10 jours ont passé. Les deux frères ont une discussion qui a duré plus de deux heures, ils avaient décidé, d’un commun accord, d’arrêter leurs relations sexuelles avec leur mère. Ils se sont dit que ça ne pouvait pas durer, à force, ça risquait de se savoir, et puis aucun des garçons ne voulait mettre leur maman enceinte, même si elle portait un implant le risque zéro n’existe pas. Mais au fond d’eux, ça les faisait chier parce que leur maman était une sacrée baiseuse et en plus, elle était bandante.
Marion est très demandeuse de sexe à chaque fois qu’elle voulait. Ils trouvaient une excuse où ils partaient rapidement de la maison, ils faisaient exprès de rentrer tard quand Marion était couchée et partaient très tôt le matin.
Marion n’était pas dupe, elle se doutait qu’il y avait un problème entre elle et ses garçons. Ça faisait 10 jours qu’ils n’avaient pas couché ensemble, mais Marion était en manque. Elle devait en avoir le cur net, elle se baladait à poil devant eux, elle effleurait leur sexe et les deux garçons ne faisaient rien du tout, mais ce que Marion ne savait pas, c’est que ses fils avaient conclu un pacte et qu’ils ne coucheraient plus avec leur maman.
Marion, comme ses fils, savait qu’il faudrait avoir une explication pour mettre les choses en place, mais aucun de trois ne semblait prêt à faire le premier pas.
Marion allait souvent dans les boîtes à partouze, elle couchait avec un ou deux mecs différents à chaque fois qu’elle y allait, mais aucun de ces hommes-là n’était aussi doué que ses fils et n’avait non plus la longueur, ni la grosseur de leur sexe et puis, il faut dire qu’ils savent très bien s’en servir, ces deux petits salopards.
Alors les deux garçons décidèrent de parler à leur mère, et c’est sans surprise que ça soit à l’aîné de prendre la parole.
Ecoute maman, tu te rends compte que l’on est assez distant.
Oui, j’ai remarqué mes deux amours, vous allez me dire pourquoi.
Ecoute, on s’est rendu compte que ça ne pouvait pas durer entre nous et puis tu pourrais tomber enceinte.
Non, j’ai un implant, il faut dire la vérité, vous me trouvez plus à votre goût, ni sexy.
Non maman, tu es la plus belle du monde. Ta bouche, ton cul et tes seins sont magnifiques.
Alors pourquoi vouloir arrêter ?
On pourrait nous surprendre, et tu pourrais être renvoyée et ça ne sert à rien de nous tenter.
On a fait un pacte, dit Stéphane.
OK, comme vous voulez les garçons.
Toujours d’accord, maman, pour fêter mon anniversaire samedi prochain ?
Oui, bien sûr.
Marion était vexée, mais veut se venger et comme dans 4 jours il y a son anniversaire, elle décida un peu d’allumer son copain, on verra si leur pacte tient, le seul truc dommage, c’est que Stéphane ne sera pas là, il a une compétition de son sport et il ne pouvait pas reculer, c’était la finale de karaté des championnats de France.
Les 4 jours se passaient tranquillement, Marion déposa son deuxième fils à la gare, rentra chez elle et décida de peaufiner son plan.
C’est Marion qui parle maintenant :
L’anniversaire de mon grand fils qu’il a voulu organiser à la maison avec ses copains. Aucune fille dans la bande, juste une dizaine de gaillards du club de foot. Des copains d’enfance que je connais depuis presque 20 ans.
C’était un samedi après-midi.
Moi-même, je suis restée à la maison pour organiser (et surveiller) l’anniversaire, ce qui a considérablement énervé mon ado de fils !
Tu ne vas pas rester à nous surveiller tout l’après-midi ! C’est bon, je peux gérer.
Tu as tort de le prendre comme ça, j’avais prévu une petite surprise pour tes copains, lui dis-je.
et c’était quoi, cette surprise ?
tu verras bien, tu ne seras pas déçu, ni tes copains.
Putain, tu me fais peur.
Je repartis dans la cuisine en me disant que ce petit con avait besoin d’une leçon et qu’avant d’être une mère, je suis aussi une femme. J’eus donc une idée.
16h, l’anniversaire de mon fils se déroulait bien.
Pour ma part, en jean moulant serré pour bien mettre en valeur mon beau cul et débardeur blanc bien décolleté, je déambulais entre les garçons pour leur demander s’ils n’avaient besoin de rien.
Je me penchais vers l’un qui jouait à la console, lui offrant mon décolleté avec ma grosse poitrine, pendant qu’un autre pouvait regarder mes fesses à sa guise.
Ce petit manège dura un moment et, à chaque fois que je faisais mon entrée dans le salon, tous les regards étaient braqués moi, ou plutôt sur mes seins et mon cul ! Je ne suis pas spécialement une allumeuse en temps normal, mais j’étais contente de mon effet, car Stephen s’énervait de ce petit jeu alors que ses potes adoraient !
Au moment de l’ouverture des cadeaux, je décide de mettre la suite de mon plan à exécution, je me place debout devant les garçons alors en train de regarder mon fils déballer ses cadeaux et mets un CD dans la chaîne hi-fi.
Et je commence à bouger au rythme de la musique.
Les garçons se regardent et se demandent ce qui se passe alors que j’ondule des hanches et remonte mon débardeur.
Je continue à danser, me retourne, me palpe les fesses en jouant avec le haut de mon jean que je baisse légèrement pour faire apparaître la dentelle de mon boxer.
