Je monte dans le coupé Peugeot d’Anne-Lise. Une bonne voiture de petite pétasse. Parfait.
— Où voulez-vous que je vous dépose Isaiah ?
— Roulez, je vous dirai.
Elle obéit. Dans la voiture je reçois un SMS de Stéphanie :
— Isaiah, peut-être faudrait-il organiser une première réunion de travail pour notre projet ? Stéphanie.
— Je suis très occupé en ce moment, tu t’en doutes, je te redis.
Je décide de la laisser mariner un peu. Assise au volant, Anne-Lise lorgne sur moi, je le sens. Je remarque que sa jupe remontée laisse voir la lisière de bas.
— Je n’ai jamais bouclé une vente aussi vite je dois dire.
— Ah ah oui, je me doute. En même temps, je n’aime pas que les choses traînent.
— Vous semblez très différent de votre père.
— Ah ah vous trouvez ? Oui c’est sûr. En revanche, comme lui, je vous trouve superbe Anne-Lise. La différence c’est qu’il ne vous l’a probablement jamais dit.
Elle rougit.
— Euhhh. Oui… enfin, non, en effet.
— Vous auriez préféré que ce soit lui qui vous le dise ?
— Pardon ?
— A choisir, vous préférez que ce soit Carl ou moi qui vous dise que vous êtes une très jolie femme ?
— Je… je ne sais pas…
— Mais si tu sais Anne-Lise.
— … T… toi, j’imagine.
— Oui. Je pense aussi.
— Mais je… je suis fiancée.
Je laisse un grand silence. Puis :
— Tu sais Anne-Lise, une femme qui n’est pas sensible aux avances d’un homme, lui dit simplement qu’elle n’est pas intéressée, en couple ou pas, elle lui dit, non merci. En revanche, une femme qui avance comme premier argument pour refuser ces mêmes avances, qu’elle a un mec, ou bien qu’elle est mariée, ou bien fiancée, c’est une femme qui a envie de céder.
— Non, mais…
— Mais ?
Elle ne dit rien.
— Dans cinq secondes je vais poser ma main sur ta cuisse Anne-Lise. Tu peux me dire non, et je ne le ferai pas.
Elle ne dit rien, elle se cambre. Cinq secondes c’est court, parfois c’est long. Elle ne dit pas non, mais je ne bouge pas. Elle me regarde, elle demande. Je souris. Elle finit par elle, poser sa main sur mon entrejambe.
— Tu la veux ?
— Oui… Oui Isaiah.
— Retourne à mon appart. Une telle vente, ça se fête.
Elle roule, et me caresse la bite dès qu’elle peut. Je pose finalement ma main sur sa cuisse, elle frissonne. Se cambre encore.
On arrive dans l’appart, elle se jette sur moi, je lui roule de grosses pelles, une bonne main au cul. Elle s’accroupit devant moi, en ayant relevé sa jupe. Elle sort ma queue.
— Oh mais non, c’est pas possible.
— Ça te change ?
— Oh oui. Mais, il… il va s’en rendre compte, tu vas me défoncer.
Je souris.
— Tu peux juste me sucer si tu préfères, ça ne me dérange pas.
— C’est juste que j’ai peur qu’il voie… tu comprends… tu vas m’élargir.
— Bon, Anne-Lise, je n’ai pas toute la vie, OK ?… Allez, suce-moi.
Elle prend ma queue et l’embrasse puis passe sa langue tout du long.
— Voilà, mmmmmm, regarde comme tu me fais bander ma belle.
— Mmmmmmm, putain, elle est trop bonne en plus.
Elle me pompe à fond, sa main se glisse entre ses cuisses et elle commence à se caresser. Elle me lèche les couilles et me branle la queue de son autre main. Après quelques minutes de ce traitement, je lui baise la bouche et la fais baver.
— Alors ma belle ? Tu décides quoi ?
— J’en ai trop envie…
Je prends ma queue et fais claquer mon gland sur sa langue. Puis je l’aide à se relever, je lui retire sa veste, son chemisier, et sa jupe. Je l’embrasse, lui empoigne les seins, puis les fesses. Je lui ôte son soutien-gorge et son string tout trempé. Je la soulève et la porte sur mes épaules, sa chatte à hauteur de mon visage. Je commence à la lécher. Elle se tortille au-dessus de moi.
