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Patricia – Chapitre 3




Je suis remonté au magasin, et elle est là, souriante, le client, enfin, elle pense que c’est un client, est mon ami Patrick, c’est moi qui lui ai dit de passer…. Je le salue, d’une grosse vanne très ? distinguée ?. Il faut dire que je connais mon Patrick depuis des années, et que nous avons fait les 400 coups ensemble, buveur, jouisseur et surtout ami dévoué ! Mais bien sûr Patricia ne le connaît pas ! Lui est antillais, un monstre, 35a, 1m95 120 kg de muscles, et le pire, c’est sa bite, le père Rocco, peut se rhabiller elle fait bien 30 cm déployée ! Moi, je me sens minable à coté de lui ! Il fait semblant de choisir de la peinture et demande bien entendu conseil à la vendeuse….

Je passe derrière eux, et lui demande s’il est satisfait des conseils de ma nouvelle vendeuse. Il me dit qu’elle n’a pas l’air au bien courant, et qu’elle a du mal à lui conseiller le type de peinture adéquat… Je gronde la belle, et en passant derrière elle je lui pince violemment les fesses !

— Mais non, ne sois pas aussi dur si elle est nouvelle !

— Tu sais il faut bien sinon, on ne s’en sort pas avec le personnel, mais j’avoue qu’elle commence à me satisfaire !

— En plus elle est très jolie, t’as de la chance de travailler avec une femme aussi désirable ! quel magnifique décolleté mademoiselle…..

— Madame répond sur la défensive l’intéressée !

— Tu sais tu peux l’appeler Patricia, je suis sûr qu’elle ne verra aucun inconvénient à te faire profiter un peu plus de ses trésors !

— Mais monsieur……

— Ecoute pat, sois plus gentille, tu ne veux pas me faire perdre mes clients quand même….

— Laisse Laurent, elle a raison, mais c’est dommage qu’elle n’ait pas un bouton de plus dégrafé !

— Tu as entendu, montre un peu ces si jolis seins !!

— Monsieur !!!!!!!!

— Bon ça suffit, montre lui tes nibars ou t’en prends une !

— S’il vous plait, juste un bouton alors…..

Le sillon qui se dévoile, énerve, je le vois bien mon ami, je passe derrière elle, lui flatte la croupe en la félicitant, elle se doute bien maintenant du guet-apens, mais se trouve piégée, et partie comme est partie cette journée, elle me parait complètement désinhibée !je l’entraîne dans un coin du magasin, où je sais que personne ne peut nous voir et d’où je peux surveiller l’entrée ! Il y a aussi à cet endroit une caméra de surveillance, dont Patricia n’ignore pas la présence, mais qu’elle a complètement oubliée !

Je passe mes mains sur sa poitrine, malgré les peu convaincants reproches qu’elle me fait. La sachant vaincue, je baisse le haut de sa robe et malaxe ses mamelles à travers le soutien-gorge sous le regard exorbité de mon ami !

— Putain, qu’elle à l’air bonne !

—  ?a tu l’as dit, qu’est ce que t’en penses, c’est pas de la bonne grosse salope ?

— Je ne sais pas, je peux goûter ?

— Te gènes pas, c’est ma tournée !

— Je n’ai pas vraiment le temps, mais je ne vais pas faire la fine bouche ! je ne veux pas décevoir la demoiselle !

— Tu vas voir ma Pat, quelque chose que tu n’as jamais vu !

Je lui retire son soutif, lui tiens les mains derrière le dos, mais elle ne se défend plus depuis un moment, elle s’est abandonnée à mes caresses et laisse mon ami prendre ses gros seins dans les mains…

— Ca doit être la première fois qu’un mec doit arriver à empaumer tes seins comme ça, t’as vu la taille de ses mains…

— Ouiiiiiii gémit elle….

— Vas y Patrick, amuses toi !

Je lâche ses bras et pendant qu’il la pelote avec vigueur, je fouille sa chatte, qui est inondée, je me rends compte à quel point, cette femme est en manque, elle est prête à tout accepter pour jouir ! Je la pistonne pendant que Patrick étire ses tétons de ses longs et forts doigts de charpentier, il a les mains rugueuses et fortes de 20 ans de durs travaux. Elle couine de plus en plus, et mon pote gobe un téton, et l’aspire comme un nouveau né, cette chienne que l’on vient juste d’entreprendre se contracte violemment, agrippe mes mains pour les enfoncer plus encore dans sa chatte trempée et à un orgasme cyclonique….. Heureusement qu’il n’y a personne, c’est presque l’heure de la fermeture !

— Ca te dirait de la sauter ?

— J’ai pas vraiment le temps tu sais, c’est tentant, mais je dois vraiment partir !

