9ème défi : Affirmer ma soumission

A 20h, le lendemain, jai sonné et il ma ouvert sa porte.

Il ma demandé de masseoir dans le canapé et ma servi un verre de vin blanc frais puis sest éclipsé en claudiquant et en se retenant aux murs et aux meubles.

Jai entendu un bruit de chasse deau, une longue quinte de toux puis il est revenu au salon.

Il avait gardé son marcel blanc, mais le bas de son corps nétait plus recouvert par son pantalon de pyjama. Pourquoi aurait-il dû se gêner ?

La boule chaude est revenue se nicher au creux de mon estomac. Son maillot de corps relevé à cause de son obésité cachait mal son bas ventre et jai aperçu ses jambes répugnantes, le gros ventre quil poussait devant lui en claudiquant, ses bourses pendantes et le bout de peau de son sexe rabougri alors quil avançait péniblement vers la table basse.

Ne voulait-il pas sexhiber ainsi pour jouer un peu plus de mes sentiments de répulsions à la vision de son corps monstrueux ?

Il portait une couverture grise sous le bras et divers objets quil a déposés sur un guéridon : une chaîne métallique dune quarantaine de centimètres, une plume doie, deux de mes strings, une espèce de tapette en cuir noir, un pot de baume aussi ; dautres objets peut-être ?

Il sest avancé vers moi, a remonté son tee-shirt, a soulevé son ventre et ma obligée à toucher son sexe du bout de mon index puis à y poser la pointe de ma langue pour que je lèche le bout de son gland.

Il a regardé sa petite chienne docile sappliquer à le satisfaire. Il allait bien samuser avec moi. Un train de frissons a parcouru mon ventre.

« Aidez-moi à disposer cette couverture sur la table basse et à y mettre également un coussin en guise doreiller. Je tiens à votre confort.»

Il a ricané.

« Bien, monsieur ! »

Jai exécuté son ordre puis debout devant la table, jai attendu quil poursuive.

« Debout, là, devant moi! »

Je me suis mise dans la position quil mavait enseignée la veille et un silence pesant sest installé. Seule sa respiration perturbait ce silence, une respiration lourde, inquiétante.

Il me regardait, puis il sest adressé à moi dun ton étrangement serein: « Vous savez pourquoi vous êtes revenue nest-ce pas ? Je ne vais pas vous croire si vous me dites le contraire ? Vous êtes revenue là pour obéir et satisfaire votre penchant pour les pratiques sadomasos. Personne ne vous oblige à le faire, vous le savez très bien. Vous nêtes ici que parce que vous le voulez !»

A quoi bon répondre ? Il avait raison.

Une quinte de toux la secoué et il a difficilement repris sa respiration. Son visage avait viré au violet. Il a finalement repris son souffle.

« Nous allons en profiter, vous et moi. Désormais, vous ferez tout ce que je vous demande et si vous nobéissez pas, vous serez punie ; vous le savez. »

Il a insisté sur le « vous ».

« Que voulez-vous que je fasse de vous ?»

De nouveau, il a délibérément appuyé sur le vous.

« Et comment dois-je madresser à vous ? Je dois dire madame, chère voisine ou vous traiter comme une chienne, une parfaite petite salope ? »

Son long ricanement sest terminé en une nouvelle quinte de toux grasse. Je nai pas osé répondre. Cétait tellement évident, il pourrait me faire faire tout ce quil voudrait, je le savais depuis déjà longtemps.

Il a bougé sa masse et sest avancé vers moi, le sexe à lair.

« Allongez-vous sur la table basse, disposez un coussin sous vos fesses et écartez largement vos jambes. »

Jai fait comme il le souhaitait, disposant le coussin sous mes fesses avant de placer les talons de mes escarpins sur le bord de la table. Javais létrange impression de me préparer à une sorte dexamen médical.

Mon bassin était surélevé, ma robe était relevée et mes jambes, largement écartées, devaient livrer au vieux Schuller une vue parfaite sur mon intimité.

