Les chants d’oiseaux me réveillent. Il est neuf heures. Charlotte dort encore. Je la regarde. Elle est très belle. Comment comprendre ce qui la pousse à subir des traitements de choc ? Mais si je veux la dégoûter du SM, il faut que je continue. Je me lève. Je tape le flanc de Charlotte du pied.

— Debout salope… tu n’es pas courageuse ce matin…

Charlotte s’éveille brutalement. Elle pensait que son supplice était terminé.

— Va te laver entièrement… tu porteras aujourd’hui, un porte-jarretelles, des bas avec tes talons hauts… c’est tout… file… tu m’apporteras mon thé avec des tartines grillées… merci mon esclave préférée…

Charlotte ne dit rien. Elle file droit vers la salle d’eau. Je somnole. Quelques bruits auprès de moi me font ouvrir les yeux. Charlotte est là, debout à côté du lit. Elle porte la tenue sexy demandée. Elle me tend un plateau. Dessus, mon petit-déjeuner est préparé.

— Merci… Tu as déjeuné ?

— Non Mon Maître…

— Mets-toi à genoux à côté de moi…

Je commence à manger. Je lui tends quelques miettes de pain. Je finis mon thé. Il en reste un peu dans la théière. Je le verse dans mon bol.

— Tiens, c’est pour toi

— Merci

— Allez dépêche-toi… emporte le plateau dans la cuisine, range et viens me retrouver dans le salon…

Je passe dans la salle d’eau pour une douche bienfaisante. J’enfile un jeans et un débardeur noir. Assis dans le fauteuil, j’attends Charlotte. Elle arrive.

— J’attends vos ordres Maître…

— Aujourd’hui, je vais t’apprendre les positions d’attente. Va chercher un bandeau, vite…

Quelques minutes plus tard, Charlotte me tend un bandeau de cuir noir. Je lui pose sur les yeux.

— La première position est celle que tu devras tenir sans que je te le dise. Écarte les pieds, les mains dans le dos, la tête haute, le regard vers le bas. Allez mets-toi en position.

Charlotte s’installe.

— Comme cela Maître ?…

— Oui cela va… nouvelle position… pour être un bel objet… mets-toi à genoux sur la table.

Charlotte avance doucement, la main en avant pour chercher la table. Elle met ses genoux sur le plateau de verre.

— Avance tes genoux…écarte tes genoux… pose tes avant-bras sur le plateau… cambre-toi… fais saillir ton cul…

Charlotte est belle ainsi. Ses seins pendent entre ses bras. Ses fesses tendues appellent la caresse. La laisse métallique bruisse sur le plateau de verre. Elle est crispée. La tête est droite face à la fenêtre. Elle ne bouge pas.

— Tu ne dois pas bouger un cheveu… tu dois attendre que ton Maître s’occupe de toi…

Tu es dans une posture qui est dégradante. Elle montre ta condition de soumise. Surtout ne bouge pas… garde la pose : reins cambrés cuisses ouvertes.

Je sens Charlotte délicieusement offerte et prête à tout accepter. Elle se conduit comme la dernière des putes… Je la trouve de moins en moins femme… Elle se conduit de plus en plus comme une femelle. Dire qu’il y a quelques mois, Charlotte était une jeune femme prude, timide et rougissante avec les hommes. J’attends que le temps fasse son uvre. La fatigue va commencer à se faire sentir. Je vois ses bras qui s’ankylosent et se tétanisent.

Je suis là, assis dans mon fauteuil, impassible à quelques pas d’elle. Je la regarde de profil. Je profite du spectacle qu’elle m’offre : ses cuisses rondes, longues et fuselées, son cul magnifique composé de deux belles fesses rondes, sa taille fine, ses seins ronds et drus qui pendent entre ses bras, les pointes qui frôlent le plateau de verre… Charlotte se dandine d’un genou sur l’autre. Je fais durer un peu plus l’attente. Je vois que Charlotte s’impatiente et s’énerve. Je m’amuse de cette situation.

