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fou de la femme de mon collègue – Chapitre 1




Mon collègue, parti dans le sud de la France travailler en chirurgie cardiaque, je ne l’avais plus vu mon depuis huit ans. je le savais marié et n’avais pu assister à son mariage retenu par le mariage de ma soeur. C’est en célibataire que je suis allé là huit jours me refaire une petite santé. Quand je suis arrivé,voyant son épouse Véronique, j’en suis tombé fou amoureux, une magnifique brune avec une croupe d’enfer, c’est elle qui m’a accueilli les bras ouvert, j’ai été sous le choc et elle s’en est rendu compte, elle m’a même dit: "je vous fais tant d’effet", j’en suis resté bouche bée. Sitôt installé, c’est au bord de la piscine qu’elle m’attendait avec un petit rafraîchissement local légèrement alcoolisé, habillée d’un maillot blanc une pièce qui la moulait comme un gant, une plastique à damner un saint. Nous avons parlé de François, elle m’a remercié pour tout ce que j’avais fait pour lui, elle m’a dit que François et elle ne savaient comment me remercier, que j’avais été tout pour lui, que sans moi, il ne serait jamais devenu cardiologue et et et… !

Ce n’est que vers 19 heures fourbu par une journée opératoire pleine de difficultés que François est revenu. Il s’est joint à nous vraiment content de me revoir,le temps d’un petit verre puis est parti prendre sa douche.

Nous nous sommes apprêtés pour le restaurant local et là encore, j’ai été subjugué par l’habillement de mon hôtesse, une robe longue rouge, fourreau au décolleté vertigineux qui ne permettait aucun mouvement à la décence … !

Déjà en voiture, ses seins n’avaient plus aucun secret, de beaux petits seins blancs, bien accrochés aux aréoles claires sur fond de peau bronzée, le chic du chic pour moi.

Sa démarche féline, sa robe montraient d’elle plus, que si elle avait été nue, aucune marque de slip, du sexy 100%.

Le souper fini, c’est en boîte que nous avons fini la soirée de ce début de week-end, que j’ai pu tenir cette merveille dans les bras. François piètre danseur comme à son habitude me confia son épouse pour la faire virevolter sur la piste, elle dansait bien, sa robe fourreau se prêtait bien à l’exercice, elle était ravie. De son côté François discutait avec un ancien de ses bons clients qu’il avait opéré et qui était un peu dans la bourse.

Je m’occupais de Véronique, j’étais aux anges, une série de slows nous rapprocha, elle n’était pas farouche, elle répondait aux sollicitations, le contact avec tout d’elle, son corps, son parfum, son entre-jambe éveillait en moi une envie qui devenait de plus en plus difficile à contrôler, elle devait sentir mon émoi, elle ne faisait rien pour s’en écarter. Me regardant dans les yeux, ne se défilant pas devant la situation scabreuse, elle me donnait son accord pour ce flirt volé. J’étais bien, j’étais avec elle, mon érection explicite valant tous les discours du monde. On se plaisait mutuellement, pourquoi pas en profiter discrètement sans faire de mal à personne?

Les slows finis, c’est déçu que j’ai ramené Véronique à François.

Vers trois heures nous sommes rentrés à la maison, là François m’a offert un petit dernier, un vieil Armagnac de 40 ans d’âge, tandis que son épouse s’était retirée dans la salle de bains.

Comment trouves-tu véronique ? Me demanda François ! Je lui confirmai n’avoir jamais vu de femme avec tant de grâce, de beauté, d’élégance. Nous nous couchâmes assez vite et ne pouvant trouver le sommeil, je fus maintenu éveillé par des bruits de sommier et de gémissements venant de la pièce voisine, Véronique faisait l’amour, la cadence de leur mouvement faisait grincer le lit, elle gémissait sous les coups de butoir, elle devait peut être faire l’amour avec François en pensant à nos slows, je fantasmais, je me mis à me caresser, j’écoutais, je bandais ferme sous mes draps, et puis je l’entendis hurler comme une folle, ce qui me fis éjaculer. Peut être l’avait-elle fait exprès !

Le samedi, levé de bonheur, François était parti chercher les petits pains, j’étais dans le couloir en boxer, allant vers la salle de bains quand Véronique en sortit en shorty, la poitrine à l’air.

Je restai là spectateur privilégié, Véronique sur place comme un lapin dans les phares d’une voiture me laissant admirer ses charmes. Je la pris dans les bras et lui donnai un petit baiser sur le coin des lèvres et nous rejoignîmes chacun nos chambres respectives pour être davantage présentables.

La voir évoluer dans son maillot blanc égailla toute ma matinée et l’après midi me do,na l’occasion de faire évoluer la situation, François étant appelé en urgence pour un triple pontage coronarien.

Sur les transats à la piscine, Véronique me demandant ce que je voulais faire de nos deux heures de liberté, je lui répondis, tu n’en as pas une petite idée avec un regard malicieux.

Elle se mit debout et vint vers moi, je la fis s’asseoir sur mon transat et je me mis à la caresser amicalement, puis mes caresses devinrent plus équivoques sans réaction de sa part, elle ronronnait, je gagnais du terrain, je caressais ses cuisses, je montais, mes doigts s’aventuraient entre les cuisses, toujours pas de réaction, je frôlais le haut des cuisses, à la limite du maillot, je gratouillais sur son fond de maillot qui devenait légèrement humide. Elle me demanda si je l’avais entendue la nuit, qu’elle avait hurler plus fort que d’habitude, qu’elle l’avait fait pour que je prenne conscience que prise la nuit par son mari, c’est avec moi qu’elle était mentalement, que les slows et mon érection avaient éveillé en elle un besoin d’être prise. Je l’ai attirée, je l’ai regardée dans les yeux plusieurs minutes, je lui ai dit qu’elle était magnifique, que j’avais envie d’elle, je l’ai embrassée avec fougue, nos bouches écrasées, elle s’est libérée et m’a dit: prends moi fort, elle est rentrée en courant, je l’ai rattrapée, je l’ai coincée contre le mur, les bras en l’air, j’ai dégagé son maillot jusqu’à mi-cuisses, je l’ai retournée et courbée sur la table de la salle à manger et j’ai pris possession de cette femme sublime, ma tige s’est enfoncée dans son vagin doucement, j’éprouvais un plaisir infini à la posséder, à la pénétrer, je vivais un rêve, je rentrais comme dans du beurre tellement elle mouillait abondamment, j’étais au fond d’elle, je ne bougeais plus puis, je me suis mis en mouvement, sortie, entrée, sortie, entrée, je me sentait en érection comme jamais, son cul était aussi en mouvement, elle cherchait aussi son plaisir, et excitée comme une puce, elle hurla comme jamais ce qui déclencha en elle mon éjaculation … !

Le reste de la semaine fut idyllique, masturbation nocturnes, l’entendant gueuler avec François et baise torride la journée avec la femme de ma vie .

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