Il sest penché sur mon buste, a glissé sa main froide et agile dans mon corsage et a pincé mes aréoles à plusieurs reprises à travers la dentelle des bonnets pour asseoir son emprise, déclenchant en moi des réactions de douleur et un premier gémissement.

Il ma demandé de relever mon buste, de me tenir sur mes coudes et a de nouveau offert son sexe à ma bouche en soulevant son gros ventre. Je lai léché et sucé, veillant à procéder comme il me le commandait.

Il a voulu, par exemple, que je mefforce de glisser la pointe de ma langue sur le méat alors quil agitait sa queue flasque sous mon nez et je me suis appliquée à suivre ces mouvements et à le satisfaire.

Rassasié de caresse buccales, il sest enfin éloigné, a rapproché son fauteuil, sest assis et de son bras tendu, il a vérifié que la position lui permettait un accès facile à mon sexe offert.

A ses pieds, il avait disposé tous les objets que javais aperçus en début de soirée et une clé USB.

« La clé USB est pour vous. Vous y trouverez nos dernières photos ! »

Arnault allait les savourer mais finalement jai ressenti une pointe dappréhension : quallait-il finir par penser de moi ? Ne va-t-il pas être dégoûté à force de me voir dans ces positions terriblement humiliantes?

Le vieux ma rappelé à lordre. « Soyez attentive ! »

« Oui, Monsieur ! »

Jai perçu quil se penchait pour attraper un objet puis, alors que javais fermé les yeux, jai senti sur lintérieur de ma cuisse droite le contact dune plume, un contact délicieux.

Il a joué de cet instrument pendant plusieurs minutes et je me retenais pour ne pas gémir de plaisir, puis un autre contact sest substitué à celui-ci.

Le vieux sétait relevé en ahanant pour semparer de la courte chaîne en acier et entreprendre dagacer mon ventre, mes cuisses avec cette chaîne qui pendait au bout de sa main et quil faisait habilement glisser sur ma peau.

Jallais craquer, cétait trop bon ; ce pervers diabolique savait vraiment y faire.

« Alors, vous aimez cette chaîne, petite chienne ?»

Jai avalé ma salive avant de répondre à cette interpellation méritée. Javais encore le goût de sa queue dans ma bouche.

« Oui Monsieur ! »

« Je peux donc faire de vous tout ce que je veux, nest ce pas? »

A chaque fois quil me parlait, quil il me traitait de salope ou de chienne, je frémissais dexcitation. Je vais le dire à Arnault pour quil en joue plus souvent, lui aussi ; avec lui, je vais adorer ça.

Il a poursuivi ces attouchements avec différents objets, pendant de longues minutes mais ce que je préférais était le contact de la chaîne en métal : doux, lisse, glacé, incroyablement érotique.

Il a fait aller et venir cette chaîne sur mon sexe qui tentait de souvrir à cette caresse.

Il a ensuite pris le string quil avait gardé depuis notre soirée au restaurant et la marié à la chaîne.

Après, il ma commandé de retirer mon corsage et mon soutien-gorge pour poursuivre lexploration de mes sens et je me suis exécutée.

Des joues aux genoux relevés, à mes chevilles, ce contact déclenchait en moi des frissons de plaisir que je retenais de moins en moins.

Il ma ensuite commandé décarter largement ma vulve de deux doigts. Jai immédiatement déféré à son désir, tant je voulais ressentir la douce sensation provoquée par la chaîne et le tissu sur ma fente, le pli de mon aine, mes cuisses.

Cétait trop bon ! Pourquoi le cacher, sous ces objets, un plaisir différent simposait à moi.

Un long spasme a secoué mes cuisses et il a ricané. Je gémissais désormais sans retenue.

Il a pris un maillon de la chaîne entre le pouce et lindex et la plaqué entre mes petites lèvres. Cétait intenable.

Il a fait de longs attouchements de métal glacé sur la muqueuse sensible puis a délicatement introduit ce maillon en moi.

