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La patronne de ma mère est une cougar – Chapitre 8




Salut c’est votre folle de lycra.

C’est donc sous les yeux de Muriel, que je venais de faire une fellation à son collègue Claude, alors que j’étais totalement habillé en femme. C’est son collègue qui m’avait acheté tous les vêtements, il avait l’intention de me faire toujours plus belle, et surtout de profiter de tout ce que je pouvais lui offrir. Pendant que Claude était en train de se rhabiller d’en haut, et moi de me refaire une beauté, je constatai que Muriel était en train de trafiquer son téléphone, je ne serais pas étonné qu’elle ait pris des photos de moi.

« J’ai pris plein de photos de toi la bouche pleine, cela pourra toujours me servir des fois que tu ne veuilles pas faire ce que je te demande. Je pourrais toujours les envoyer à ta mère, je suis sûre qu’elle sera heureuse de découvrir que son fils en plus de porter des dessous, est une suceuse de biroutes.»

Différemment présentée, Muriel avait désormais un moyen de pression pour me faire obéir, mais avait-elle vraiment besoin de ça pour que je lui sois obéissant ?

« Viens voir là ma chérie, maintenant que Muriel a fini de me faire du bien, tu vas te charger de me rhabiller, me remettre mon boxer et mon pantalon. J’aimerais bien que tu me fasses aussi un gros bisou sur le bout du gland pour clore cette soirée inoubliable.»

Bien évidemment je me suis exécuté, je me suis approché de Claude, cela a été plus fort que moi, en plus du baiser, il a fallu que je prenne complètement son sexe en bouche. Il n’y a pas à dire j’étais en train de devenir gourmand de son sexe. Je me suis donc appliqué à le rhabiller en faisant attention à ne lui tirer aucun poil, mais surtout en étant le plus doux possible. J’avais maintenant vraiment la sensation de faire ça, comme l’aurait fait une femme en le rhabillant avec des gestes très amples et doux mais surtout en prenant le temps de le caresser à chaque occasion qui se présentait. Cela me faisait tout drôle de ranger ce sexe tout dur dans ce boxer si doux, à chaque fois que je l’effleurais il reprenait du volume. J’ai quand même réussi à le rhabiller et quelques instants plus tard Claude nous a quittés, je vais vous avouer qu’au fond de moi j’étais un peu triste de le voir partir.

« Viens voilà ma chérie, j’ai l’impression que tu es un peu triste de voir partir ton homme. Tu te rends compte que tu arrives à me donner énormément de plaisir, et la même chose auprès d’un homme ; ce n’est pas donné à tout le monde. Tu sais être un bon étalon pour ta maîtresse et une bonne salope pour ton maître, tu as vraiment beaucoup de potentiel.»

Moi qui, voilà peu, étais encore puceau, voilà que maintenant je suis avec une sexualité on ne peut plus débridée. Une seule copine ou un seul copain de classe ne m’aurait cru si je leur racontais ce que je suis en train de devenir sexuellement, en même temps faites-moi confiance je suis encore timide et je ne suis pas près de leur raconter tout ça. C’est vrai que Muriel était en train de me dévergonder mais je ne trouve pas ça si désagréable et je crois même que j’étais prêt pour franchir encore des étapes. Mais quelles étapes pouvait-on encore franchir quand on était à ce point déjà dévergondé. «Avec tout ce que tu viens de vivre cette soirée, je pense qu’il serait sage que tu rentres à la maison. Déjà je pense que tu vas avoir du mal à t’endormir.»

« Viens ma chérie je vais te déshabiller, pour que tu reprennes tes vêtements de tous les jours. Il ne s’agirait pas que tu sortes ainsi dans la rue, je pense que tu te ferais au moins violer dix fois. J’imagine la tête de ta mère si elle te voyait arriver comme ça.»

Je vais vous avouer que c’est à contrecur que j’ai quitté mes vêtements féminins, car je me trouvais très belle dedans, surtout avec cette robe longue moulante, une robe de mariée qui mettait bien mon corps en valeur. Comme à notre habitude Muriel m’a fait enfiler sa culotte toute mouillée et odorante, maintenant j’en arrivais à prendre ça comme une récompense. À chaque fois que j’allais voir Muriel, quand je revenais je me sentais un peu plus salope. Ce n’était plus elle qui réclamait un baiser quand nous nous quittions, mais moi car j’en devenais gourmand.

