Bonjour à tous,

Pour cette histoire, je vais changer mes habitudes. Contrairement aux précédentes, celle-ci fait partie de mes fantasmes. Je précise qu’il s’agit de fantasme que je veux conserver comme tel, je ne souhaite pas les assouvir (ou pas pour le moment). A savoir que le début est tout de même vrai.

Pour me décrire en résumé, je suis une femme de 42 ans maintenant, divorcée, à l’origine brune mais maintenant une couleur rousse, cheveux mi-longs, yeux noisettes, 1m64 ou 68 kg, un beau 90D (merci deux grossesses) et un beau cul que j’entretiens en faisant beaucoup de marche (j’évite l’ascenseur pour monter les 10 étages de mon immeuble quand j’en ai le courage), de la course à pied et du vélo.

Cette histoire démarre il y a quatre ans. Je viens de divorcer depuis quelques mois et mes relations sexuelles se limitent aux différents godes et vibros que j’utilise en regardant des films porno sur mon PC. J’ai du mal à vouloir me relancer dans une relation, même pour 1 nuit. Trop déçue par mon divorce (mariée pendant 10 ans, mis à la porte par mon ex pour une beaucoup plus jeune de 25 ans). Je regarde les pornos mais mon esprit se fait lui-même son film au fur et à mesure que la jouissance monte. Je m’imagine à la place de ces femmes se faisant prendre en gangbang par 10 hommes pendant des heures. Cela me rappelle des souvenirs de ma jeunesse !

Car depuis mon mariage, plus trop d’expérience excentrique. Il est arrivé que nous fassions l’amour dans la voiture pendant que des hommes se branlaient en nous regardant mais mon mari n’était pas partageur et hors de question de le faire à plusieurs, y compris avec des femmes (ce qui était mon péché mignon à l’époque de mes vingt ans). Je regarde aussi des BD et lis des histoires sur des sites spécialisés. C’est bien les histoires, on peut s’imaginer être la personne à qui arrivent les aventures plus facilement qu’avec des films où tout est montré.

Sur l’un de ces sites, je tombe sur des histoires zoophiles. Je n’ai jamais eu se penchant (pourtant j’en ai ou avais beaucoup !). Je commence à en lire une plus par curiosité qu’autre chose. Une femme qui se retrouve à garder le chien de ses parents et qui, en s’installant en sous-vêtements sur le canapé de la salle, se retrouve avec le chien qui lui renifle l’entrejambe et, bref, vous imaginez la suite…! Bizarrement, au lieu de me dégouter, cela m’excite. Je pense au chien que nous avions au début de notre mariage (un labrador) et fantasme à force de lire le récit sur le fait que ça aurait pu être moi avec mon labrador ! Je me vois en rêve à quatre pattes avec mon labrador me couvrant et me baisant jusqu’à se vider dans mon vagin. Je ferme l’ordi et commence à me branler violemment avec un gros gode. L’orgasme arrive très rapidement, plus rapidement que d’habitude. Comme si cette histoire m’avait vraiment excitée, bien plus que les gangbangs ou autres films et histoires vues jusque-là.

Le lendemain soir (je précise que les enfants sont chez leur père pour 1 mois de vacances d’été), je me connecte de nouveau sur le site et j’en choisis une autre machinalement et au hasard. Celle-ci est plus détaillée et je me rends vite compte que je suis encore plus excitée que la veille ! Ces histoires me plaisent vraiment ! Et l’idée de passer de l’autre côté de l’histoire et en être l’actrice commence à germer. Par contre, je n’ai pas d’animaux pour assouvir cette nouvelle déviance… Demander à des amis de prendre leur chien pour quelques jours ? Quelle justification leur donner… "Hey, j’ai très envie de me faire prendre par ton chien, tu pourrais pas me le laisser quelques jours ??". Sérieux, c’est trop glauque… Je me résigne à passer à l’acte et me limite à lire ces histoires en fantasmant dessus (et en prenant mon pied, je l’admets sans soucis…). J’en arrive même à ne plus lire que des histoires zoophiles avec des chiens ou des ânes ou chevaux. Là, je ne m’imagine pas du tout le faire mais qu’est-ce que c’est bon de le fantasmer sur un cheval qui te prends avec sa grosse queue ! Bref, je commence à être à me demander si je ne préfèrerai pas un chien plutôt qu’un homme…

Je pars le week-end suivant chez une amie (Christiane) du côté de Tours où elle a déménagé depuis quelques mois. Belle maison en campagne avec piscine dans un jardin sans vis-à-vis protégé par un mur faisant le tour. J’arrive pour le repas du midi. Apéro, une bonne bouteille de rosé de pays de Loire bien frais en mangeant, rien de mieux avant de se poser pour un après-midi bronzage bavardage autour de la piscine. Nous sommes très proches depuis une quinzaine d’années et c’est ma confidente privilégiée (on peut passer des heures au téléphone à se raconter nos histoires les plus secrètes !). Je précise que nous n’avons jamais couché ensemble, même si l’idée ne m’a jamais été désagréable.