— Ok, ce sera pour une autre fois, je te la garde au chaud, mais fais toi faire une petite pipe au moins, j’ai commencé à lui apprendre, tu verras, elle y met de la bonne volonté !

— Si t’insistes alors…..

— Et je voudrais qu’elle voit la bête !!!!!

Elle n’a aucune réaction, le matin même, mon pote aurait eu droit à une gifle, mais là, elle s’agenouille docilement devant lui…. Quand il sort le monstre à demi bandé de son pantalon, elle a un mouvement de recul effrayé, ne sachant que faire. Patrick lui prend gentiment la main et la pose sur son membre qui frémit sous la caresse.

— Vas y, branle la doucement, t’as vu comme elle est belle ? elle est pour toi !! elle te plait ?

— …..

— dis moi….

— Euh…oui, mais elle est si euh ….grosse, j’ai jamais vu le sexe d’un noir, et j’ai jamais imaginé que ça puisse être aussi euh….

— Gros ?

— Ce n’est pas gros, ce n’est pas naturel, je ne pourrais jamais mettre ça dans ma bouche !!!

— Mais si, tiens passe ta langue dessus, voilà, comme ça, tu sens comme elle commence à durcir,

— Oh mon Dieu…. Oui, c’est magnifique !

— Voilà, avale le gland….doucement avec les dents…..

Et elle qui le matin ne savait même pas qu’une telle chose était possible (enfin, elle l’imaginait, mais avait toujours refusé de le faire….) est là, à genoux dans mon magasin, en train de téter comme un petit animal, le gland d’un grand black ! Patrick lui a pris la tête et l’enfonce dans sa gorge, elle hoquette à la limite du haut le coeur, la bite est au fond de la gorge et pourtant elle n’est même pas enfoncée à la moitié, impressionnant…. Elle bave mais le grand antillais est toujours au fond de sa gorge, lorsqu’il la lâche avec un grand sourire, elle pleure et crache toute la bile qu’il l’a obligé à avaler et à garder dasn la bouche…..

— Salaud lui crache t’elle

— Ta gueule et suce…..

— C’est horrible, c’est trop gros !

— Et tu verras quand j’aurais le temps de m’occuper de toi, tu seras tellement élargie qu’un cheval pourra te piner !

— Jamais !

J’interviens pour lui dire de recommencer sa pipe et de la fermer, elle se met donc à le branler et à téter prudemment le bout du gland, le gars se laisse faire, elle lui masse les couilles et chipote sur le bout du gland.

A ce moment la porte s’ouvre et le mari entre. Merde, on a laissé passer l’heure de la fermeture et le cocu se pointe ! Je me précipite vers lui avant que Patricia ne s’aperçoive que son mari est là !

— Bonsoir, comment allez vous !

— Bien bien, bonsoir, je ne vois pas ma femme !

— Euh… elle est dans la réserve, elle finit de la ranger, tenez allez donc au café en face, je vous offre un verre, je vais vous la chercher, je ferme et nous vous rejoignons !

— D’accord à tout de suite….

Le cocu parti, je vais les rejoindre et Patrick est en train de prendre son pied, ma vendeuse a pris la mesure de l’énorme bite et elle est en train de la pomper comme une folle, mon copain s’accroche à ses cheveux et lui imprime le mouvement….Décidemment, on ne fait pas dans la douceur avec cette chienne ! Elle s’applique, et mon ami a vraiment l’air d’aimer ça ! Il la relève par les cheveux et l’embrasse goulûment en fouillant sa chatte trempée avec son énorme battoir, elle lui rend fougueusement son baiser. Toutes ces fausses prudes sont vraiment des volcans à découvrir.

— tant pis j’avais dit que je n’avais pas le temps, mais il faut que je te baise….

— Oui, vas y prend moi salaud, tu es une ordure, je te hais, tu me fais mal, mais baise moi, j’ai envie de ta pine d’âne dans ma chatte.

— Tu vas voir pétasse, je vais t’écarteler comme tu l’as jamais été ! je vais te faire gueuler….

— Baise moi…

— Dépêchez vous les enfants, il est tard interviens je.

Patrick sort une capote, l’enfile, fait s’appuyer Pat contre le mur et commence à la pénétrer en levrette…. Elle a les yeux exorbités et des sons sans suite s’échappent de ses lèvres. Elle ne pensait visiblement pas qu’une telle chose existait ! Elle se rebelle un instant, mais je me glisse entre le mur et elle et scelle ses lèvres d’un baiser ! Je la maintiens pour qu’elle puisse cambrer sa croupe et faciliter l’introduction.

— Voilà, ça y est je suis entré, je bute au fond de sa chatte, putain, je ne trouverais jamais une nana qui puisse m’accueillir entièrement !

— ….

— Tu dis rien ma Pat, comment tu la trouves sa pine ! ça change de la mienne ou de celle du cocu !