« Je te souhaite une bonne nuit ma petite lopette, je suis pressée te revoir.»

C’est sur ces mots que ce soir-là nous nous sommes quittés, comme elle me l’avait dit surtout le chemin du retour j’avais la tête ailleurs, je sentais encore le sexe chaud de Claude dans ma bouche.

Quand je suis rentré à la maison, ma mère m’attendait, elle est venue me faire un baiser, par contre ce n’était plus les mêmes qu’avant, j’avais l’impression d’être devenu son amant. Elle a attendu que la porte soit fermée, pour m’embrasser avec passion, j’avais peur qu’elle décèle un goût de sexe masculin dans ma bouche en échangeant ce baiser.

«Tu es encore allé voir ma chef, tu te rends compte que tu baises avec elle et ta mère par-dessus ça. En même temps je l’en remercie, car j’avais peur que tu deviennes vieux garçon.»

Ma mère avait raison. Si Muriel ne m’avait coincé lors de la soirée de fin d’année, je serais encore le puceau boutonneux qui tire sur l’élastique sous les draps le soir avant de s’endormir. En même temps aujourd’hui je continuais à me palucher le soir, mais disons que ce n’était plus des fantasmes pour me faire du bien, je me remémorais ce que je venais de vivre. Disons que maintenant, en plus avec ce que je qualifierais de support pédagogique, je me faisais du bien avec les culottes de Muriel et Christiane ma maman.

Je pense qu’en agissant ainsi j’étais en plus devenu beaucoup plus sensible aux odeurs, les effluves de minous me mettaient dans tous mes états maintenant. Je crois même que l’odeur du sexe de Claude risque d’avoir la même réaction sur moi. Pendant que ma mère me parlait, elle était en train de me déshabiller, elle caressait mon corps, j’y étais très sensible et réceptif. Je me suis rapidement retrouvé juste vêtu de la culotte de Muriel. Je ne sais pas ce qui lui a pris, mais ma mère s’est mise à me caresser la culotte plus que mon sexe, mais l’effet était identique, cela me collait une gaule de folie. Puis elle s’est agenouillée, sur le coup, j’ai cru qu’elle allait se mettre à me faire une fellation, mais pas du tout, elle venait sentir la culotte de Muriel et même la lécher. Bref, ma mère était en train de devenir accro aux odeurs intimes de sa chef et j’en étais le vecteur. La culotte de Muriel était encore tout humide, et sans aucun doute ma mère était en train de s’enduire le visage de la cyprine de mon initiatrice. Elle ne faisait même plus attention à ce qui se passait autour, je la regardais je ne vais pas dire que j’avais de la peine, mais cela me laissait bête quand même.

J’étais en train de me dire qu’il n’y avait pas de doute, les deux femmes étaient attirées l’une par l’autre. Quand j’entendais Muriel parler de ma mère, j’avais vraiment l’impression qu’à chaque fois cela la faisait mouiller d’excitation. Pendant que ma mère était en train de se frotter le visage sur la culotte encore tout humide de sa chef, elle était en train de me filer une érection, à tel point que la pointe de mon sexe était sortie de la douce culotte. J’étais limite vexé, car j’avais vraiment la sensation que maman ignorait mon sexe, pour s’enivrer des odeurs intimes de Muriel. Maintenant que je prenais de l’assurance, j’étais limite à vouloir lui saisir son visage pour lui mettre mon sexe dans la bouche ; mais c’était ma mère. On aurait dit une mouche dans un pot de miel, complètement enivrée, ou un bourdon sur une fleur de ciboulette. Pour ceux qui n’ont jamais eu l’occasion, essayez de regarder un bourdon qui vient se poser sur cette plante aromatique quand elle est en fleur, il est complètement ivre, on peut le caresser on peut le bouger l’insecte ne dit rien.

« Alors fiston est-ce que tu as baisé ma chef ce soir, cela m’exciterait énormément de le savoir.»

J’ai préféré me taire, car je n’avais pas l’intention de dire à ma mère que j’avais fait une grosse turlutte à un homme plus âgé qu’elle ce soir. Ce n’est pas que je regrettais ce que j’avais fait, mais je n’avais pas envie de le chanter sur les toits. Finalement, une fois le visage finement recouvert de cyprine, ma mère a décidé de prendre mon sexe en bouche. Je savais qu’une femme qui vous fait une fellation c’était déjà formidable, mais quand c’est votre maman, qui est d’une grande beauté, qui s’en charge c’est encore meilleur. Maintenant, elle me regardait dans les yeux, avec son superbe regard, je la voyais me lécher le sexe comme un sucre d’orge ou une glace mais avec gourmandise. Son regard en disait long sur ses intentions, mais surtout elle me provoquait juste avec ses yeux. Ses mains indiscrètes étaient accrochées à mes fesses, et j’avais la sensation qu’elle m’écartait les fesses comme pour inviter quelqu’un à venir me prendre par-derrière.

