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Assouvissement de mes fantasmes – Chapitre 1




Ma meilleure amie avait à peut près la trentaine. Elle était toujours habillé avec des fringues de mode plus qu’aguicheur. Elle était du genre nymphomane et pouvait baiser durant des heures chaque jour. Elle était très maigre, oscillant toujours entre 47 et 53 kg pour 1m74. Elle avait les cheveux blonds mais changeait régulièrement de teinture. Ces derniers étaient toujours lissés. Aujourd’hui, elle était blonde platine. Ses yeux était d’un vert émeraude. Son corps était parfait, j’adorais la voir de dos, ses côtes se voyaient tellement elle était maigre ainsi que sa cambrure qui était un appel au sexe. Ses seins étaient refait, car elle ne les assumais pas leur petitesse. Son seul défaut étaient ses fesses qui semblaient très grosses par rapport au reste de son corps quand elle était nue mais habillé, comme elle ne mettait que des tenues moulantes, c’était malgré tout très excitant. Nous avions déjà couché ensemble régulièrement, mais seulement des pénétrations et elle aimait se faire traité comme une princesse, donc ce fût toujours des relations très softs. Ce après-midi, son mari l’avait surpris avec un autre lit avec un autre gars (il lui fallut plus de 7 ans pour découvrir qu’elle le trompait régulièrement) et l’avais mit à la porte pour de bon. Elle prit donc une chambre à l’hôtel et vint me parler de son problème. Problème qui était de taille car c’était une fille très dépensière qui avait des goûts de luxe et vivait aux crochets de son mari. C’était une très bonne amie donc j’allais l’aider malgré toute. Mais me vint une idée peu morale. Je lui demanda si, en échange d’une belle somme d’argent, elle serait prête à assouvir bons nombres de mes fantasmes. Je la prévint qu’elle ne couperait pas à la sodomie, qu’elle risquerait d’avoir mal par moment et qu’elle serait prise pour un bout de viande. Ayant l’habitude de toujours commander au lit, elle hésita mais l’appât du gain la fit fléchir. Je lui dis aussi que j’aimerais filmer certaines scènes pour les immortaliser mais que sous aucune prétexte je les diffuserais. Je lui dis donc d’aller cherches le plus de fringues possibles. Elle connaissait mes goûts et savait ce qui m’excitait. Elle revint environ 40 minutes plus tard et j’avais préparer du champagne pour loccasion. J’avais eu le temps de passer à ce que j’allais lui faire, j’avais horriblement envie de me masturber mais je devais me retenir. Nous bûmes deux coupes, elle tentait de savoir ce que je lui réservais mais je me cacher bien de lui révéler.

Je lui dis qu’une fois qu’elle aurait fini sa coupe de champagne, nous allions commencé les festivité. Elle me répondit qu’elle avait envie de sexe également car elle n’avait eut qu’un seul orgasme de la journée.

