L’histoire que vous allez lire sera à épisodes, chacun décrivant les différentes étapes que je vais franchir avec celui qui coécrit le texte. Je la publie avec son accord et son pseudo sera disponible si vous me le demandez par MP. En venant sur ce site, je comptais lire et écrire des histoires, mais j’avoue avoir trouvé un partenaire d’écriture qui partage beaucoup de mes fantasmes et surtout, étant marié comme moi, demande une absolue discrétion. Nous l’écrivons à l’instinct, avec de rares consultations au préalable. Les descriptions qu’il fait de moi sont ses fantasmes tout comme les descriptions que je fais de lui sont les miens hormis quelques détails. Le but est de se faire plaisir en l’écrivant et en donner à l’autre. Je tiens à préciser que lui comme moi, nous nous caressons en la lisant, j’espère que vous aimerez ce que nous vivons en virtuel.
Voici une petite introduction pour notre histoire à quatre mains.
Nous sommes à ce salon sur le tourisme Porte de Versailles à Paris, le hasard a fait que nos stands soient face à face. Dès que tu es installée, avant l’ouverture, j’ai immédiatement remarqué ta chevelure rousse. Ton visage a envahi mes yeux, tes petites taches de rousseur aussi.
Mais ce que j’ai surtout remarqué c’est ton petit cul… une paire de fesses superbement bombées, cachées par ton tailleur. Ton chemisier légèrement décolleté qui cachait des seins prometteurs.
J’ai passé la matinée à te dévisager, et par moments j’avais l’impression que toi aussi tu me regardais…
Tu mas emmené à une table à part, comme si tu voulais nous isoler du reste du monde. J’ai commandé un jus de fruit que je bois à la paille et tu souris quand tu vois mes joues se creuser pour aspirer le breuvage. Toi tu as commandé un verre d’alcool dont je n’ai pas compris le nom. On commence à parler et je bois tes paroles, tu es plein d’humour tu me fais rire et cette soirée s’annonce comme la plus agréable que je n’ai jamais passée. Je vois que tu te rapproches de plus en plus de moi, ta cuisse est tout près de la mienne, si j’osais j’écarterais mes cuisses pour entrer en contact avec toi, mais je suis comme paralysée, incapable de faire autre chose que te parler et boire mon verre. Tout à coup tu poses ta main sur la mienne et mon regard se fige, je voudrais entrelacer mes doigts avec les tiens, te dire que j’ai envie que tu m’embrasses, que j’ai envie de… Mais je reste inerte, attendant que tu me guides vers mon destin.
Je fixe mon regard sur le tien, j’ai les lèvres entrouvertes, ma cuisse effleure la tienne puis revient à sa place.
Le fait que tu ne retires pas ta main de dessous la mienne quand je l’ai posé me confirme ce que je devinais déjà. Ce soir tu seras à moi. Tes lèvres entrouvertes me laissent deviner ta langue rosée. Je retire ma main de la tienne et viens poser mon pouce sur tes lèvres pulpeuses. Tu fermes les yeux quand mes autres doigts sont sur ta joue.
Tu ne bouges pas, figé par ce contact, par cette main solide et sûre qui est sur toi. Puis je ne te laisse que peu de choix, je glisse mes doigts derrière ta nuque et délicatement mais fermement j’approche ton visage du mien. Une nouvelle fois tu ne résistes pas, es-tu paralysée par la peur ? Attendais-tu ce moment depuis le début ? Je ne me pose pas trop de questions et viens poser mes lèvres expérimentées sur tes lèvres innocentes. J’emplis mes poumons de ton odeur subtile de fleurs de rose et de jasmin qui se dégage de toi.
A chaque seconde qui passe mon sexe grossit de plus en plus dans mon pantalon qui commence à me paraître trop petit.
Mon cur s’emballe quand tu caresses mes lèvres avec ton pouce et une vague de frissons hérisse mon corps quand tu caresses ma joue. Je me sens brûlante sous tes doigts, je ne peux m’empêcher de fermer les yeux et pousser un soupir de bien-être. Quand tu m’attires vers toi pour m’embrasser, je sens une explosion irradier mon ventre. Je découvre un monde inconnu de sensations que je n’ai jamais ressenties. Ta langue dans ma bouche joue avec la mienne, je sais que nous allons faire l’amour et que tu seras mon premier homme. J’ai bien fait d’attendre, je ne voulais pas que ce moment soit nul comme me l’ont raconté quelques amies. Je ne sais pas pourquoi mais je suis persuadée que je vais vivre un moment inoubliable. Timidement je réponds à ton baiser, j’ouvre les yeux et mon regard plonge dans le tien…
Ce soir je suis à toi.
Ton regard avec du désir mêlé à de l’appréhension, ta langue hésitante, ne font que confirmer ce que pensais. Tu n’as jamais couché avec un homme de ta vie. Cette idée m’excite encore davantage et me donne l’envie de te faire découvrir le sexe comme je le conçois, je veux te montrer tout de suite ce que je veux, car je suis un homme qui aime dominer sa belle, un homme qui aime lui imposer sa volonté, mais je ne suis pas ce genre d’homme qui humilie les femmes pour autant. Elles aiment ce que je leur fais. Elle adore cela.
Alors l’idée que tu sois encore innocente et que je puisse t’enseigner ce que j’aime me réjouit. Tout en plongeant mes yeux dans les tiens, je libère ta nuque de ma main et viens la poser sur ta cuisse. Puis je m’approche de ton oreille et te glisse:
"Si tu veux bien, ce soir, je vais te faire découvrir de nouvelles sensations, je vais te montrer des choses que tu n’as jamais vues, te faire des choses que tu nas jamais faites, mais uniquement si tu le veux.
Je veux une réponse par Oui ou par Non de ta part.
Sentir ta main sur ma cuisse me fait sursauter, entendre tes mots me trouble au plus haut point. Tu veux de moi !!!! J’ai enfin trouvé l’homme que je voulais, celui qui va m’apprendre ce que j’ignore et que je veux tant apprendre. Mais serais-je à la hauteur ? Serais-je capable de le faire ?
Je regarde tes lèvres et murmure un oui presque inaudible. Je suis comme dans un état second, tu as sur moi un effet que je n’ai jamais ressenti. C’est ça être amoureuse ? Peut-être… je ne l’ai jamais été. Je pose ma main sur la tienne qui est sur ma cuisse étonnée de mon audace.
Je peux te poser une question ? Tu es marié, jai vu ton alliance. C’est juste pour ce soir toi et moi ? J’ai besoin de savoir.
Si tu es suffisamment habile, si tu es suffisamment docile, ce ne sera pas que pour une nuit…
Un mot et tout commence, un autre et tout s’arrête maintenant.
Fais ton choix, veux-tu devenir une femme ?
Oui bien sûr que je veux devenir une femme ! J’attends ce moment depuis des années ! Je n’ai jamais ressenti autant de sensations en parlant avec un mec, mais je n’ai jamais fait l’amour je ne sais pas si je serais douée pour le faire ! Si tu me compares à ta femme, c’est sûr que je suis nulle ! Tout ce que j’ai fait c’est embrasser et il m’a caressé les seins et les fesses. Et encore j’étais habillée !
Ma voix est troublée, hésitante, tu me sens au bord des larmes, si tu me rejetais je serais désespérée. Je te fixe du regard, un regard que tu n’as jamais encore vu chez moi ni aucune autre femme, je prends ton visage entre mes mains et je t’embrasse comme je n’ai jamais embrassé. Je m’arrête et te dis :
Je veux devenir une femme et je t’ai choisi toi ! Et toi ? Veux-tu faire de moi une femme ?
Ma réponse à ta question est : oui je veux faire de toi une femme. Je veux que tu sois à moi, que tu me sois offerte. Je veux t’enseigner comment donner du plaisir à un homme et comment en prendre en retour."