Je ne sais pas qui de Muriel ou maman était la plus efficace, mais il n’y a pas à dire, les deux femmes avaient de l’expérience pour ce qui est de la fellation. En même temps je regardais bien comment elle faisait, car vu que j’étais appelé à refaire la même chose à Claude, disons que j’étais en train de prendre des cours. De temps à autre elle prenait mes boules en bouche et elle les aspirait, c’était limite insupportable, mais carrément bon. Ça y est maintenant mon sexe était au chaud dans sa bouche, elle le faisait rentrer et sortir en aspirant juste comme il faut. Elle faisait ça avec une extrême délicatesse, comme si mon sexe était en cristal, en même temps elle s’attardait toujours un peu plus sur mes fesses. J’avais vraiment de la chance que ma maman se charge de mon éducation sexuelle, je ne sais vraiment pas si elle le faisait en tant que professeur ou en tant que maîtresse. Je ne sais pas ce qui me retenait de mettre mes mains sur sa tête pour lui tenir et lui baiser la bouche, mais cela me gênait avec ma maman. En même temps jusqu’à maintenant il n’y a que Claude qui me l’avait fait, mais je lui étais totalement soumis.

Cela faisait vraiment tout drôle de se sentir étalon par moments et petite salope à d’autres. Cela me permettait de déguster un sexe d’homme puis me faire manger le mien, j’avais aussi eu l’occasion de faire du bien à ma mère comme à Muriel et il n’y avait pas de doute qu’un jour Claude se chargerait de me prendre par-derrière. Pour l’instant j’étais en train de savourer ce que maman était en train de me faire, si elle continuait à ce rythme, il allait falloir que je l’emmène dans sa chambre au lit faire l’amour. Je ne vous avais pas dit, mais depuis que je faisais des folies sexuelles avec ma maman, cette dernière avait tendance à s’habiller de façon très coquine à la maison. Je n’ose imaginer si Muriel l’avait vue ainsi vêtue, je pense que maman se serait fait violer par sa patronne. Maintenant ma maman était en train de me mettre des doigts dans mon petit trou, je rouspétais, mais c’était pour la forme car elle me faisait beaucoup de bien.

«Jamais je n’aurais cru que mon fils aime à ce point le sexe, tu es bien le digne héritier de ta mère.»

Depuis quelque temps j’avais l’impression de découvrir ma mère sous un autre angle et cela n’était pas pour me déplaire. Moi qui la croyais coincée, vieille fille, c’était tout le contraire, comme quoi il faut se méfier de l’eau qui dort. Bien que ma maman soit en train de s’occuper de mon second cerveau, c’était la fatigue qui était en train de prendre le dessus, car mine de rien il commençait à se faire tard et demain j’avais cours. Quand ma maman me sollicitait fesses, je donnais des coups de reins, ce qui faisait aller mon sexe un peu plus loin dans sa bouche. J’ai préféré lui dire que j’avais sommeil, et que je ne remettais pas du tout en cause ses talents de suceuse, mais je voulais aller dormir. Christiane a été très compréhensive et je n’ai pas pris le soin de me rhabiller je suis parti tout droit dans ma chambre. C’est à ce moment-là que j’ai découvert sur mon lit un magnifique body sculptant en lycra, tout doux, avec des porte-jarretelles cousus dessus. Je n’ai pas pu me retenir de l’essayer, il m’allait à merveille, j’en avais les larmes aux yeux que ma maman m’offre un tel cadeau.

« Ça te plaît mon chéri, je suis sûre que tu seras encore plus belle pour aller voir Muriel. Tu sais cela m’excite beaucoup de savoir que tu es notre amant commun. J’en arrive maintenant à me faire des petits plaisirs le soir en m’endormant, en imaginant que tu me fais l’amour après avoir honoré ma chef. Je ne sais pas ce que tu en penses mais Muriel a un côté envoûtant auquel je ne peux résister.»

