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Les portes de l'interdit – Chapitre 3




3 Dépravations

Je me levais des genoux de mon père et magenouillais entre eux. Sous le regard interloqué de Marie, je défis les boutons de son pyjama, en extirpa son sexe qui commençait à se gonfler et me mis à le caresser.

« – Maman » Je lui renvoyais un regard provocateur, puis dit en fixant Guy :

« – Je taime papa. »

Je léchais alors sa verge, suçais son gland et engouffrais sa pine dans ma bouche pour le sucer avidement. Guy profita de cette attention en caressant les cheveux de Marie.

Celle-ci était stupéfaite et fascinée par ma prestation, cet acte fait avec une telle désinvolture lui signifiait clairement que nous entretenions cette relation depuis longtemps. Elle venait dobtenir également une partie de la réponse quelle se posait précédemment et bien quelle ne le réalisât pas de suite, il lui indiquait aussi que nous voulions quelle se joigne à nous. Je marrêtais et lobservais avant de lui demander :

« – Tu as déjà fait une fellation ? » Marie était sidérée par la brutalité de cette question, surtout dans ce contexte, mais elle répondit tout de même.

« -Non. »

« -Tu veux essayer ? »

« – Maman, cest, cest »

« – Quoi, ça te dégoutte ? »

« – Non, mais là cest grand-père, cest de linceste. »

« – Oui, cest vrai. Mais on est tous adulte ici et il y a personne pour nous juger. Si tu en as envie, ne ten prive pas mas chérie. »

Marie était interdite, cet acte était si tabou, si immoral et inacceptable. Sa mère était une dégénérée, son grand-père un pervers qui avait dû abuser delle, provoquant sa fuite.

Mais aussi incompréhensible que ça puisse paraitre, sa mère avait raison, elle en avait envie. Envie dessayer, de donner du plaisir à son grand-père, envie de se donner, envie de savoir. Quelque chose sétait révélée en elle, une chose qui la poussait vers des actes monstrueux.

Elle avait déjà couché avec un garçon de son age mais lexpérience navais pas été très agréable. Elle regarda Guy qui lui souriait affectueusement. Elle se décida, tentant denvoyer sa morale aux oubliettes, elle embrassa son grand-père en signe dacception et sagenouilla au coté de sa mère.

Mon cur cétais serré durant le temps de réflexion de Marie, et si elle navait pas voulue et si sa morale avait été plus forte que son envie, et si elle nétait pas comme moi, et si mais elle cétait agenouillée a mes cotés alors je pris le pénis de papa à sa base, mon autre main se posa sur la tête de Marie et laccompagna vers le chibre tendu. Ma fille sarrêta un instant a quelques centimètres du membre, enduit de ma salive il luisait légèrement.

Marie senti son odeur acre, une envie irrépressible dy goûter lenvahit. Elle sortit sa langue et la fit atteindre le sexe de son grand-père, puis la remonta le long de la hampe, elle répéta ce mouvement plusieurs fois et réalisa soudainement quelle léchait avidement cette queue. Cétait délicieux, sentir ce membre pulser et frémir de ses attentions lenivrait. Mais cétait son grand-père, elle ne pouvait faire cela. Elle sarrêta, troublée, partagée par son envie et sa morale. Sa mère lui caressait les cheveux, elle se tourna vers elle.

« – Je ne peux pas maman ce nest pas bien de faire ça. »

« – Mais si ma chérie, tu le peux et surtout tu le veux. Tu aime ça nest-ce pas ? Et je suis sure que tu as envie de continuer. »

« – Oui mais, mais ce nest pas normal, on ne devrait pas faire ça. »

« – Allons, nai pas peur, il ny a pas de mal dans ce que nous faisons ici, ce nest que du plaisir. Ne te laisse pas détourner de tes envies par cette vilaine culpabilisation, cette méprisable morale. Libère toi mon amour. »

Pour joindre lacte aux paroles jengouffrais la pine de mon père dans ma bouche et la suçais goulûment. Mes lèvres montaient et descendaient le long de la trique, sattardaient sur le gland, puis replongeaient jusquaux couilles. Marie brûlait de désir, je le sentais et quand après un dernier petit coup de langue je lui tendis le membre, elle ne put sempêcher dy poser les lèvres dessus, elle lembrassa, puis les emmena au sommet du gland ou elles souvrirent pour lensevelir dans sa bouche. Elle le suça avec ardeur, découvrit son goût divin.

