Claudie venait de se livrer à sa soeur pour la première fois depuis ces sept derniers jours funestes. Elle s’effondra en larmes dans ses bras.

Sylvie sentait le bout des seins de sa soeur lui effleurer à chaque sanglot sa propre poitrine avec pour corollaire de lui mouiller l’entrejambe.

Sylvie serra fort Claudie contre elle et lui couvrit les lèvres d’un baiser qui n’offusqua pas sa soeur. Il faut dire qu’elle en avait vu d’autre le week-end dernier.

Claudie lui rendit son baiser un peu trop appuyé de la même manière sans arrière pensée.

Sa soeur était la seule à qui elle eut pu se confier de son viol. Les yeux pleins de larmes, elle avait raconté la nuit infernale passée, alors que son mari était de sortie en montagne en Ariège, à être le jouet sexuel de trois violeurs dont une femme.

Trois violeurs sortis d’elle ne sait où et qui avaient fait d’elle tout ce qu’il y avait à faire en une pareille occasion. Sodomie, fellations forcées, sandwich avec la fille et sans la fille, tout lui fut prodigué avec excès.

Aussi, honteuse d’avoir été poussée à de pareilles pratiques, elle n’avait pu se confier qu’à sa soeur. A Sylvie, cette soeur toujours à son écoute, malgré le mauvais tour qu’elle avait pu lui jouer récemment. Sylvie, dont les bras la consolait, sans même que Claudie eut pu imaginer qu’elle était la femme du trio …

Tout s’était fait rapidement !

Sylvie avait profité que le mari de Claudie parte faire une randonnée en montagne et que sa mère garde ses enfants pour se venger d’un affront récent de sa soeur. Préciser lequel n’a que peu d’importance pour l’histoire. Il suffit de savoir que Claudie, de six ans son aînée jouait de son corps avec ses proches, jusqu’à ses beaux-frères. Y compris son mari, Xavier, son complice sexuel.

Xavier lui avait confié un soir de sexualité agitée la tentative de Claudie de le mettre dans son lit.

Sylvie était rentrée en colère car elle était d’une jalousie appuyée. La fois où ils s’étaient éclatées à six (Cf. l’histoire précédente intitulée ? Le viol de Sylvie -2 ?) avec sa copine Isabelle dont Xavier avait eu largement sa part de la belle, Sylvie avait offert à Xavier une face dédaigneuse matinée d’un brin de mutisme pour la semaine. Ceci dit, et elle l’avait reconnu par la suite, elle n’avait pas été en manque pour sa part ni d’hommes ni de l’expérience lesbienne imposée- en apparence au moins pour Sylvie- à Isabelle.

Mais que sa propre soeur eut essayé de coucher avec son homme, cela dépassait les bornes.

Dans les bras de Xavier, après avoir été prise comme une garce, elle se mit à réfléchir à sa vengeance. Elle n’eut pas longtemps à s’éterniser sur le sujet car Xavier lui confia qu’il se la serait bien ? tapée ?.

Ni une ni deux, Sylvie sauta sur Xavier et lui susurra à l’oreille sa pensée. A laquelle Xavier répondit par un large sourire. Après sa copine Isabelle, pourquoi pas sa soeur Claudie. En comité restreint. Deux hommes et elle. D’une part pour assister et d’autre part pour y participer. De l’inceste, elle s’en moquait. Sa soeur la faisait fantasmer depuis longtemps. Et pour Xavier, cela lui permettrait de se vider les couilles autrement que dans son cul. Celui de sa soeur ferait bien l’affaire et Sylvie mettrait sa jalousie de côté. Elle préférait voir Xavier sauter une fille devant elle et si possible en la forçant plutôt qu’il ne la trompe le dos tournée.

Pour le comparse, Sylvie demanda à Xavier de proposer cette petite réunion de famille à Cyril, un des quatre violeurs d’Isabelle, partenaire de viol pour l’occasion de son homme et dont Sylvie avait apprécié la rudesse quand fut venue le tour d’être prise en sandwich après Isabelle,en tournante. Le duo faisait merveille, plus que le précédent qu’Isabelle dut alors supporter.