Mais nous nous racontons tout de nos vies sexuelles, même si la mienne est plutôt morne depuis mon mariage. Elle sait pour mes expériences passées de jeunesse et les séances d’exhibe en voiture. Et je sais tout d’elle aussi (et elle n’est pas bi… Mais bien chaudasse !!). Nous sommes topless allongées sur des transats avec une boisson rafraichissante chacune (il fait pas loin de 30° à l’ombre).

— Alors ma belle, tu as retrouvé quelqu’un ?

— Écoute non. Pour l’instant, la seule queue qui m’a visité depuis la séparation, c’est mes godes…

— Hey, faut pas te laisser aller ! A force tu vas plus savoir comment on suce un mec !

— (Je rigole) Nan mais t’es conne ! Vu mon expérience dans le domaine, je pense que je ne suis pas prête à oublier comment on fait !!

— C’est sûr que tu es une belle salope pour ça (on éclate de rire).

— Et toi ? Toujours personne de fixe ?

— Non !! Surtout pas ! J’aime trop changer de queue à chaque fois ! C’est ça la vraie vie !

— C’est peut-être toi qui as raison…

— C’est sûr même !! Vraiment, tu ne reçois que tes godes ? Rien de plus vivant ? Et je ne parle pas de tes doigts, ça compte pas !

Non, rien. Et je n’ai même pas envie d’un homme…

J’hésite quelques secondes à lui raconter mes penchants découverts cette semaine. Et me ravise… Après presque 2h à lézarder, elle me propose une balade en vélo dans la campagne. OK, c’est parti ! J’enfile une robe légère avec juste un string dessous (le minimum pour moi). On part donc dans les petits chemins verts où on ne risque pas d’être gênées par des voitures et arrivons au sommet d’une colline au bord d’un champ qui se trouve être un pâturage pour chevaux. Trois juments sont en train de brouter tranquillement sur une partie et un mâle un peu plus loin à l’écart. Il est près de la clôture et nous pouvons admirer sa superbe robe marron. Les images des histoires me reviennent en tête et je ne peux m’empêcher de regarder vers sa queue qui malheureusement n’est pas sortie. Mais Christiane s’en rend compte.

— Tu es tellement en manque que tu mates même la queue des chevaux ???

— Oui, non, enfin là si mais…

— Mais quoi ?

— En fait, j’ai lu des histoires zoophiles sur un site et elles me revenaient en tête.

— Des histoires avec des chevaux ?

— Et d’autres animaux comme des chiens, des ânes, tu vois le genre.

— Et ?

— (Je soupire… Après tout, elle le découvrira bien). Et ça m’a follement excité. Cela fait une semaine que je ne fais que ça, lire ces histoires en m’imaginant à la place de ces nanas qui se font prendre par leurs animaux… Ça m’excite plus que de m’imaginer avec des hommes ou des femmes. Et tu sais à quel point j’aime faire l’amour avec les deux. (même si avec une femme, ça fait 15 ans que ça ne m’était pas arrivé me dis-je…)

— Je comprends, tu es en mode fantasme complet quoi. Mais tu n’oses pas imaginer le faire réellement.

— Non, enfin… Plus ça va, plus j’en ai envie… Tu dois me prendre pour une débile…

— Pas du tout, c’est un fantasme que beaucoup ont. Enfin, j’imagine. Et de voir ce cheval, ça t’excite… Et te donne envie d’essayer.

— Oui pour faire simple. Mais bon. Déjà, il ne bande pas donc c’est moins excitant. Mais j’avoue que je mouille quand même.

— Je suis sûr que si tu lui faisais sentir ton string, ça l’exciterait aussi ! (elle éclate de rire)

Chiche !

J’enlève mon string qui était bien mouillé et le tend vers le cheval qui avait la tête devant nous. Pendant que nous discutions, je lui caressais la tête… Je lui place la partie pleine de ma mouille sous les naseaux pour voir sa réaction. Il renifle, s’ébroue et renifle encore. Son énorme langue sort et il en donne un coup sur le tissu humide.

Nous regardons comme deux connes la bite du cheval pour voir la réaction… Qui ne se fait pas attendre. Son sexe commence à sortir de son écrin et à grandir. Je lui refais sentir mon string pour continuer à l’exciter. Sa queue prend une taille plus que respectable sous nos yeux ébahis.

— Tu vois, tu lui fais de l’effet !!

En effet ! Attends, je vais faire autre chose !

J’avais vu un rocher à quelques pas dont le haut arrivait au niveau du haut de la clôture. Je m’y dirige en l’attirant avec mon string. Il suis sans soucis. Je monte sur le rocher sous les yeux interloqués de Christiane. Regard qui veut dire "non, tu vas pas faire ça ?!". Je m’installe au bord du rocher, assise jambes écartées et attire le cheval toujours avec mon string jusqu’à amener celui-ci au niveau de ma chatte. Une fois le mufle du cheval à portée, je pose à côté de moi le string pour qu’il ne sente que ma chatte. Bingo ! Je le vois poser son museau entre mes jambes et sens son souffle chaud sur ma chatte dégoulinante. Puis sa langue sort et vient lécher d’un coup toute ma chatte, clitoris inclus. Une vague de chaleur m’envahit et j’étouffe un cri de jouissance. Je le laisse me nettoyer pendant plusieurs secondes. Christiane s’est approchée et n’en revient pas du spectacle. Je la soupçonne de mouiller aussi, mais elle ne le dira pas. Après plusieurs coups de langue, j’éclate dans un orgasme bienvenu.

