Il est minuit quand Rémi et Cristal rentrent d’une réception. Rémi est âgé de vingt six ans, sa sculpturale épouse de vingt trois. Cristal va à la salle de bains pour se démaquiller, pendant que Rémi l’attend impatiemment pour lui faire l’amour.
-Vite..dans mes bras ma chérie…hum…mais tu es toute mouillée..
-J’ai tellement envie de toi mon amour, répond Cristal.
-De moi ou de Guy, ce vieux porc de cinquante ans, vous étiez proche ce soir.
-Quoi…tu sais bien que je le hais depuis qu’il a coulé l’entreprise de mon père.
-Tu sais qu’il s’est juré d’avoir la fille aussi, ce qui explique la présence de sa main sous ta jupe peut être.
Cristal est complètement déroutée, ne sait que répondre. son mari l’a surprise, peut être l’a-t-il vu jouir.
-Heu…bégaie Cristal, c’est pas ma faute. En fait, lors d’une bousculade, j’ai senti des mains monter sous ma jupe. C’était lui.
Il m’a quitté ma culotte, menacé de la faire voir à tout le monde, si je ne me laissais pas faire. J’ai été obligé d’accepter.
-Et ta chatte pleine de mouille, c’est lui qui te la faite mouiller…
-Oui…c’est lui…quel vicieux.
-Et ton clito, dur comme une bille, c’est lui aussi. Il a dû te le gratter pour qu’il soit dans cet état.
-Oui…c’est lui aussi..si tu savais comme il me l’a doigté..
-Quel salaud, poursuit Rémi, il a voulu m’humilier moi aussi…et après..vas-y, continue.
-Tu me gronderas pas, ça risque de te savoir mal.
-Je prends le risque…vas-y…raconte.
-Il a glissé une main entre mes cuisses, fait pression pour que je les écarte. Il m’a caressé la fente, décalotté le clitoris, puis a glissé deux doigts dans ma chatte. Il a compris que je me régalais quand j’ai commencé à mouiller. Il a commencé à me branler. Je sentais son souffle dans mon cou.
"Tu aimes salope, me disait-il, ça t’excite de te faire branler devant tout ces gens…tu veux que j’arrête..
Je lui ai murmuré que non, que j’avais envie maintenant. Je me suis mordue les lèvres pour ne pas hurler de plaisir lorsque j’ai joui sur ses doigts. J’ai posé ma main sur la sienne pour qu’il continue à me caresser mon petit bouton. C’était tellement bon.
-Tu es folle, gronde Rémi, as-tu pensé à moi au moins…et après..que s’est-il passé.
-Je suis allé aux toilettes, et l’ai rejoint dans la ruelle obscure derrière le bâtiment, comme il me l’avait demandé. Il m’attendait..Il a insisté pour que je lui donne mon soutien gorge.
"Je veux avoir l’ensemble, me dit-il"
-J’ai ôté ma chemise, et me suis retrouvée à moitié nue. Il a enroulé la jupe autour de ma taille, m’a caressé les seins, m’a doigté le clitoris, et m’a fouillé la chatte, jusqu’à ce que j’ai un second orgasme. Là..j’ai pu hurler de plaisir. Après, il m’ a ordonné de lui tailler une pipe, de tout avaler, et de lui nettoyer le zob. Puis, il s’est mis dans mon dos pour me bloquer. J’étais impuissante, les seins à l’air, tendus en avant, jambes légèrement écartées. Là, il a interpellé un groupe de jeunes, deux garçons et une fille .
"Hey, les jeunes, venez vous faire plaisir, venez vous amuser, elle est toute chaude"
-Tu parles, ils ne se sont pas fait prier. C’est la fille qui s’est avancée la première. Une jeune, les cheveux en pétards. A son regard, j’ai de suite compris que c’était une petite vicieuse. Elle a saisi mon clitoris, l’a fait rouler entre ses doigts, puis m’a mis un doigt directement dans la chatte.
"Oh la garce, riait-elle, mais elle est pleine de mouille…qui t’a fait ça?
-Sors tes doigts de là , sale pute. Elle m’a mis une paire de claques sur les fesses.
-Hé…sois poli…je suis pas ta copine moi, ok? C’est qui la pute ici, hein, c’est qui?
-Aie..aie…c’est moi…oui c’est moi…arrête…
-Un autre copain me palpait les fesses, m’a mis un doigt dans mon petit trou.
"Par contre, là c’est sec, Cathy, mouille le un peu que je la sodomise"
-J’ai senti une énorme bite coulisser dans ma rosette, puis se mettre à me limer. le troisième me caressait les seins, en m’embrassant farouchement. Il m’a forcé à me pencher, et m’a enfourné sa queue dans la bouche pour que je lui taille une pipe. je sentais son gland taper au fond de ma gorge, puis il a craché tout son jus.
"Allez salope, pompe moi le dard…vide moi les couilles…bien…oh putain…"
-Quant à la fille, elle a baissé son string, m’a pris la main et l’a guidée vers sa chatte.
"Tu me fais mouiller, sale pute…vas-y, doigte moi le clito…après, tu me boufferas la cramouille, d’accord?
-C’est la première fois que je faisais ça à une femme. Je l’ai faite jouir, tu te rends compte. Moi aussi, ils m’ont fait jouir ces salauds. j’avais beau leur dire que j’étais marié, je crois que ça les excités encore plus.
-Enfin, Guy est parti en brandissant mon soutien gorge et ma petite culotte.
"Tu viendras la récupérer, me dit-il, vendredi."
-Les jeunes ont continué à me niquer. Quand un me sodomisait, je taillais une pipe à l’autre. Quand la fille me doigtait, je lui bouffais la chatte. Oh putain, quelle soirée.
-Le salaud, dit Rémi, il t’a forcé à faire ça. Il a osé te piquer l’ensemble que je t’ai offert. Tu ne vas pas aller le récupérer j’espère.
-Justement si, il m’attend vendredi, c’est ton cadeau, et tu sais que je tiens à ce que tu m’offres. Il m’a dit de me présenter sans rien dessous, toute épilée, pour que ma fente soit bien dégagée. C’est sa secrétaire qui viendra me chercher.
-Il a vraiment envie de m’humilier le fumier, dit Rémi, il sait que je ne peux pas refuser.
Depuis, tous les vendredis, Rémi, en époux docile, accepte que Cristal passe la nuit chez son nouvel amant.
Le samedi matin, Rémi doit présenter sa ravissante épouse à ses parents. Tout est prêt. Il fait les cent pas devant la porte du garage, en attendant que son épouse rentre de sa folle nuit avec Guy. Quand la voiture se gare, il ne la voit pas. Et pour cause. la portière s’ouvre, et elle apparaît. Elle se dirige vers lui en s’essuyant les lèvres.
-Que faisais-tu, lui demande-t-il.
-Excuse moi mon chéri, je finissais de lui tailler une pipe. Bon, on y va?
-Pas trop fatiguée mon amour, tu as passé une bonne nuit, demande Rémi.
-Putain…si j’ai passé une bonne nuit..Si tu savais ce qu’ils m’ont fait ces deux vicieux…comme elle a joué avec moi…
-Tu pourras te reposer chez mes parents, tu verras, ils sont très gentils. J’aimerai que tu me suces pendant le trajet, tu veux?
-Oh non mon chéri, je crois que j’ai ma dose de sperme pour la semaine.
