Chantal et Marjorie

Quand Fred se lève de sa sieste réparatrice, il va dans la cuisine, où il trouve Odette, elle est seule, il vient derrière elle la prend par la taille et lembrasse dans le cou.

— Mon gros lapin, ma sur Hélène et sa fille Marjorie débarque, alors je nai pas trop de temps, tu tombes bien en plus. Il faut aller les chercher à la gare des cars à Montardier, tu vas y aller mais on à un petit moment si tu veux et je nai pas de culotte, alors fait vite !

Fred ne se fait pas prier, il soulève la blouse et senfonce dans le con déjà humide, il fait jouir Odette rapidement, mais lui continu ses vas et vient en elle, quand il décharge enfin dans le ventre de sa grand-mère, il y a déjà dix minutes quil lui pistonne le con.

— Je vais me changer mamie et jirais chercher ta sur !

— Prend une des filles avec toi, elle te montrera le chemin, sinon tu vas chercher un moment ta route.

— Ok mamie, je vais prendre Céline alors !

— Attention, Marion et amoureuse de toi et tu vas la fâcher, prend plutôt jeannette ou ta mère, si tu ne veux fâcher personne !

— Tu as raison mamie ! Où est maman ?

— Petit coquin, je te vois venir, elle doit être dans sa chambre ou à la laverie !

Fred va à la laverie et y trouve sa mère qui fait des lessives.

— Maman je dois aller chercher ta tante Hélène et sa fille, mamie a dit que tu viennes avec moi !

— Il faut que je me change alors et que je prenne une douche, tu es prêt toi ?

— Non !

— Viens avec moi, on prendra une douche ensemble alors, on a le temps elles narrivent quà 18h !

Fred et Marie monte en courant main dans la main dans la chambre de cette dernière et sengouffre sous la douche.

Leau est à peine en route que les mains et les bouches sont à la recherche du corps de lautre, Fred adore faire lamour à Marie, malgré que ses cousines soient plus jeunes et sa tante Julie aussi, cest quand même elle quil préfère.

Cest elle qui suce le mieux et cest elle qui lui donne le plus de plaisirs, ils font lamour sous leau, Fred prend Marie debout contre le carrelage de la salle de bain, dégoulinant deau et de savon, sa verge senfonce en elle dans de longs vas et vient, il la fait jouir.

Il la prend dans ses bras et lemporte sur le lit, se renfonce en elle, ses jambes sur ses épaules et la regarde jouir, les yeux dans les yeux, ils jouissent ensemble dans un dernier élan du vit de Fred dans le sexe de Marie.

Marie est folle de son fils, elle le veut encore en elle et se met en levrette, écarte ses jolies fesses musclées, présentant sa rondelle au pieu de Fred.

Elle adore se faire sodomiser et encore plus quand cest lui qui est en elle, après vingt minutes dune longue sodomie, il se déverse enfin dans ses entrailles.

Ils finissent encore une fois sous la douche, le sexe de Fred dans la bouche de Marie qui attend la semence de son fils.

Ils sont à la gare des cars et attendent la tante Hélène et la cousine Marjorie, Fred na vu les deux femmes quune fois, lors de lenterrement de son oncle Marcel, le mari dHélène, celle ci doit avoir 50 ans et sa fille 25 ou 30, il ne se rappelle plus très bien.

— Marie, quel âge elle a Marjorie ?

— 28 ans, elle est mariée avec Francis depuis 8 ans mais ça ne va pas très bien entre eux, alors ils se séparent et elle vient vivre chez grand-mère un moment et tante Hélène qui est seule va rester quelques temps aussi!

Les deux femmes sont arrivées à la ferme voilà quelques temps, les vacances prennent fin et comme prévu, Fred reste à la ferme, il a passé un été merveilleux avec ses cousines, sa mère et ses autres femmes mais il reste ici seul avec Odette, Julie, sa grand-tante Hélène et sa cousine Marjorie.

Les deux femmes ne sont guerre causante, Hélène professeur danglais à la retraite et Marjorie qui travaille comme traductrice chez elle.

Hélène est très hautaine et distante, cest une belle grande femme très mince et très bien conservée pour son âge, quant à sa fille, elle est très réservée et ne parle presque pas, elle ressemble à sa mère en beaucoup plus jeune mais cest son portrait craché.

La nuit Fred regagne sa chambre et rejoint sa tante Julie une heure après, ils passent la nuit ensemble et la vie continue.

Cet après midi de fin septembre, il faut préparer à la mise en route de la cave, le raisin va rentrer, ce sont les vendanges.

Le travail de Fred cest la vinification, il prépare un diplôme dingénieur agronome et dnologue et est très utile à la ferme.

