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Violette : de vierge à salope, mon apprentissage – Chapitre 4




Mes parents m’annoncèrent un matin qu’ils allaient organiser une soirée, je devais m’habiller convenablement, me dirent-ils.

Cela serait un mardi soir, oui, c’était un soir de semaine concédèrent mes parents, mais les gens n’avaient aucun scrupule à boire la semaine alors, autant se reposer le week-end.

Puis Violette avait son cours particulier le vendredi soir, ajouta sa mère.

Ainsi, ce serait déjà le lendemain. Vint alors le moment de me préparer, afin de ne pas faire honte à mes chers géniteurs.

J’avais mis une longue noire en matière noire pailletée, un peu échancrée sur la poitrine, mais surtout très moulante au niveau de la taille et des fesses, fendue sur le côté. Avec mes escarpins noirs à talons, j’étais sublime, mon corps jeune et svelte allait attirer toutes les convoitises.

Finalement, à l’heure dite, je descendis dans le hall, déjà plein de monde, car il était déjà 20h.

Je me demandais si mon professeur avait été invité.

J’espérais que le rouge ne me monte pas aux joues en pensant à lui et à nos ébats.

J’entendis sa voix avant même d’avoir pu remarquer sa présence.

Violette, tu es très en beauté ce soir. Bonsoir, Madame, Monsieur, votre fille a fait des progrès remarquables…

Merci ******, ravi d’apprendre que notre fille va nous rendre fiers haha… dit mon père, avec son humour particulier que je n’avais jamais apprécié.

Oh, je suis sûr qu’elle a déjà de quoi vous rendre fière… dit mon maître en souriant. Je savais ce qu’il voulait dire et cette aura d’interdit me remuait au plus profond des reins.

J’avais chaud et je sentais que je devais aller voir d’autres gens pour calmer mon excitation, ou boire un verre peut-être.

Je me dirigeais vers le buffet et le bar sans attendre, laissant mes parents et mon maître en plan, mais j’avais du mal à supporter la pression – et bien entendu l’excitation – qu’être près de lui provoquait en moi.

Je sentais que je commençais déjà à mouiller, c’était ridicule haha…

Enfin, le bar. Je m’appuyai contre une de ses extrémités en faisant signe à un des serveurs pour avoir quelque chose d’un peu fort qui me donne du courage.

J’étais heureusement un peu cachée par un énorme pilier, certains autres soutenaient la pièce et lui donnaient un caractère assez théâtral que j’avais toujours apprécié.

Petite, je me cachais souvent derrière celui-ci pour observer les adultes, amis de mes parents qui me semblaient réellement étranges.

Aujourd’hui encore, je ne dérogeai pas à cette règle et observai les nombreux invités.

Je guettai d’un il mon cher professeur, qui parlait heureusement toujours avec mes parents, que pouvaient-ils bien avoir à se dire franchement… ?

Je sirotai mon verre – un old fashioned, vraiment idéal pour calmer les nerfs – laissant glisser mon regard sur la foule qui avait commencé à s’amasser – il y aurait plus d’une centaine de personnes selon mes parents.

Je sentis soudain, je ne pourrais l’expliquer, mais cela fut frappant presque comme un coup, un regard braqué sur moi ; je le cherchai dans la foule et me sentais perturbée.

Je levai finalement la tête, car une mezzanine donnait sur cette pièce, bien que la plupart des gens restaient dans le niveau inférieur, cela était accessible (et on y servait même des boissons).

Je vis alors un homme, certes de l’âge de mon père, mais qui me fixait si intensément que j’avais l’impression d’être nue.

Je sentis mes jours rougir. Je n’arrivais pas à soutenir son regard.

Il était encore svelte, mais musclé comme le laissait deviner les larges épaules de son costume, grand, et les cheveux encore bruns.

Il avait une barbe de trois jours comme s’il s’était rappelé de cette réception il y a une heure à peine, une sorte d’aventurier égaré chez les riches.

Mon maître s’était approché, sans un bruit, pendant cet échange de regards intenses :

Il ne t’a pas lâché des yeux… de toute la soirée… me murmura-t-il.

Si tu allais être une bonne hôte, attentionnée et prévenante avec Monsieur ? dit-il d’un air pervers.

Qu’est-ce que tu m’ordonnes ?

Je commençais à être ivre, j’avais oublié de le vouvoyer.

Mais il ne parut pas s’en offusquer, car il reprit :

Je veux que tu l’attires dans ta chambre, je me cacherais pour vous filmer. Je veux te voir te donner à un autre.

Je commençais à hésiter, car l’idée d’être filmée ne me plaisait guère. Pourquoi voulait-il garder absolument des preuves de ma soumission ?

Je le trouvais presque cruel de me demander tout cela.

