Maman se leva pour se préparer à aller travailler. Je restais au lit en ce samedi matin et me rendormis. Je me réveillai vers 9 heures. Toujours nue, je pris mon petit-déjeuner. Il faisait un soleil magnifique, ce qui laissait présager dun beau dimanche pour notre pique-nique. Je pris une douche et passai ensuite un coup de fil à maman au magasin en lui promettant de passer la voir pour déjeuner avec elle le midi. Je mhabillai dune jupe légère et dun chemisier blanc. Je ne mis pas de culotte.

Je quittai lappartement, pris le bus et alla en ville. Je rencontrai quelques copines avec qui je pris un café. Je fis quelques courses pour moi. Il était temps de rejoindre maman.

Le magasin était bondé de monde. Je patientais près de la caisse. Maman laissa le magasin aux mains des deux vendeuses et nous partîmes déjeuner. Nous allâmes dans un petit restaurant pas très loin. Je massis à côté delle et discrètement saisis sa main sous la table pour la diriger sous ma jupe. Le bout de ses doigts frôla les lèvres de ma chatte. Cette caresse mélectrisa. Elle retira ses doigts et déposa un baiser sur ma joue. Nous déjeunâmes et retournèrent au magasin. Il y avait moins de monde. Une vendeuse prit sa pause également. Nous déposâmes nos affaires dans la réserve. Un regard vers maman et je me jetai dans ses bras pour un long baiser où nos langues se mêlèrent. Je caressais ses seins à travers son chemisier. Elle glissa sa main sous ma jupe et ses doigts fouillèrent mon intimité. Relevant ma jupe, je mappuyais sur des cartons. Elle se mit à genoux devant moi, remplaça ses doigts par sa langue. Jappréciais cette caresse dans un lieu inhabituel et excitant. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier quand lorgasme menvahit. Personne ne nous avait entendues. Maman essuya son visage. Je lembrassai tendrement, la quittai en lui donnant rendez-vous après son travail pour que nous allions faire les courses au supermarché le soir.

Je la retrouvai à la sortie du magasin et nous partîmes faire nos courses pour la semaine. Nous étions comme deux gamines, rigolant, chahutant, nous pinçant les fesses. Nous achetâmes tout lattirail pour nous épiler, bandelettes de cire froide et crème dépilatoire, ne sachant quelle méthode privilégier. Une fois nos courses terminées, nous rentrâmes à la maison. Les courses rangées, nous dînâmes léger. Durant le repas, je posais la question qui me trottait dans la tête :

— « crois-tu quon va continuer comme ca maman ? » ;

— « franchement Chloé, je ne pensais pas quun jour cela nous arriverait. Vivons linstant présent, mais javoue que je me sens bien avec toi ».

Jétais heureuse quelle ressente la même chose que moi. Je me blottis dans ses bras. La chaleur de son corps irradiait. Sa peau était douce. Je ne pus mempêcher de caresser sa poitrine et de prendre ensuite ses tétons un par un dans ma bouche. Je lallongeai sur la table de la cuisine. Je plaçai une chaise sous chacun de ses pieds et me glissa entre ses cuisses. Jécartai ses petites lèvres et délicatement sortis son petit bouton de son capuchon. Je mis mes lèvres autour, le léchais, le suçais, le tétais comme si ma vie en dépendait. Cétait si bon et si excitant. Sa mouille coulait sur son anus. Jen profitais pour glisser deux doigts dans son petit trou. Ma langue glissait entre ses petites lèvres et remontait sur son clitoris.

Dans mon champ de vision, il y avait le panier de légumes qui nétaient pas encore au frigo. Une belle courgette semblait mappeler. Je me retirai quelques instants pour aller la chercher, la passer sous leau et lessuyer. Maman entretenait son envie en se caressant. Je revins me placer entre ses cuisses et plaçai le légume à lentrée de son anus. Je le lubrifiais avec la mouille dégoulinant au dessus. Jappuyai un peu plus fortement en sentis toute résistance sestomper. Maman laissa séchapper un léger cri de surprise mêlé le plaisir. Je continuais à lécher son clitoris tendu en faisant aller et venir la courgette entre ses fesses. Elle se pinçait les tétons en même temps. Le légume entrait entièrement dans ce boyau bien lubrifié. Javais limpression quelle était presque aussi large de ce côté-là que devant. Ma langue jointe à la courgette finit par arracher un orgasme puissant contractant tous les muscles de son corps.

Je me retirai délicatement de son anus et mis la courgette dans le lavabo. Maman récupérait doucement. Elle se releva et me prit dans ses bras. Un long baiser me fit comprendre tout le plaisir quelle avait ressenti. Nous allâmes prendre une douche ensemble. Ensuite nous filâmes au lit où nous nous retrouvâmes très rapidement dans notre position favorite, le 69. Cette fois-ci, jétais au dessus. Nous nous dévorions mutuellement. Elle glissa son majeur droit dans ma chatte pour le lubrifier et remonta vers mon anus. Je navais jamais pratiqué ce genre de caresse, cependant jétais trop excitée et je la laissai faire. Délicatement, elle introduisit son doigt dans mon petit trou très serré. Ce fut comme une décharge électrique un peu douloureuse mais excitante en complément de ses baisers sur mon clitoris. Je me laissais faire. Seule lextrémité de son doigt était entre mes fesses. Au bout dun moment ce nétait plus aussi désagréable. Je jouis la première. Mes caresses sur son clito déclenchèrent bientôt son orgasme également.