— Ahhhhhhhhhhh, putain, c’est trop bon, ahhhhhhhhhhhh
Je l’aspire, je joue avec son clito, je me colle à ses lèvres. Je la fouille. Elle finit par jouir. Je la repose. Elle est debout face à moi, elle colle sa bouche à la mienne, goûte sa mouille sur mes lèvres. Je la retourne et la plaque en avant sur la table, je me glisse en elle doucement. Elle est serrée évidemment, mais je ne la ménage pas pour autant. Je la pénètre, en plusieurs fois, elle se cambre pour moi, passe une main sous elle pour écarter ses lèvres encore un peu plus. Je la lime de plus en plus fort, elle commence à hurler de plaisir. Je lui soulève une jambe et accélère encore la cadence. Elle jouit et déverse un flot de mouille. Je reste en elle, la caresse. Elle tourne la tête et m’embrasse.
— Merci Isaiah.
— Parce que tu crois que c’est fini ? Je ne suis pas ton fiancé.
Je la retourne et la soulève pour l’asseoir sur la table, j’écarte ses jambes, la lèche de nouveau un peu, puis jambes écartées, je me glisse en elle. Cette fois du premier coup bien à fond. Une main sur sa belle poitrine, je la lime.
Après quelques minutes dans cette position, je passe mes mains sous ses fesses et encore en elle je la soulève ; instinctivement elle enroule les jambes autour de ma taille. Mes mains sur ses fesses la font aller et venir sur mon pieu bien raide. Elle est rapidement foudroyée par un orgasme encore plus violent que les deux précédents. Elle se met à danser sur ma queue, et moi tout au fond d’elle, je la sens fondre sur moi. Elle est envahie par un deuxième orgasme consécutif. Et s’écroule dans mes bras. Je l’embrasse, puis la repose. Elle s’agenouille à mes pieds, me branle entre ses seins comme elle peut, elle est dans un état second. Puis elle me prend en bouche, et me fait jouir. Elle avale ce qu’elle peut, le reste finit sur son visage, sur ses seins. Elle garde ma queue en main, et contre elle de longues minutes. Elle se caresse le visage avec, elle l’embrasse.
— Comment c’est possible…
— Le plus dur va être le retour à la réalité ma belle.
— Arrête ! Je suis sûr qu’il va s’en rendre compte.
— Et ?
— C’est pas toi qui es supposée l’épouser.
— A non, en effet. Allez, rhabille-toi ma belle.
Au moment de quitter mon nouvel appartement, elle se colle à moi et m’embrasse.
— Isaiah…
— Oui ?
— Je… il ne faut pas, mais je pense que je ne vais pas pouvoir ne pas te rappeler.
Je souris, lui mets une petite fessée
— Tu as mon numéro Anne-Lise. C’est pour t’en servir.
Une fois dans la voiture, je lui fais remarquer qu’elle ne m’a pas vraiment déposé là où il fallait tout à l’heure. Elle sourit. Je lui donne l’adresse de Sandrine et Jessica. Avant que je sorte de la voiture, elle m’embrasse, elle pose sa main presque par réflexe sur ma queue.
— Merci Isaiah.
Je lui roule une grosse pelle, et sors de la voiture. J’entre dans l’immeuble, prends l’ascenseur. Je frappe à la porte. C’est Sandrine qui m’ouvre. Elle porte une robe croisée au décolleté, à hauteur de genoux et des mules à talons compensés. Elle est ravissante, elle me sourit.
— Salut Sandrine.
— Salut toi. T’as de la chance de me trouver, j’allais partir.
Je la déshabille du regard et d’un sourire froid :
— Tu as surtout de la chance que je sois venu.
J’entre et la plaque contre moi.
— À moins que tu n’aies changé d’avis sur le divin de mon entrejambe ?
— Ah ah, tu m’as entendu dire ça ?
— Eh oui.
— Mmmmmm, coquin. Donc, non je n’ai pas du tout changé d’avis.
— Tant mieux.
— Et pourtant d’habitude, je ne suis pas du tout à bloc sur les blacks.
— Ah bon ? Ça tombe bien, moi d’habitude je ne suis pas du tout à bloc sur les célibataires.
Elle me regarde, et me roule une pelle. Mes mains se posent sur elle, parcourent son corps de rêve.
— Mmmm et si tu n’aimes pas les blacks, qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis pour moi ?
— Toi !
— OK.
— Et, c’est agréable d’être plus petite que le mec, même en talons.
Je passe mes mains sous ses fesses, fais remonter sa robe sur ses cuisses, et la soulève. Elle ne peut retenir un petit cri de surprise. Elle passe les jambes autour de moi et me sourit.
— Mmmmmm et ça par exemple, on ne me le fait pas souvent.
— Ça s’applique à tout ce qui va suivre ma belle.