— Tu es vraiment une salope ! Me lance Christiane, plus amusée que choquée.

— Oh oui, mais c’est tellement bon !

— Et le pauvre, maintenant, il a une trique pas possible et il peut même pas aller baiser une des juments ! C’est vache de ta part !

Tu as raison, le pauvre !

J’enjambe la clôture et viens caresser les flancs de l’animal. Il est docile et se laisse faire. Il essaye de tourner la tête pour retrouver ma chatte mais je ne suis pas bien positionnée pour ça. Et ce n’est pas le but de la manuvre. Je m’accroupis à côté de lui et descends mes mains vers son chibre gonflé et commence à le branler doucement pour ne pas le brusquer. Je ne sais pas la réaction qu’il peut avoir. Je le branle du gland à la base à deux mains car c’est vraiment large.

J’ai du mal à voir comment les femmes qui se font mettre par un cheval font pour se l’enfoncer. La texture est douce et chaude. Un filet de ce que j’imagine être un peu de sperme sort de son gland. Je continue mon action mais je veux plus. Je lèche donc le gland pour récupérer ce liquide chaud et épais. Le gout n’est pas désagréable, légèrement âcre mais je continue. Je le caresse d’une main (à moitié donc) et me branle en même temps pour me donner encore du plaisir. Je suis en train de prendre un pied d’enfer à lécher un cheval en me branlant le clitoris. J’essaye de mettre le début du gland dans ma bouche pour le suçoter lorsqu’une giclée de sperme m’arrive en pleine bouche ! Je ne peux pas du tout absorber cette décharge et les trois quarts se retrouvent sur mon visage et ma robe ! Il débande alors quasi instantanément, impressionnant !

Je repasse dégoulinante de l’autre côté de la clôture et retrouve Christiane qui, elle aussi, avait retiré son string et était en train de se masturber.

— Tu es une salope mais qu’est-ce que ça m’a excité !!

Et tu as joui en me regardant ? (je me doute que non vu qu’elle continue à se branler et son visage prend des grimaces montrant un début d’orgasme). Tu veux un peu d’aide ?

Je m’agenouille à ces pieds et plonge la tête encore recouverte de foutre équin entre ses jambes sans attendre sa réponse. Je retire sa main et lui lèche frénétiquement le clitoris en lui enfonçant deux doigts dans la chatte. L’effet est immédiat ! Elle pousse un cri sans équivoque et me lâche une dose de cyprine sur le visage qui vient se mélanger au foutre du cheval.

— Et bien, pour quelqu’un qui n’a baisé avec une femme ni avec un cheval, ça t’a bien plus tout de même !

— Salope, t’es qu’une salope ! Mais que c’était bon ta langue et tes doigts !

— Et de me voir faire jouir le cheval aussi non ?

— Mouis, j’avoue.

— Fallait venir avec moi !

— Non, je préfère regarder de loin… Mais maintenant, t’es dans un sacré état ! Regarde-moi ça ! Tu en as partout ! Il y a un ruisseau plus bas, on l’a croisé. Tu vas faire une toilette et te faire sécher au soleil… Tu ne peux pas repartir dans cet état.

Ok, tu as raison, c’est pas très raisonnable.

Nous arrivons très rapidement au ruisseau en question et descendons dans la nature pour être hors de vue de possibles promeneurs (quoique cela ne m’est pas venu à l’esprit lorsque je me suis abandonné avec le cheval…). Nous trouvons un coin bien à l’abri au bord de l’eau.

J’enlève ma robe et me retrouve nue. C’est à ce moment-là que je m’aperçois que j’ai oublié mon string sur le rocher… On verra plus tard. Je lave sommairement la robe comme je le peux puis me glisse dans l’eau. Elle est fraiche mais ça fait du bien. Je m’allonge pour être recouverte d’eau (c’est un ruisseau pas une rivière, au max, l’eau m’arrive au genou). Je regarde mon amie qui est restée sur la berge.

— Viens avec moi, ça fait du bien !

— Ok. C’est vrai que j’ai besoin de me rafraichir les idées !

Elle se met nue et vient s’allonger à côté de moi.

— Désolé de t’avoir prise de court tout à l’heure, mais j’avais envie de te faire jouir.

— Pas de soucis, c’était très bon de jouir en pleine nature comme ça, j’ai beaucoup aimé. Même si je ne sais pas si c’est la situation ou le fait que ce soit toi que j’avais entre les jambes qui m’a fait jouir au final.

Ça s’est facile à savoir.

Et je me déplace pour plonger ma tête entre ses jambes où l’eau était en train de couler. Je commence à lui bouffer le minou et je comprends que ce n’est pas que la situation qui l’avait excitée. Elle se mord la main pour ne pas jouir. Je me délecte de la situation et commence à la doigter et très rapidement, elle jouit de nouveau. Je rampe sur son corps pour venir l’embrasser. Elle me rend le baiser mais se redresse et va s’allonger sur la berge pour sécher. Je la rejoins mais m’allonge à 50 cm d’elle pour ne pas être trop insistante. Elle me regarde et me lance un grand sourire.