Les premiers voyages de raisins sont là, la cave est à plein régime mais une catastrophe arrive, le voisin vient davoir un accident et a une jambe cassée, il ny a personne pour la vinification, sa femme Carmen vient demander de laide et son grand-père dit à Fred daller aider, quil se débrouillera seul.

Fred soccupe de la cave des voisins, il mange avec les deux femmes et le voisin à la jambe dans le plâtre le midi, Carmen qui est une femme forte, avec des formes très développées, une énorme poitrine et des fesses énormes et Chantal la fille de 25 ans, qui reprend la ferme de son père seule, cest une femme très jolie de visage, avec un corps très musclé, un peu comme Julie mais en plus grande, elle doit bien mesurer un mètre quatre vingt, de dos si ce nétait ses hanches parfaites, elle ressemblerait à un homme avec ses épaules de camionneur.

Elle aide Fred à la cave et le félicite de sa méthode de vinification, ils passent beaucoup de temps ensemble.

Elle est dans une cuve pour la rincer et a un petit malaise, cela peut arriver dans une cuve mal ventilée, Fred se précipite, la sort comme il peut de la cuve et ne sachant que faire lui fait un bouche à bouche.

En quelques secondes ce nest pas un bouche à bouche de réanimation car la langue de Chantal est dans sa bouche, la sorcière a fait semblant de sévanouir.

Les mains de Fred son sur son corps, il a un des seins dans sa main et le pétrit, lautre déboutonne le jean et le fait glisser, sa main passe dans la culotte et caresse la vulve, il triture le clitoris.

Chantal jouit, depuis larrivée de Fred elle ne pense quà ça, son manque dhomme depuis son divorce et la vue de ce jeune corps musclé, lui donnaient des crampes dans son bas ventre.

Elle a sorti la verge de Fred et nen croit pas ses yeux, elle a devant elle la plus grosse verge quelle na jamais vue, elle la prend dans sa bouche et la suce avidement, elle languit de lavoir en elle, la verge grossit encore, son jean et sa culotte son déjà quittés et la verge se dirige vers son entrecuisse, elle entre en elle, jamais un engin aussi gros ny est entré et cest avec quelques difficultés que le pieu écarte les chairs et senfonce au fond du vagin, elle ressent un douleurs quand il touche le fond, son mari navait pas une verge aussi grosse et bien moins longue à peine la moitié, son ventre est plein.

La jouissance vient de suite, son ventre explose sous les coups de pieu, elle divague, jamais elle na joui comme ça, cest féerique, sa vue se trouble et quand elle hurle, les yeux dans les étoiles, cest le trou noir, son corps et son sexe viennent de lui procurer la plus grande, la plus extrême des jouissances, elle sévanouit.

Fred continu à la pistonner, il sait par expériences quelle va revenir à elle, pour mieux repartir dans les étoiles et cest ce quil se passe.

Le ventre de Chantal nest plus que jouissance, son corps va au devant du pieu senfonçant lengin jusquà la garde.

— Joui en moi mon amour, tu viens de me faire jouir comme jamais, jouis dans mon ventre !

Les jets de sperme la font encore une fois partir vers le paradis, Fred est épuisé, cette femme à la musculature puissante lui a broyé le sexe dans son vagin et il ne sent plus ses muscles tellement elle la serré fort.

Ils sont à même le sol de la cave, un contre lautre et reprennent leurs esprits.

— Fred tu es merveilleux, un amant exceptionnel !

— Et toi une sacré femme, jai bien cru que tu allais me broyer !

— Excuse-moi mon amour mais cétait si bon, je ferais attention la prochaine fois ! Il y aura une prochaine fois hein ?

— Bien sur ma chérie, il faut quon finisse de nettoyer la cuve mais après on aura le temps de recommencer si tu veux !

— Non mon père aime manger de bonne heure le soir mais si tu restais ici ce soir, tu téléphone chez toi et tu dis quil faut travailler de bonne heure demain et on passe la nuit ensemble dans ma chambre !

— Cest daccord pour moi, si tu me promets dêtre douce !

— Promis mon amour, vient la que je te fasse voir comme je sais être douce !

Elle le prend dans sa bouche et comme une experte lemmène à la jouissance, le sperme dégouline de sa bouche, elle ne peut tout avaler tellement la jouissance de Fred est grande.

Elle suce encore mieux que Marie.

Malheureusement quand Fred téléphone, il ne peut rester et doit rentrer, on a besoin de lui pour décuver une cuve cette nuit.

Il rentre chez son grand-père, mange en vitesse et va aider à la cave, il y a déjà son oncle et son grand-père, ils travaillent tous les trois une grande partie de la nuit.