«- Cest bien ma chérie, suce ton grand-père, fait lui du bien, donne lui du plaisir. »

Les encouragements de sa mère lexcitaient, le fait que cet acte soit si dégradent, si pervers et incestueux lui procurait un étrange plaisir, un plaisir presque euphorique.

Pendant quelle le suçait, je caressais les couilles de Guy, mon autre main glissa du crane vers le dos de Marie et de son dos vers ses fesses. Je lui caressais le cul quelques secondes puis glissais entre ses cuisses pour frotter sa chatte au travers de sa culotte.

Marie tressaillit a cet attouchement, elle était déconcertée par les actes de sa mère, mais cette intrusion lui fit remarquer quelle était trempée, son émoi se manifestait abondamment entre ses cuisses et la caresse de sa mère ne fit que lamplifier. Dans un premier temps son instinct voulut repousser cette main insidieuse mais ses sens len dissuadèrent rapidement, son corps la trahissait. Elle avait envie de ses attouchements pervers, son cul se mouvait pour en accentuer leffet, secrètement elle en voulait davantage. Aussi quand lindex de Florence passa sous sa culotte pour atteindre ses lèvres ruisselantes denvie elle gémit dapprobation. Florence frotta son doigt, qui fut rapidement enduit de mouille, contre sa fente et titilla son clitoris. Marie gémissait sans discontinuer.

« -Tu aime ce que te fais maman ma chérie, dis le a maman que tu aime ça. » Marie abandonna brièvement la bite de son grand-père pour me répondre.

« -Oh oui maman continu, caresse-moi, encore, encore plus fort !»

Jéchangeais un regard avec mon père, nous étions satisfaits de la tournure des événements. Je continuais en enfonçant un doigt, puis deux dans la chatte de ma fille qui apprécia fortement. Après lavoir doigtée un moment, je portais mes doigts à ma bouche pour goûter les jus de ma fille. Je les trouvais délicieux et décidais daller directement à la source de ce nectar. Mais avant je replongeais mes doigts quelques instants dans son sexe pour les engluer de nouveaux et sous le regard halluciné de ma fille je les portais a la bouche de mon père. Il se régala en passant et repassant sa langue entre mes doigts. Enfin je collais ma bouche sur la fente de Marie et la léchais.

Marie était stupéfaite de la débauche dans laquelle ils tombaient et elle voulu tout arrêter, mais elle senti ses cuisses sécarter pour donner un plus grand accès de son intimité a sa mère. La caresse de la langue maternelle était chaude et soyeuse et procurait des vagues de plaisir dans son bas ventre. Elle était au bord de la jouissance quand sa mère sarrêta et elle en fut contrariée. Elle abandonna le pénis de Guy pour lui demander de continuer.

Jétais heureuse de procurer tant de plaisir a ma fille quelle men réclame encore, mais je ne voulais pas quelle jouisse sous ma langue, je voulais juste la chauffer suffisamment pour quelle ait du mal à refuser létape suivante.

« -Je pense quil est temps pour toi dexpérimenter une nouvelle chose. Il est temps que la belle bite que tu tenais entre tes lèvres te prenne. »

« -Oh non maman pas ça, ce serai trop mal. »

« -Allons Marie, laisse toi faire, je sais ce qui est bon pour toi. »

Ce disant je fis allonger ma fille sur le sol et lui écartais les cuisses au moment ou son grand-père sapprochait delle.

Marie voulait résister, ne pas se laisser faire, mais elle en était incapable, son corps ne lui obéissait plus, sa mère la manipulait comme un jouet.

Javais saisit la bite de mon père et la promenait sur la fente trempée de ma fille.

« -Non maman, je ten supplie, pas ça, ne fais pas ça. »

« -Ta bouche dit une chose mon amour, mais ta chatte dégoulinante me dit tout linverse. Tu es sure de ne pas en avoir envie ? » La questionnais-je lubriquement en faisant coulisser le gland de papa entre ses lèvres écloses et suintantes de désir.

« -Pitié, non maman » Gémit Marie.

«- Oui, cest bien ce qui me semblait. » répliquais-je en écartant de deux doigts les lèvres vaginales de ma fille tout en tirant légèrement la base da la queue de mon père pour ly faire pénétrer.

