Histoires de sexe à l'école Histoires tabous

Des vacances entre père et fille – Chapitre 7




Nous sautions sur nos jambes, rompant notre étreinte, Maxime reprit sa lecture et je minstallai sur le transat voisin, feignant de faire la sieste. Mon père apparu sur le seuil de la baie-vitrée, chargé de sacs du traiteur chinois. Il avait son air jovial, nous laissant supposer quil avait eu une bonne partie de baise. Maxime abandonna sa lecture et jaidai mon père à ranger les courses.

Le soleil commençait à baisser et la fraicheur du soir à sinstaller. Laprès-midi avait filé à la vitesse grand V. Je décidai daller enfiler une robe en laine légère, manches courtes, col rond, de couleur pêche, elle arrivait juste au-dessus de mes genoux. Jattachai mais cheveux en une queue de cheval, faisant tomber mes boucles noirs sur mon cou. Je me remettais un coup de crayon noir et de mascara. Le résultat dans la glace me satisfaisait et jallais rejoindre les hommes sur la terrasse. Mon père en mapercevant siffla dadmiration, et Maxime qui essayait de garder un air « je-men-foutiste » ne put réprimander lui aussi un petit sourire de satisfaction. Mon père se permit une réflexion, comme il commençait à en avoir lhabitude quand Maxime était là, son côté un peu « je suis un salaud avec les femmes » :

« – Pourquoi tant de chichi ? Il ny a personne à séduire ici, puis on ne sort pas se soir.

— Ce nest pas grand-chose, juste comme ça.

— Bon, après tout on sen fout. Donc Max je te disais »

Maxime ne me lâchait pas des yeux et moi non plus. Je lui plaisais, et ça me plaisait. Il finit par détourner son regard pour écouter mon père. Lionel, que jadorais quand nous étions tous les deux, que ce soit en tant que père ou amant, mais que je détestais quand il était avec Maxime. Probablement quil avait lhabitude davoir ce genre de comportement avec ses amis dici, même avec ses conquêtes. Mais quand nous étions sur Paris cétait lhomme le plus respectueux que je connaisse. Jamais de mots déplacés envers les femmes, il ne parlait jamais de ses « plan-cul ». Alors quici il tenait un discours totalement diffèrent qui me faisait presque le détester en linstant présent, peut-être même un peu plus depuis que je savais que Maxime me convoitait. Surtout maintenant, quil nous racontait son après-midi :

« – Donc quand je suis parti tout à lheure je suis allé directement chez Maho, tu sais la petite japonaise qui vient de Londres ? Je suis arrivé chez elle, je te dis pas lair surpris quelle avait quand elle ma vue. Elle savait déjà ce qui lattendait. Avec son air innocent elle était bandante je te dis pas. Elle avait une mini-jupe avec un petit haut blanc à travers duquel on voyait ses petits tétons roses pointer. Elle ma gentiment proposé un thé, que jai accepté pour le fun. La voir se trémousser dans tous les sens pour mettre leau à chauffer, sortir les tasses bref, je mimaginais déjà en train de la prendre par tous ses petits orifices. Elle sest enfin assise en face de moi pour me servir mon thé et on a parlé de tout et de rien. Elle était tellement mal à laise, à attendre la suite. Alors je me suis affaler un peu plus sur son canapé et je lui ai demandé de mon rejoindre. Elle ne sest pas fait prier. Je lui ai montré leffet quelle me faisait, et sans rien lui dire elle ma baissé mon pantalon pour me faire une pipe phénoménale ».

Je ne pouvais pas en entendre plus, je trouvais ça écurant que mon père ose ce genre de détail devant sa fille. Je quittais la terrasse en débarrassant la table. La nuit était bien tombée et je commençais à être fatigué, la pendule de la cuisine indiquait seulement 22h30 mais je ne tenais presque plus debout. Je décidais de rejoindre la chambre damis où je retrouvais un peu de sérénité. Je plongeais dans un sommeil profond. Une douleur à lépaule me réveilla en plein milieu de la nuit. Il me fallut quelques minutes pour en comprendre la cause. Mess bras étaient au-dessus de ma tête, attachés par un tissu, lui-même attaché à la tête du lit. Jétais totalement nue et mon père se tenait à mes côtés à mobserver en me caressant le corps avec une main distraite.

« – Alors ça ne tintéressait pas de savoir ce que jai fait à Maho tout à lheure ?

— Non, pas vraiment. Javais les larmes aux yeux rien que de repenser à la conversation de la soirée.