Sur ces paroles, je viens de nouveau coller ma bouche sur la tienne, je viens de nouveau jouer avec ta langue, je saisis une nouvelle fois ta nuque et te force contre moi, tandis que mon autre main remonte de ta cuisse à tes hanches, puis tente de se frayer un chemin sur tes courbures. Tes deux mains saisissent mon visage, tu aimes cette façon de faire, cette façon que j’ai de t’imposer mes choix. Ta respiration s’accélère, ton souffle est plus court. Nos salives se mélangent, nos odeurs aussi. Tu sens tellement bon. Tes mains glissent timidement de mon visage à mon torse.
J’ai l’impression d’être en transe, j’ai chaud, je voudrais ouvrir davantage mon chemisier mais pas ici, pas au bar. Je m’écarte de tes lèvres, je crois que la première leçon a déjà commencé sans que je m’en aperçoive. Je me cambre involontairement sous tes mains qui enserrent ma taille, mes mains glissent de tes joues sur ton cou, sur tes larges épaules… je sursaute en glissant mes mains sur ton torse, tu es musclé, je suis étonnée d’oser te caresser ainsi mais j’en ai tellement envie ! Et je voudrais faire plus aussi…
Tu m’as dit que je devrais être docile… Je ne comprends pas. Je ne me suis jamais laissé faire par les mecs !
Tout d’un coup je libère mes lèvres des tiennes, resserre mon étreinte sur ta nuque et viens de nouveau plaquer mes lèvres sur les tiennes, puis je saisis ta main, je me lève du fauteuil, tu suis mon mouvement, et je nous dirige calmement mais fermement vers l’ascenseur.
Là je te colle contre la paroi, et viens de nouveau t’embrasser, mes mains glissant sur tes cuisses, sur tes hanches, dans ton dos. Descendant sur tes fesses si fermes, si bombées, tu dois fréquenter la salle de sport régulièrement. Une fois sur elles, je te tire vers moi, tu sens quelque chose de dur se coller à toi, se coller entre tes jambes.
Ton souffle est court, intense.
J’ai l’impression, mais je le suis, d’être une gamine emmenée je ne sais où. Mélange étrange d’envie et d’inquiétude. Tu tiens fermement ma main, jai l’impression de devoir courir derrière toi et je n’ai pas l’habitude de marcher avec ces talons hauts de mon uniforme. J’ai encore de gros progrès à faire pour être une femme ! Mais je te suis, je sais que je le veux.
Dans l’ascenseur mon excitation arrive à un sommet jamais atteint ! Tu me colles à la paroi et tes mains parcourent mon corps comme je l’ai rêvé tant de fois, tu es l’homme que j’attendais, j’en suis sûre !!!!
Mais tu m’attires contre toi, tes mains sur mes fesses et tu me colles contre toi. Je sens contre mon minou ce qui doit être ton sexe. Cest dur, très dur même et ça semble gros. Moi qui voulais jouer à la grande je me retrouve tremblante contre toi, je respire fortement comme si javais couru pendant des heures. Je sens un tremblement incontrôlable de ma jambe, je ne sais quoi faire, je suis à ta merci. Cest tellement intense que j’ai limpression de m’être caressée et d’être prête à jouir. Je sens que mon sexe est tout mouillé…
La petite sonnerie de l’ascenseur retentit, nous sommes presque arrivés dans ce lieu où il va se passer tant de choses. Je libère mes mains de tes fesses, mon entrejambe du tien, mes lèvres des tiennes, puis je nous dirige vers la chambre 69. J’introduis la carte magnétique dans la fente de la porte en te regardant goulûment, je prends tout mon temps, je brûle de désir pour toi.
Puis j’ouvre la porte, je laisse la chambre dans le noir, nous fais entrer. J’entrouvre la porte de la salle de bain, l’allume et une ambiance tamisée emplie ce lieu de débauche en devenir. Je te guide jusqu’au lit et t’immobilise en face de lui, et viens me placer derrière toi. Quand je pose mes mains sur tes épaules, tu sursautes, ton souffle est très court, ton cur doit battre à 1000 à l’heure, tes jambes doivent à peine réussir à te porter, mais tu es là.
Pour moi, pour toi, pour nous.
