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Nous deux, Mary et Pierre – Chapitre 1




Moi, c’est Pierre, 22 ans. Je viens de finir mes études : trois ans à Rennes en électronique appliquée. Nous sommes début juin, j’attends les résultats de mes examens. Je viens de rompre avec Sandra au bout de 2 ans et demi, une camarade de classe. Notre relation s’est éteinte avec le temps. C’est mieux ainsi. Après mon stage de fin d’études, je dois décrocher un job dans une grande entreprise comme électronicien, et, bonus, dans ma ville natale ! Bien sûr il me faut avoir mon diplôme mais je suis confiant. J’ai chargé ma Clio de toutes mes affaires. Huit heures de route. Cela fait six mois que je ne suis pas rentré, je vais revoir Mary.

Non, Mary n’est pas une copine, pas non plus ma meilleure amie, mais tout simplement ma très chère maman. Elle est assez grande, 1.73 m, 54 kg, âgée de 40 ans. Les traits de son visage sont fins, le visage rond, et ses yeux noisette en forme d’amandes. J’ai hérité de la couleur de ses yeux. Et ceux-ci, encadrés par des lunettes rectangulaires noires, qui lui donnent un air mutin. Les cheveux châtains, longs, qu’elle tresse fréquemment en queue de cheval. De longues jambes galbées, des seins magnifiques, gros, en forme d’oranges, et qui se tiennent encore bien. Maman m’a eu quand elle avait 18 ans, fruit d’une relation avec son copain de l’époque, et qui a pris ses jambes à son cou lorsqu’elle lui a annoncé qu’elle était enceinte. Je n’ai jamais connu mon père. Maman m’a élevé toute seule, avec l’aide de mes grands-parents. Nous sommes nés à deux jours d’écart fin juin.

Me voilà arrivé. Maman a entendu la voiture dans l’allée, elle attend devant la porte. À peine descendue de voiture, elle me saute au cou, me couvre de bisous partout. C’est vrai qu’elle est vraiment belle ma maman. Habillée d’un short en jean bien court, et d’un débardeur qui met en valeur sa généreuse poitrine. Holà, il faut que j’arrête de la mater comme cela, c’est tout de même ma mère !

Je reprends vite mes habitudes dans cette grande maison héritée de mes grands-parents. Au quatrième jour après mon retour, l’attitude de maman change. Cela commence dès le petit déjeuner. Elle n’ose plus me regarder, elle rougit quand je lui parle, je trouve cela bizarre. Elle se fait plus chatte avec moi, elle se frotte contre moi pour un rien, vient contre moi le soir en regardant la TV. Arrive le jour où nous allons fêter nos anniversaires. Ce soir-là, j’invite maman au resto, elle en est toute joyeuse. Elle s’habille d’une robe d’été légère, les épaules dénudées et lui arrivant au-dessus du genou. Je suis certain qu’elle n’a pas de soutif, je ne vois aucune marque sous sa robe. Elle porte sûrement un string, et s’est perchée sur des escarpins blancs. Elle s’est bien sûr coiffée avec sa queue de cheval. Elle ne passe pas inaperçue en arrivant au resto, en me tenant par le bras, moi le petit jeune. Elle ne fait vraiment pas son âge. Pendant le repas, nous parlons de tout, de sa vie, de mes études, mes amours, les siens, mais là elle détourne la conversation.

Mary ne me regarde plus comme une mère, mais comme une femme qui cherche quelque chose, comme si elle voulait me séduire ! Si elle savait que je suis déjà et depuis longtemps sous son charme !… Je la désire, mais je n’oserais lui avouer. Un orage commence à gronder, maman n’est pas rassurée, elle a une peur bleue des orages. Je la taquine, je me moque, elle me dit d’arrêter et souhaite que nous rentrions.

Une fois à la maison, nous regardons la télé. Elle se colle contre moi, et plus l’orage gronde, plus elle se colle à moi. Son bras sur mon torse, ses doigts me caressent le ventre tendrement, j’ai l’impression d’avoir une femme amoureuse contre moi. Je reste sage mais ça me démange de la caresser moi aussi. Je suis fou amoureux de maman, et ça depuis l’âge de comprendre ce qu’est le sexe. L’orage gronde de plus en plus et maman n’est pas rassurée mais elle me dit « je vais me coucher et essayer de dormir malgré l’orage ». Il est vrai qu’il fait une chaleur à crever, une chaleur moite. Moi aussi je vais me coucher. Je me mets à poil tellement il fait chaud et prends un bouquin, je n’ai pas envie de dormir. La foudre vient de tomber pas loin de la maison.