— Tu as raison, ce n’est pas la situation qui m’a fait jouir, c’est bien toi.

Et nous nous endormons au final dans les bras l’une de l’autre. Nous restons ainsi 30 minutes, le temps de se reposer et que ma robe sèche un minimum. Nous retournons sans un mot à sa maison. Nous allons chacun de notre côté prendre une douche et nous retrouvons toutes fraiches sur la terrasse pour un petit apéro (encore !). Les discussions sont diverses. On prend des nouvelles des uns et des autres mais nous évitons tout rapport avec le sexe. Nous mangeons de nouveau avec une bonne bouteille et je sens que la soirée va être spéciale… L’alcool aidant, la discussion change.

— Bon, je voudrais te parler de cet après-midi…

— Désolé pour t’avoir forcée, j’en avais tellement envie…

— Pas de soucis pour m’avoir baisée, avec le recul, je me demande comment nous ne l’avons pas fait plus tôt ! Non, je voulais te parler de ta zoophilie naissante. C’est une déviance sexuelle comme une autre, tu sais. Après tout, nous sommes tous des animaux. Si cela te plait, il n’y a pas de problème.

— Merci d’être compréhensive en tout cas. Cet après-midi, j’ai perdu la tête mais c’était tellement tentant ! Depuis 1 semaine, je ne pense qu’à ça… Mais bon, t’as vu la taille du machin ! Comment tu veux te faire prendre par ça !

— C’est vrai que c’est énorme ! Je te voyais le branler, tu y allais à deux mains pour faire le tour !

— Et impossible de le prendre en bouche ! Rien que le gland fait la moitié de mon visage !

— Oui, j’ai vu ! Mais si ça avait été un chien, tu serais allé jusqu’au bout ?

— Qui sait ?! Peut-être bien oui ! J’en ai envie en tout cas…

— Mais faut le chien !

— Oui c’est clair !

— Il y a bien la ferme à côté, ils ont plusieurs gros chiens mais bon.

— Oui, je me vois mal y aller pour en emmener un…

— En même temps, il narrête pas de me tourner autour… J’ai toujours repoussé ses avances, malgré le fait qu’il soit plutôt sexy, car je connais bien sa femme, elle est gentille.

— A quoi tu penses ?

— Ben je me disais qu’il allait souvent aux champs avec ses chiens sans elle… Si on y va à ce moment-là, on pourrait trouver un compromis… Il me baise et il laisse un de ses chiens te prendre…

— Tu rigoles là !?

Non, je suis sérieuse. J’ai envie de te voir te faire baiser comme une chienne. Et le fait que je l’ai toujours repoussé ne veut pas dire que je n’ai jamais eu envie de me le taper ! Comme ça, tout le monde est gagnant ! A part sa femme… Mais bon, je m’en remettrai !

Nous échafaudons donc notre plan pour réussir à le croiser le lendemain avec ses chiens dans un de ses champs suffisamment loin de la ferme pour ne pas être surpris par sa femme. Le reste de la soirée est faite de blagues plus ou moins graveleuses et d’alcool. Ce qui nous pousse à aller nous coucher complètement bourrées chacune dans notre chambre.

Le lendemain matin, nous mettons notre plan à exécution. Il part faire son tour à pied vers 9h pour rentrer à 11h. Cela nous laisse deux heures pour le trouver et le convaincre. Pour ce faire, tenue légère de rigueur. Moins de vêtements, c’est que nous sommes nues ! Robe très légère avec décolleté abyssale pour Christiane, pas de soutif et string très… Léger. Robe courte et légère pour moi mais je ne m’encombre pas de sous-vêtement, cela évitera de les oublier…!! Le décolleté, pas la peine, les chiens ne le verront pas…

Nous allons vers 8h45 sur l’un de ses champs, pas trop loin pour être sûr de le voir passer de bonne heure mais suffisamment pour ne pas être vu par madame. De plus, il faut un champ où on ne risque pas d’être surpris. Il y en a un parfait pour ça, car encadré par d’autres champs à lui et avec une zone boisée. Vers 9h30, nous le voyons arriver accompagné de trois chiens. 1 setter, 1 labrador et un plus petit dont je ne connais pas la race. Peut-être un bâtard. J’en mouille d’avance ! Je confirme qu’il est pas mal et à l’air bien gaulé.

— Bonjours Hervé, belle journée pour une promenade !

Bonjour Christiane, qu’est-ce que tu fais ici ?

Christiane s’approche de lui d’un pas chaloupé légèrement exagéré et lui fait la bise tout lui plaquant sa poitrine contre la sienne. Je le vois aussitôt plonger son regard dans le décolleté qui cache à peine ses seins. Le poisson est ferré ! Il se tourne vers moi et m’adresse un bonjour.

