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La petite femelle – Chapitre 4




La petite femelle, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire Sa majesté la salope. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.

Si vous le voulez bien, encore un récit qui a trait notamment à ma passion pour l’exhibitionnisme. L’expérience est beaucoup plus récente que la précédente

Ce soir, mon maître a invité à dîner un collègue de travail. Agréable, pourvu d’un joli visage et de belles et fortes mains. J’aime les grandes mains très soignées. La vue de mains calleuses ou pleines de cambouis m’excite terriblement mais je préfère encore les mains blanches et soigneusement entretenues. A la vue d’un gros pouce à la peau claire, fort, puissant, même un peu gras, avec des ongles parfaitement coupés et arrondis, mon cul envoie à mon cerveau un tas de messages qui y mettent un peu la pagaille Et plus mon regard s’attache aux mains de notre invité, plus je le trouve sexy. J’ai une robe à jupe très ample et à la taille ajustée. Elle découvre largement mes épaules mais cache mon absence de sous-vêtements.

Mon maître, avec un regard discret et complice dans ma direction, lui confie sa passion pour la photographie et lui propose de voir ses uvres avant le repas.

Ils sont maintenant installés à portée de main l’un de l’autre, sur des fauteuils petits mais bien rembourrés, près d’une table basse. Je me tiens debout à côté du fauteuil de mon maître.

Il montre les photographies l’une après l’autre, les examinant chacune au préalable, avec soin, tandis que notre hôte est occupé avec la précédente. Leurs dimensions sont celles du papier à lettre commercial. Elles sont d’une netteté extraordinaire.

Sur la première photographie, je suis en combinaison noire, ne portant en dessous qu’un porte-jarretelles retenant des bas à revers brodés. La vue de cette première photo laisse notre invité interloqué. Son regard cherche celui de mon maître mais déjà, celui-ci fait mine de s’intéresser au cliché suivant. Je me dis qu’il doit éprouver un plaisir de marchand d’esclave à permettre ainsi au premier venu, car enfin je ne connais pas cet homme, d’accéder à l’image dénudée de sa « petite femelle ». C’est, de toute évidence, des satisfactions de cet ordre qu’il recherche aujourd’hui.

Le regard de l’homme cherche alors le mien. Nous ne prononçons aucune parole. Il me dévisage, et je le regarde droit dans les yeux, les joues un peu rouges sans doute, mais extrêmement fière et commençant à être très excitée. Une foule de sensations me traverse l’esprit :

— Peut-être me prend-il pour une putain. Oui, j’ai l’air d’une petite pute !

Cette pensée déclenche en moi plusieurs vagues de plaisir. Je suis très troublée de m’exhiber ainsi en image.

— Qu’est-ce qui me fait mouiller comme ça ? Provocation, exhibitionnisme, irrespect, sens du spectacle. Sans doute un peu de tout ça.

L’homme reprend l’examen du cliché qui me montre debout. Je n’ai pas de chaussures aux pieds et je relève à deux mains le tissu léger de ma combinaison, exposant aux regards mes cuisses entrouvertes et la petite toison triangulaire surmontant la fente de mon sexe.

Une de mes jambes est droite, l’autre a le genou très légèrement plié, le pied ne reposant qu’à demi sur le sol. Une des bretelles de ma combinaison n’est pas mise et celle de gauche a glissé sur l’épaule. La lingerie noire se trouve ainsi de biais, barrant l’un de mes seins en son milieu et dégageant l’autre presque entièrement. Ce sont des seins fermes, point trop abondants, assez écartés, avec de belles framboises grenues en leur centre.

Le visage, sous mes cheveux bruns, est très réussi : les yeux consentants, les lèvres disjointes, un air mêlé de charme ingénu et de soumission. La tête s’incline sur le côté, vers le sein libre et la jambe qui s’écarte un peu.

A mes côtés, sur le bord de l’image, on aperçoit la partie antérieure d’un lit de fer

La seconde photo, prise de plus près, montre le lit dans son ensemble. C’est un lit de fer à une personne, peint en noir, dépourvu de couvertures. Quant aux draps, ils sont dans le plus grand désordre.

Je suis dans la même tenue. Je suis allongée en travers du lit sur les draps bouleversés, à plat ventre, mais un peu tournée de côté, une hanche plus haute que l’autre. Mon visage s’enfonce dans l’oreiller, sur lequel sont étalés mes cheveux bruns. Mon bras droit, replié vers le haut, encadre ma tête. Le gauche, plus écarté, s’étend en direction du mur. On devine, de ce côté où la bretelle n’est pas enfilée, la naissance d’un sein sous l’aisselle.

La combinaison noire est encore largement retroussée, par-derrière cette fois, bien entendu. L’étoffe soyeuse a été disposée avec un art négligé, au creux de la taille et autour des hanches, dans l’évidente intention de présenter comme dans un écrin de ravissantes fesses rondes, pleines, fendues de façon très évocatrice. Leur modelé bien ferme accuse de jolies fossettes, mises en valeur par la posture dissymétrique.

Mes cuisses s’ouvrent sur un creux d’ombre. Mon genou gauche, ployé, s’avance en pointe pour disparaître dans un repli des draps, tandis que mon pied revient en arrière jusqu’à toucher ma jambe droite, étendue. La photographie est prise d’assez haut, de manière à offrir mes fesses à la vue dans la position la plus commode.