— Charlotte, au lieu de t’agiter ainsi, mets à profit ce temps… médite sur ta condition de femme soumise… de femelle soumise… pense à ce que tu peux encore subir… jusqu’où iras-tu dans la soumission…

Charlotte ne dit rien. Elle attend et gardant la position. Il se passe environ une heure avant que j’intervienne:

— Charlotte, relève-toi

— Oui Maître…

— Je vais t’apprendre une nouvelle position…

— Bien Maître…

— Mets-toi debout… Écarte les pieds… Croise tes bras dans le dos… relève la tête… garde les yeux baissés vers le sol… cambre-toi bien… fais bomber tes seins et ton cul… allez exécution…

Charlotte prend la position.

— C’est la position que tu devras prendre dès que nous serons dans la même pièce…

Charlotte acquiesce en hochant de la tête. Je la sens très heureuse d’être dans une position physique humiliante. Je m’approche d’elle. Sa respiration s’accélère. Je passe ma main entre ses cuisses. Elle écarte encore plus les pieds pour me faciliter le passage. Du majeur, je tâte le sexe féminin offert. Les lèvres sont humides et poisseuses. Charlotte mouille de cette situation. Je la laisse ainsi, béante, en attente d’une satisfaction immédiate d’un plaisir attendu. Non, je ne la ferai pas jouir pour l’instant du moins. Je sors sur la terrasse pour profiter du soleil. Je m’installe confortablement dans le salon de teck. Que faire pour la dégoûter de cet engrenage du masochisme ? Mais a-t-elle envie de sortir de cette fonction d’esclave ? Je vais aller encore plus loin dans son esclavage, dans sa soumission. Je l’appelle.

— Charlotte, peux-tu venir me voir ?

Elle arrive, se cachant un peu de peur d’être vue. Mais la terrasse est bien dissimulée des regards des voisins, sauf si le vieux voisin montait dans une échelle… Elle reprend la position que je lui impose.

— Tu sais que je viens dans la région pour superviser les câblages dans un nouveau bâtiment de la société C…

— Oui, tu me l’as dit lors de ta dernière venue.

— Bien pour me prouver ta docilité, je vais t’emmener voir le chantier

— Je veux bien, mais qu’elle sera la preuve de ma docilité ?

— Tu le verras là-bas… tu vas t’habiller… jupe droite courte, bas, veste de tailleur…

— C’est tout…

— Oui… et dépêche-toi…

Charlotte part vers la chambre. Je saisis mon portable et appelle le chef de chantier. C’est un Malien de forte stature. Lors de différentes conversations, j’ai compris qu’il adorait les femmes blanches, mais qu’il était très difficile d’en avoir. Je vais le satisfaire. Il est présent sur le chantier. Je prétexte un contrôle supplémentaire. Il est d’accord pour que je passe, à l’heure de l’apéro. J’ai toujours une relation amicale avec les hommes de terrain. Je l’informe que je serais sur place dans vingt à trente minutes. Charlotte arrive. Elle arbore son tailleur noir. Elle s’arrête à un mètre de moi.

— Je te plais ?

— Je demande à voir…

Elle relève aussitôt la courte jupe. Je découvre son sexe nu. Tout en gardant sa jupe relevée, elle pivote et me fait admirer son cul, rond et ses fesses fermes et haut-perchées. Elle me fait de nouveau face. La jupe n’est pas retombée, coincée sur les hanches. Elle défait l’unique bouton de sa veste et écarte largement les pans. Ses seins sont là, magnifiques, lourds, ronds. Ils ne tombent pas, ils dressent leurs pointes. Les tétons sont dardés par l’excitation. Ils pointent au milieu des aréoles curieusement sombres pour une vraie blonde.

— C’est bien… viens, suis moi…

Nous prenons la voiture et nous dirigeons vers la zone industrielle. Charlotte est inquiète. Elle me jette des regards interrogateurs. Je le remarque du coin de l’il, mais volontairement, je ne les vois pas. Nous arrivons dans la zone en construction.

— Où allons-nous ?

— Depuis quand une esclave digne de ce nom pose-t-elle des questions ??? Je t’emmène dans un lieu digne de toi, ma petite esclave adorée…

Son inquiétude augmente. Elle se tortille sur le siège. Elle tire sur l’ourlet de sa jupe pour cacher ses cuisses offertes aux regards de tout passant. Je tourne et entre dans le chantier. Ahmed, le Malien et là, devant la baraque de chantier. Je me gare, la portière droite face à lui. Charlotte m’interroge :

— Je reste ici ? Je pensais que tu voulais me faire visiter le chantier toute seule ?

— Parce que tu crois que l’on peut entrer sur un chantier comme cela ? Ne bouge pas, je vais t’ouvrir la porte… rappelle-toi que tu es mon esclave et que tu dois m’obéir au doigt et à l’il… Tu feras tout ce que je vais te demander, sans rien refuser… compris ?

— Oui je vais le faire…

Je sors de la voiture, la contourne et serre la main d’Ahmed.

— Bonjour, je me suis permis d’amener une amie qui rêve de voir un grand chantier. J’espère que vous ne m’en voudrez pas ??

Il part d’un grand rire sonore et me répond avec son accent si plaisant et en mangeant tous les "r".

— Mais bien sûr… Il n’y a jamais de femme sur les chantiers… Vous allez me présenter ?

Je vais à la voiture et ouvre la porte en me dégageant de l’ouverture. Ahmed a une vue sur l’intérieur de la voiture. Il peut constater que la jupe de la jeune femme est très courte et très haut sur les cuisses. Charlotte ne sait pas comment faire pour sortir sans dévoiler ses cuisses, et surtout son sexe nu.

— Alors tu descends, c’est bien toi qui voulais voir un chantier de près ?

Elle me jette un regard de défi, et pose un pied hors de l’habitacle. La voiture est basse. Elle amène l’autre pied à l’extérieur. Ahmed a vu, enfin entrevu. Il sait que la jeune femme est vêtue de bas. Son regard est descendu le long des jambes féminines. Charlotte s’accroche à la portière pour sortir. Sa jupe reste accrochée au cuir du siège. La lisière des bas est visible. Ahmed n’en croit pas ses yeux. Il me regarde avec un regard interrogateur qui me dit : "dites-moi que je ne rêve pas…". Je lui fais un clin d’il. Charlotte est debout. Elle tire sur la jupe pour dissimuler les rondeurs de ses cuisses. Ahmed avance vers elle.

— Bonjour Madame, c’est rare de voir une jolie femme sur nos chantiers. Je m’appelle Ahmed.

— Bonjour Ahmed… Jérôme m’a souvent parlé de vous… en bien…

— Monsieur Jérôme est un flatteur…

Je coupe court aux mondanités.

— Ahmed, je souhaite voir le répartiteur du dernier étage. C’est possible ?

— Oui Monsieur Jérôme, mais il est interdit d’utiliser l’ascenseur en dehors des heures de travail légal. Nous devrons monter à pied les cinq étages…

— OK on y va… Tu viens Charlotte. Je passe devant, vous fermez la marche Ahmed ?

— Bien sûr Monsieur Jérôme…

Charlotte vient de comprendre. Passant devant Ahmed, elle va lui montrer ses cuisses et la lisière de ses bas. Sa jupe trop ajustée va mettre en valeur ses hanches et exciter le beau noir. Ahmed lui n’y croit pas. Pendant cinq étages, il va pouvoir regarder sans aucune gêne le cul de la belle blonde. Mais il est inquiet. Monsieur Jérôme sera-t-il d’accord pour qu’il en profite un peu de cette femelle ??

Le revêtement de mes marches d’escalier n’est pas posé. Sur le béton inégal, les hauts talons de Charlotte lui font la démarche hésitante. Ahmed la suit de près. Je monte plus vite, les marches deux par deux. Au détour d’un palier, Ahmed me regarde avec instance. Je hoche la tête pour lui faire comprendre qu’il peut attaquer cette femelle sans aucun risque, que je suis d’accord, que je lui offre. Il me répond par un clin d’il appuyé et par un large sourire. Je me cache au niveau quatre vers le répartiteur. Charlotte est essoufflée. Ahmed lui propose une pause.

— Monsieur Jérôme est un grand sportif. Je ne peux jamais le suivre quand il monte ainsi. Vous aussi vous soufflez ?

— Oui, et en plus j’ai un peu le vertige…

J’ignorais que Charlotte souffrait de ce mal. Je vais en profiter. Je regarde par les interstices des panneaux de planche le couple. Ahmed s’approche pour montrer le paysage et la vue sur la ville au loin.

— Approche, Madame, n’ai pas peur, je suis là.

Il lui prend le bras et la guide vers le bord de la plate-forme. Charlotte se défend:

— Non, Monsieur Ahmed, j’ai peur du vide, s’il vous plaît, pas trop près…

— N’ayez pas peur, je suis là je vous tiens…

Pour la rassurer, il passe son bras autour de la taille de Charlotte. Elle sent la puissance de cet homme massif. Il est plus grand que Jérôme et doit peser plus de 110 kilos. Charlotte est collée contre lui. Je vois la main descendre sur la fesse de Charlotte. Elle ne dit rien. La main pétrit la chair à travers le tissu fin de la jupe. Ahmed tâte la fermeté due la masse joufflue qui remplit sa paume. Je monte vite à l’étage supérieur et je crie dans la cage d’escalier :

— Alors les jeunes, vous êtes en rade… Vous n’avez pas de souffle.

C’est Charlotte qui me répond :

— Si nous arrivons, mais nous profitons du paysage…

Ils arrivent. Charlotte est peu essoufflée et un peu rouge. Je me plonge dans le répartiteur et fais semblant de contrôler les fourreaux qui arrivent. Je demande à Ahmed :

— Ahmed fait monter Charlotte sur la terrasse, le point de vue sera plus beau…

— Si Madame veut bien, je veux bien…

— Charlotte qu’en penses-tu ?

— Pourquoi pas, si tu es dans tes contrôles, Ahmed a le temps de me monter le paysage…

Je souris dans ma barbe. Pour monter sur la terrasse, il n’y a qu’une seule solution : une échelle très raide sur 7 à 8 mètres… Caché par la porte provisoire du répartiteur, j’ai une vue sur l’échelle.

Ahmed invite Charlotte. Lorsqu’elle découvre la méthode d’accès, Charlotte a un sursaut de crainte :

— Je ne pourrais jamais monter par là…

— Mais si je vais vous aider, Madame…

Ahmed guide Charlotte vers l’échelle. Prenant appui sur les montants de l’échelle, il encadre Charlotte entre ses bras puissants.

— Allez, on y va…

Charlotte commence à gravir les premiers barreaux. Sa jupe très étroite la gêne. Elle tortille des hanches pour que ses pieds accèdent au barreau suivant. Elle est obligée de pousser ses fesses vers l’extérieur de l’échelle. Ahmed en profite. Le cul rond moulé dans le tissu vient heurter le Malien au niveau de son bas-ventre. Son jeans commence à être très étroit. Ahmed jette un il en ma direction. Je sors la tête de ma cachette et l’invite à continuer. Charlotte est bloquée.

— J’ai un peu peur…

— Je suis là, je vous tiens…

Joignant le geste à la parole, il pose la main sur la hanche de Charlotte. Elle s’immobilise. Ahmed ne se tient plus. Il sent la chaleur de la jeune femme à travers le tissu. Sa main glisse sur la hanche, court sur la fesse et arrive sur la cuisse gainée de nylon noir. Charlotte ne bouge plus. Elle est tétanisée par la peur. La main serre la cuisse ronde. Lentement elle change de direction. Elle remonte sur la jambe. Elle atteint la lisière plus forte du bas. Ahmed sait qu’il va trouver maintenant la chair nue de la cuisse. Il hésite. Un nouveau regard dans ma direction

Il voit mon pouce levé qui sort de la porte… Devant cet encouragement, la main reprend son ascension. La paume rugueuse rencontre la cuisse satinée de Charlotte. La seconde main ne prend pas toutes les précautions de la première. Elle vient directement au contact de l’autre cuisse. Ahmed est au paradis. Sous ses doigts, la pulpe douce, satinée et chaude des cuisses lui fait un effet monstre. Son jeans, sous lequel il ne porte rien, lui semble d’un seul coup trop étroit. Charlotte ne dit rien, ne bouge pas. Le Malien ne se retient pas. Lentement ses deux mains, presque des battoirs, remontent le long des cuisses. Dans leur mouvement, elles entraînent la jupe. Le tissu glisse sur la peau. Charlotte toujours bloquée par le vertige essaie de lui parler :

— Monsieur Ahmed, ne profitez pas de ma détresse ! J’ai trop peur pour bouger…

— N’ayez pas peur, petite madame, je suis là, je vous tiens…

La jupe est remontée jusque sous les fesses rondes de Charlotte. L’étroitesse de celle-ci l’empêche de franchir le barrage du cul rond. Les mains du noir prennent aussi de l’ampleur dans le tissu. Ahmed ne se tient plus. Il soulève d’une seule fois le tissu. Un léger craquement indique que des coutures n’ont pas résisté au traitement de force. Les fesses rondes et dures sont offertes au regard émerveillé d’Ahmed. Il n’en croit pas ses yeux. Un cul de blonde à sa portée, en face de ses yeux… les mains tiennent Charlotte. Les doigts sont au niveau du bassin et les pouces effectuent une ronde sur les fesses découvertes de Charlotte. Charlotte est sur le deuxième barreau de l’échelle alors qu’Ahmed a toujours les pieds au sol. Je le vois de travers. Son sexe déforme le devant de son pantalon. Charlotte a les fesses à l’air, perchée sur l’échelle. Elle ne fait aucun mouvement. Elle se tient aux montants de l’échelle. Sa tête est appuyée sur le barreau. Elle a fermé les yeux. Ahmed, face à la passivité de la jeune femme, est survolté.

De l’une de ses mains passe sur le ventre de Charlotte et remonte sur la veste. Elle découvre l’unique bouton. Avec une dextérité étonnante pour un homme de cette condition, peu habitué à manier des textiles de luxe, le bouton libère les deux pans tendus par la poitrine féminine. La main inquisitrice se pose sur le premier globe qu’elle trouve. L’autre glisse de la hanche vers le pubis libre de toute entrave. Ahmed pousse un grognement. Sa main vient de rencontrer le sexe de Charlotte. Il vient de constater que Charlotte est complètement épilée. Aucun poil ne recouvre son sexe rose. Son majeur s’insinue entre les lèvres humides du sexe offert. La moiteur prouve que la jeune femme est excitée. Charlotte est effectivement excitée. Se cramponnant aux montants de l’échelle, elle se soulève et glisse ses pieds contre les montants. Ainsi, elle s’ouvre au maximum à la pénétration des doigts massifs du jeune malien. D’une poussée lente et progressive, le majeur entre dans la grotte secrète de la femme.

De son autre main, il caresse les seins libres. Ils sont gonflés, tendus, durs. Ils se tendent et vont au-devant de la main calleuse. Les tétons se dressent au milieu des aréoles. Ils ont environ un centimètre de long. Je peux les voir lorsque Ahmed, presse la masse entière du sein. Charlotte gémit. Elle se cambre et tend son cul vers le sexe emprisonné de l’homme. Son excitation est palpable. Charlotte a senti l’excroissance qui déforme le pantalon. Son cul frotte la déformation. Elle bloque cette montagne entre ses fesses et commence un lent mouvement de ses fesses. Calée entre les rondeurs, la bite d’Ahmed enfle encore plus. Ecartant les fesses, Charlotte masturbe le pénis prisonnier. Ahmed ne se retient pas. Lâchant la hanche de Charlotte, il ouvre la ceinture de son pantalon et descend la fermeture éclair de sa braguette. Le jeans lui tombe sur les genoux. Il monte sur le premier barreau de l’échelle. Son sexe est debout. Il est énorme. Je croyais avoir tout vu dans ce domaine, mais là, je suis baba ! Il doit mesurer 30 centimètres et avoir un diamètre de 7 à 8 centimètres.

Charlotte va le sentir passer. Il est à la hauteur son entrejambe. Elle sent l’homme dans son dos prêt à la saillir. Se tenant à la jeune femme, il guide son sexe vers la fente humide. Bloquant entre ses lèvres le gland, elle ondule d’avant en arrière. Je vois le gland dépasser entre les cuisses ouvertes. Charlotte apprécie la caresse. Elle jette sa tête en arrière. Elle a la bouche grande ouverte pour reprendre sa respiration. La jouissance se lit sur son visage. Elle se cambre encore. Devant l’invite, Ahmed comprend. Il recule son bassin. Il plie un peu les genoux. Son gland cherche la fente accueillante. L’ayant trouvée, il se dresse sur ses pieds. Charlotte crie. Ahmed commence à la pistonner avec une régularité de métronome. Charlotte va au-devant du sexe qui la défonce. Elle se conduit comme une furie. Ahmed a posé ses mains gigantesques sur ses seins. Il les pétrit comme le ferait un boulanger. Il a une poigne de maçon. Les seins sont rouges d’être maltraités. Je pense que Charlotte ne doit pas trop aimer.