— Je te présente Cindy, une amie de Cherbourg venu passer le week-end ici. Je lui montrai le coin côté champêtre. On a un peu abusé hier et sortir à la fraiche ça fait du bien. Je pensais bien te croiser.

— Bonjour Hervé (je lui fais aussi la bise). Beaux chiens que vous avez là.

— Bonjour Cindy. Merci, oui, ils sont beaux.

— Et ta femme, elle n’est pas là ?

— Non, elle est partie pour le weekend voir sa mère. Tu es vraiment resplendissante ce matin. Vous l’êtes toutes les deux. Vraiment très… Sexy.

— Merci, c’est gentil. Tu aimes vraiment nos tenues ?

— Tu sais bien que oui ! J’aime toujours te regarder quand tu es habillée comme ça. (en se tournant vers moi) Mais je n’ai jamais le droit à plus !

— Comment ça ? Tu voudrais la voir SANS ses vêtements c’est ça ?

— Ben oui ! Mais elle s’y refuse… Soi-disant que je suis marié, blablabla ! Mais c’est que pour du sexe, pas pour vivre ensemble ! Juste prendre du plaisir quoi !

— Et si ça devait arriver, tu serais content ?

— Oh ça oui ! Mais faut que la demoiselle soit d’accord.

Sur ces mots, je me mets derrière Christiane et descends les bretelles de sa robe qui tombe à ces pieds, la laissant en string.

— Justement, elle me disait hier qu’elle en avait marre et qu’elle en avait envie aussi.

Mais si tu le veux bien…

Le regard d’Hervé en dit long sur sa surprise. Christiane s’avance vers lui, lui prend les mains qu’elle dépose sur sa poitrine.

Elle lui dit alors à l’oreille :

— Par contre, il y a une condition.

— Laquelle ?

— Que tu laisses mon amie s’amuser avec tes chiens !

— Tu veux dire qu’une belle femme comme toi préfère les chiens à une belle queue d’homme ?

— Pas que, mais j’en ai follement envie aujourd’hui !

Si ça t’amuse, pas de soucis ! Choisis celui que tu veux.

Pas besoin de choisir. Le setter était derrière moi et avait déjà passé sa truffe sous ma robe pour la renifler.

On va commencer par celui-ci, il a l’air déjà intéressé, je pense.

Les mains dHervé avaient quitté les seins de Christiane pour lui caresser le reste du corps. Elle lui avait sorti la queue et était en train de le branler tranquillement. Je les laisse faire leurs affaires tout en gardant un il sur eux. C’est la première fois que je la verrais baiser, je ne veux pas louper ça. Je retire ma robe et me retrouve nue. Je m’assois par terre et écarte les jambes. Le setter vient directement et commence à me lécher la chatte. C’est bon, c’est chaud, ça fait du bien. Je me retourne pour me mettre à quatre pattes pour qu’il puisse bien me lécher. En regardant entre mes jambes, je vois sa langue s’affairer, cela m’excite beaucoup. Je vois aussi sa queue sortie de son fourreau et Christiane en train de pomper Hervé qui n’en revient pas. Très vite, le cunnilingus ne suffit plus à mon amant poilu et il commence à me monter sur le dos. Ses pattes avant se positionnent autour de mes hanches et je le sens donner des coups de reins pour me pénétrer. Mais sans succès.

Christiane, Hervé, pouvez-vous aider notre ami à trouver son chemin, je n’y arrive pas.

Christiane s’approche et prend la queue du chien.

— Tu le veux où ma belle ? Cul ou con ?

Dans ma chatte ! Vite !

Elle dirige alors la queue vers mes grandes lèvres et vois le vit s’enfoncer sans problème dans ma grotte à plaisir. Je le sens bien, même s’il est plus petit que je ne le pensais. Hervé me fait alors une remarque.

— Attention. Si la boule rentre, tu ne pourras pas te décoller de lui avant qu’elle ne réduise. Et ça peut prendre 30 minutes.

30 minutes avec lui en moi ? Je prends ! Dis-je entre deux cris de jouissance.

Parce qu’il me donne du plaisir. Le bâtard s’approche de moi et renifle ce qu’il peut mais se fait rembarré par le setter. Je ne vois pas le labrador… Et pour cause, il est derrière Christiane et est en train de lui lécher le fion. Je n’en reviens pas ! Elle se laisse faire et l’encourage même tout en bouffant la queue d’Hervé. Je les abandonne subitement car je sens quelque chose de très gros frapper à ma vulve à chaque coup de reins. C’est la fameuse boule dont parlait Hervé. En effet, c’est très gros ! Mais le problème, c’est que je ne peux rien faire… Et ce qui devait arriver arriva, elle rentre d’un coup dans mon vagin qui se dilate d’un coup. Je pousse alors plusieurs cris de jouissance lorsqu’un orgasme déboule d’un coup. C’est violent ! Je sens le chien se vider en moi mais il n’arrête pas pour autant. Il continue ses allers-venues tout en me déversant ce qui me paraît des litres de foutre dans le vagin qui gonfle comme pas possible. J’ai même l’impression de voir mon ventre grossir ! Mais la boule fait bouchon et empêche que ce sperme ne s’échappe. Ajouter au fait que l’orgasme a fait mon vagin se comprimer autour de la queue…

Je sens cette boule en moi qui bouge légèrement dans mon vagin mais qui ne dégrossit pas. Le chien arrête alors son pilonnage. Je me sens comme une chienne, une vraie, prise par son mâle. J’en suis folle. Depuis une semaine que j’en rêvais, fantasmais, me faisais jouir en y pensant, c’est maintenant pour de vrai ! Et j’aime ça ! Il descend de mon dos mais nous restons verrouillés l’un à l’autre. J’en profite pour mater Christiane qui était aussi à quatre pattes mais avec Hervé à la manuvre. Le labrador était un peu plus loin à les regarder. Le bâtard était allongé devant moi à attendre son tour…!

