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Comment, à 18 ans, j'ai été perverti – Chapitre 7




Il me parlait encore au féminin, et ça me plaisait.

Moi : "Pourquoi vous parlez aux hommes que vous soumettez au féminin ? Malgré le fait qu’ils soient vos soumis, ce sont des hommes non ?"

Lui : "Il faut que tu comprennes que si nous sommes sexués, ce n’est pas pour rien. Un homme ça pénètre, ça remplit, ça défonce. Une femme, ça reçoit, ça accueille, ça subit, pour son plus grand bien. À partir du moment où tu te mets dans le rôle de te faire pénétrer, que ce soit par la bouche ou l’anus, pour moi, tu es une femme."

Son raisonnement était logique.

Lui : "Mais dans le cas d’un homme, je ne le traite de femme que lors de l’acte sexuel. Sorti de ce contexte, c’est un homme comme un autre, et de mon point de vue, jouer à paraître comme une femme, ou se comporter comme une femme, est une erreur de mauvais goût. Mais ce n’est que mon opinion et je sais que des homosexuels sont persuadés d’être des femmes, mais pour moi, c’est faux.

C’est pour cette raison que je n’ai de rapports entre hommes qu’avec des bisexuels, qui assument leur 2 aspects, masculin et féminin"

Son avis était tranché et sur le moment il me choqua un peu, mais ça se tenait, et après tout, c’était son affaire.

Voyant que je ne répondais rien, il reprit les choses en main, si je puis dire.

Lui : "Voyons un peu comment ton petit cul de femelle va s’ouvrir…"

Cran par cran, il me descendit, jusqu’à ce que mes jambes fléchissent et que mon anus entre en contact avec le Testeur.

Je m’empalai dessus, comme il me l’avait dit, en douceur, lentement, et je sentis mon cul s’élargir.

Lui : "Si tu veux, tu peux remonter et redescendre, pour mieux apprécier la pénétration, ça te donnera un peu d’élan, mais que tu gèreras toi-même"

Il avait raison. Aller et venir sur le Testeur était agréable et ça me donnait l’envie d’aller plus profond, en profitant de ma souplesse et de mon élasticité. Me sentir m’ouvrir de la sorte me procurait des sensations très fortes, c’était très jouissif…

Moi : "J’en suis à combien ?"

Lui : "Je préfère ne pas te le dire, sinon, ça va fausser le test, parce que tu pourrais avoir peur de certaines tailles et te contracter, ou bien, au contraire, forcer pour à tout prix atteindre un diamètre que tu ne peux pas encaisser. Alors laisse-toi juste aller et tu atteindras ta limite naturelle."

Moi : "Vous ne voulez pas me casser le cul si je comprends bien ?"

Lui : "Si, mais pas de cette manière !"

Moi : "J’ai envie d’être écartelée, j’ai envie d’être distendue, ça m’excite !"

Je me mis à aller et venir sur le Testeur de plus en plus fort et Roger, cran par cran, me permettait d’aller plus loin. La scène devait l’exciter aussi car je voyais qu’il se branlait très fort et avait totalement oublié d’utiliser son appareil photo.

J’étais pris dans une frénésie anale, j’aimais me sentir écartelée et je sentais que sans même me branler, la tension montait dans ma queue, que je pouvais très bien jouir de cette manière.

Roger me laissa me défoncer moi-même mais se mit à me traiter de tous les noms : "Tu aimes bien ça te faire dilater le fion hein petite salope, ça te plait d’élargir ton petit cul de pute ! Tu vas voir, tu seras étonnée par ton score, tu n’en reviendras pas !"

J’étais galvanisé, en transe, me soulevant et me laissant retomber sur le Testeur, sans savoir à quel point celui-ci m’écartelait.

Lui : "Tu sais, t’as encaissé sans broncher ma queue, alors que j’ai un assez gros calibre, puisque ma queue fait 20×5,5cm… Là, je pense que tu vas dépasser ce score, vu dans quel état tu te mets !"

Roger avait suffisamment descendu la corde pour que je puisse m’empaler à fond sur le Testeur, et je m’en donnais à cul joie ! Je sautais littéralement dessus à m’en faire éclater l’anus, dans une frénésie jouissive.

Et effectivement, je me mis à gicler des litres de sperme, sans m’être touché la queue, la première jouissance anale de ma jeune vie !

Lui : "Eh beh ! T’es déchaîné ! Tu m’as surpris avec ta jouissance de gonzesse ! Tu jouis du cul maintenant ! Je sens qu’on va bien s’amuser ensemble…."

J’étais dévasté par l’orgasme que je venais de vivre, inerte, enfilé sur le Testeur.

Lui : "Allez ! Relève-toi qu’on puisse lire le verdict !"

Il retira sur la corde avec sa manivelle, pour me remonter, tant j’étais sans force, un véritable poids mort…

Il me redescendit au sol après avoir mis de côté le tabouret, me libéra des menottes et me laissa regarder le résultat de mon test.

La marque de vaseline s’arrêtait à 6,5cm de diamètre, 20,5cm de circonférence !

C’est vrai que le moment d’excitation passé, j’avais le cul douloureux… D’ailleurs, il n’était pas encore refermé. 

Je vérifiai l’état de ma rondelle en y mettant mes doigts et pu en rentrer 4 sans forcer, sans avoir à l’écarter. J’avais le cul tout gluant de vaseline.

Lui : "Mets-toi à 4 pattes, j’ai trop envie de profiter de ta chatte béante !"

Il me poussa un peu en avant pour que j’obtempère mais n’eut pas de difficulté à me faire plier, tant je n’avais plus de force… Il se saisit de son appareil pour prendre en photo en plan large et en gros plan mon "cratère" ou ma "chatte béante" comme il s’amusait à me dire.

Cette fois ci, il n’eût pas à forcer pour m’enculer jusqu’à la garde en écartant le plus qu’il pouvait mes fesses. Il s’amusa même à rajouter des doigts à sa queue pour me dilater le fion, aidé par les restes de vaseline.

Il me défonça le cul à sa guise pendant 10 bonnes minutes, usant de mon corps comme d’une poupée de chiffon, s’amusant à me faire changer de position, sur le côté en cuillère, debout plaqué contre le mur, puis sa préférée, de toute évidence, à plat ventre les jambes serrées, tout en me tirant les bras en arrière en les tenant par les coudes.

C’est dans cette position qu’en poussant un râle inouï, il se libéra tout au fond de mon rectum, et s’affala de tout son long sur mon corps.

Après un long silence, Roger se retira de mon cul et glissa sur le côté.

Lui : "Je n’aurais pas imaginé le dixième de tout ce que tu m’as offert ! Ça promet avec toi ! Mais tout de même, faudra faire attention, un cul, ça se bichonne pour pouvoir en user longtemps, sinon, c’est vite la catastrophe, hein !"

Moi : "Ah ? Pourquoi ?"

Lui : "Ben sinon, ton cul reste ouvert en permanence, il ne retient plus rien et c’est une p** de galère…"

Moi : "Ah ouais, merde !"

Lui : "Tu ne crois pas si bien dire ! Ah ah ah ah ah ! Au fait, t’es venu comment ?

Moi : "En vélo, pourquoi ?"

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