Elle remonte aussi vite qu’elle est descendue, grimpe sur le lit, s’allonge et s’ouvre largement.
— Si tu le souhaites, ma petite minette adore se faire manger. Mais si tu veux me pénétrer directement, je comprendrais, tu es bandé comme un arc et je vois que tu suintes de lubrifiant. Tu dois avoir diablement envie – dit-elle avec un sourire narquois.
Quelle proposition. Là encore je dois prendre une décision. La sauter tout de suite, au risque de la décevoir, et je n’en ai nulle envie au vu de cette première partie de jambes en l’air, ou bien la déguster jusqu’à un nouvel orgasme, et ainsi mieux honorer sa proposition. Je préfère jouer le galant homme.
Je m’allonge également au bout du lit et glisse vers son entrecuisse. L’odeur est forte, puissante de cyprine. Ses lèvres sont trempées et sa vulve palpite, n’attendant que moi. Je m’approche doucement, embrassant ses cuisses et remontant vers la conque offerte. Je passe un petit coup de langue entre ses lèvres et ma langue se dirige vers son clitoris largement sorti de son capuchon. Ma bouche se referme délicatement dessus.
À mon contact, elle se tend. Je la déguste du mieux que je peux, enroulant de ma langue le bouton turgescent, lui appliquant quelques petites pressions. Je sens ses mains attraper ma tête et tirer fortement dessus pour que je sois encore plus collé à elle. Je mange ce bonbon offert et le sens qui se durcit encore. Et tout d’un coup, le même orgasme que tout à l’heure.
Elle se tend à nouveau et je sens suinter de son antre quelques gouttes d’un précieux liquide féminin que je m’empresse de déguster à même la source. C’est délicieux, pour ne pas dire divin. Et ça dure, et ça dure… Plus longtemps me semble-t-il que tout à l’heure.
Quand elle se calme, je sors ma tête et commence à remonter sur son corps. J’embrasse son nombril. Je sais que certaines aiment et que d’autres détestent. Elle fait partie des premiers et pousse un petit cri de bonheur quand ma langue vient toucher son ombilic. Je continue mon ascension et arrive au niveau de ses seins. Qu’ils sont beaux. Lourds, amples, de larges, très larges aréoles brunes, fortement striées à cet instant, l’excitation aidant. Et des tétons largement sortis de leur petit nid moelleux. Je m’y attarde bien entendu.
— J’adore qu’on me les lèche Xavier. Tu vas voir, ils sont super sensibles
Je me laisse glisser sur le côté de Ghislaine et tandis que ma bouche s’attaque à son sein droit, ma main se dirige vers le gauche. Je fais rouler le téton entre mes doigts alors que je la tête. Ma langue titille délicatement le petit mont érigé, le mordille, le lape.
Ghislaine fait descendre sa main vers son mont de venus et le presse fortement avant de continuer son chemin plus bas. Comme elle le faisait lors de ma pipe de tout à l’heure, elle entreprend une masturbation d’abord lente, puis de plus en plus rapide avant de devenir frénétique.
De mon côté, je m’occupe de ses gros globes laiteux. C’est un bonheur de s’y attarder. Ils sont agréables, doux, épais, accueillants. Ses tétons deviennent durs comme pierre, tout comme les stries de ses aréoles qui durcissent. Sa main, humide de son jus, quitte son clitoris et vient entourer mon sexe, le serrant fortement.
— Continue avec mes seins… je viens. Quelques secondes après cette simple phrase, elle repart dans un orgasme puissant, tirant de sa gorge des sons gutturaux, profonds, sourds. Son corps est à nouveau animé des tremblements puissants. Elle lâche mon sexe, se tourne sur le côté et prend la position du ftus dans laquelle elle termine son acmé.
Je me tourne à mon tour et viens me placer derrière elle en cuillère. Elle ouvre ses cuisses.
— Viens, prends-moi maintenant. Je veux te sentir dans mon ventre. L’intromission est une simple formalité tant nous dégoulinons tous deux de lubrifiant. Mon sexe l’emplit immédiatement, entièrement.