« Alors, la petite chienne aime ça ? »

« Oui, monsieur, cest trop bon ! » et là, je ne mentais plus du tout.

Je mécartelais pour profiter à fond de ces sensations nouvelles.

« A quatre pattes, sur la table, vite ! »

Jai fait comme il ma dit. Jétais tendue, jattendais que ces objets parcourent mon dos.

De fait, la chaîne de métal a voyagé de ma nuque au sillon de mes fesses que je tentais douvrir le plus largement possible en creusant le dos et en écartant mes cuisses pour accueillir le contact métallique si excitant.

Jétais vraiment devenue une chienne lubrique qui soffrait sans retenue. Il a ricané et en a joué encore plus.

La chaîne sest retirée, il a pris un autre objet puis jai immédiatement ressenti quil enduisait mon anus et ma fente dun corps gras. Une odeur deucalyptus est venue jusquà moi puis, quasi immédiatement, une sensation de chaleur puis de brulure ma envahie.

Cétait limite intenable mais je nai pas bougé, me contentant de gémir. Il est venu enduire mes aréoles de ce même baume chauffant.

Quelques instants plus tard, alors que javais les yeux fermés pour mieux contrôler la douleur, jai ressenti un choc sur ma fesse droite, comme une claque appuyée, puis une sensation de douleur et de chaleur.

Jai sursauté puis une autre à gauche, suivie dune troisième à droite et, pendant de longues minutes, il a alterné la douceur de la plume, celle de la chaîne et les coups de spatule.

Jessayais, sans succès, de ne pas gémir sous ces coups mais mes fesses étaient en feu.

« Ca te plaît, salope ? »

« Oui, monsieur ! »

Jai gémi sans retenue à chaque coup reçu.

Il ma ensuite demandé de me lever pour me dénuder entièrement et de marcher à quatre pattes partout dans son salon. Il me suivait en claudiquant lourdement et à chaque pas que je faisais, je recevais un coup de sa spatule en cuir.

Il jouait avec moi et me tourmentait, jamais on ne mavait traitée comme cela. Javais le ventre et les fesses en feu !

Il sest avancé vers moi. Jétais encore à quatre pattes, il me faisait face et je voyais son bas ventre.

Dune main, il a relevé son gros ventre humide de sueur et de nouveau, il ma soumis son sexe flasque que jai dû sucer longuement, ma main se glissant entre ses cuisses humides pour jouer avec ses bourses velues.

« Sur le dos, sur la table, vite ! »

Un coup de spatule, plus violent, ma arraché un cri et je me suis installée comme il le souhaitait, de façon à lui offrir mon intimité.

« Vous appréciez ce traitement, nest-ce pas ? »

« Oui, monsieur ! »

« Vous êtes donc bien une chienne soumise ? »

-« Oui, monsieur ! »

« Reconnaissez-le ! »

« Je suis une chienne soumise, monsieur ! »

« Parfait, je vais pouvoir fixer ces objets sur vos petites lèvres. »

Il exhibait et agitait deux pinces à seins en métal doré.

Jai écarquillé les yeux de frayeur. Je navais jamais utilisé ça et ce matériel spécial me faisait peur.

« Si vous bougez, si vous résistez, je vous corrige ! »

Il sest avancé entre mes jambes écartées et a fixé la première pince. Jai immédiatement ressenti de la douleur, une espèce de brûlure.

Lautre pince a été posée, je serrais les dents. Ne pas bouger, surtout ne pas bouger.

Il était satisfait.

« Cela vous plaît ? En tout cas elles vous vont très bien.»

Que pouvais-je répondre ? Jai simplement hoché la tête.

« Parfait, à quatre pattes ! »

Je me suis exécutée ; immédiatement, les mouvements de mon corps ont accentué la sensation de brûlure provoquée par les pinces et jai gémi même si cette douleur était finalement supportable.

