…
Alain passa sa main sur ma joue, puis sur ma nuque :
— C’est ça mon beau, hume moi bien cette queue, tu sens son odeur ?
— Oui
— Tu as envie de la prendre dans la bouche ?
— Oui
— Alors dis le, que tu veux me sucer
— J’ai… j’ai envie de ta queue dans ma bouche !
— Hmmm patience mon gourmand, chaque chose en son temps.
Je n’en revenais pas de ce que je venais de dire. A ma connaissance je n’avais jamais été aussi excité. Son sexe avait encore durci et je ne mentais pas, je mourrais d’envie de le sentir, de le prendre en bouche et de le sucer sur toute sa longueur. Il était de plus en plus serré dans son pantalon mais Alain ne semblait pas pressé. Il était maintenant en train de me caresser les cheveux pendant que moi, je continuais à renifler ses parties intimes. Tout d’un coup, sa main appuya sur mon menton comme s’il voulait que je me lève.
— Relève toi mon beau, montre moi ta bite de plus près, moi aussi je veux te découvrir.
Je m’étais à peine relevé qu’Alain passait sa main entre mes cuisses, il avait l’air content de ce qu’il avait sous les yeux. Il s’était redressé dans son canapé afin de se rapprocher de mon sexe. Il avait maintenant une main sur mes fesses et une main qui sapprêtait à envelopper mes couilles. Sa bouche n’était qu’à quelque centimètres de ma bite en érection maximale. Etant puceau, c’était la toute première fois qu’une autre personne que moi manifestait de l’intérêt pour mon corps, et j’en étais absolument ravi. La peur s’était peu à peu évaporée laissant place à encore plus d’excitation.
— Tu as vraiment un très beau sexe Jim, et j’aime beaucoup te voir bander si fort pour moi. Tu t’es déjà fait sucer ?
Je hochai la tête pour lui signifier que non
— He bien, je vais y remédier…
Avec deux doigts, Alain décalotta ce qui restait à découvrir de mon gland tout en me rapprochant de lui à l’aide de sa main posée sur mon cul. Je vis ma queue entrer dans sa bouche et ne pu retenir un petit gémissement tellement cette sensation m’était douce.
Moi Jim, 18 ans, j’étais en train de me faire sucer par un quinquagénaire… Alain fit plusieurs vas et viens avec sa bouche, et à chaque fois sa langue venait se frotter à mon gland, provoquant de nouveaux gémissements.
— On dirait que ça te plaît, tu voudrais que je continue ?
— Oh oui continuez, s’il vous plait
— Il va falloir que tu le mérite mon garçon. Et là dernière chose dont j’ai envie c’est que tu éjacules maintenant alors que nous venons à peine de commencer. Pour le moment, tu vas me déshabiller.
Je ne me fis pas prier, j’ôtai rapidement la chemise d’Alain, ainsi que son pantalon. Il se leva alors qu’il ne portait plus que son caleçon, et me fit comprendre que je devais me mettre à genoux. Chacune de ses directives, aussi humiliante soit-elle, avait l’effet d’un shoot d’excitation pure… et me retrouver à nouveau à genoux face à sa queue était absolument divin.
Je tirai sur le caleçon d’Alain pour le faire descendre. Son sexe m’apparut enfin, accompagné de sa délicieuse odeur. Il était un peu plus long et plus gros que ce que j’avais imaginé, il avait aussi quelque poils mais on voyait qu’Alain avait l’habitude de se tondre régulièrement. Son gland était presque entièrement recouvert. Je mourrais d’envie de le prendre dans mes mains… et surtout, dans ma bouche. J’étais encore en train de contempler les attributs d’Alain quand je lentendis me donner sa nouvelle directive :
— Lèche moi les couilles, Jim.
Je mexécutai. Le bout de ma langue s’en alla caresser ses deux belles bourses. Je prenais un plaisir fou à le chatouiller ainsi tout en sentant son pénis s’appuyer par moment sur mon front.