Je la porte jusqu’à sa chambre. Je l’allonge sur le lit, on s’embrasse, on se caresse, on parcourt nos corps ; quand deux personnes avec un corps parfait se rencontrent, elles le sentent, elles en profitent, librement. Je la déshabille et elle me déshabille. Elle suce ma queue. Comme une reine, elle a l’habitude de gros membres je pense, elle n’est pas du tout craintive ou maladroite. Elle me couvre de bave. Entre ses mains et dans sa bouche, je suis tellement « détendu », que je me laisse aller, et finis par jouir. Elle avale tout. Jusqu’à la dernière goutte. Puis elle prend ma place sur le lit, sur le dos et je la lèche, longuement, je veux lui rendre le plaisir qu’elle vient de me donner, je la caresse, je la fouille, l’aspire, je l’embrasse, je me fonds en elle. Un orgasme puissant l’envahit. Elle a les mains posées contre le mur derrière elle, bras tendus, tout son corps cambré vers moi. Je reste tout contre elle. Quand elle revient à elle, je me glisse sur elle, je l’embrasse.
— Mmmm divin Isaiah.
Ma queue glisse en elle naturellement, elle est serrée, mais je la pénètre doucement, elle pose ses mains sur mes fesses pour me guider, rythmer la pénétration. Je tourne en elle et m’enfonce un peu plus à chaque fois. Elle redresse les jambes autour de moi.
— Baise-moi, baise-moi, mon Dieu.
Je vais et viens en elle, je la pilonne, mes mains la caressent, je l’embrasse, je lèche ses seins, ses tétons. Elle commence à crier de plaisir, j’accélère le rythme. Elle m’encourage à la baiser à fond, je ne me fais pas prier. La machine est en route. Un orgasme la secoue, et comme après être resté en elle sans bouger, je reprends la saillie, un second consécutif l’envahit. Je sens sa mouille couler contre moi. Ma queue est secouée en elle. Elle me serre contre elle. M’embrasse. Elle me regarde en souriant :
— Tu es déçu si je te dis que je suis une inconditionnelle du missionnaire ?
— Déçu ? Mmmm je le suis rarement quand une femme aussi belle me tient entre ses cuisses tu sais.
— Reste en moi, viens en moi bébé.
— A vos ordres.
Je reprends le mouvement, je suis tout au fond d’elle, j’alterne les va-et-vient, et les moments où bloqué au fond d’elle je tourne. Nos bouches ne se quittent pas, nos corps en sueur sont liés l’un à l’autre. Et alors que je la baise violemment, un dernier orgasme s’empare d’elle, au moment même où je déverse ma semence en elle, en jets puissants. Mon foutre frappe tout au fond d’elle et la remplit.
On reste immobiles de longues minutes, ma queue en elle, gonflée, qui se ramollit quelque peu, avant rapidement de reprendre de la vigueur. Sandrine le sent, me sourit, se contracte sur ce pieu divin, et de ses hanches m’invite à reprendre le mouvement sur elle. Je la baise de nouveau. Et l’énergie est tellement forte qu’elle jouit rapidement une dernière fois. Elle me caresse et m’embrasse.
— Wouaaaahhhhh. C’était juste incroyable.
— Oui.
— Ça, on ne me l’avait jamais fait.
Je l’embrasse.
— Je suis un peu égoïste, Isaiah, sur les positions. Au moins la première fois, j’aime trop quand le mec est sur moi comme ça. Et alors avec toi, excuse-moi mais je pourrais faire ça en permanence.
Je l’embrasse.
— Mais si tu veux changer un peu, vu que tu n’as pas joui là, on peut changer de position.
— Tu en veux encore ?
— Honnêtement ?
— Oui, toujours.
— Non pas vraiment là ; je suis comblée là.
— Alors tout va bien.
— Tu n’es vraiment pas comme les autres, toi.
Je l’embrasse et me retire d’elle, et m’allonge à ses côtés. On discute un peu, elle dans mes bras. On s’embrasse, je caresse doucement son corps qui frissonne. Sa main sur mon torse descend à un moment et prend ma queue encore largement vive. Elle me masturbe lentement, me sourit :
Peut-être quand même une petite gâterie avant de repartir Monsieur ?
— Ah ça, je ne dis jamais non !
Elle me prend en bouche et me suce de nouveau, c’est toujours aussi bon. Elle me regarde, elle m’avale littéralement, enchaîne les gorges profondes et alterne avec des moments de tendresse buccale. Je jouis une nouvelle fois dans sa bouche.
Alors qu’elle reste au lit, je prends une douche. Je viens l’embrasser, elle dort. Je lui laisse un mot : « cette chambre est parfaite sans les cadres que tu veux accrocher en plus. Dis-moi si tu veux quand même que je t’aide à les accrocher. Bisous ma belle. Isaiah ». Je pars.