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Envie de mon beau fils – Chapitre 1




Je m’appelle Laurence, 46 ans, jolie petite brune aux yeux verts. Je vis en Gironde, près de Bordeaux, avec mon mari Jean-Marc, 49 ans, que j’ai épousé il y a 20 ans et son fils né d’une première union, Stéphane, âgé aujourd’hui de 22 ans. Sa mère est décédée dans un accident de voiture alors qu’il n’avait qu’un an. Je n’ai jamais pu avoir d’enfant, une grande déception pour moi. Du coup, Stéphane, c’est un peu mon fils. Lui qui n’avait pas de mère, moi, pas d’enfant, on était fait pour s’entendre. Je l’ai élevé, éduqué, vu grandir comme mon fils. Jean-Marc travaille dans le vin. Il s’occupe des relations commerciales entre les grands domaines et les gros clients, notamment à l’étranger (Chine, Etats-Unis, Japon, etc…). Il est souvent en déplacement à l’autre bout du monde. Nous vivons bien, dans une vieille ferme totalement rénovée, au milieu des vignobles.

Depuis quelques mois les relations sont un peu tendues entre Jean-Marc et moi. De la petite dispute de couple on en est arrivé à de sacrés clachs, de plus en plus fréquents et forts. Il y a quelques semaines, nous nous sommes violemment accrochés pour une sombre histoire de compte bancaire. Le ton est très vite monté dans la cuisine et mon mari est sorti en claquant la porte, a démarré la voiture et est parti plus d’une heure, je ne sais où. J’ai un fort tempérament, mais là, ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. J’ai craqué. Stéphane est entré dans la cuisine. Il s’est assis à mes côtés et a commencé à me parler pour me calmer. Au bout de quelques minutes j’ai un peu repris mes esprits même si ce n’était pas encore ça.

"- Je vais me faire un café, tu en veux aussi ?" Lui demandais-je.

Il accepta ; je me suis levée pour préparer le café, et j’ai alors dit :

"- Je ne suis plus très heureuse avec ton père. Je crois que je vais le quitter."

Stéphane s’est alors levé et m’a rejoint près du plan de travail. Ses mains se sont posées sur mes hanches tandis que je continuais mon occupation.

"- Allons, tu dis ça parce que tu es à bout, mais dans quelques heures tout ira mieux. Tes mots dépassent ta pensée."

J’ai de nouveau craqué. Je me suis retournée :

"- J’en peux plus Stéphane !"

Il me prit dans ses bras. Son étreinte me fit beaucoup de bien. On se regarda dans les yeux puis machinalement nos lèvres se sont rapprochées pour se coller l’une à l’autre. On s’embrassa pour ne pas dire se galocha à pleine bouche. Nos langues "dansaient" ensemble. Stéphane passa ses mains sous ma robe et fit glisser ma culote sur mes cuisses. Il m’embrassa dans le cou et s’agenouilla. Je tenais ma robe levée d’une main et me laissais faire, appuyée sur le plan de travail. Un grand silence régnait dans la pièce, simplement perturbé par le bruit de la cafetière. Je me souviens de l’odeur du café chaud qui s’échappait de l’appareil dans mon dos. Il fit tomber mon dessous sur le carrelage et je posai ma jambe droite sur son épaule. Commença alors un doux moment, réconfortant et excitant. Mon beau fils posa sa bouche sur mon clito et l’embrassa délicatement, puis fit jouer sa langue sur le bouton. Je me mordis les lèvres et ferma les yeux, savourant cet instant incestueux. Se faire lécher par un homme c’est une chose, mais quand c’est fait par le fils de son mari, un garçon que l’on a vu grandir, que l’on a élevé comme son propre fils, la sensation est vraiment bizarre, mêlée de honte, de culpabilité mais aussi et surtout d’excitation et d’envie d’aller plus loin. Stéphane faisait ça vraiment très bien. Je m’abandonnais, me laissais faire. Il descendit sa bouche sur mon vagin pour me lécher entre les lèvres, fourrant bien sa langue dans mon trou. L’acte dura plusieurs minutes. C’est alors que par la fenêtre, je vis revenir la voiture de Jean-Marc au bout du chemin. Je revins très vite à moi :

"- Stéphane ! Ton père est là !…"

Ni une ni deux mon beau fils se redressa. Pour ma part, je remis ma culotte et réajusta ma robe. Stéphane repartit dans sa chambre. Je me servis une tasse de café et m’assis à la table, encore toute émoustillée par ce qu’il venait de se passer. Jean-Marc entra :

"- Pardonne-moi ma chérie ; je m’en veux si tu savais…"

Alors qu’il me débitait ses excuses et ses craintes sur le fait que je pourrais le quitter, je pensais à Stéphane. Mon excitation était encore présente. Je n’avais qu’une envie me faire prendre.

"- C’est bon Jean-Marc, calme-toi. Moi aussi je m’excuse de m’être emportée."

Je me levai de ma chaise, lui prit la main :

"- Viens, je veux que tu me baises pour faire la paix".

Nous partîmes nous enfermer dans la chambre. Jean-Marc ne fut pas plus étonné que ça. Après chaque dispute (même si celle-ci fut particulièrement forte), on avait l’habitude de s’envoyer en l’air pour nous réconcilier. A peine dans la chambre, je fis tomber ma robe, j’enlevai ma culotte floquée d’une petite tâche de mouille au niveau de ma fente et m’installai à quatre pattes sur le bord du lit. Jean-Marc s’enfonça en moi, debout et nu. A grands coups de bite il me secouait, faisant craquer le cadre en bois du grand lit. Ses coups de boutoir étaient rudes, me provoquant un cri à chaque fois qu’il entrait. Il accéléra la cadence changeant mon "Han" en "Haaaaaan" continu. Mes seins ballotaient dans le vide au-dessus du matelas sous l’impulsion de l’acte. Mon mari finit par jouir en moi dans un cri presque étouffé de soulagement et d’extase. Je m’assis sur le bord du lit et pris sa queue dans ma bouche pour nettoyer son foutre sortant encore du bout de son gland. Mais je n’étais pas rassasiée. On remit ça quelques minutes après : levrette, missionnaire, amazone, branlette espagnole, sodomie, tout y passa. Ce jour-là j’eus trois orgasmes. Mais je ne sais pas si c’est l’expérience et l’endurance de mon mari ou l’excitation de ce trop court moment avec son fils auquel je pensais durant tout l’acte dans la chambre qui en fut la cause. Peut-être un peu des deux, mais j’ai ma petite idée. Désormais je n’avais plus qu’une idée en tête : coucher avec mon Stéphane ; et je savais que l’occasion allait très pochainement se présenter.

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