J’attends la suite des événements.

 

–       Comme vous le savez, je suis grosse et moche. C’est embêtant pour attirer les garçons, j’aime le sexe. Un jour, je me suis fait sautée par un mec de l’école qui prétendait m’aimer. Il voulait juste ma virginité, il a rompu le lendemain. Depuis, ma main est ma meilleure amie. Sylvie, je ne suis pas jalouse. Je te savais encore vierge, je comprends que ce n’est plus le cas maintenant Mais j’étais très surprise lorsque j’ai compris ce qui se passait entre toi et notre cousin. Notre cousin ! Un bel inceste dites donc !

 Je veux, moi aussi, goûter au sexe de notre cousin. En plus il semble bien fourni !

 Sylvie bondit de colère.

 

–       Mais tu es folle ! Qu’est-ce qui ne va pas dans ta tête ? Tu ne peux pas faire chanter les gens de cette manière ! Je suis désolée pour ta mauvaise expérience. Et tu ne vas le violer non plus ?

 –       Ne t’inquiète pas, je ne vais pas le violer. Nous allons faire ça gentiment, tu vas apprécier aussi. Ce ne sera qu’une partie de jambes en l’air. Débranche ton cerveau, profite du moment. Et puis je ne vais pas te voler ton Adrien pour qui tu sembles avoir un sacré faible.. Je vais juste l’utiliser un peu ce soir, c’est tout ! D’ailleurs, Sylvie, je vais te présenter à mon meilleur ami du moment.

 Elle dirige vers un de ses sacs de voyage, en sort un étui. Après en avoir ouvert la tirette, elle en sort un petit uf relié par un petit câble à une télécommande.

 

–       Sylvie, je te présente mon petit uf vibrant. Tu verras, c’est très chouette. Allonge-toi sur le lit. Adrien, tu vas m’aider un peu.

 Sylvie me jète un regard, apeurée. Elle s’exécute et s’allonge sur le lit. Elza lui positionne un oreiller sous la tête.

 

–       Adrien, tu vas me lécher l’entrejambe de Sylvie. Je veux que tu la fasses jouir, mais pas trop. Ainsi je pourrais lui insérer l’uf

 Je me mets à genou sur le lit, Sylvie écarte ses jambes. Je m’avance sur elle pour lui poser un baiser sur les lèvres, et la rassurer. Je descends petit à petit en lui faisant des petits bisous, en m’attardant sur sa poitrine. Ses tétons commencent à se tendre. Je continue mon chemin, atteignant son nombril, ses poils pubiens, puis le haut de sa fente.

Related posts

SHANA – Chapitre 7

historiesexe

Les douches de la fac – Chapitre 1

historiesexe

Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 12

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .