Chapitre 1 : Rendez-vous immobilier

    J’étais sorti depuis dix petites minutes de l’appartement de mon rendez-vous, que je pensais déjà à enchaîner de nouveau. L’appartement en question, il n’était pas à elle, ni à moi. Il était juste à vendre, et elle m’avait emmené le visiter. Oui, je viens de me taper mon agent immobilier, comme ça, en ne totalisant que 45 minutes à ses côtés. A vrai dire, tout le monde n’arrive pas à se faire son agent immobilier dans un appartement modeste, meublé, avec un loyer qui vous met une étiquette sur le front « est en conflit permanent avec ses fins de mois ». Mais beaucoup de jeunes mâles en rêvent et y pensent sérieusement, surtout quand l’agent immobilier se révèle être une demoiselle à la trentaine pulpeuse, aux lèvres du haut qui le sont tout autant et à celles du bas qui sont juteuses. On était quand même loin du cliché habituel « Oh mince, j’ai fait tomber ma fiche de présentation, et votre pénis est entré en contact avec mon arrière-train. Baisons! » mais on était juste sur une parallèle proche.

    Lorsque j’étais allé à l’agence immobilière, c’est elle qui m’avait accueillit, et j’avais bizarrement su que je n’irai plus voir dans une autre agence, et qui m’avait «pris en main »….Enfin, pour faire mon dossier ce jour là. Bien sur, un coup de fil deux jours après, un appartement qui correspond à mes recherches, et mon agenda se libère soudainement pour trouver un rendez-vous avec la petite blonde. Le jour J, on s’était retrouvé devant l’immeuble en question. Et il y avait autant d’arguments convaincants dans l’immeuble que devant. Un ensemble tailleur gris, un chignon vraisemblablement refait cinq minutes avant mon arrivée, des bas foncés, une paire de petits talons noirs et le sourire en prime. Bref, l’appart’ doit être invendable vu les efforts déployés pour que je ne décolle pas les yeux d’elle. Invendable, sauf pour des types comme moi, la trentaine célibataire, la tenue décontractée et autant d’atouts physiques qu’un joueur de poker fauché. Autrement dit, prêt à miser sur n’importe quoi en échange d’un bon coup.

-On y va?

Ah… Vraiment invendable vu le ton mignon à souhait, limite aguicheur. Trois mots et je décolle déjà dans les airs. C’était comme si elle m’avait dit d’une voix sensuelle « Achetez le! ».

    On a tendance à vouloir faire croire que des types normaux qui font des fautes tous les trois mots et ont à peine mués peuvent se taper des bombes qui ont tout fait et refait si vous voyez ce que je veux dire. Et bien, à défaut d’avoir une bombe, j’avais une femme pas mal pour son âge mais pas de quoi être en nage. Dans l’appartement, la visite restait plutôt habituelle. Ben oui: un salon, une cuisine, un réfrigérateur, une chambre, un lit, des capotes, what else… Bref je n’ai pas fait attention à tout ce qu’elle a dit, je vous le répète juste. Et peut-être a-t-elle bel et bien mentionné les capotes. A vrai dire, sa technique de vente avait plutôt bien marché et je n’arrivais pas à enlever mon regard de ses fesses bien moulées dans son tailleur (en même temps, c’est de sa faute, depuis quand les gens qui font la visite passent devant ?!!). Des seins, elle n’en avait pas tant que cela à vu de nez. J’aurai mis ma pièce sur un petit bonnet B, et mon engin entre ses seins, bien remonté par un wonderbra presque à vous couper le souffle (littéralement).

    Le moment que vous attendez tant, moi je ne l’ai pas attendu. J’étais pénard à regarder s’il n’y avait pas trop de moisissure contre les fenêtres, faisant mine que j’étais expert de l’affaire, qu’elle a commencé à vouloir négocier un prix. Là, j’ai joué mon « James Bond » à me retourner d’un coup pour entamer le dialogue, la pensant à l’autre bout de la pièce. Manque de bol, j’ai fait le James Bond à la française et elle était juste derrière moi. Je l’ai poussé, elle s’est retenue à mes épaules pour ne pas tomber à la renverse et j’ai avancé ma tête pour mieux reculer mon corps et trouver l’équilibre. Bon, je n’ai jamais été très doué en équilibre et j’ai posé mes lèvres sur les siennes en faisant le pas de trop en avant. En une fraction de seconde, nous étions dans les bras l’un de l’autre à se regarder. Entre nos yeux, un éclair de folie est passé. Elle m’a embrassée de nouveaux, de façon plutôt langoureuse, pensant certainement que j’avais tout fait volontairement de A à Z, et je n’avais pas envie de la contredire.

    Bon, j’en conviens, on est bien loin du cliché dont je vous parlais plus haut, mais on en est revenu au même: baisons!