La fougue de la jeune femme excite encore plus le jeune malien. Il serre les mâchoires pour ne pas se répandre trop vite dans le ventre féminin. Je vois sur son visage la montée de la jouissance. Il se met à rugir. Puis n’écoutant que son plaisir il grimpe sur le barreau plus haut. Charlotte hurle. Elle se retrouve empalée sur la bite titanesque du jeune homme. Ses pieds ont quitté le barreau support. Ahmed est appuyé sur son dos. Charlotte jette sa tête en arrière et cherche à nouveau de l’air. La jouissance déforme son visage. Ses jambes se sont enroulées autour des montants de l’échelle. Les talons de ses chaussures calés sur le barreau encore plus haut, elle a repris la direction des opérations. Son cul claque comme le ventre luisant de sueur du noir. Ahmed semble ne pas pouvoir s’arrêter d’éjaculer. Charlotte apprécie les saccades transmises par le bâton de chair. Elle passe son bras derrière elle et attrape Ahmed par le cou. Elle le rapproche d’elle. Elle veut sentir le mâle dans son dos, sa bite enfoncée à fond dans son ventre.

La jouissance se dissipe. Chacun retrouve un peu de calme. Lentement, Ahmed libère la jeune femme. Il recule. Il se détache de Charlotte. Son sexe sort de son ventre. Incroyable !! Il est toujours en érection. Son sexe, dressé à la verticale, touche son ventre au-dessus de son nombril. Charlotte retrouve ses esprits. Ses jambes reviennent en position sur le barreau. Ahmed l’aide à descendre de l’échelle. Il tire sur l’ourlet de la jupe. Charlotte est face à lui. Il referme le bouton dissimulant la poitrine ronde. Charlotte se dresse sur la pointe des pieds et saisissant de ses deux mains le visage du jeune noir, elle l’embrasse à pleine bouche. Je me rappelle à leur bon souvenir.

— Bien, c’est bien ce que je croyais ! Il manque un fourreau… Ahmed, il faudra en faire poser un supplémentaire.

Je referme lentement la porte du répartiteur. Je leur permets ainsi de remettre un peu d’ordre dans leur tenue et de reprendre leurs esprits.

— Alors les visiteurs, le point de vue et mémorable ? Charlotte, j’ai l’impression que tu as aimé la visite…

— Oui beaucoup… je me souviendrai pendant longtemps de cette découverte… merci Ahmed…

— Allez, nous n’allons pas déranger plus Monsieur le chef de chantier. Il n’a pas que cela à faire… pas vrai Ahmed ?

— Si Monsieur Jérôme… Si vous voulez revenir avec votre amie pour constater l’avancée des travaux, ne vous gênez pas, je serais toujours prêt pour vous…

Nous redescendons. Je passe le premier. Ahmed guide encore Charlotte. Il la tient par la taille. Elle s’appuie contre lui. Arrivés au pied de l’immeuble, nous retrouvons notre voiture. Ahmed ouvre la porte à Charlotte. Galant ce jeune !! Charlotte se glisse dans le siège. Ses deux pieds sont encore hors de la voiture. Elle s’assoit en ramenant ses genoux. Ahmed baisse les yeux. Charlotte stoppe son mouvement. Il peut une dernière fois admirer la chatte nue, les cuisses rondes gainées de noir. Charlotte lui adresse un sourire ravageur, et un regard qui en dit long sur la reconnaissance de son sexe.

— Merci pour tout, Ahmed… A une prochaine fois… bientôt, j’espère…

— Merci Ahmed de votre participation… A bientôt…

Avant de m’asseoir, je lui adresse un clin d’il qui lui scelle notre nouvelle amitié.

Nous regagnons la maison. Pendant le parcours j’interroge Charlotte.

— Alors comment s’est passée la visite ?

— Menteur, je t’ai vu… Tu as maté pendant tout le temps…

— Alors dis-moi ? C’était bon ???

— C’était… encore plus… merveilleux… gigantesque… titanesque… merci de cette découverte, mon amour, mon Maître adoré.

— De rien c’est bien normal que je t’aide à trouver tes limites dans le domaine du sexe…

Flûte… je pensais que la taille d’Ahmed allait la calmer… mais non elle en veut encore plus… que vais-je devoir encore trouver pour qu’elle cale, pour qu’elle n’en puisse plus qu’elle jette l’éponge d’elle-même…

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