Il fallait que je compare la taille de mon pénis à celle de son corps squelettique, histoire de l’impressionner et de booster mon égo de mâle. Je lui demanda de s’allonger sur le canapé et je lui enleva ses escarpins de taille 38. Je positionna la base de ma verge à celle de ses pieds, la taille était presque similaire ! Seul son gros orteil dépassait. Quant à ses talons, il devait mesurer 12 centimètres car ils faisait la moitié de ma bite. J’essayais d’insérer ma bite entre sa semelles et son pieds mais je n’y parvenais pas. Oui, j’ai un petit côté fétichiste. Je lui ôta une de ses chaussures et m’approcha de son visage. Je tentais de mettre ma bite dans l’ouverture d’où sortent les orteils. J’étais tellement raide que je pouvais forcer. Elle me fit remarquer que ce n’était pas prévu que je lui casse ou déforme ces habits. Je lui répondis que je lui en rachèterais et bien d’autres encore si elle voulait. J’enfonçais donc ma bite par l’ouverture le plus loin possible, remontant le long de la semelle et m’approchait de bouche pour quelques me lèche le gland. Je retira ensuite la chaussure et la jeta derrière moi. Je chopa mes burnes à hauteur de la bouche pour lui faire comprendre qu’elle devait s’en occuper. Elle se mit à les lécher, ma verge était dressées au maximum et se contactait toute seule avec l’excitation. J’écrasais ensuite ma bite sur visage, constatant que les deux étaient de la même taille. Je pris ma bite en main et lui donna à quatre coup successifs, rapide et fort en alternant joues droite et gauche. Elle me fit remarque que mon engin était une vraie matraque. Je lui ordonna de mettre sur les genoux. Je glissa ma bite entre ses aisselles et lui demanda de serrer fortement. Je donnais de coups de reins en faisant en sorte que mon gland touche sa poitrine. Oui, j’avais envie de glisser ma bite sur toute les parties de son corps avant de réellement la pénétrer ! C’était très excitant d’avoir une femme objet, c’était un vrai bout de viande qui bougeait sous l’impact de coups de bite. Je profita de la position pour enchaîner sur une branlette espagnole. Elle serra alors ses deux seins au maximum entre ma bite. Je donnais des coups de rein suffisamment forts pour qu’à chaque fois mon gland touche son menton. Je la mis ensuite sur le canapé, les nichons écrasés contre l’accoudoir de telle sorte à ce que je puisse glisser ma bite entre. Mais la sensation n’était pas si géniale et je la retourna comme une crêpe histoire de pouvoir faire une gorge profonde. Pas un seul centimètre dépassait de sa bouche, elle avait littéralement tout gobé. Je pouvais voir ma bite dans sa gorge et la sentir en donnant de petite tapes sur la gorge. Très vite, elle avait du mal à respirer. Je lui ordonna de se mettre debout et je me mis derrière elle, insérant ma bite entre ses deux cuisses fermées. Je donnais quelques coups de reins, c’était agréable de voir que ma bite dépassait de ses cuisses alors que j’étais derrière elle. Au moment au je stoppa, la coche compris qu’elle devait ma masturber les quelques centimètres qui dépassait. Je lui malaxais alors les deux seins et lui tenu la crinière et la baissa. J’avais envie d’une bonne pipe. Sucer, c’est quelque chose qu’elle adorait fait. Elle commença par mettre mon gland dans sa bouche et me masturbait de ses deux mains. Je lui en pris une pour la mettre sur mes couilles qu’elle malaxa alors. Je lui dis que j’avais envie de long allers-retours. Elle était très doué pour avaler pour avaler intégralement des verges. J’adorais la force qu’elle avait dans la mâchoire, ses succions étaient exquises. Sentais que j’allais jouir, je lui demanda de se rhabiller de la même manière dont elle est habillée dans la vie de tous les jours, à savoir comme une salope avec des des fringues de luxe. Je lui fis part de mon envie de la prendre à la sauvette toute habillée. Je voulais également qu’elle porte son sac à main sur son bras droit ainsi que ses lunettes de soleil.

Elle partit donc chercher son sac à main et le mis autour du bras et revint en talons aiguilles, bas résilles noirs une mini-jupe ainsi qu’un t-shirt moulant sa paire de loches artificielle. Je calibra la caméra de telle sorte à l’intégralité de son corps et commença l’enregistrement. Je m’avançais vers elle, la bite à la main. Arrivé derrière elle, je souleva aussitôt sa mini-jupe puis bloqua la ficelle de son string sur sa fesse gauche et en deux temps trois mouvements j’avais enfilé ma queue intégralement dans sa chatte ce qui la fit crier de douleur. Son vagin n’était pas du détendu j’y étais bien à l’étroit. De bon cur, je la pilonnais par derrière si fort que ses lunettes tombèrent au sol. Je maintenais par la ceinture pour pouvoir donner des coups forts et rapides sans qu’elles ne bouge de trop. Excité à l’idée de ce que j’allais lui faire, je senti que j’étais sur le point d’éjaculer. Je me suis retiré aussi vite que je suis entré et lui fis des bisous dans le coup, malaxant son sein gauche d’une main alors que j’éjaculais discrètement dans l’autre. Mon sperme était bien épais, je ne l’avais pas baisé longtemps. Sans la prévenir je lui mis la main sur le front et lui badigeonna mon sperme sur le visage. Je la reprit en levrette sans plus attendre, mais j’avais vraiment du mal à la marteler rapidement, venant d’éjaculer il y a peu et surtout , j’avais vraiment hâte de contempler le si joli visage maquillé que j’avais souillé. Jallai donc arrêté la caméra et lui dit que je voulais qu’on la regarde ensemble, mais qu’elle devait encore garder le sperme. Ce dernier s’écoulait de son menton, son maquillage ne ressemblait plus à rien : j’étais heureux d’avoir sauvagement pris une fille canon avec des fringues de mode et l’avoir souillé de la sorte.