Revenant côte à côte, nous nous endormîmes la main mutuellement sur notre petit trésor.

Nous avions mis le réveil à sonner de bonne heure afin de profiter de notre dimanche. Après le petit-déjeuner, nous filâmes à la salle de bain pour notre séance dépilation. Maman prit les bandes de cire, moi plus craintive jutilisai la crème dépilatoire que je rinçai rapidement afin que cela ne brule pas. Nous admirâmes respectivement notre travail en comparant la douceur de nos minous. Cétait assez similaire et je trouvais follement excitant de toucher la chatte toute lisse de maman. Javais hâte de la lécher. Nous préparâmes le pique-nique et décidâmes de partir en voiture dans la campagne plutôt quà la plage afin dêtre tranquilles. Nous prîmes la voiture et remontâmes dans larrière-pays. Nous nous engageâmes dans un petit chemin qui aboutit dans un pré bordé darbres très discret et loin de toute habitation. Cétait le lieu idéal. Il devait faire une cinquantaine de mètre sur cinquante. Nous sortîmes la couverture, le pique-nique, le parasol et nous fîmes le tour du pré afin de nous rendre compte si nous étions vraiment tranquilles.

Rassurées, nous nous déshabillâmes pour nous mettre en maillot de bain. Nous nous allongeâmes sur la couverture pour profiter du soleil, retirant très vite le haut. Nos sens commençaient à séveiller. Je caressais tendrement la poitrine de maman dune main, ou plutôt je leffleurais. Ses tétons pointaient vers le ciel. Je me levai pour vérifier que nous étions seules. Pas de souci de ce côté, tout le monde était à la plage. Il ny avait que le bruit des oiseaux et de quelques cigales qui commençaient à arriver. Je retournai près de maman et enleva mon bas de maillot pour me retrouver totalement nue. Voyant cela, elle enleva le sien également. Nos minous dégagés profitèrent pleinement du soleil. Je voulais goûter son minou tout lisse. Je me glissai entre ses cuisses et commençai à la lécher avidement. Cétait vraiment meilleur sans tous ces poils. Rien ne gênait ma langue dans son exploration. Jappréciais cette nouvelle douceur. Maman aussi car elle levait son bassin sous mes coups de langue. Je glissai mes mains sous ses fesses. Elle se lâcha complètement dans un cri de jouissance. Nous étions bien.

Nous nous reposâmes un peu et sortîmes le déjeuner. Au menu salade de crudité, tomates, ufs et pèches. Cétait vraiment agréable de manger nues au soleil. Nous buvions beaucoup deau avec cette chaleur et à la fin du repas jeus envie de faire pipi. Je me levai pour misoler dans un coin tranquille pour cela. Maman me regarda méloigner quand elle me cria « attends ! ». Je me retournai, me demandant ce qui se passait. Elle se leva et courant dans lherbe me rejoignit. Passant son bras autour de mes épaules, nous continuâmes à marcher jusquau petit coin que javais choisi. Jallai me baisser pour faire pipi et remarquai quelle me fixait.

— « tu ne vas pas me regarder faire pipi quand même ? » :

— « et pourquoi pas ? ».

Jamais personne ne mavait regardé dans cette posture, mais pourquoi pas en effet. Je maccroupis et commençais. Maman se pencha et tendit la main sous le jet chaud. Létonnement interrompît brutalement mon envie. Elle portait ses doigts à sa bouche pour goûter mon urine. Je nen revenais pas. Jallais de surprise en surprise avec elle. Elle me demanda « cela te dérange ? ». je répondis que non. Elle sallongea dans lherbe et me demanda de me mettre accroupies au dessus de son visage. Intriguée je mexécutai. Ma chatte était au niveau de sa bouche, elle me fit « vas-y ». Je compris quelle voulait que je fasse pipi sue son visage. Je souris et me concentra. Au moment au le jet sorti, elle ouvrit la bouche et commença à boire. Je nen revenais pas et la fixai intensément. Je ne pouvais marrêter et je dus faire pas loin dun litre. Elle ne pouvait pas tout boire vu la violence du jet, cela coulait de chaque côté de sa bouche et éclaboussait son visage. Quand jeus fini, elle glissa sa langue dans ma chatte comme pour ne pas perdre la dernière goutte ou me nettoyer.

— « cest bon ? » fis-je curieuse.

— « oui cest un peu entre le goût du thé et de leau chaude ».

Elle métonnerait toujours. Elle se releva et en lembrassant je pus effectivement avoir une idée de la saveur de ma propre urine. Cétait surtout de voir maman me boire ainsi qui était excitante.

A suivre…

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