Il me rendait folle avec ses exigences ignobles. Il sentait quil pouvait faire de moi tout de quil voulait.

Il sest approché et a entrepris de pénétrer mon anus de lun de ses gros doigts. Il faisait des va et vient lents et profonds.

Du baume sest évidemment introduit en moi et jai gémi sous cette sensation interne de chaleur insupportable.

« Tu en veux un autre? »

« Oui, monsieur ! »

Un deuxième gros doigt a rejoint le premier. Jai tout fait pour ne pas me contracter et il est parvenu à ses fins. Il avait dû les lubrifier avec sa salive.

« Un autre encore ? »

« Oui, monsieur ! »

Un troisième doigt sest annoncé et a forcé lanneau pour rejoindre les deux autres. Jai gémi longuement.

Il les a enfoncés à fond.

« Tu en veux combien, petite chienne? »

« Comme vous voulez monsieur ! »

« Un autre alors ? »

Il a insisté. « Alors ? »

« Oui, monsieur ! »

Comment allais-je pouvoir recevoir quatre de ses gros doigts dans mon petit anneau, il allait me déchirer.

Jai tourné la tête et jai vu quil lubrifiait tous les doigts de sa main gauche avec un gel spécial.

Jai repris ma position initiale.

« Alors, prête ? »

« Oui, monsieur ! »

Ses doigts ont appuyé sur mon anneau et deux doigts ont pénétré pour me lubrifier et se sont retirés.

Trois ont ensuite réussi à senfoncer en moi. Jai gémi sous leur intrusion. Il les a retiré et a placé quatre doigts sur mon anneau.

Il les a lentement enfoncés en les vrillant. Jai crié.

« Ca fait mal ou cest bon ! »

Jétais dilatée, je ne pouvais plus respirer normalement. Je navais jamais connu ça.

« Ca fait mal mais cest bon monsieur ! »

« Parfait ! La petite chienne soumise aime donc se faire dilater la rondelle! »

« Oui, monsieur ! »

Il a retiré sa main pour revenir immédiatement et tenter dintroduire les cinq doigts de sa main gauche.

Jai crié, il a insisté et est parvenu à les faire pénétrer un peu, juste un peu. Mon anneau allait se rompre, il allait se rompre, je commençais à paniquer.

Il na pas insisté. « Restez en position, je ne vous ai pas dit de bouger !»

Je ne pouvais plus parler ni regarder ce quil faisait, jétais épuisée à force de retenir mon souffle.

Quelques instants plus tard, tous les doigts de sa main droite, plus fine, plus élastique, se sont entièrement enfoncés en moi, lentement, avant daller et venir de plus en plus profondément. Jai gémi puis crié mon plaisir.

« La prochaine fois, jintroduirai la main entière. Tu devras, chaque jour, te dilater avec un gros gode. »

« Oui, monsieur ! »

Les doigts se sont finalement retirés en glissant hors de moi au moment où la jouissance allait arriver.

Jai compris que je pouvais jouir facilement de ce côté-là ; encore une révélation dont Arnault profitera dès son retour, si cela lui fait plaisir.

« Sur le dos ! »

Il sest assis dans son fauteuil et ma regardée minstaller selon son désir.

« Je vais masseoir pour contempler et te laisser faire ; tu vas te caresser avec ces objets jusquà la jouissance. Si tu vas trop vite au risque de gâcher mon plaisir, tu seras punie avec la tapette, cest entendu ?! »

« Oui, Monsieur, je ferai comme vous le demandez, je vais tout faire pour vous faire plaisir, vous verrez. »

« Jusquoù irez-vous pour me satisfaire, petite chienne ? »

Je tremblais dans lattente de pouvoir libérer mon plaisir.

Il a porté mon string à ses narines épatées et difformes, à son nez, cette espèce de patate écrasée. Il fallait répondre. Javais peur dune nouvelle correction à coups de spatule.