Quelques secondes après, on toque à la porte, je tire le drap sur moi et je dis « entre ! » Elle se tient dans l’encadrement de la porte en nuisette transparente, je devine sa fabuleuse poitrine et sa jolie minette finement taillée. Elle a libéré ses cheveux. Elle me demande « je peux dormir avec toi ? J’ai trop peur mon chéri ». Je tire le drap, elle voit ma nudité, elle me sourit, se couche à côté de moi et me dit « merci mon amour je me sens plus rassurée ». Nous voici couchés sur le côté, face à face. Elle se rapproche de moi de plus en plus, elle pose sa main sur mon flanc et me caresse tout doucement. Boum ! Encore une fois la foudre tombe, maman sursaute, on se retrouve dans les bras l’un de l’autre, on se regarde dans les yeux, nos bouches sont à quelques millimètres l’une de l’autre. Et là, je prends pour une fois l’initiative : je pose mes lèvres sur les siennes. Mary ne me repousse pas, on se bécote longuement, et puis nous ouvrons tous les deux nos lèvres, nos langues jouent une grande sarabande, et ça dure une éternité Je sens ses tétons qui pointent, je les presse contre mon torse.

Ma virilité a bien sûr réagi, j’affiche une trique d’enfer, et je sens que maman mouille énormément. Je ne veux pas précipiter les choses, prendre notre temps, être doux, très doux, nous sommes tous les deux sur la même longueur d’onde. Nous nous embrassons toujours à perdre haleine, nous sommes en apnée, à bout de souffle, nous nous voyons obligés d’arrêter notre baiser fougueux. Maman me regarde avec son sourire de biche, elle me prend le visage dans les mains, et me dit « je t’ aime mon amour », je lui réponds « moi aussi ma chérie ». Je lui enlève sa nuisette, je vois son corps entièrement nu, elle est superbe ma Mary !… Et je reprends mon activité, je lui lèche, mordille les tétons, elle commence à gémir, ils durcissent, elle gémit de plus belle. Les mains toujours sur ma tête, elle me retient pour ne pas que j’arrête, je continue ma besogne avec joie, c’est merveilleux. Je réalise mon fantasme, vieux de plusieurs années, et d’un coup maman me dit « fais-moi l’amour mon chéri ! » Je suis aux anges d’entendre ça.

Je présente ma queue à l’entrée de sa merveilleuse minette, je la pénètre tout en douceur, centimètre par centimètre, de toute ma longueur. Maman ronronne, je ressors toujours en douceur et je replonge à l’intérieur de son ventre chaud et dégoulinant de cyprine. Maman est au paradis, je le lis dans ses yeux. Maintenant j’accélère, je rentre, je sors, pratiquement en entier, et je replonge aussi vite dans sa minette. Cela dure longtemps, je sens le plaisir monter, maman commence aussi à être parcourue de spasmes, son orgasme arrive. J’accélère encore, ses mains agrippent mes fesses et me font redescendre plus vite dans sa chatte. Notre orgasme arrive simultanément, il est fulgurant, intense, je me vide en elle, je la sens couler, nous crions tous les deux. Je m’affaisse sur maman, et elle me dit « putain que c’était bon ! »

Nous reprenons notre souffle, je m’allonge à côté de Maman, et du coup elle se prend la tête dans les mains et pleure, elle me dit « j’ai honte de moi, je me suis donnée à toi comme une vulgaire putain ! ». Je lui dis « mais non maman, on le voulait tous les deux ! Et je t’aime, tu maimes, quoi de plus normal de faire l’amour à la femme que l’on aime. Maman, je dois t’avouer plusieurs choses, je suis amoureux de toi depuis des années, je t’épiais quand tu étais dans la salle de bain, et je me masturbais en pensant à toi. Et j’avais, par-dessus tout, envie de toi mon amour ». Mary me dit alors « que c’est beau ce que tu me dis mon chéri ! Tu sais mon chéri, je n’ai pas beaucoup d’expérience dans le sexe, ça fait plus de cinq ans que n’avais pas eu de rapport sexuel. Je suis une débutante, je n’ai jamais vraiment sucé un mec, et suis toujours vierge d’un endroit ». Je lui réponds « Maman, on a tout le temps pour se perfectionner tous les deux !… »

Je recommence à bander, maman le sent contre sa cuisse, elle me branle pour me faire durcir et me dit « jeune homme, on reprend nos travaux pratiques, j’ai des années à rattraper point de vue sexe ! » Et on a remis ça jusqu’à l’extase totale. Après avoir repris notre souffle et calmé nos ardeurs, on se câline, se caresse, en s’embrassant tendrement. Je lui demande « Maman, j’ai une question à te poser : j’ai trouvé que ton attitude envers moi a changé, tu es plus câline, plus femme que mère, explique-moi ce changement ma chérie ». « Eh bien voilà, un matin en me levant de bonne heure, pour aller aux toilettes, en passant devant ta chambre, la porte était entrouverte. J’ai jeté un coup d’il, tu étais nu, en train de dormir avec ton érection du matin, et quelle érection mon cochon ! Tu rêvais peut-être de moi. Une chaleur intense m’a envahie, le feu brûlait dans mon entrejambe, je voulais te sauter dessus mais je me suis retenue. Je ne voulais pas précipiter les choses, ne pas passer pour une n’importe quoi, mais maintenant tu connais la suite, et tu m’as baisée, et même très bien baisée mon amour ».

Bien évidemment, on a dormi ensemble et nous avons remis deux fois le couvert dans la nuit !…

À suivre

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