J’étais du genre à éjaculer rapidement lorsque je suis très excité, il me fallait généralement seulement quelques minutes pour pouvoir repartir. Je lui proposai donc de visionner la vidéo. C’était fabuleux, je pouvais voir tout ce que je ne voyais pas. J’adorais de voir comment ses lunettes glissaient sur nez et tombèrent au sol. Je commençais à bander à nouveau, elle se tripotait le clitoris, ce qui du lui manquer car elle adore les longs préliminaires. Elle me fit remarqué que j’aurais pu y aller plus délicatement et me dit qu’elle n’avait pas compris pourquoi j’étais sorti si brusquement d’elle. J’ai adoré voir le moment où je lui tartinais le visage de sperme. Je pouvais voir la surprise et le dégoût sur sa tête, mais ça m’excitait à mort.

Je lui dis ensuite que cette fois-ci, je lui garantissais un orgasme. Je partis chercher une chaise et l’installa dedans. Elle écarta les cuisses afin que je puisse lui faire un cunnilingus. Je n’en avais pas spécialement envie, mais ce coup, je devais la faire jouir. Visiblement mes coups de langue sur son clitoris lui faisaient de l’effet. Je la pénétrais alors délicatement tout en étant à l’écoute du rythme qu’il lui convenait le mieux. Son vagin était toujours assez serrée.La connaissant, je savais que je devais lui toucher le haut du vagin pour la faire monter rapidement. Je sentais que sa respiration devenait de plus en plus rapide. J’augmentais alors la rapidité des coups de reins tout en veillant ne lui enfoncer guère plus que la moitié de mon sexe. Je devais éviter de regarder son visage, son maquillage salopé et le sperme qui la recouvrait m’auraient fait trop d’effet. Je sentais qu’elle allait venir, je continuais alors à accélérer puis, lorsqu’elle gémit à pleine voix et commença à se contracter, jenfilai alors l’intégralité de ma bite, touchant ainsi le col de son utérus.Elle hurla et essaya de me repousser mais elle était bien bloquée au fond de la chaise. Je restais profondément en elle en lui demandant si elle la sentait, elle me répondit que oui mais m’implorait de sortir, ce que je fis quelques secondes après.

Je lui dis qu’il serait bien qu’elle passe par la salle de bain se refaire une beauté. Je lui ai demandé de mappeler quand elle aurait fini de se démaquiller et de ne porter qu’une culotte. Une fois qu’elle était prête. En entrant dans la salle de bain, je la vis entrain de se mettre du fond de teinte. Elle avait eut la bonne idée de garder ses talons aiguilles et avait mis une culotte noir résillé. J’étais derrière elle, je regardais se fesses, bien qu’un peu trop graisseuses, elles restaient malgré tout très excitantes. Je glissa ma queue entre ses fesses et sa culotte, ce qui la fit rigoler mais elle me demanda d’arrêter car elle avait du mal à se maquiller. Je restais malgré tout à proximité d’elle, la bite collé soit contre son cul ou ses cuisses. Comme à son habitude, elle était maquillé à outrance, comme une voiture volée, ce qui accentuait le côté salope. Une fois le maquillage finit, elle se mis assise, enleva ses talons aiguilles. Je la regardais enfiler une autre paire de bas résilles noires. Elle y allait lentement. J’avais la bite à la main, une goutte perlant du gland. C’était très dur de ne pas me masturber. Je l’avais vis sortir une pair de leggings en cuir de sa valise. Je lui demandais de mettre d’abord à quatre pattes. Je glissa ma bite sous sa culotte et fit des allers-retour. En voyant le bout de ma bite sortir de sa culotte jusqu’au elle arrivait au bas du dos, je songeais à ce que ça allait faire quand je lui aurais flanqué de la cul. Deux minutes après, je lui dis quelle pouvait mettre son leggings. Pour couronner le tout, elle mit des cuissardes en cuir. Je n’en pouvais plus, j’avais qu’une hâte : la sodomiser. Elle enfila ensuite un corset et eut besoin de mes services pour le lacer et le serrer. Je le serra bien fort car ça l’a faisait avoir l’air plus squelettique encore. Sa taille était ridiculement fine et ses seins compressé aux maximum. Elle me dit qu’il fallait un peu, le temps que les côtes flottantes se mettent en place. C’était une bonne chose, car j’étais déjà trop excité.