— Je vais quand même te le dire, ce que je lui ai fait, tu es parti quand je vous racontais quelle me suçait, ensuite je lai attrapée et menée jusquà sa chambre, puis je lai déshabillée et attachée comme je tai attachée, avec le même foulard. Elle était allongée comme toi maintenant. »

Et comme il lavait fait la veille, mon père me décrivit ce quil avait fait à sa jeune asiatique en même temps quil me le faisait. Il lavait dabord caressé de manière sensuelle. Ses mains chaudes glissaient sur mon corps, parcouru de frisson. Puis il pinça mes tétons, très fort, et un petit cri étouffé séchappa de ma bouche. Il continua de les pincer jusquà les faire ponter et gonfler de manière satisfaisante. Sa bouche se posa enfin sur ma peau brulante il me mordilla mes tétons à tour de rôle. La douleur provoquée, irradiait dans mon bas ventre. Je bougeais mon bassin au rythme du plaisir qui montait en moi. Il finit par me le plaquer contre le matelas avec son corps lourd, minterdisant tout mouvement. Lionel continuait à me meurtrir mes tétons en les tétant frénétiquement et moi je gémissais des « papa » silencieux. Je ne pensais pas pouvoir prendre autant de plaisir juste en soccupant de mes seins. Je sentais mon liquide charnel couler entre mes jambes et jattendais la délivrance ultime. Lérection de mon père se frottait contre ma cuisse. Je suppliai mon père de me faire jouir, mais il continua à sattarder sur mes seins. Puis il sarrêta, me laissant pantelante.

« – Ensuite jai lécher la chatte de Maho qui était toute mouillée, elle a eu un premier orgasme, et je lai pénétrer violemment, elle a dabord crié de douleur et son plaisir est revenu et elle a vibré entre mes reins, mais pour toi je marrêterai là, cest ta punition pour essayer dallumer Maxime devant moi, tu crois que je nai pas vue ton manège se soir.

— Non papa, sil te plait, fini moi. Je pleurais vraiment maintenant, de frustration.

— Je ne voulais pas lallumer, je voulais juste être belle, pour moi. Tu ne peux pas me laisser comme ça, papa, sil te plait, je suis ta fille et tu maimes, tu ne peux pas me laisser dans cet état, pas ta petite fille chérie. »

Ces mots furent mon salut. En effet, ça lui faisait trop de mal de laisser sa fille chérie dans cet état. Il posa alors férocement sa bouche sur mon sexe, et à peine sa langue toucha mon clitoris que je sombrais dans un orgasme sans fin. Il me lapait, me titillait, me léchait avidement. Il enfonça deux doigts en moi quil bougea sur mon point g, javais envie de hurler de plaisir, mais je ne pouvais pas, je me retenais ce qui en augmentait le plaisir, et un autre orgasme s’abattu sur moi. Lionel libéra alors son érection de son caleçon et me pénétra très délicatement. Il me fit lamour le plus doucement et sensuellement possible. Mon père était une montagne de contradictions. Du connard il passait au romantique, du violent à laimant. Je finis par mendormir dans ses bras, ne sachant de quoi demain serait fait. Entre Maxime et Lionel je ne savais ce qui allait se passer.

Quand je me réveillai, la matinée était bien avancée, mon père nétait plus dans le lit et des bruits me parvenaient du couloir, jenfilai mon short de nuit en mon débardeur et passait la tête dans le couloir. Mon père et Maxime débarrassait la chambre. Mon père maperçut et me lança un sourire radieux :

« – Bonjour beauté, bien dormi ? Le petit dej est prêt, on te rejoint dans 5 minutes le temps de descendre ça au sous-sol. »

Je lui souri à mon tour et constatai que Maxime feignait toujours lindifférence. Je sautillais alors pied-nus jusque à la terrasse, à la fois heureuse et dessus. Mon père était redevenu aimable avec moi mais Maxime restait fermé et malgré le fait quil ait insinué quil pourrait y en avoir plus entre nous, il feignait lindifférence totale.

Je minstallai à la terrasse, le temps était agréable, il faisait déjà chaud mais une brise légère rendait lair respirable. Je fermais les yeux pour apprécier la caresse du soleil sur mon corps. Des lèvres chaudes vinrent se poser en un baiser sur les miennes. En ouvrant mes yeux, Maxime se tenait devant moi, un sourire jusquaux yeux, satisfait de son « entrée ».

« – Salut ma belle, tu es ravissante au matin.

-Salut.

-tu as perdu ta langue ?

— heu non, je suis juste un peu perdue, après ce qui sest passé hier tu continues de mignorer, et là tu membrasses

-ton père arrive, je voulais en profiter avant, je ne veux pas quil se doute de quoi que ce soit, il me connait avec les filles et je ne veux pas quil croit que je vais te faire pareil car il me semble quavec toi ça pourrai être diffèrent.

— il te semble ?

-oui, il me semble, et ça me plait. »

Je lembrassais à mon tour de manière moins pudique. Un toussotement nous fît sursauter, mon père venait de nous rejoindre avec le café chaud.

Related posts

Paul et moi on baise sa femme – Chapitre 1

historiesexe

Stéphanie, chirurgienne et salope – Chapitre 10

historiesexe

?rotisme et amitié -b – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .