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Charlène, sa nièce et son amie – Chapitre 6




L’été tire à sa fin, le Cap d’Agde se vide peu à peu. La faune hétéroclite, venue à la recherche de sensations plus ou moins fortes, reprend  pour la plupart le chemin du travail et du nord. Une grosse majorité des touristes plus ou moins sexuels qui hantent la station vient en effet des pays germaniques ou nordiques.

J’en ai encore la preuve ce jour. En rentrant du travail, je ramasse Ingrid, une teutonne autostoppeuse qui cherche à remonter vers son Berlin natal. Elle s’y est mal prise, choisissant de se poster sur une départementale qui ne dessert que quelques villages locaux au lieu de la nationale qui conduit à l’autoroute.

Bref, il est 20 heures passé et je lui propose en anglais de passer la nuit à la maison. Demain je la déposerai directement au péage ce qui lui permettra, vu son physique, de prendre rapidement son envol. Elle accepte.

Ma tante nous accueille avec un grand sourire. Je lui explique la situation et elle s’empresse d’élargir le repas prévu pour deux. Pendant qu’elle s’affaire je discute un peu avec notre invitée un buvant un verre sur la terrasse.

Ingrid à 38 ans. Elle a tout de la routarde. Sous sa veste de treillis elle porte un t-shirt mode débardeur vert pomme, sans rien dessous car on peut voir la pointe de ses tétons effleurer librement le tissu. Faut dire que sa poitrine confortable aide au spectacle. Un short en jean, coupé court, libère des jambes musclées, aux pieds des Converse rouge sans chaussettes. Le drapeau arc en ciel cousu sur la manche de sa veste donne une indication de principe sur son orientation sexuelle.

L’allemande a servi dans la Bundeswehr pendant plus de quinze ans. Ce qui explique son allure sportive. Elle a quitté l’armée l’année dernière et depuis elle voyage en stop surtout en Europe. La fille est grande, au moins un mètre soixante quinze, svelte, visage assez carré émacié avec de beaux yeux bleu, cheveux blonds et très courts à l’exception d’une tresse dans le cou.

Elle me pose à son tour quelques questions. Je lui explique que je nomme Charlotte, que je viens d’avoir 24 ans et que je suis infirmière. Enfin je lui indique que la personne qui partage cette maison avec moi est ma tante Charlène et que nous vivons en couple depuis plus de deux ans. Cette nouvelle déclenche un large sourire sur son visage. Nous échangeons un regard entendu.

Ma tante fait sa réapparition. Elle annonce qu’elle a changé ses plans. Il va falloir attendre une demi heure, le temps de la cuisson du plat qu’elle a préparé. Pour tuer le temps je propose une baignade à la teutonne, qui accepte.  Il y a un moment d’hésitation dans la phase déshabillage. La blonde me regarde pour savoir ce qu’elle doit enlever ou pas. Comme je me mets nue, elle en fait de même.

Le fessier est assez large, mais haut et bien ferme. Elle a le sexe rasé à l’exception d’un triangle régulier sur le pubis. Nous plongeons.

J’invite Charlène à nous rejoindre. L’eau est un peu fraîche et elle hésite.

"Allez Mamie, lance toi!"

Elle a horreur que je l’appelle Mamie. Même si je la taquine elle n’aime pas la référence  à ses  63 balais. Mais comme nous avons une invitée elle saute à l’eau nue comme un ver et  se rue sur moi. Je la maîtrise facilement  en lui tordant les poignets. L’allemande  observe notre jeu du coin de la piscine. J’embrasse contre son gré ma tante sur la bouche. Elle se débat toujours.

D’un signe de la tête j’invite notre invitée à se rapprocher, ce qu’elle fait. J’ai passé les bras de Charlène dans son dos et je les maintiens fortement. Je la fais tourner face à notre invitée. La teutonne a tout loisir d’observer le corps mince de ma captive. Elle regarde ses petits seins qui s’agitent dans l’eau au rythme des efforts que ma tante fait pour tenter de se libérer.

La germaine m’interroge du regard sur la marche à suivre. J’opine légèrement du chef. Ingrid se rapproche de nous la main droite en avant. Lentement elle pose la main sur l’épaule de ma tante et la laisse glisser, les doigts écartés. La caresse se poursuit jusqu’au ventre de Charlène qui fait toujours mine de vouloir s’échapper.