— Ouiiiiiiiii, c’est bon. Je te sens. Pousse Xavier, pousse, viens au fond de moi. Je m’exécute. Mon pubis est collé à ses fesses. Ma main vient attraper un de ses seins. L’excitation monte encore d’un cran. Mes douces caresses mammaires d’avant se transforme en un malaxage en règle qu’elle apprécie particulièrement.
— Oui, continue, triture, malaxe, presse, tire, pétris, masse, pousse, griffe, empogne, trais… C’est bon, ouiiiiiiiii, c’est bon, continue mon beau taureau, ouiiiiii. Et elle repart dans un orgasme délirant.
Je n’en peux évidement plus de cette excitation qui atteint son paroxysme et déclenche le mien.
— Tiens ma belle, mon cadeau à moi après les tiens. Sens comme je t’emplis de ma semence, comme je me libère en toi.
— Ouiiii Xavier, viens avec moi, laisse-toi emporter par ce plaisir. Fertilise-moi, engrosse-moi, donne mon ton stupre. Je dépose mon offrande loin dans son vagin qui m’enserre de plus belle. Nos corps vibrent à l’unisson et je l’enserre de mon bras pour être encore plus collé à elle. Je l’embrasse dans le cou… Elle tourne la tête pour venir coller sa bouche à la mienne.
Nous nous calmons tous les deux et redescendons de ce septième ciel que nous avons atteint ensemble. Je continue à la caresser, restant fiché en elle. Malgré ma détumescence, je reste encore suffisamment dur pour me maintenir dans son antre bouillante et maintenant dégoulinante de mon stupre. Elle recommence de petits mouvements de va et vient.
— Non , Ghislaine, pas tout de suite… Je dois redescendre avant de…
— Pas moi – me coupe-t-elle en se dégageant – Regarde
Elle s’installe en face de moi, se retourne pour me présenter sa splendide croupe et se met à quatre pattes. Elle pose sa tête sur le lit et je vois ses mains qui commencent à fouiller son entrejambe. Elle écarte ses larges cuisses et j’ai une vue somptueuse sur sa vulve. Elle luit du mélange de nos jus internes et dégouline de mon sperme qui coule sur ses cuisses et se répand sur les draps du lit. Elle s’enduit les doigts, les mains, de ces fluides de plaisir. Les doigts d’une main écartent ses lèvres intimes tandis que ceux de l’autre partent à l’assaut de ce fourreau dans lequel je me trouvais il y a encore quelques secondes. Elle se fouille, s’ouvre, se distend. Ses parois s’écartent encore et je vois l’intérieur de sa pure féminité. Rose, luisante. Elle joue de ses muscles et je m’aperçois que ce conduit, ce fourreau, palpite en rythme avec les mouvements de son bassin.
Je l’entends qui couine, grogne, feule, pousse de petits cris de plaisir.
— Oui mon beau, regarde comme elle veut, regarde comme elle a envie, elle est vide, il faut la remplir, oui, elle n’aime pas rester vide… Elle dit et répète ces mots tandis que je suis flasque. J’ai beau me concentrer sur cette fabuleuse vue, la loi de la biologie me joue des tours. Il faut que je trouve. Je ne peux pas laisser cette femme dans cet état. Elle veut, elle réclame de tout son être, de tout son corps, de tout son sexe.
Je m’approche alors d’elle. Elle est tellement ouverte, trempée et dégoulinante que je risque trois doigts dans son tréfonds
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii c’est ça, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, plus, tu as compris… C’est ça mon beau, emplis-moi. Je m’enhardis encore plus et insère un quatrième doigt dans son vagin avec lequel je joue… Elle a posé son avant-bras sur le lit et posé sa tête dessus. Elle s’est ainsi un peu rehaussée. Je vois que sa main est remontée sous son ventre et joue de ses tétons qu’elle tire et triture, agrippant ses lourdes mamelles qu’elle presse fortement. Seul mon pouce est dehors maintenant et mes quatre doigts sont enfichés profondément dans son ventre. Il est libre et vient jouer avec le muscle serré, brun, étoilé sur lequel il tombe comme par enchantement. En le posant dessus, je le sens qui se referme doucement.
— Non, pas là… Pas encore… Avec tes autres doigts… Je suis suffisamment dilatée je pense…
Et, joignant le geste à la parole, elle vient placer ses mains sur chacune de ses fesses et écarter sa vulve. Proposé comme cela, je ne saurais refuser. Je joins donc mon pouce aux autres doigts, en forme de cône, et je pousse délicatement l’ensemble contre son entrée accueillante.
Je m’introduis lentement, en douceur. Elle est totalement ouverte et dégouline de lubrifiant naturel. Sa main à repris le chemin de son petit bouton et elle recommence à se masturber tandis que je continue ma progression. Mes phalanges passent son entrée et, petit à petit, je m’enfonce en elle. Je ne rencontre aucune difficulté et, tandis qu’elle accélère son mouvement je vois ma main disparaître entièrement dans son ventre jusqu’à mon poignet.
Comme tout à l’heure, son bassin commence à être animé de mouvements de copulation. Je pousse mon poing et viens buter au fond de son vagin. Qu’elle est profonde… Ma main s’enduit du mélange de sa cyprine et du reste de mon sperme qu’elle garde encore en elle.
— Pas si pro- hummmmmmm -fond Xavier, c’est surtout mon entrée qui est – hummmmmmmmmmmmm – sensible.
Voulant la satisfaire au mieux, je me retire légèrement. Bien sûr, son point G n’est pas si loin. J’entreprends de réunir mes doigts pour former mon poing.
— Oui, comme ça… hummmmm oui, je suis pleine…
Au fur et à mesure de mon avancement, elle manifeste de plus en plus son plaisir.
— Attends, arrête un instant s’il te plaît.
— Que t’arrive-t-il ? Je te fais mal ? Pardon
— Non, non… je veux te voir quand tu me fistes. Retire toi.
Je ressors mon poing de son vagin. Elle se met sur le dos et s’ouvre à nouveau les cuisses.
— Viens.
J’obtempère, remets mes doigts en cône, pénètre son antre et reforme mon poing. De son côté, elle pose deux doigts sur son clitoris. Il est intégralement sorti maintenant de son capuchon, merveilleusement arrondi, luisant dardant vers moi. Assez développé je dois dire, une toute petite bite…
— Tu es belle comme ça Ghislaine.
Je fouille maintenant son fourreau brulant tandis qu’elle reprend sa masturbation de plus en plus rapide. Moi aussi, j’accélère le mouvement, faisant tourner mon poing, cherchant à bien frotter le muscle qui m’enserre. Je "pompe" également.
— Ouiiiiiiii continue, hummmmmmmmmmmmm, ouiiiii, c’est booooon.
Je vois mon poing s’enfoncer en elle. Je fais mine de le retirer, puis l’enfonce à nouveau, tout en tournant.
À chaque fois que je tire, je vois ses membranes, ses lèvres, s’étendre vers l’extérieur, comme si j’étais en train de faire "sortir" son vagin. Mais non, à chaque fois que je pousse, tout reprend sa place. Elle se frotte maintenant à toute vitesse…
Et ça repart. Elle émet quelques gouttes qui viennent montrer son plaisir. Elle se tend et commence à trembler comme lors de ses orgasmes précédents.
— Continue Xavier, continue ouiiiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiis.
Et ça dure… Et ça dure… quinze, vingt longues secondes. Avant qu’elle ne retombe et ne revienne dans mon monde. Mon poing est toujours fiché en elle. Elle se met sur ses avant-bras et regarde son bas-ventre.
— Tu me remplis bien. Je te sens en moi. C’est bon, tu me fais grimper aux rideaux Xavier…
— J’ai rarement, jamais même, vu une femme jouir autant que toi Ghislaine. C’est merveilleux. Je te l’ai dit tout à l’heure, je ne sais pas si tu as entendu, tu es d’une beauté rare quand tu jouis.
— Merci, c’est gentil ce que tu me dis là. Mais toi, oh, mon pauvre, dans quel état es-tu ?
Effectivement, je regarde mon bas ventre. Je suis tendu comme je l’ai rarement été. Mon sexe est dur, érigé, décalotté.