Cela dut se voir sur mon visage, car il me prit par la taille, caché par le pilier mentionné tout à l’heure.

Violette… Je croyais que tu avais accepté de suivre mes ordres…

Il passait sa main la moins visible sur mes fesses, couvertes juste par ma robe et une fine culotte en dentelle noire, d’ailleurs très échancrée devant et derrière.

Me caressant lentement, mais fermement les fesses, il continua :

Je t’ordonne de te donner à cet homme, va le séduire et j’en garderais un petit souvenir pour la prochaine fois où tu décideras de te rebeller, finit-il en me pinçant les fesses.

J’acquiesçais finalement, car en vérité, la situation commençait à m’exciter au plus haut point, d’autant que l’homme en question avait disparu de ma vue.

Je me demandais où il avait bien pu aller, peut-être chercher de la chair fraîche à se mettre sous la dent au vu de l’air carnassier avec lequel il me dévorait du regard.

Mon maître m’informa qu’il allait se cacher dans ma chambre, selon notre accord, dit-il en appuyant bien sûr ce dernier mot d’un air presque ironique.

Je décidai de ne pas y prêter attention, me préparant plutôt à attirer ce nouvel amant dans notre "piège".

Je le trouvai finalement en tournant simplement la tête, à l’autre extrémité du bar. Je me dirigeais lentement vers lui.

Bonsoir… dis-je d’un ton langoureux.

Bonsoir, charmante… quel est votre nom ? dit-il d’une belle voix grave, qui me donna presque des frissons.

Violette. Je suis la fille de votre hôte.

— Ha, Violette… Votre père m’a beaucoup parlé de vous, c’est drôle de vous rencontrer enfin. Je vous voyais plus jeune, dit-il en me jaugeant une nouvelle fois de son regard perçant, j’étais nue à nouveau devant cet homme.

Je dirigeai la conversation vers mes études, puis son travail – il collectionnait les uvres anciennes et se rendait souvent aux quatre coins du globe pour en acquérir de nouvelles. Je saisis alors ma chance.

— J’ai une toile que j’aime beaucoup dans ma chambre, j’aimerais votre avis… dis-je, plus bas tout à coup.

Il sourit, finit son verre puis me fit signe d’y aller d’abord.

Je ne peux refuser mon expertise à une si belle jeune femme, c’est ma faiblesse… dit-il en riant, mais pas trop fort non plus.

J’allais alors rapidement vers ma chambre, un coin de la maison désert dans ce genre de soirées cela tombait bien.

Il me suivait, évidemment, mais ne put s’empêcher de vérifier que personne ne le voyait rentrer dans ma chambre.

Je fermai la porte et il s’approcha de moi.

Alors, cette toile ?

Je lui désignai un assez grand tableau, au-dessus de mon grand lit.

Oui, j’aime assez… Je peux m’approcher ?

Bien sûr, vous pouvez même monter sur le lit.

Ce qu’il fit pour observer un peu la toile, puis finalement, me rejoint près de mon bureau.

Il leva une main, me caressa la joue.

C’est tout ce que tu voulais me montrer, Violette ?

Non… dis-je en souriant d’un air qui se voulait pervers, et je me baissai vers son entrejambe.

J’étais accroupie devant lui, j’ouvrai sa braguette qui était déjà très tendue.

Je l’entendais respirer bruyamment, me caressant les cheveux assez durement, je sentais qu’il allait bientôt les tirer.

Lorsque je mis son pénis dur dans ma bouche, il en empoigna en effet une poignée, ce qui me fit gémir.

Il semblait apprécier, continuait à tirer mes cheveux et enfoncer sa bite au fond de ma gorge.

J’espérai que mon maître apprécie le spectacle, j’essayai vraiment de satisfaire ce nouvel amant et donner tout mon potentiel de salope.

Je le suçais pendant de longues minutes, quand il me tira les cheveux pour me faire remettre debout, la bouche dégoulinante de salive et la respiration saccadée.

Il me fit me tourner, dos à lui, et avait sa main sur mon entrejambe.

La fente de ma robe lui permit d’atteindre vite ma fine culotte de dentelle.

Vous, les filles de riches, vous vous ennuyez… Vous voulez de l’attention… Ton père ne s’est jamais occupé de toi, c’est ça ? Ne t’inquiète pas, moi je vais m’occuper de toi, chérie…

Il avait ses mains dans ma culotte à ce stade et je me demandai comment j’allais lui résister.

Il branlait fermement mon clitoris, je gémissais et sentais ma mouille couler sur ses doigts.

Mon maître ne m’avait donné aucune instruction quant à cela, mais je préférai tout de même perdre ma virginité avec lui.