Visiblement la situation ne déplait pas à notre invitée. Après cette prise de contact Ingrid décide d’y aller plus franchement. Elle se colle à ma tante et l’embrasse effrontément tout en se frottant contre elle. Je condamne toute tentative d’évasion, elle peut y aller. L’allemande lâche les lèvres de ma tante pour se préoccuper de ses mamelles, de ses mains d’abord de sa bouche ensuite.

Charlène se tortille sans répit mais c’est maintenant plus par excitation que par jeu. Ingrid tout en aspirant les pointes saillantes dans son gosier a passé sa main entre les cuisses de notre captive et la masturbe vigoureusement. Ma tante rejette la tête en arrière et commence à gémir.

Je décide de la faire sortir de l’eau et l’entraine vers la terre ferme. Une fois là je la fais allonger sur le grand transat et lui maintiens les bras en arrière de la tête. Ingrid reprend son manège où elle l’avait laissé, triturant de sa bouche les tétons de ma tante pendant que sa main droite reprend son exploration gynécologique.

Tant pis nous mangerons froid ou brûlé.

La teutonne crache sur son index et l’enfile sans plus tarder dans le vagin de ma retraitée de tante, qui se cambre en serrant et écartant ses cuisses au rythme de la pénétration digitale. Ingrid lui travaille maintenant le clitoris de sa langue de manière experte, tantôt une petite léchouille, tantôt un broutage en règle.  Charlène commence à gémir en exécutant d’impressionnant mouvements de bassin. Elle soulève ses hanches pour mieux pour mieux gober l’appendice buccal de son invitée d’un soir.

L’allemande profite son avantage et insère son majeur dans la chatte de Mamie qui ronronne de plus belle. C’est fou comme elle est agitée ce soir.  Ingrid imprime a sa main des mouvements de rotation lents qui permettent d’écarter les grandes lèvres et les muscles internes. Quand la chatte est suffisamment distendue, elle y niche une phalange supplémentaire.

Là, ma tante ne bouge plus. Ingrid tente de fourrer son pouce dans sa cavité en le collant contre la paume de sa main. Ça prend du temps et pas mal de rotations supplémentaires, la dextre de la teutonne glisse lentement. La première partie du  pouce est rentrée. On arrive au point le plus large. Je vois les chairs intimes de Charlène tendues au possible. Elle gémit longuement.

Ingrid sait y faire. Avec une patience d’orfèvre elle ressort lentement son poing puis le replonge afin d’arriver à l’intromission complète. Les vieilles chattes ont de la ressource. Au bout de deux ou trois minutes la paluche germanique est définitivement enfouie dans le vagin de Charlène. Elle s’arrête un instant puis commence à la branler. De son autre main elle donne de petites claques sur le clitoris de la sexagénaire, qui jouit maintenant à n’en plus pouvoir. Des cris rauques inarticulés s’échappent de sa gorge.

L’allemande la travaille sans cesse, ralentissant un instant puis déchainant des coups de poignets qui vont butter contre l’utérus. Charlène éjacule à flots continus, son liquide   intime gicle sur le corps de son assaillante. Elle a les yeux révulsés par l’intensité de la pénétration et perd tout contrôle.

Ingrid devient sauvage. Elle la pince,  la gifle sur la poitrine, le ventre et les cuisses. Chaque claque déclenche un petit cri suivi de spasmes incontrôlés.  L’allemande arrache soudainement sa pogne du ventre de ma tante et la saisissant par les cheveux l’oblige à lécher sa chatte. Debout jambes écartées, elle lui saisit la nuque à deux mains et presse sa face contre sa vulve.

Je maintiens toujours les poignets de ma vieille tante, mais dans son dos cette fois. Elle n’a d’autre choix que de brouter le minou de sa compagne éphémère. Celle ci éructe des mots dans la langue de Goethe, en frottant avec véhémence son entrecuisse contre le visage pourpre de Charlène. Elle jouit soudainement comme une dingue puis repousse la tête qui vient de lui donner ce plaisir en arrière et lui pisse largement sur le visage. Ma tante reçoit la douche dorée bouche ouverte, le liquide trop abondant ruisselle sur son cou et sa poitrine.

L’allemande lui fait laper son sexe jusqu’à ce que la dernière goutte d’urine ait disparu, puis elle l’embrasse goulument avant de la relâcher, pantelante. Charlène me regarde en plissant les yeux  sous les gouttes du liquide acide qui coule encore sur son visage. Je lui fais comprendre que je suis désolée pour son repas mais qu’il y  a parfois des impondérables qui viennent contrarier les plans les plus construits.

Nous mangerons donc froid.

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