Ce nest quau petit matin quil regagne la ferme pour déjeuner et prendre une ou deux heures de repos.

Les trois hommes sont servis par Marjorie, qui a pris la direction de la cuisine avec Odette, celle ci fait la cuisine la journée et Marjorie la remplace quand on a besoin delle la nuit.

  Julie conduit le tracteur toute la journée et la nuit dort comme un loir, Fred ne lui a pas fait lamour depuis le début des vendanges, sa tante est trop fatiguée.

Loncle et le grand-père de Fred sont allé se coucher, il est seul avec Marjorie dans la cuisine.

— Tu veux un café ?

— Oui sil te plait !

— Tu es un sacré bonhomme pour dix huit ans dis donc !

— Pourquoi ?

— Tu travaille comme les adultes et en plus ton grand-père dit que tu es le meilleur nologue quil na jamais vu !

— Jaime ce travail et si je veux rester ici je dois travailler dur, cest pour cela que je reste !

— Et pour Julie non ?

— Julie est ma tante !

— Et ta maîtresse, elle nest pas discrète la nuit, Fred en ce moment elle est fatiguée, sois franc avec moi si je ne te plait pas dis-le-moi, aimerais-tu dormir avec moi ?

— Tu me plait mais tu ne parle jamais, je pensais que tu ne maimais pas !

— Je tadore mais quand il y a maman je ne dis rien, elle est très autoritaire et naime pas les choses du sexe et surtout si elle savait quon couche ensemble cela ferait un drame, je ne suis pas encore divorcé et tu es mon cousin mais dentendre Julie jouir comme une folle ma donné envi, je nai pas fait lamour depuis longtemps ! Tu veux avec moi dis ?

— Bien sur ma chérie, viens allons nous coucher, je dois dormir aussi mais avant je te promets de te faire lamour !

Ils sont dans la chambre de Marjorie, elle se laisse déshabiller par son cousin, cest vraiment une très belle femme, un corps parfait et un sexe ou il ny a que ce quil faut de poil pour prouver que cest une véritable blonde.

Elle déshabille son cousin et reste en suspend quand elle voit son sexe dressé.

— Mon dieu mais tu as un sexe énorme, je comprends Julie, ça ne va jamais entrer en moi ça, mon mari nen a pas une de la moitié, tu vas me déchirer !

— Non laisse moi faire ma chérie ça rentrera, tu vas voir !

Il la pousse sur le lit et plonge sa tête dans sa belle minette, son odeur lui emplit les narines et la fougue de Fred est décuplée par lodeur acre du sexe de cette femelle en chaleur qui mouille pour son cousin.

Il la lèche longuement, enfonçant ses doigts dans le jus odorant qui coule de cette chatte étroite, il vient lui prendre la bouche après avoir tété ses seins, son gland pénètre sa cousine, elle halète, le vit lécartèle mais il entre, centimètre par centimètre, sort de sa vulve juteuse, pour mieux sy renfoncer, elle le croit au fond mais le sent toujours entrer, enfin il touche sa matrice, il attend quelques instants et sort delle, pour mieux senfoncer et buter au fond de sa vulve, sont ventre a du mal à accepter ce pieu énorme et là, dun seul coup, elle explose, il vient de la faire jouir, une simple pression de son pouce sur son clitoris la emmenée au septième ciel.

Il la fait jouir, sa tête explose, son ventre ne lui fait plus mal mais est le centre de sa jouissance, elle délire, ne sait plus qui est en elle, appelle les saints et les supplie de ne pas arrêter son bonheur, ce pieu de cher lemporte si loin dans la jouissance quelle divague des mots sans suite, elle croit quelle fait pipi mais cest sa cyprine qui coule entre ses cuisses jusqu’à son anus plein des doigts de Fred, il lencule de ses doigts en même temps quil la défonce de son vit.

Jamais de sa vie et de ses amants elle na eu telle jouissance, cest dans un dernier cri quelle le sent se vider en elle, juste au moment ou elle jouit en perdant ses esprits.

Le retour est sublime, elle na pas rêvé, il est toujours là, en elle, attendant quelle revienne pour encore la faire jouir, cet homme est merveilleux, un amant exceptionnel, avec une trique denfer qui lui explose le ventre.

Il lui déchire lanus quand il sintroduit en elle tout en lui branlant le clitoris, elle cri sa douleur mais le laisse senfoncer dans ses entrailles, pour enfin jouir quand il finit de se vider les couilles dans ses entrailles.

La suite bientôt si vous aimez

Merci de me lire ! Barbebleue.

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