J’entends alors les cris de Christiane qui a l’air d’apprécier la queue d’Hervé. Faut dire que le peu que j’en ai vu, elle était bien épaisse. Elle lâche un cri que je reconnais pour l’avoir entendu la veille dans le ruisseau. Elle vient d’avoir un orgasme ! Hervé se retire et vient devant elle pour lui jouir dans la bouche qu’elle ouvre grand. Je n’entends pas ce qu’ils disent mais j’imagine les "avale ça ma cochonne" ou quelque chose du genre. Elle avale tout ce qu’elle peut en le regardant avec un sourire complice. Elle me jette un regard qui montre qu’elle a pris son pied. Je suis toujours à quatre pattes avec mon amant canin bloqué en moi mais je commence à sentir la boule dégonfler. Hervé s’approche après avoir aidé Christiane à se redresser.

— Je t’avais prévenu ! Et ça peut prendre du temps avant qu’il ne te libère…

— Pas grave, c’est trop bon ! Il m’a fait jouir comme une chienne !

— On a vu, me lance Christiane. Tu as pris ton pied comme pas possible ! Je dois avouer que ça m’a bien excité !

— Tu voudrais essayer ? Lui lance Hervé

Je ne sais pas, j’aime trop une bonne queue comme la tienne.

Nous restons encore 10 bonnes minutes à attendre que le setter me libère et, quand ça arrive, un torrent de foutre dévale de ma chatte. Je me sens vidée mais heureuse.

— Vous voulez venir à la maison vous rafraîchir ? Il n’y a personne, faut en profiter !

Volontiers ! Lançons nous en cur.

Nous enfilons nos robes et Christiane donne son string à Hervé en cadeau pour la baise qu’il lui a donné. Arrivé à la ferme, Hervé m’indique la salle de bain pour que je puisse nettoyer le sperme que j’avais encore sur les jambes et la chatte. Ensuite, nous nous installons dans le salon pour boire une boisson rafraîchissante. Les chiens tournent autour de nous, à l’exception du setter qui part se coucher dans un coin. Les discussions sur le cul partent dans tous les sens. Puis, le bâtard s’approche de moi et essaye de glisser sa truffe sous ma robe.

— Et bien, tu lui fais de l’effet ! Me lance Hervé.

Ma foi, si ça peut lui plaire !

Et je soulève la robe jusqu’aux hanches, dévoilant à tous ma chatte encore humide et gonflée. Le bâtard, qui s’appelle Bruce, commence alors à me laper l’entrecuisse goulument.

Christiane est hypnotisée par la scène. Hervé dit alors :

Tu veux quUlrik s’occupe de toi comme tout à l’heure ?

Pour seule réponse, Christiane me regarde, relève sa robe comme moi, et appelle le labrador pour qu’il vienne lui prodiguer le même traitement.

Nous ne sommes plus que deux éponges à jouissance, nous faisant bouffer la chatte par deux chiens. Elle regarde Hervé qui a recommencé à bander et l’attire à lui pour le sucer. Je lui fais signe de se mettre entre nous deux derrière pour pouvoir lui administrer une fellation à deux bouches. L’homme n’en demandait pas tant et nous voilà à jouir des coups de langues des deux chiens tout en bouffant la queue du maitre. Je n’en peux plus et abandonne la queue d’Hervé à Christiane pour me glisser sous Bruce et le prendre aussi en bouche. Sa queue est assez bonne, un peu rugueuse. Un liquide chaud et épais en sort par saccade. Mais il n’a pas l’air de jouir. Je me mets les bras et la tête sur le canapé à côté de Christiane qui prend aussi son pied. Bruce n’a pas besoin de consigne pour comprendre et me recouvre. Il est plus rapide à trouver l’ouverture mais… Ce n’est pas le bon trou ! Mon excitation a lubrifié aussi mon anus et son gland n’a pas de problème pour entrer. Après tout, j’adore la sodomie donc pas de soucis !

— Putain, il me l’a mise dans le cuuulll !! C’est trop booonnnn !!!

— Jouis ma belle ! Laisse-le t’enculer !!

Oh ooouuuiiiii !!! Il me fait jouir !!!!