«- Prend là papa, elle en a envie, elle le veut. »

« -Cest vrai Marie, cest ce que tu veux ? Cest ma queue que tu désire ? »

Marie gémissait, la pine de papa était sur sa chatte, son gland déjà à demi enfoncé en elle. Elle était trempée, elle avait envie dêtre prise maintenait et le fait que se soit son grand-père lexcitait au plus haut point.

« -Dis le Marie, demande le moi, veux- tu que je te baise ! » Elle ny tenait plus, son petit cul se trémoussait denvie.

« – Oui papy, pend moi, baise moi. Je le veux, je te veux maintenant tout au fond de moi ! »

    Guy exultait, il poussa ses hanches en avant et pénétra sa petite fille de tout son long. Elle était si trempée, si chaude que cette sensation fut divine. Il la lima doucement, appréciant le plaisir que cela lui procurait. Il lembrassa, elle accepta son baiser et cet accouplement incestueux, leurs langues sentremêlaient, leurs sexes s’assemblaient, leurs corps sunissaient dans cette copulation perverse. Ses boules étaient trempées de sa mouille, elles me faisaient envie, je me mis à les lui lécher, je léchais également la chatte de Marie là ou leur sexe se joignaient. Il baisa Marie ainsi un long moment, senfonçant doucement et profondément en elle, jusquaux couilles. Ainsi arriva le moment où il fut proche de lextase.

« -Je vais jouir ! »

« -Oui vas y papa, éjacule ton sperme dans sa chatte, remplis là de ta semence. »

« -Hum mm oui, vas y papy, jouis en moi, jouis ! »

« -Apprécie cet instant Marie cest ton grand père, mais aussi ton vrai père qui vas répandre son sperme dans ton ventre. »

« -Oh mon dieu cest vrai maman ! »

« -Oui, cest vrai, cest lui qui ma mis enceinte de toi. »

« -Oh mon dieu ! »

« -Cela te contrarie ? »

« -Non, bien au contraire, je ne comprenais pas que cette merde de Jean soit mon père. Alors apprendre quil nest rien pour moi cest le pied ! Cest bon, cest encore meilleur. »

Ny tenant plus Guy éjacula tout son foutre en elle, une dose massive de sperme poisseux.

Quand il se retira, sa queue était maculée de leurs sécrétions et je memployais à la nettoyer rapidement de ma langue. Je portais ensuite mon attention sur la chatte de ma fille qui dégoulinait du sperme de papa et de sa mouille. Je léchais tous les sucs qui suintaient puis fourrais ma langue dans la fente de Marie pour recueillir tout le foutre possible. Cette attention prolongea la jouissance de Marie, qui avait connu lextase en même temps que son grand-père. Quand jeus la bouche remplie je mapprochais des lèvres de Marie et lembrassais. Ma langue se fraya un passage dans sa bouche et je lui transmis le sperme de notre géniteur. Marie loin dêtre incommodée fut ravie de goûter cette offrande. Nos langues se mêlèrent dans un baiser gluant de foutre. Papa bandait de nouveau à la vision de sa fille allongée sur sa petite-fille, sembrassant dans son sperme. Il me caressa le cul et me pénétra sauvagement, il me baisa longuement sans que je ne cesse dembrasser Marie. Nous avions absorbé tout le jus quand il éjacula dans ma chatte. Il se retira et je me positionnais avec provocation au dessus du visage de Marie. Le sperme ne tarda pas à perler de ma chatte sur le visage de ma fille. Quand, du cou au front, sa peau blanche en fut maculée je mabaissais lentement pour coller ma chatte sur sa bouche. Je me frottais sur elle, un regard débauché figé sur mon père. Marie avait sortie sa langue, plongée et perdue dans le vice elle léchait ma chatte sans aucune retenue. Papa pénétra de nouveau Marie et la baisa férocement tout en membrassant à pleine bouche. Il malaxait alternativement nos seins, nous pinçant les tétons avec volupté. Je rompis le baiser pour susurrer à mon père.

« – Tu sais, elle ne prend aucun contraceptif, tu pourrais lengrosser. »

« -Ah oui ? »

« -Cette idée te plait nest-ce pas ? »

« -Oui. »

« -Alors jouis encore en elle, remplit là, remplis son ventre fertile de ton foutre. »

Marie qui avait tout entendu acquiesça.

« -Oui papa remplis moi la chatte de ton bon sperme, je veux porter ton bébé dans mon ventre. »

Alors Guy éjacula de nouveau exhaussant le souhait de ses femmes, de ses filles.

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