— Hmmm oui c’est bien Jim, maintenant vas-y moins timidement, lèche moi vraiment, je veux que tu me lèche comme un chien.
J’aimais qu’il me parle ainsi. Je ne parvenais pas à l’expliquer mais j’adorais quand il me traitait comme un chien. Je donnais maintenant de grands coup de langues sur ses couilles et j’avais pris l’initiative de commencer à remonter sur sa queue sans qu’il ne m’en donne l’autorisation.
— C’est ça mon gourmand, lèche moi bien fort.
Alain avait sa main sur ma tête et commençait à contrôler mes mouvements. Je ne léchais maintenant plus que son sexe, mais au rythme qu’il me donnait. J’avais à peine atteint son gland qu’il m’arrêta brusquement.
— Si tu veux me sucer, il faut que tu me le demande gentiment
— J’ai envie de vous sucer
— Supplie moi, Jim
— S’il vous plaît, laissez-moi vous sucer
— Je t’ai dit de me supplier. Alain avait haussé le ton sur cette dernière phrase
— Je vous en supplie Alain, laissez moi vous offrir ma bouche, laissez moi prendre soin de votre queue avec ma langues et mes lèvres, s’il vous plaît…
— Mhhh c’est mieux mon garçon, continue
— Je vous en supplie, laissez moi vous faire jouir en moi, permettez moi de goûter votre sperme, je vous en supplie.
— Vas-y Jim, montre moi comme tu suce bien.
J’étais complètement sous son emprise. Jamais je ne m’étais senti aussi vivant qu’à cet instant où je me soumettait à cet homme. Il pouvait me demander n’importe quoi…
J’approchai mes lèvres du sexe d’Alain et senti sa chaleur avant même de le toucher. Que c’était bon ! De ma main droite, je tenais sa queue et découvrait son magnifique gland. Ma main gauche était appuyé contre son bas ventre. Je fermais les yeux pour mieux savourer ce moment que j’avais imaginé de nombreuses fois. Je posai mes lèvres sur son gland et avança lentement la tête. Je sentais le membre d’Alain entrer progressivement en moi. J’en avais maintenant plus de la moitié, c’était le bon moment pour revenir sur son gland et l’honorer de plusieurs coup de langues. J’entendais Alain gémir et louer mes qualités de suceur. J’aimais quand il me félicitais, cela m’encourageait à lui en donner plus.
— Oh Jim tu m’excite, continue comme ça et je vais venir dans ta bouche.
Je n’attendais plus que ça. Je n’avais aucune notion du temps et ne savais pas depuis combien de temps j’avais cette queue dans ma bouche, et ça m’était égal. Je faisais maintenant des vas et viens de plus en plus rapide avec ma bouche, et avec ma main, je le branlais avec énergie. Sa bite était dure comme de la pierre et ses gémissements me laissaient croire qu’il allait bientôt jouir.
— Oh oui c’est bon Jim, ouvre bien la bouche ma salope ça vient !!
J’avais adoré qu’il m’appelle ainsi. A ce moment précis, j’étais heureux qu’il me considère comme sa petite salope. Alain lacha un cri qui annonciateur de sa première giclée. J’étais prêt, bouche grande ouverte et langue tirée, à laccueillir. C’est entre mon nez et le haut de ma lèvre supérieur que la première salve s’écrasa. Je senti la deuxième giclée atteindre mon palais et ma langue, et la troisième giclée termina juste sous mes narines. Cette odeur de iode enivrante… après avoir passé ma langue sur mes lèvres, j’entrepris de nettoyer le sexe d’Alain avec mes lèvres, sans en perdre une goutte. Les râles d’Alain se faisaient de moins en moins forts et étaient de plus en plus espacés. Il me félicita lorsqu’il eu repris ses esprits :
— J’espère que tu as aimé autant que moi, mon garçon. Tu suces à merveille et j’aimerais qu’il y ait une prochaine fois. Mais pour le moment, laisse moi te faire jouir à mon tour.
…Et ça, c’est un autre chapitre 🙂