Un bon quart d’heure plus tard, nous retournâmes dans la pièce principale, où je lui demanda de tendre son cul et s’appuyant avec ses deux mains contre le dos du canapé. Je baissa alors son leggings et sa culotte de telle sorte à voir ses fesses. J’écartais à la main ses bas résille puis insérera ma bite, d’un coup fort je détendit et cassa un endroit. J’essayai sans plus attendre de la lui foutre ma bite à sec dans le cul mais je voyais que son petit trou du cul était crispé. Elle me demanda un peu de préparation mais je lui répondu que ce n’était pas nécessaire si elle se détendait. J’écartais ses deux joues et tenta de glisser mon gland. Je poussais de toute mes forces, ce qui la fit tomber. Je l’a mis alors à terre sur le côté et leva son jambonneau droit. J’arrivais un peu à enfonce ma bite dans son cul mais je voyais qu’elle levait la main et que ses orteils se rétractaient quand je poussais. Je partis à la salle de bain rechercher ses talons aiguilles. Je lui enfonça alors une première aiguille puis fit quelques aller retour. J’insérai alors une deuxième elle tira les deux chaussures à droite et à gauche pour lui dilater un peu le sphincter. Je lui dit alors de retirer son leggings mais de garder les cuirasse, ça donne un côté garce qui m’excitait beaucoup. Je me mis assis sur le canapé et je tenais ma bite des deux mains. Je lui dis de venir s’assoir dessus. Elle y alla lentement, mais ça commençait enfin à rentrer. Au lieu de tenir ma verge, je tenais alors par la taille afin de la pousser vers le bas, la sentant hésitante. Je regarde son cul s’enfiler progressivement sur la bite, ce spectacle était fabuleux. J’aurais aimé que mes yeux soient une caméra. Je la regardais se trémousser sur ma bite, c’était la première fois que je lui foutais dans le cul, c’était un véritable rêve qui se réalisait. Peu de temps après, je la saisis et me mis debout tout en la tenant. Ma bite étant toujours bien dans son cul et devait lui déformer l’anus, elle hurlait de douleur. Je la posais donc par terre en lui demandant de se mettre à quatre pattes. Je m’amusais à faire des entrées et sortie dans son trou du cul pour le détendre un peu. Puis je lui dis de marcher. Elle marchait alors en avancer sur ses deux mains avants et ses genoux tandis que je lui ponçais le cul. La position n’était pas évidente à tenir et j’imagine que pour elle non plus mais ma bite était bien dressé en voyant mon objet sexuelle marcher comme un animal tout en se faisant prendre par derrière. Mon fîmes le tour de la pièce et arrivé à nouveau à hauteur du canapé je lui dis de se mettre dessus, toujours à quatre pattes.

Tout en me masturbant lentement, je contemplais son postérieur et ses cuissardes en cuir qui m’excitaient au plus haut point. Je m’approcha lentement d’elle, la bite gonflée au plus au point par l’afflux sanguin. Arrivé devant son cul, jempoignai brutalement ses jambes pour les écarter et les mettre autour de mon coup. Je n’en pouvais plus, je sentais le cuir sur ma nuque et j’étais à moins de deux centimètres du trou que j’allais dilaté. Deux, c’est également le nombre de secondes qu’il me fallut pour littéralement lui manger le cul et la saisir par les côtes. Je fais vraiment n’importe quoi tellement je suis excité. J’essayais de lui mettre la langue le profond dans un premier temps puis lui laper l’entrée de son trou de balle frénétiquement. Je donne tellement de coups de langue et de suçons que je m’enivrais du bruit que cela faisait. Je me leva ensuite en la chopant comme une vulgaire bout de viande. Ses jambes sont toujours autour de mon cou mais sa tête pointait vers ma bite. Je lui dit de serrer ses jambes autour de mon cou de plus fort qu’elle pouvait. Ma main gauche poussa son corps plus proche du mien et de l’autre, je pris ma bite et lui donna un grand coup dans le visage et la collais contre ses lèvres pour lui faire comprendre qu’elle devait me sucer. Je lui ordonnais de l’avaler au maximum et de faire des longs allers-retour. Je remis mes deux mains autour de sa taille et j’étais au ange : je lui broutais le cul comme une bête affamé tandis que sentais qu’elle avait bien du mal à avoir la tête à l’envers et me sucer.