« Dites-moi ce que vous voulez que je fasse, monsieur ! »

Il pourrait me faire faire tout ce quil voudrait, je le savais depuis déjà plusieurs jours. Je nattendrais que son ordre pour le faire.

Il a insisté : « Vous ferez tout ce que je vous demanderai de faire ou pas ? »

« Oui, monsieur ! »

Il voulait jouer avec moi, accentuer la pression psychologique pour mexciter encore plus.

« Avec un autre homme, par exemple, ou avec plusieurs ? »

« Comme vous voudrez monsieur ! »

« Et si cest dans une cave parfaitement sordide ? »

« Oui, monsieur ! »

Jétais sûre, en répondant ainsi, que je ne mentais pas et que, sil le voulait, je me livrerais à tous ceux quil allait me désigner.

Cette idée ma fait frissonner car elle me renvoyait à ce que mon maître chanteur exigeait finalement de moi dans mon fantasme préféré puisque, pour me permettre de rembourser les dettes de mon mari, il me prostituait finalement de la manière la plus sordide après avoir assouvi tous ses désirs avec moi et sêtre lassé de ce jeu.

« A quatre pattes sur la table, jambes écartées reins creusés, vite ! Je vais te corriger un peu, je sais que tu aimes cela, salope, et que ça te fait mouiller.»

Jai obéi le plus vite possible et il ma frappée à nouveau, longuement, méthodiquement, avec la tapette, jusquà me faire pleurer de douleur.

Javais les fesses en feu. Il ma enduit de baume et le feu a redoublé dintensité. Une forte odeur deucalyptus envahissait la pièce.

Maintenant, chaque fois que je sens cette odeur, où que je sois, je pense à cette séance dinitiation douloureuse.

« Oui jaime cela ! Oui, je découvre que je suis maso et que je jouis à satisfaire un maître aussi répugnant quexigeant ! Oui, mes fantasmes ne sont que lexpression de ma personnalité sexuelle profonde ! Oui, je suis prête à tout ! », me suis-je dit en recevant cette correction.

« Sur le dos, vite !»

Je me suis réinstallée comme il le souhaitait. Le vieux était maintenant plus calme.

Jai même eu le temps de repenser à son idée de me livrer à des inconnus et cette perspective ma fait frémir dune peur animale.

Arnault ne me laissera pas faire ça. Je nimaginais même pas comment cela pourrait se faire, en réalité !

Il a repris la parole après avoir raclé sa gorge..

« Bien, dans quelques jours nous nous rendrons dans un restaurant et vous me remettrez ce questionnaire renseigné par vos soins. Jexige la sincérité la plus totale. Cest compris ! »

Il a déposé son « formulaire » sur le fauteuil.

« Oui, monsieur ! »

« Dautre part, je ne veux surtout pas que votre mari soit dans lignorance de ce que vous vivez avec moi. Est-ce entendu ? »

« Oui, Monsieur, je ferai comme vous le demandez ! »

Jai repris ma position initiale.

Il ma tendu le string noir, la chaîne glacée et les mêlant, jai procédé comme il me commandait de le faire, les pointes de mes seins étaient tendues et irritables à force dattouchements légers. Le baume les avait rendus plus sensibles encore.

Ma peau soffrait sans retenue à ces effleurements et lorsque la chaîne et le tissu de soie, mêlés, passaient sur mon sexe et mes cuisses ouvertes à en craquer, des réactions épidermiques, parfaitement incontrôlables, me secouaient.

Le vieux faisait durer le plaisir et me contemplait.

Après de longues minutes, il ma libérée en disant dun air narquois.

« Vous pouvez jouir maintenant! »

« Merci Monsieur, merci ! »

De la main gauche, jai poursuivi mes attouchements en les ciblant davantage, tandis que de lindex droit jai insisté sur mon clitoris turgescent en cercles délicats pour plaire au vieux.

La jouissance est venue quelques minutes plus tard car je faisais tout pour la retarder encore et ne pas être punie et à force de me retenir, mon orgasme a été extrêmement violent et jai explosé et longuement gémi en me tortillant sur la petite table au rythme des spasmes qui mont secouée.