Hervé reste silencieux mais se délecte du spectacle de ces deux femmes, l’une se faisant défoncer le cul, l’autre se faisant bouffer la chatte par deux de ses chiens. Et pour le bonus, la deuxième lui administre une pipe du tonnerre ! Il commence à montrer des signes d’éjaculation et préfères se retirer pour prolonger le plaisir. Il demande à Christiane de se mettre dans la même position que moi et fait reculer le chien. Elle se dit qu’il va la prendre comme tout à l’heure. Mais non ! Une fois en position, il fait grimper Ulrik sur son dos et dirige sa queue vers sa chatte elle aussi dégoulinante de cyprine !

A ma grande surprise, Christiane tourne la tête vers moi au moment de la pénétration et me dit "on se fait prendre toutes les deux comme des chiennes ma chérie". Elle me lance un sourire qui se transforme bientôt en jouissance. Je suis en plein délire, je jouis comme une folle d’avoir ce chien dans mon cul et de voir mon amie dans la même situation mais dans sa chatte. Mon compagnon se vide alors en moi par de longs jets et je crie d’un orgasme incontrôlable. Bruce se retire et, comme avec le setter, un flot de sperme sort de mon cul. Il me lape alors l’entre-fesse pour nettoyer et part ensuite lui aussi se coucher, me laissant pantelante et encore secouée de l’orgasme qu’il m’a prodigué.

Je regarde alors Christiane. Une crispation dans son visage m’interpelle.

Et voilà, toi aussi il te la mise !

Ok, Ulrik vient de lui enfoncer sa boule et ça n’a pas l’air de lui faire plaisir. Elle hurle de douleur et gesticule pour se dégager, chose inutile, je le sais maintenant. Je lui caresse la joue en lui disant que ça va passer. Je glisse ma main sous elle et trouve son pubis. Son ventre est gonflé par la boule qui a l’air plus grosse que celle du setter. Je commence à lui caresser le clitoris pour la détendre et lui donner un peu de plaisir. Voyant que ça la calme un peu, je glisse tant bien que mal entre ses jambes et lui lèche la chatte. Je vois alors cette queue, la plus grosse des trois chiens, buter pour ressortir. Sa vulve se déforme à chaque mouvement du chien. Je m’applique à lui bouffer son clitoris. Elle commence à se calmer et je l’entends qui commence à jouir de nouveau.

Oh c’est trop gros, il me défonce le vagin !! Je vais pas pouvoir tenir !!! Oh ouuuiii bouffe moi la chatte c’est booonnn !!

Hervé de son côté avait recommencé à se branler. Le spectacle l’excitait comme pas possible. Ulrik pousse alors un grognement et s’immobilise. Christiane part alors dans un orgasme fulgurant. Je me redresse et viens l’embrasser, sachant que ce n’était pas fini pour elle… Hervé est là, la queue en main. Je m’approche de lui et m’agenouille pour le sucer et le faire jouir.

Oui vas-y, suce-moi bien. Oh putain, je vais jouir !! Prends tout !!

Et j’avale plusieurs jets de sperme. Il n’a pas tenu longtemps mais je ne peux pas lui en vouloir. Avec le spectacle qu’il vient d’avoir, n’importe qui aurait fait pareil !

Je me pose à même le sol en attendant qu’Ulrik se libère. C’est assez rapide comparé au setter. Je me jette alors sur la chatte de mon amie pour avaler le plus possible de foutre du chien. Je n’ai pas encore eu l’occasion de gouter. C’est moins bon que celle du cheval mais agréable tout de même. Surtout que c’est mélangé avec la mouille de Christiane. Nous partons nous laver dans la douche et, à notre retour, Hervé nous offre un autre verre. Les chiens ont été mis dans la cuisine pour ne pas avoir encore d’idée perverse.

Nous discutons tranquillement.

— Tu sais qu’hier elle a sucé un cheval jusqu’à le faire jouir dans sa bouche ?

— Non ??!!! Où ça ?

— Les pâturages au-dessus du ruisseau. Il y a 1 mâle et trois juments.

— Oui je vois, c’est les chevaux d’Henri. Un beau pervers aussi celui-là. Si tu veux, j’ai un cheval ici.

— Tu me proposes ton cheval ?

— Oui, j’ai un box derrière le hangar. Je suis sûr que tu lui plairas. Et tu pourrais faire plus que le sucer si tu veux. Bien installée sur une botte de foin, tu serais bien pour te la mettre où tu veux.

— Non mais là, c’est trop gros… Ça rentrera jamais !

Vu comment tu t’es pris la boule d’Alfred sans bronché (ou presque), je pense que ça peut le faire.

L’idée germe dans ma tête… Pourquoi pas ?

— Ok, on peut essayer. Mais il faudra me donner un coup de main.

— De toute façon, je serai là pour l’amener et le maintenir. Avec les chevaux ça peut devenir dangereux s’il s’énerve.

— Et je le guiderai vers ta chatte ma chérie. Je ne suis plus à ça prêt !

Ben qu’est-ce qu’on attend alors ??!!

Et nous voilà partis pour le box à chevaux. Le cheval est un cheval de trait, pas un étalon comme la veille. Mais sa robe épaisse est agréable au touché. Et puis il a une bonne tête ! Et une grosse queue aussi… Plus grosse à regarder que celle de la veille… Je vais prendre cher et ça risque de faire mal. Une botte de paille est déjà présente pour sa nourriture. Hervé me dit de me mettre à califourchon dessus en essayant de relever la croupe pour qu’il puisse me pénétrer. On positionne une boite sous mon ventre pour aider à cela.