J’en eu assez et la jeta négligemment sur le diva. Sans plus tarder, je l’empoigna par ses cheveux et la tira. Elle tomba du canapé sans rien comprendre puis marcha sur ses genoux jusqu’à ma porte d’entrée, avec beaucoup de difficulté compte tenu de la cadence que je lui imposaient en la trainant par les cheveux. La porte est recouverte d’une glace. Je lui dis de rester les genoux au sol et de se tenir avec les mains.. Je lui enfonça ma bite d’une traite et je donnais des coup de reins à m’en faire péter le frein. Je lui dis de regarder la pute dans la glace qui se faisait baiser et j’en faisais de même. J’étais très excité me voir la baiser et son maquillage commençait à nouveau à faire en sucette Je sortis quelques centimètres de ma bite de son cul de manière à pouvoir la tenir. Je pouvais ainsi faire levier et la faisait sortir un peu plus de son cul à la levant vers le haut. Je sentais que son anus avait du mal à se détendre et je pouvais voir dans la glace que son visage transpirait de douleur, ce qui était jouissif à contempler. Au bout d’un moment ma bite sortit intégralement de son cul et fait un petit rebond. Son trou de balle était bien défoncé.

Je lui remis ma bite au plus profond de son cul dans grand coup brusque et, sans prévenir, je m’accrocha a elle, et enleva les jambes du sol. Elle avait tout mon poids sur et je sentais que ma bite lui dilatait le sphincter vers le bas. Elle hurlait de douleur mais je ne réussi malheureusement à maintenir cette position que 4 ou 5 secondes. Je repris à la sodomiser normalement, par grand coup, le plus rapidement possible. Je sentais ses jambes fléchir ce qui m’incitait à la pilonner et sans retenir mon poids. A chaque coup je la voyais basculer de plus en plus vers le parterre. Elle se laissa tomber et était à présent sur le ventre à même le sol. Je serrais bien ses deux cuisses au maximum et mis les miennes pour maintenir les siennes. J’écartais ses fesses pour contempler se trou qui avait prit cher. Jinsérai à nouveau ma bite dans son cul, j’y étais vraiment bien Je recouvris ensuite son corps par le mien et continuant à regarder en direct ce que je faisais dans la glace. Me vint alors une idée. Je me mis en sens inverse, je continuais à la sodomiser mais je pouvais lui lécher les pieds et aussi donner des coup tout en écartant son sphincter vers le bas. Je ne tentais pas spécialement d’insérer ma bite le plus loin possible mais de lui détendre le sphincter Je le fais le plus possibles et à chaque fois j’entendais des coups de mains sur le sol accompagné de cri longs qui ne dis-continuaient pas.

Je m’assis ensuite assis à quelques centimètres de sa bouche, les jambes écartées longeant ses cou. Elle comprit qu’elle devait ouvrir la bouche. Je me branlais à toute vitesse et ralentit juste avant d’éjaculer en serrant bien fort ma bite. Je fais deux allers-retour et vis une première giclée sortir puissamment. Elle du atteindre le fond de sa gorge car je vis sa bouge de fermer aussitôt et sa la tête bouger vers le bas. Je du donc lui maintenir la tête afin qu’elle ne puisse plus la bouger. Je serrais de toute mes forces ma bite pour canaliser l’éjaculation et dirigea le second jet verticalement. Il longea le long de sa joue droite et alla se nicher jusqu’au recoin de son il droit. Je continuais à faire sortir les dernières gouttes mais cette fois mes couilles étaient bien vidées. Je saisis l’arrière de sa tête et la força a gober la totalité de ma verge et maintenu sa tête pendant une dizaine de secondes pour qu’elle ne puisse pas se défiler. Je me sentais léger mais cette petite gorge profonde forcée m’avait maintenu l’érection. Je lui redonna alors quelques coup de rein dans son cul, mais cette fois j’étais rassasié. Je partis chercher sa culotte qui était restée non long du canapé. Je me remis à nouveau à hauteur de sa bouche et frotta la bite un peu partout sur son visage pour répandre mon sperme sur son visage. J’essuyais ma bite puis son visage avec sa culotte que jentourai autour de mon sexe. Elle goba donc ma bite avec sa culotte pleine de sperme. Quelques secondes plus tard, je perdis l’érection mais j’étais l’homme le plus heureux.

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