    Nous étions dans la cuisine et je la reculais lentement, ne sachant pas ce qu’il m’arrivait. Je la portais et l’asseyais sur la table c’est la table la mieux placé que j’ai jamais vu – tout en l’embrassant encore. Là elle a carrément descendu ses mains pour relever mon t-shirt, pendant qu’autre chose en moi se relevait plus bas. Je lui enlevais sa veste et déboutonnais les premiers boutons de son chemisier. Ses formes apparaissaient sous mes yeux, et je lui enlevais sa chemise quand elle baissait déjà ma braguette. C’est là qu’il devient intéressant que je vous narre les dialogues:

C’est pour rabaisser le prix que vous faites cela? me demanda-t-elle.

Je sais pas. Si c’est le cas, ça marche?

On verra bien à la fin.

    Et sur ce elle sortait ma bite de mon caleçon. Pas de quoi se vanter, pas de quoi se cacher. Elle me branlait en me regardant, toujours assise sur cette table. Mon désir pour elle montait, et je lui relevais la jupe. J’y découvrais la lisière de ses bas et le prolongement d’un porte-jarretelles. Elle m’embrassa encore quand mes mains se baladaient sur son corps. Je commençais à maltraiter son soutien gorge qu’elle baissait mon caleçon. Nerveuse, elle ne l’était pas. Je crois qu’elle ne voulait pas réfléchir à ce qu’elle était en train de faire. Je lui dégrafais le soutif’ et, dénudée, elle remontait sa jupe au dessus de sa culotte. En fait, c’était un tanga noir, mais je ne l’ai su qu’en lui tripotant les fesses, quand je m’étais assuré avant que ses seins fermes et pointus rentraient bien dans du B. Elle prit une de mes mains et la glissa jusqu’à son intimité, directement sous le textile en me regardant doucement. Je démarrais directement par son clitoris que je sortais et coinçais entre mes deux doigts pour l’activer. L’effet ne tarda pas à se faire et elle ne savait plus ou mettre ses mains, les baladant sur mon corps en gémissant doucement. Même avec un certain raffinement.

-Attend, il faut qu’on change d’endroit, me dit-elle entre deux expirations.

    Pas le temps de rétorquer qu’elle descendait de la table et m’emmenait par la main jusqu’au salon. J’aurais pu croire que j’emmenais une petite fille à l’école s’il elle ne le faisait pas avec la jupe sur le ventre, les dessous à l’air et les talons claquants. Elle me posa dans un canapé, devant une table basse en vert, et vint m’enjamber. Elle enlevait son chignon pour laisser ses cheveux tomber et retourna au front face à ma langue. Pendant que nous faisions une valse buccale, je lui tripotais ses tétons durcis et sentais ses expirations dans ma bouche. Mes doigts commençaient à maltraiter ses seins, mon désir devenait fort. Je reprenais ensuite mon chemin vers son intimité qu’elle bascula en arrière pour se retrouver sur la table basse. Allongée sur le dos, elle retira sa culotte et me dit de venir. Le gazon était entretenu, juste un peu coupé. Je m’avançais au bout du canapé, arme chargé, et glissais mes doigts jusqu’à sa chatte. L’endroit était assez mouillé, et j’introduisais directement mon index et mon majeur. Je la faisais doucement monter au rideau et elle se redressait pour me branler encore. J’en profitais pour mettre le pouce de ma main qui la doigtait sur son clitoris et elle jouit. Elle contracta ses abdos, se releva, et j’en profitai pour attraper son téton de la bouche et le sucer. Plié dans une position peu confortable, je ne cessais pas et continuer à faire bouger mes extrémités dans sa cavité maintenant bien trempée. J’admets être doué pour ce genre de chose.

-Oh! Continue!

    Je ne me faisais pas prier et augmentais ma vitesse. Plus ça allait, plus elle serrait ma bite entre ses doigts, me griffant le dos de plaisir de l’autre main.

Au bout de quelques minutes, elle se recula et fit volte face sur la table basse. Scotché sur mon canapé, je la voyais maintenant à quatre pattes face à moi.

-Quelque chose ne va pas?

-Tout va bien, me répondit elle. J’ai bien envie de te récompenser!

    Elle s’avançait vers moi et penchait sa tête vers ma tige, les mains toujours sur la table basse, les seins pendants vers le bas. Elle avala directement toute ma longueur – et je fus obligé de prendre le dégorgeoir pour récupérer ma ligne! Quel dommage d’en être arrivé là avec une si belle prise… Non je plaisante. Bref elle m’astiqua frénétiquement en baissant et relevant les épaules, puis posa le coude gauche sur la table. Sa main droite revenait sur ma bite qu’elle ne lâchait pas du gosier, et je connaissais le traitement à venir. Elle me branla tout en me suçant. Sa langue se promenait sur mon gland et elle léchait le moindre liquide qui en sortait. Puis elle arrêtait de me masturber et se nettoyait la bouche dans les moindres recoins avec mon bâton. Mes munitions montaient et elle avalait le tout en me branlant de nouveau. Voyant que cela me faisait beaucoup d’effet, elle accentuait volontairement ses gémissements et commençait à se tortiller sur la table. Quelle salope!

Et puis quoi, zut! Moi aussi je prenais des initiatives et je me levais face à elle. J’attrapais sa nuque et accompagnais ses mouvements de tête, tout en appuyant un peu lorsque elle était au bout de la verge. Je décidais moi aussi de l’exciter davantage:

-Tu aimes ça n’est ce pas?!