Hervé amène le cheval qui commence aussitôt à me sentir les fesses. J’écarte les jambes pour qu’il puisse accéder à ma chatte. Christiane me dit que ça lui plait puisqu’il a déjà une érection intéressante. Hervé le dirige pour être au-dessus de moi. Je sens le souffle du cheval passer sur ma nuque et vois les puissantes pattes avant se positionner de chaque côté de ma tête. En la levant, j’ai le dessous de la tête du cheval et je sens son plastron puissant derrière moi. Christiane indique de ne pas aller plus loin. Je tourne la tête vers elle et la vois avec la queue énorme entre les mains. Elle a du mal à en faire le tour. Son gland est au niveau de mes reins. S’il enfonce tout ça, il va défoncer mon utérus. Une panique se répand en moi.

— Stop, ça va pas le faire, il est trop gros et trop long !!

— Ne t’inquiète pas, c’est très souple. Je ne ferai entrer qu’une partie… Si ça rentre ! Au moindre souci, on arrête. OK ?

— O-O-OK. Mais vas-y doucement.

Bien sûr ma belle. Le but n’est pas de t’écarteler !

Oui est bien, à voir comme ça, c’est pourtant bien ce qui pourrait m’arriver…

Christiane "joue" avec le sexe de l’animal qui parait très souple en effet. Elle lui fait prendre une courbure pour présenter le gland sur ma chatte. J’essaye de me décontracter lorsqu’elle commence à l’enfoncer. La baise du setter et l’entrée de sa boule m’ont assoupli la chatte et heureusement ! Car lorsque Christiane commence à pousser le gland doucement en moi, ça commençait à faire mal. Très mal. J’ai eu l’impression d’être vraiment écartelée.

Mais là où ça a été terrible, c’est quand, arrivé à moitié de la pénétration du gland, le cheval a reculé d’un pas, ce qui n’est pas grave en soi. Cela a eu un effet, c’est que sa queue s’est retrouvée non pas courbée comme Christiane l’avait installée, mais droite. Et le résultat s’est fait sentir lorsqu’il refit un pas en avant ! Car une fois droite, Christiane n’avait plus de contrôle dessus et elle est entrée d’un coup sec jusqu’au fond de moi ! J’hurlais de douleur ! Des larmes me coulaient sur les joues.

Christiane commençait à vouloir retirer la queue mais elle s’était enfoncée trop profond. En regardant en dessous, elle pouvait voir une déformation de mon bas ventre indiquant que le gland était arrivé jusqu’au milieu du ventre. Le col de l’utérus avait été ouvert et il tapait au fond de l’utérus. Hervé n’arrivait pas à le faire reculer non plus. Grosse panique donc. Mais je pris sur moi et commençais à me calmer. La douleur disparaissait petit à petit. Une légère brulure la remplaçait. Jamais, même après un fistfucking, je n’avais été aussi remplie ! Le cheval refit un pas en arrière et sa queue ressortit un peu. Pas suffisamment pour la retiré mais ma pression sur mon utérus avait disparue. L’effet fut étrange car j’eus un début de jouissance dans ce mouvement. Christiane commençait à faire ressortir légèrement la queue et je lui dis alors, d’une voix étouffée et nouée :

— Remets là… Je la veux encore en moi.

— Tu es sûr ? Tu as mal, ça se voit !

Je veux qu’il jouisse en moi… Et c’est mieux depuis qu’il a reculé… C’est même bon.

Christiane fit faire des allers-retours de la queue dans ma chatte et l’orgasme ne fut pas long à venir. Celui du cheval non plus ! Il me remplit la chatte à ras bord ! Je sentis le liquide s’échapper de moi avant même que sa queue ne soit retirée. Et comme la veille, elle perdit en largeur et longueur très rapidement, me libérant complètement. Hervé fit reculer dans un coin du box l’animal. Je ne pouvais pas me lever, j’étais trop faible pour ça. Ma chatte était béante et Christiane me dit qu’un peu de sang avait coulé.

— Je me suis fait dépuceler une seconde fois ! Dis-je avec mal et un léger sourire pour les rassurer.

Après ça, je fis un nouveau brin de toilette aidé par Christiane qui me supportait pour rester debout et Hervé nous ramena chez elle. Il était 15h et je partis directement dans la chambre pour dormir. Baiser avec des animaux est épuisant !

Je repartis le soir chez moi car je devais reprendre le boulot le lendemain matin… La tête pleine de sensations plus ou moins bonnes. Mais dans l’ensemble bonne !

Plus tard dans la semaine, j’appelais Christiane pour prendre des nouvelles. Elle me dit qu’elle voit souvent Hervé passer avec ses chiens et qu’au final ce sont tous les quatre (Hervé et les chiens) de très bons amants ! Elle a hâte de me revoir pour continuer les expériences déviantes !

Moi pour ma part, j’ai décidé d’adopter un chien !

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