Jai fini par ouvrir les yeux pour surprendre le regard du vieux : intense, lubrique, presque sauvage.

Il se massait le sexe de la main droite. Il la exhibé et ma appelé dune sorte daboiement.

« A genoux !».

Je me suis levée aussi rapidement que jai pu pour me jeter à ses genoux.

Il a empoigné mes cheveux violemment puis ma demandé décarter ses jambes, ce que jai fait, comme la veille, laidant de mon mieux à sinstaller confortablement, comme il le souhaitait, un coussin sous les fesses.

Il a de nouveau empoigné ma chevelure désordonnée et a relevé ma tête puis il ma tutoyée, ce qui a ajouté à mon excitation tout en révélant la sienne. Il secouait ma tête.

« Suce ma queue, salope, lentement et à fond. Tu vas prendre tout le temps quil faut pour me lécher le ventre, les couilles, le périnée, en plus de tout cela, ce soir, tu vas me lécher lanus et le fouiller de la langue, jadore ça. Sais-tu comment on appelle ça? »

« Non, monsieur, je ne sais pas ! »

« Une feuille de rose, et lorsque jutiliserai cette expression, tu sauras ce que jattends de toi ! Un conseil, fais découvrir ça à ton mari dès son retour, Compris !»

« Oui, monsieur ! »

« Ensuite, et lorsque je laurai décidé, je vais jouir dans ta bouche, et tu vas me montrer que tu as retenu tout ce que je tai appris. Si tu ne fais pas bien, je te corrige ! »

« Oui monsieur, je vais faire tout ce que vous me demandez pour vous satisfaire !»

Sous sa poigne lourde, ma bouche est venue se placer sur son gland tendu. Je nétais plus quune bouche obéissante. Il a relevé la pression de sa main et ma laissée faire.

Scrupuleusement, jai satisfait le moindre de ses désirs, parcourant son sexe et tout son corps de la bouche, de la langue et des mains, approfondissant et multipliant ces explorations malgré les odeurs, lâcreté de sa transpiration et lorsque la pointe de ma langue est venue, après plusieurs minutes, titiller la peau de son périnée, ma main droite relevant ses bourses pour faciliter cette caresse, il a un peu relevé son bassin et de ses deux mains, il a écarté ses fesses.

Sans plus dhésitation, jai basculé ma tête et ma langue est venue au contact de lanneau tant redouté.

Dun doigt fureteur, jai écarté les derniers poils gênants dont certains collés de sueur et ma langue, en cercles délicats, a exploré les pourtours de son anus.

Pourquoi résister ou même faire semblant ?

Le goût âcre et tenace a cependant généré un léger recul de ma tête. Il la ressenti et a réagi fermement.

« Darde ta langue et introduis la le plus possible! »

Jai fait comme il la exigé. Ma langue a forcé le seuil de son anneau et sest introduite en lui.

Jétouffais et, de temps en temps, je devais me relever pour respirer et avaler ma salive et les âcres humeurs de son cul que ma langue recueillait.

Jimaginais la scène ; elle était digne des films que javais parfois visionnés sur un site très particuliers où de très jolies jeunes femmes, de véritables bombes, se « farcissaient » avec gourmandise dhorribles vieillards.

Jétais devenue lune de celles-ci, la sur de cette jolie petite brune aux yeux bleus que javais vue satisfaire de toutes les manières possibles un horrible et exigeant vieillard ventripotent, puis un autre encore, plus vicieux et bien plus répugnant que le premier.

La pointe de ma langue pénétrait maintenant son anus mouillé de salive, tandis que je branlais son sexe et le caressais des mains.

Les images de ce film revenaient en moi.

Il a fait durer le plaisir, il avait tout le temps ; même si ma mâchoire devenait douloureuse, je continuais, totalement soumise à ses exigences obscènes.