-Hum!

-Quoi? Je ne comprend pas ce que tu dis…

Ma remarque ironique l’énerva encore plus et elle donnait des coups de tête plus rapides.

Je finis par me retirer pour faire le tour de la table.

-Oh oui, prends moi!

    Et bien, quelle délicatesse! La demoiselle propre sur elle ne l’était plus tellement dans le ton ni dans les gestes. Mais puisqu’elle savait ce qui l’attendait, je me décidais à y aller de bon cur. Derrière ses fesses, mes mains s’agrippaient sur ses hanches et je la trouais d’un coup sec.

-Haaaaann.

    Oh, peut-être de trop bon cur? Non, c’est bon. Je continuais à la fourrer, sur des rythmes différents. Elle gémissait comme il faut.

-Oui, continue!

Je remontai sa jupe et donnais des coups de reins plus longs.

-C’est tellement bandant de sauter une demoiselle comme toi!

-Oh oui, murmurait-elle. Continue, donnes moi la fessée!

Surpris de cette réaction, je m’exécutais néanmoins et lui administrais une bonne claque sur la fesse droite.

-Oh oui! Encore!

    Elle fut servit! Une bonne dizaine de claques bien placées, puis je sortais, la mettais sur le dos et reprenais mon travail de sape. Penché sur elle, je voyais la moindre de ses expressions, et de temps à autre la couleur marron de ses yeux.

-Fourre moi encore, vas-y!

-Envie de jouir un bon coup?

-Ouiiii!

    L’affirmation en pleine expiration en disait long. Je lui relevais les jambes pour caler ses mollets sur mes épaules. Ses talons en l’air m’excitaient particulièrement et je marquais un temps de pause. Puis je dirigeais mon engin devant son entrée resserrée par notre position. J’introduisais le bout de ma queue et reposais mes mains de chaque côté de son ventre. Je la regardais sur un air de défi et attendais qu’elle craque, alors qu’elle cherchait à anticiper le moment ou je pousserais dans son vagin. Au bout de quelques secondes à se contracter pour rien, tombant dans mes feintes, elle n’en pouvait plus:

-Allez, défonces moaaaaaaaaaa!

    Je n’avais pas attendu qu’elle finisse sa phrase que je poussais comme un fou, abaissant mon bassin jusqu’à ce qu’il touche son cul. Ma tige venait de rentrer de toute sa longueur, touchant un point sensible dans sa marre intérieur. Surprise, elle jouissait et me regardait avec un regard furieux tout en se retenant de crier davantage. Le cri qu’elle avait laissé échappée était de trop ben oui, c’est un appart’ avec des voisins… Elle était partagée entre le plaisir de mes coups de reins et la colère de s’être fait prendre en traître. « Salop », c’est ce qu’elle devait rêver de me dire sur le moment. Mais elle ne disait rien, fermait la bouche, gémissait intérieurement et attendait que l’orage passe pour me faire un reproche. Mais je continuais à un rythme tellement effréné qu’elle oublia ses critiques. A vrai dire, je tenais bien le coup. Mais au bout d’un moment, sentant tellement ses lèvres s’écarter à chacun de mes passages, sa cyprine répartit sur ma bite, voyant ses seins sauter légèrement, je ne pouvais plus. Je sentais la « crampe » venir dans le bas ventre. Elle le vit immédiatement sur mon visage et je marquai un temps d’arrêt.

-Ou dois-je signer, lui demandais-je avec un léger sourire.

-Disons dans ma bouche que je fasse disparaître les preuves, et je verrai pour un petit rabais.

Elle avait un air coquin en disant cela et je regrettais presque de ne pas pouvoir tenir plus longtemps afin de faire sortir ce petit côté une bonne fois pour toute.

-Marché conclu, lui dis-je en riant.

    Après quelques coups de reins supplémentaires, elle me poussait des mains pour que je sorte et elle s’asseyait sur les genoux, adossée à la table. Elle passa sa langue le long de ses lèvres pour me pousser à bout et me branla encore un peu:

-Allez, lâche tout! Fais moi le plein!

La réplique m’excita et elle me laissa la main. Elle avait les coudes posés sur la table, en arrière de son corps, attendant presque lascivement que je vienne.

-On fait son timide? Allez, mets moi tout ça dans ma petite bouche, je sais que t’en meurts d’envie

    Effectivement, je ne tardais pas et tentais de rester gentleman en veillant à bien viser loin de ses gémissements de gorilles que l’on caricature dans les films dénudés.

Elle prenait le liquide en bouche, sur la langue, et refermait rapidement les lèvres sur le bord de mon gland. Là, elle me regarda d’un il provocateur et déglutit.

-Voilà qui est fait.

    Nous repartions sans dire un mot de plus. Devant l’immeuble, on se serrait la main, l’air de rien, et je promettais de repasser à l’agence signer les papiers. Mais je vais profiter de l’occasion pour ressortir ce que je lis bien souvent : ça, c’est une autre histoire.

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