Avant de lui confier la troisième photographie, mon maître me fait un signe et je m’éclipse souplement. Il sert un verre de whisky à notre invité et déclare tout de go :

— Elle est belle n’est-ce-pas ? Et elle adore le sexe, tu verras

Notre hôte n’a pas le temps de s’interroger sur ces deux derniers mots. Je réapparais, dévêtue comme sur les photographies. L’homme cherche mon regard. Il est toujours aussi provocateur. Mes yeux brillent, mon visage s’est sûrement un peu plus empourpré : de gêne un peu, de plaisir aussi

Je m’installe dans le petit fauteuil qu’occupait mon maître, les jambes ouvertes, les genoux par-dessus les accoudoirs. Je masque mes yeux au moyen d’un bandeau noir et enlève ma combinaison. Puis je commence à me caresser l’intérieur du sexe tandis que mon maître invite à notre invité à reprendre sa place assise.

Le vernis soigné de mes ongles est d’un rouge intense. Dans l’ouverture béante de mes cuisses, l’index et le médius de ma main gauche écartent la lèvre de chair sur un des côtés, pendant que, de l’autre côté, le pouce et l’auriculaire de ma droite remplissent la même fonction. Le quatrième doigt de cette main est replié ; l’index touche l’extrémité du clitoris, en érection évidente ; plus bas, le médius pénètre de toute une phalange dans l’orifice bien dégagé. Sous l’éclairage de la lampe que vient d’orienter mon maître, la surface de mes muqueuses est rendue brillante par mes sécrétions.

— Tu peux toucher si tu veux, dis mon maître. Elle a une peau très douce

Sa main droite, posée sur l’accoudoir de mon fauteuil, n’a qu’à se déplacer un peu vers l’avant pour effleurer du bout des doigts l’intérieur de mes cuisses. J’ai un léger frisson.

— Très agréable, dit-il en s’adressant à mon maître.

Celui-ci reprend aussitôt :

— Et elle a une belle bouche Des jolies lèvres douces Savantes

Des photographies sont éparpillées sur la table basse. Je sais que l’une d’elle me montre debout, les jambes écartées, le buste fléchi en avant, les reins très cambrés, les fesses faisant saillie d’une manière agréable. Mes poignets sont liés ensemble par-derrière, à la hauteur de ma taille, au moyen d’une chaînette en métal brillant. Dans mes mains aux paumes ouvertes repose une cravache.

Sur un autre cliché, mes fesses sont marquées en tous sens par des lignes foncées, très nettes et bien distinctes, qui s’entrecroisent des deux côtés de la raie médiane, plus ou moins appuyées suivant que la cravache a frappé plus ou moins fort. Cette image où je suis enchaînée et offerte, est évidemment rendue plus émouvante encore par les traces cruelles des tourments que j’ai subi.

Je ne peux voir ces images à travers mon épais bandeau. L’homme s’est levé sans bruit, et, penché sur moi, m’embrasse, effleurant à peine mes lèvres, puis prenant toute ma bouche qui s’amollit et répond à ses caresses. Il me chuchote enfin quelques mots à l’oreille :

— Tu es une merveilleuse salope, tu vas continuer à te caresser d’une main, et de l’autre tu vas branler ton petit cul. En même temps.

J’obéis. Une de mes mains passe par derrière. J’ai cette région très sensible et je m’excite aussitôt de plus belle. Très vite, je commence à pousser de petits gémissements. Mais avant que je termine mon ouvrage, je me relève, ôte mon bandeau et commence à les branler tous les deux, puis à les sucer tour à tour.

Le spectacle de leurs deux verges orgueilleusement dressées me bouleverse. Mon maître s’allonge sur le tapis. Je me mets à quatre pattes et continue à le sucer. L’homme s’agenouille derrière moi et me claque les fesses, jetant un nouveau coup d’il sur les photographies éparpillées sur la table basse. Sa queue va et vient sur mon clitoris et je commence déjà à jouir. Puis il me lèche l’anus en griffant faiblement, avec ses ongles, l’intérieur de mes cuisses.

Je me retourne brusquement et m’empale sur la verge de mon maître. Je happe l’autre dans ma bouche. Je prends ses couilles dans ma main et les fais rouler doucement l’une contre l’autre. Je suce goulument un de mes doigts pour le mouiller, puis je l’introduis dans son cul. Il éjacule aussitôt. J’avale son jus jusqu’à la dernière goutte. Puis je fais subir le même traitement à mon maître chéri.

Nous reprenons notre souffle. Je reste étendue sur le tapis à côté d’eux, emplie de sperme et de joie.

— Je remplis les verres, dit mon maître. Pendant ce temps, fais-le rebander.

Il se lève. Je me tourne vers lui, met ma tête sur les poils de son torse et entreprend de le masturber. Quand je sens sa queue se raidir à nouveau, je m’accroupis sur lui, de telle manière que mon con se trouve à hauteur de sa bouche. Il me lèche le clitoris et l’entrée du vagin. Je suis si mouillée que cela fait un bruit de clapotis. Puis je m’allonge sur le dos et les regarde tous les deux.

— Baise-la, dit mon maître.

Il se couche sur moi de tout son poids et je sens ses poils drus contre mes seins. Je mets sa verge dans mon vagin et replie mes jambes. Il prend mes fesses dans ses mains et se met à me besogner.

Debout, mon maître nous regarde. Il a son verre dans une main et de l’autre, il se masturbe.

Bientôt, je perds tout contrôle, criant sans interruption, du fond de la gorge, la bouche grande ouverte, le visage renversé. Mon maître commente :

— Tu as vu comme elle est belle quand elle jouit, la petite femelle

L’homme prend son plaisir en même temps que moi

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