Il a fini par relever ma tête en attrapant mes cheveux et a porté son sexe à ma bouche.

A sa demande, je me suis relevée un instant pour boire une gorgée de vin blanc et je lai sucé, longuement, jusquà éjaculation, pour le satisfaire de mon mieux.

Il ne voulait pas tant me donner à boire quobtenir une bouche rafraîchie par le vin et plus efficace encore. Cétait évident !

A la fin, mes yeux bleus ont fixé son regard tout le temps que jai mis à nettoyer son sexe maculé de sperme, à le lécher.

Il a esquissé un sourire puis sest relâché dans le fauteuil.

Il était inerte, à moitié endormi et moi, jétais épuisée, vidée, sans plus aucune énergie.

Je suis restée à genoux devant lui, silencieuse, nosant bouger.

Il ma autorisée à partir lorsque il a repris ses esprits et jai fait vite, très vite, à quitter son appartement.

Jétais nue lorsque jai pénétré chez moi.

Les pinces pendaient encore entre mes cuisses. Et si quelquun mavait surprise dans cette tenue ?

Jétais devenue complètement dingue, il ny a plus aucun doute.

Selon ses instructions je devais garder les pinces encore une heure. Elles me faisaient mal mais je lui ai obéi.

Ce vieux mavait rendue complètement folle et avait facilement fait de moi une chienne, sa chienne.

A lécouter, je serais même bientôt une sorte de pute.

Ne le suis-je pas déjà ? Sinon, comment et pourquoi me suis-je soumise aussi rapidement et aussi radicalement à cet ignoble batracien, à ce vieux pervers dont les âcres odeurs sétaient étalées sur ma langue et envahissaient encore ma bouche?

Comment est-il possible que jaccepte ça et que jy trouve du plaisir en plus ?

Jai posé le questionnaire sur la table de lordinateur. Il était presque 1h du matin et Arnault nétait pas connecté.

Je navais pas sommeil et je lui ai fidèlement relaté par écrit tous les évènements de cette soirée tout en sollicitant son avis sur la conduite à tenir.

Continuer ou arrêter ? Ce petit jeu ne va til pas trop loin ?

Bien évidemment, je lui ai balancé les meilleures photos.afin quil en profite un peu, lui aussi, le pauvre, et je nai oublié aucun détail.

Je voulais quil sache tout ce que sa femme était devenue, tout ce quelle avait fait, et accepté de subir, et aussi ce que le vieux avait proposé de faire de moi, en conclusion logique de mon comportement.

Le lendemain, un samedi, un beau message damour en réponse à ce récit complet et aux photos qui avaient dû lexciter au plus haut point, un message dArnault, de mon amour: « Cest incroyable ! Tu es fabuleuse, très belle sur les photos ! Jai hâte de te retrouver ! Je taime ! Tu es la femme de ma vie !

Ps : si tu le veux, le jeu continue ! Cest trop excitant et tes écrits démontrent que tu découvres des choses intéressantes qui vont nous combler !

Scanne le questionnaire remplis par toi et transmet le moi, stp cela me fera un peu de lecture supplémentaire car je lis et relis sans cesse tes récits et cela ouvrira encore un peu plus mes horizons et mon imaginaire te concernant ! Ne tinquiètes pas pour la dernière idée du vieux, tu disposes dun joker!»

Sous ma porte un petit billet du vieux : « Je dois mabsenter jusquà la fin de la semaine. Je serai de retour vendredi matin. Je vous invite à dîner le soir même au restaurant. Vous me remettrez le questionnaire à cette occasion ! Pour cette soirée, soyez élégante comme à votre habitude et veillez, en outre, à porter vos pinces et des bas ! L. Schuller».

Jai avisé Arnault qui ma simplement répondu : « Pas grave ! Profite de cette semaine pour te reposer, faire le point sur ce que tu veux vraiment! Biz ! ».

Jétais presque déçue de ce contretemps mais plus rien ne métonnait maintenant.

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