— Attendez… Je préfère qu’on le fasse par-derrière… dis-je avec un sourire, que j’espérai coquin et vicieux.

Mes amies m’avaient toujours dit qu’un homme ne peut résister à la sodomie et en effet, il sourit à son tour d’un air excité et pervers avant d’enlever ses doigts de ma culotte et de me forcer à me retourner violemment.

— Appuie-toi sur le bureau, dit-il d’un air maintenant ferme.

Il me caressa les cheveux à deux mains, descendit le long de ma colonne vertébrale pendant que je me cambrai contre lui.

Il passa ensuite ses mains de chaque côté de mes fesses, descendit ensuite le long de mes cuisses tout en relevant ma robe sur mon dos.

Cela lui prit quelques secondes, car elle était très longue, je me sentais brûler de désir.

Je sentais qu’il s’était accroupi derrière moi, m’embrassant les jambes lentement de haut en bas, son souffle sur ma peau m’excitait encore plus.

Ma peau me brûlait, sentir ses mains sur moi me faisait mouiller encore plus.

Il baissa finalement ma culotte, rit d’un air satisfait, car je savais avoir répandu de la cyprine sur tout le fin tissu.

Il la baissa jusqu’à mes chevilles, ce qui se révéla un peu ennuyeux à cause de mes talons, mais lui permit de me claquer violemment les fesses au passage.

J’étais finalement cul nu, appuyé contre le bureau, j’attendais.

Je sentis alors sa langue pointer contre mon clitoris gonflé, je faillis hurler de plaisir. Mais il remonta bien vite sa langue entre mes cuisses, puis sur ma raie.

Mon anus se contracta par réflexe, sentant une langue inconnue passer près de lui.

Allons Violette, détends-toi, je ne te ferai pas de mal… que du bien…

Je commençais en effet à me détendre, sentant sa langue passer de haut en bas sur ma raie, insistant parfois sur ma rosette et remettant sans cesse de la salive dans cette zone.

Il tourna finalement sa langue plus intensément sur ma rosette, me faisant m’ouvrir et gémir de plus en plus, il me masturbait le clitoris en même temps.

Il enfonça deux doigts dans mon vagin trempé et après quelques va-et-vient, mais pas profonds, en moi, il enfonça ses doigts mouillés dans mon anus.

Je le sentis se relever alors qu’il tournait ses doigts en moi, il m’agrippa une hanche et retira ses doigts pour les remplacer par son engin qui devait être au bord de l’explosion.

Quand il me pénétra, j’eus l’impression de jouir instantanément : je faillis hurler, mais heureusement, il avait vite mis une main sur ma bouche, se collant à moi et m’obligeant à me cambrer au maximum.

J’avais chaud, je tremblai, j’étais si excitée… Il me prenait par le bassin, je l’entendais respirer bruyamment dans mon oreille.

Ses coups de reins me mettaient au supplice, c’était si bon, mais fort, il me matraquait avec sa bite, blessait presque mon fondement de ses assauts.

Mon anus commençait à me chauffer, il recommença à me masturber le clitoris quand je sentis un orgasme immense monter en moi.

Il continua à me pilonner pendant de longues minutes, mais j’appréciai de plus en plus.

Il allait atteindre l’orgasme, je le sentais, il me griffait presque le bassin, je commençais à me contracter et ses doigts sur mon clitoris ne me laissaient aucun répit.

Je poussai un cri rauque, retenu par sa main toujours sur ma bouche, tandis que je le sentais jouir.

Je me laissai aller à mon plaisir, sentis une vague me parcourir, puis cette immense chaleur que je connaissais désormais assez bien.

Il se retira rapidement, m’essuya avec des mouchoirs, puis prit rapidement congé, comme si sa mission avait été accomplie.

Je lui dis que je restai ici pour me reposer, il semblait satisfait de m’avoir épuisée.

Je voulais surtout voir mon maître et attendre ses nouvelles instructions.

Après deux minutes, il sortit d’un de mes placards coulissants.

— Bravo Violette, une vraie petite chienne qui se donne du mal pour obéir à son maître… Je te laisserai tranquille pour ce soir ma belle, dit-il en me caressant la joue, mais d’un air presque tendre. Sache que j’ai bien tout filmé, si l’envie te reprend d’essayer de me trahir, petite.» acheva-t-il avec un sourire cruel.

Il partit, non sans m’avoir embrassé et malaxé un peu les fesses, pour bien me montrer que je restai sa chose.

Mais cette soirée m’avait énormément excitée, aussi, après son départ – il retourna à la soirée dire à mes parents que j’avais trop bu et dormais – et malgré mon orgasme profond, j’avais envie de me masturber.

Ce que je fis, en pensant à la fois à mon maître et à cet ami de mon père, c’était si bon…

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