Ma mère était en train de se confier à son fils et cela me mettait mal à l’aise, elle m’a avoué des choses inavouables mais en même temps, qui me mettaient la gaule. Bien évidemment je n’ai pas pu me retenir d’enfiler des bas et de me coucher ainsi vêtu. Ma mère est venue s’asseoir à mes côtés sur le lit, pour me déposer un baiser sur la bouche ; alors qu’avant j’avais le droit à un baiser sur le front. Juste avant de se lever pour quitter ma chambre, elle a saisi mon sexe à travers la couette et j’ai eu le droit à un:

«Bonne nuit ma petite salope j’espère que Muriel et moi te donnons suffisamment de plaisir.»

Au même moment je recevais un SMS, bien évidemment c’était un message de Muriel qui était on ne peut plus chaud.

« Bonne nuit ma petite salope, j’espère que tu as bien aimé que je m’occupe de toi et surtout que tu as aimé t’occuper de Claude.»

Avec les propos de ma mère et le sexto de Muriel, j’étais parti pour avoir des rêves érotiques cette nuit. Le plus beau c’est qu’ensuite elle m’a envoyé un MMS avec une photo de sa touffe avec un gode dedans.

«Ce n’est pas vrai, Muriel t’envoie une photo de sa chatte.»

J’étais un peu mal à l’aise que ma mère ait vu la photo, mais en même temps cela avait l’air de lui plaire et même de l’exciter, elle m’a saisi le téléphone pour pouvoir zoomer sur la photo. J’imaginais demain comment Christiane regarderait sa chef, en sachant qu’elle avait une photo de sa moule et son clito. Ma mère a immédiatement plongé ses doigts dans son entrejambe, la seconde d’après, ils ressortaient mouillés et elle me les donnait à sucer. C’est avec gourmandise que je me suis mis à les lécher, mais il fallait que j’abrège, car j’avais quand même envie de dormir. Finalement, maman a fini par quitter la chambre et je me suis rapidement endormi.

C’est mon réveil qui m’a sorti de très loin, et je peux vous garantir que Morphée n’avait pas envie de me lâcher. Bien évidemment Muriel m’avait laissé un SMS, cela me faisait tout drôle, car elle parlait de moi désormais toujours au féminin. Moi j’avais dormi dans un superbe body avec des bas, bien évidemment la plupart de mes rêves furent érotiques, en témoigne mon érection peu commune au réveil. Quand je me suis levé pour passer sous la douche tout est rentré dans l’ordre, cela a été plus fort que moi, il a fallu que j’enfile une culotte qui sentait encore fort le minou. Une fois prêt et présentable, je suis parti à la cuisine, où m’attendait ma mère, pour prendre mon petit-déj’. Là je suis tombé sur le cul, ma mère était habillée comme si elle partait draguer un mec, c’était un appel au viol que de la voir ainsi vêtue dans ses dessous affriolants.

« Je sais que ta maîtresse me désire, alors peut-être que si elle me voit comme ça, elle osera franchir le premier pas.»

Déjà que ma mère était d’une grande beauté, là elle était magnifiquement désirable.

« Tu sais maman il y a des fois où tu m’embrasses, alors que j’étais en train de l’embrasser un quart d’heure avant. Il y a des fois où tu me suces alors que mon sexe était en elle peu de temps avant, et même le contraire. Je serais vraiment très heureux de vous voir toutes les deux vous aimer, peut-être même pourrais-je faire partie de la fête. Mais fais attention maman Muriel est une dominatrice, je ne voudrais pas qu’elle te pousse à faire des bêtises.»

Je venais de vider mon sac auprès de ma maman, elle s’est approchée de moi, pendant que j’étais en train de me restaurer. Là elle m’a directement plongé une main pour saisir mon sexe et en même temps elle se mettait à m’embrasser comme si j’étais son mari. Je peux vous garantir qu’un quel traitement avant de partir travailler vous assure une condition amoureuse irréprochable pour la journée. Ça y est j’avais le ventre plein, j’avais fait la vaisselle, j’étais sur le point de partir et j’étais conscient que toute la journée j’allais bander en pensant à ma mère. Allait-elle réussir à suffisamment allumer Muriel pour que cette dernière lui déclare sa flamme.

Je sais je suis dur, mais nous verrons ça dans le prochain chapitre.

Un gros bisou à tous ceux qui me laissent des commentaires tous plus gentils les uns que les autres.

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