— …

— J’y vais, tout doucement, la vache que tu es étroite, je suis bien là, je ne vais pas me retenir longtemps, tellement elle est serrée !

— Dépêches toi y a le mari qui vient de passer…

— Nonnn pas mon mari…

— T’inquiètes je l’ai renvoyé, mets y du tiens pour que ce grand couillon gicle vite !

Docile et effrayée elle agite du croupion et part vaillamment à l’assaut du pieu qui l’écartèle ! Patrick commence à gémir et s’agrippant à ses seins commence à lui donner de violents coups de boutoirs. Je ne reste pas inactif et lui branle le clito ! Elle s’accroche comme elle peut à moi, mon pote lui démontant la chatte avec enthousiasme ! Elle qui avait du mal à accepter son énorme sexe hurle son bonheur. Heureusement que j’ai fermé la porte ! Elle a deux orgasmes successifs, et je l’empêche de tomber, tellement elle s’abandonne dans mes bras !

C’est une poupée sans force que je retourne pour que Patrick au bord de l’explosion puisse jouir dans sa bouche. Elle est sans réaction et il s’engouffre dans sa bouche et la lime un moment, annonce qu’il va jouir. Il s’enfonce le plus profondément possible et gicle en râlant !

— Putain quelle chienne !!! ahhhhhhhhh c’est bon ! bordel quel coup t’as trouvé là, on va la présenter à nos potes ! ahhhhh….

Il sort sa pine de la bouche de ma maitresse et son foutre coule de ses lèvres.

— Eyyyyy laisse pas perdre ça salope, avale tout

— Oui monsieur

— Laurent tu tiens une grosse chienne la laisse pas partir !

Patricia avale tout le foutre qu’elle a dans la gorge, récupère celui qui a coulé et avale de bonne grâce. Elle pousse même la ? courtoisie à nettoyer la bite de mon pote !

— va te rafraîchir, on va boire un coup avec ton mari !

Elle revient 3 minutes plus tard, pimpante, on voit bien à sa démarche qu’elle est ravagée du soubassement, mais bon on dira qu’elle a travaillé dur ! Nous nous dirigeons tous les 3 vers le bar ou son mari en est à sa 3eme bière !

— Ah enfin dit il ! vous abusez d’elle dit il, inconscient de ses paroles !

— Il y avait du boulot, d’ailleurs j’ai du demander à mon ami de nous aider, on ne trouve pas de personnel en cette période !

— Nos enfants pourraient peut être se faire un peu d’argent dit Michel !

— Tu ne vas pas les faire travailler en vacances lui lance sa femme effrayée !

— Pourquoi pas !

— Je vais y réfléchir, excusez moi, je dois m’absenter quelques instants, reprenez un verre !

Je m’éloigne en faisant signe à Patricia de me rejoindre dans les toilettes. Apres tout, j’ai vraiment envie ils m’ont excités tout à l’heure ! Pat me rejoint au bout d’un moment !

— Vous ne comptez pas embaucher mes enfants !

— Je ne sais pas lui dis je en pensant à la silhouette de sa fille laetitia !

— S’il vous plait !

— En attendant pompes moi….tu m’as excité tout à l’heure !

— Mais ….

— Vite salope !

Elle dégrafe mon pantalon et me suce comme une cinglée, je suis obligé de la ralentir pour qu’elle ne m’arrache pas la peau de la bite ! je la ralentis, et lui impose mon rythme, cette pute me fait tellement bander, m’excite à un point tel, que je n’arrive pas à me retenir longtemps !

— Je vais gicler salope, laisse rien tomber, tu as pas faire une tache sur ta jolie robe…..

Elle se soude à ma queue et je gicle comme à 20 ans, décidemment elle est trop bonne ! Elle avale tout, et sort prudemment ma bite de sa bouche, se jette sur les dernières gouttes, et me nettoie comme une vraie pro…..

— On dirait que tu commences à aimer le foutre…

— Oui monsieur….

— Il était comment celui de Patrick ?

— Je ne sais pas, j’étais vraiment dans un état second, j’ai mal au vagin…

— Ok allons les rejoindre !

Patrick devise gaiement avec le cocu, en lui racontant comment il avait baisé une bourgeoise qui ne s’y attendait pas, sous les rires égrillards du mari, un peu gai !

— Enfin, Patrick tu n’as pas honte de raconter ce genre de chose, devant une dame !

— Ce n’est rien rougit Pat, en faisant mine de ne pas comprendre !

— Et croyez moi les amis, cette salope ne perd rien pour attendre….

J’interromps la conversation, paie et prends congé ! Je vois bien Patrick passer la main sous la jupe de sa nouvelle conquête ! Elle ne réagit pas et cambre même les reins…. Intéressant….

A suivre….

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