Cyril accepta avec joie gardant un souvenir lascif du viol de Sylvie et d’Isabelle, bien qu’il marqua sa déception à ne violer ouvertement Sylvie cette fois-ci. Xavier le réconforta en lui décrivant Claudie comme étant une belle femme, blonde, cheveux courts et yeux bleus, de trente ans, aux seins fermes de 95 B , les cuisses bien galbées avec un cul merveilleux.

L’opération fut prévue sur Toulouse, aux Minimes, pour le samedi soir prochain.

Ce soir là, Sylvie, Xavier et Cyril pénétrèrent dans le jardin attenant à la maison où Claudie se trouvait seule à écouter de la musique zen. Tous trois enjambèrent la grille profitant de la rue déserte et une fois à l’intérieur mirent une cagoule. Sylvie tenait à garder l’anonymat, surtout après le viol de sa copine. Et cette nuit là, c serait sa salope de soeur.

Les deux hommes se mirent à bander en voyant Claudie allongée sur le canapé, en robe de chambre en satin à travers laquelle pointaient ses seins.

Sylvie mouillait à l’entrejambe en se disant que dans dix minutes sa soeur boufferait sa chatte et deux bites au kilomètre.

Par chance, fut que le quartier de Toulouse était assez fréquentée, une fête de quartier procurait un arrière-fond sonore suffisamment élevé pour pouvoir jouir de Claudie en toute impunité.

Sylvie passa avec ses deux complices sous la fenêtre et gratta à la porte pour simuler le retour du chat de la maisonnée.

Claudie se leva et le coeur des trois assaillants se mit à battre plus que de raison. Si les deux hommes avaient les couilles pleines, Sylvie brûlait au bas ventre et se surprit agréablement de ce qu’elle allait commettre sans le moindre scrupule.

La porte s’entrouvrit tandis que Claudie disait d’une voix geignarde, sa voix habituelle :Allez, rentre !

Ce fut Sylvie cagoulée qui poussa la porte en grand, faisant reculer sa soeur terrorisée de cette subite intrusion.

Claudie cria et se mit à courir à l’opposée de la maison mais Sylvie la plaqua au sol et tandis que les deux autres hommes rentraient, Claudie entre deux cris, réalisa le but de cette subite violence. Elle comprit pourquoi ils étaient là et elle sut que cela allait durer.

Sylvie cria d’une voix déguisée : ? Ta gueule, pute ? tout en fouillant sous la robe de chambre de sa soeur. Xavier la rejoint avec Cyril et s’emparèrent chacun d’un bras.

? Pitié ! Pitié ! ? , suppliait Claudie tandis que Sylvie enlevait son corset dévoilant ses habituels seins lourds.

Claudie réalisa que non seulement elle allait se faire violer mais que son viol serait bisexuel en plus. Elle sanglota.

Sous un cri étouffé, Sylvie arracha la robe de chambre de Claudie et sa culotte avant de plonger sur la poitrine de sa soeur et de lui téter goulûment les seins.

Claudie hurla et après avoir enfoncé son index dans la chatte sèche de sa soeur, Sylvie dit aux deux hommes de l’amener dans sa chambre. Ce que ces derniers firent en rigolant grassement alors que leur victime se débattait en vain. Ils projetèrent Claudie sur le lit. Sylvie l’entendait pleurer une trentaine de seconde puis pousser un cri alors qu’elle s’assurait que personne n’était présent. Elle acheva de se déshabiller, prit un gode ceinture pour s’amuser avec sa soeur et rejoint la chambre d’où s’échappaient de nombreux râles ponctués de pleurs.

Sylvie s’émerveilla de la rapidité de Cyril et de Xavier qui en une minute s’étaient mis nus et prenaient avidement cette garce en sandwich. Isabelle pleurait et hurlait de ce va-et-vient inattendu entre sa chatte et son cul. Les deux hommes lâchaient des insultes à Claudie ponctués de qualificatifs rendant hommage à leur victime.

Cyril s’esclaffa.

? Génial, ce coup là ! ?

? Je te l’avais bien dit ?, rétorqua Xavier en soupirant un ? Super ? quand il enfonça sa bite en totalité dans le cul de Claudie.

Claudie hurlait en levant la tête vers le haut du lit.

? Pourquoi moi ?, sanglotait-elle. Pourquoi ? ?

Elle vit la femme, sa soeur en l’occurrence l’examiner. Claudie était fermement enserrée entre les bras de ses violeurs, Xavier dans son cul, Cyril à sa chatte et nichons.

? Tu es une pute et tu vas me baiser ?, répliqua Sylvie en s’appuyant cuisses écartées à la tête du lit.

? Non !Nonnn ! ?, hurlait Claudie tandis que Sylvie lui fit baisser sa tête et enfoncer ses lèvres sur sa chatte.

? Allez !Suce-là ! ?, intima Xavier.

Sylvie soupira à sentir la langue de sa soeur lui parcourir les lèvres et s’enfoncer dans son vagin. Elle imprima à la tête de Claudie un va – et -vient qui au bout de dix minutes lui soutira un orgasme tandis que Xavier et Cyril éjaculaient dans leurs trous respectifs.

? Il y a de la bière au frigo les gars ?, indiqua Sylvie d’un hochement de tête. Les deux violeurs n’avaient pas évidemment finis leur besogne mais firent une pause. A leur retour, Claudie hurlait sous les coups de boutoir du gode ceinture hardiment manié par sa soeur qui l’enculait en jouissant. A ce séduisant spectacle, les deux queues se redressèrent et Xavier alla se disposer dans la bouche de Claudie, l’empêchant par là même de hurler alors que Cyril, de son propre soeur allait derrière Sylvie l’enculer.

? Ho ! , dit Sylvie alors que Cyril la comblait. Gardez vos forces pour cette pute ?.

? Te fais pas de soucis pour çà ma belle ?, rétorqua Xavier en l’embrassant alors que son sperme commençait à se répandre dans la bouche de Claudie et que les coups de rein au cul de Sylvie se répercutaient dans celui de Claudie.

Xavier sortit sa bite au bout de dix minutes de la bouche de sa victime qui crachait à profusion son sperme pour pousser Cyril du cul de sa femme. Sylvie sortit de celui de sa soeur pour la prendre en avant par la chatte tandis que Xavier limait à nouveau le cul de sa soeur.

Claudie pleura de l’humiliation d’être prise en sandwich maintenant par une femme qui lui bouffait les seins, ravageait la chatte et l’obligeait à l’embrasser, quand la bite baveuse de Cyril ne se trouvait pas dans sa bouche.

Et Sylvie jouissait. Cyril hurlait, Xavier aussi. Seule Claudie pleurait et hurlait.

Et cela continua toute la nuit, en répétant les mêmes variantes. Claudie criait encore plus quand sa soeur s’agitait seule en elle alors que les deux hommes cagoulés se branlaient sur son visage.

Sylvie fut même prise en sandwich par les deux hommes alors qu’elle maintenait fermement ouvertes les cuisses d’une Claudie résignée à se faire bouffer la chatte par la femme.

Puis ils quittèrent Sylvie pour se jeter sur Claudie.

Et ainsi de suite. Cela dura plus de huit heures pour finalement aboutir au départ des intéressé(e)s. Une troisième vidéo de viol fut ainsi tournée et par la suite envoyée à Claudie avec la mention ? Nous reviendrons si tu ne fermes pas ta gueule ?.

Le jour de la révélation de Claudie à sa soeur de son viol, Cyril et Xavier regardèrent dans son intégralité la vidéo en baisant Sylvie en sandwich face au poste, une Sylvie qui se délectait des cris de sa soeur.

xavierfilou

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