Je regarde à nouveau cette belle brochette d’ados, me masse le ventre, remonte encore mon haut puis passe mes mains sur mes gros seins en les palpant généreusement.
Les gars sont médusés.
Je continue à jouer avec mon haut, le monte de plus en plus, révélant progressivement mon beau soutien-gorge noir. Celui-ci me fait donc une poitrine des plus sexy.
J’enlève complètement mon débardeur, le jette au garçon devant moi avec un regard aguicheur et me penche en avant en malaxant mes seins.
Son visage n’est alors qu’à quelques centimètres de ma poitrine et je continue de me peloter les seins en le voyant rougir comme une pivoine. Je me redresse et commence maintenant à jouer avec mon jean, toujours en rythme.
Je le déboutonne, puis commence à le descendre progressivement.
Mon boxer apparaît alors petit à petit.
Je me retourne pour leur présenter mon beau cul et joue un peu avec leurs nerfs en révélant très doucement mes fesses.
Ayant révélé la moitié de mon derrière, je fais une longue pause puis baisse d’un coup le pantalon en tendant les fesses le plus possible. Tout le monde, à présent, a les yeux rivés sur ces longues jambes et ce cul mis en valeur par le boxer qui me rentre dans la raie.
Je lève une jambe pour la dégager du pantalon puis la repose à côté, écartant ainsi une cuisse.
Même geste de l’autre jambe et je me retrouve cul tendu, cuisses écartées devant 10 garçons, plus mon fils, les jeunes gens commencent sérieusement à s’échauffer.
Je me retourne, leur fais face en soutien-gorge et boxer et leur demande s’ils en veulent encore.
Tous s’exclament que oui tandis que mon fils, est manifestement en colère, mais reste toujours dans la pièce à regarder.
Pourtant, sans l’écouter, je prends une chaise, m’assois avec le dossier face à moi et, comme une professionnelle, écarte les jambes d’un coup.
Je me penche en arrière, caressant mes seins en insistant sur mes tétons qui pointent, mon ventre, mon sexe au travers de la dentelle.
Je me remets debout, place les mains sur mes seins, approche mes doigts de l’attache située devant, la décroche et commence à jouer avec les 2 parties du soutien-gorge, sans révéler mes tétons.
Les regards se font avides et impatients et je remarque que certains garçons se touchent maintenant le sexe au travers de leur pantalon, plus ou moins discrètement.
Je me rends alors compte que tous doivent bander comme des malades et que 11 sexes durs me font face.
Je redemande alors :
vous voulez vraiment voir mes seins ??
oui, carrément !! sexclament-ils tous.
vous pensez vraiment que je vais vous montrer mes gros seins et mes tétons qui pointent, les mecs ??
allez, s’il vous plaît ! Vous êtes trop belle !
bon, d’accord…
J’ouvre alors d’un geste rapide mon soutien-gorge, le laisse tomber par terre et leur expose fièrement mes beaux et gros seins. Ils sont fermes, bien ronds, lourds, mais pas tombants, et évidemment naturels. Je les masse, les soulève, les écarte puis les resserre, titille mes tétons très durs. Les gars n’en peuvent plus, gesticulent et se touchent le sexe de moins en moins discrètement. Stephen a les yeux rivés sur mes seins !
Moi, mère de famille modèle, professeur, croyante me retrouve en boxer seins nus devant mon fils (ce n’est pas la première, d’autant qu’il m’a baisée plus d’une fois) et ses copains. Et le pire c’est que j’aime ça !
Mon fils, très en colère au début, me regarde maintenant avec intensité et nous échangeons régulièrement des sourires complices. Il semble excité par la vision de sa mère à demi nue.
Revenons à mon strip-tease. Jusque-là, je maîtrisais la situation et me disais qu’en demandant aux garçons un peu de discrétion, surtout s’il en voulait un autre un jour, la chose n’aurait pas de conséquence. J’eus donc envie de pousser un peu plus loin le strip et commençais à jouer avec mon boxer tout en me trémoussant de la manière la plus sexy possible, tordant du cul, me penchant vers un garçon puis vers un autre.
Les gars étaient chauds, mais ils devinrent hystériques quand je m’allongeais par terre, sur le ventre et levais ma croupe, cuisses écartées pour leur tendre mon cul et ma chatte, même couverte.
Je passe un doigt sur mon sexe et l’enfonce légèrement dans mon vagin.
Le tissu pénètre sans mal dans mon orifice béant et je commence carrément à me caresser le clito à travers la dentelle.
Je décris des cercles et pousse des petits gémissements.
Pendant une minute, je me masturbe sans penser aux ados en train de me mater et ne cherche que mon propre plaisir.
J’accélère mon mouvement et gémis de plus en plus distinctement.
Je suis à 2 doigts de craquer et de glisser ma main sous le tissu pour me faire jouir.
Mais je reprends mes esprits et me dis qu’il est temps d’en finir.
Je me relève et annonce aux garçons que ce boxer est décidément de trop !
Devant l’enthousiasme général, je baisse d’un coup mon boxer et me retrouve alors… En string !
Hé oui, depuis le début, n’étant pas sûr de jusqu’où j’oserais aller, je me suis gardé cette dernière parcelle de pudeur.
Hors de question (au début) de me mettre complètement nue devant ces gamins en rut, cela devait rester un strip coquin !
Les regards sont alors surpris, un peu déçus, même celui de mon fils qui voulait voir, je pense, la chatte de sa mère. Je me dirige vers la chaîne hifi, stoppe la musique et, faisant dos à mon assistance, leur tends une dernière fois mes fesses découvertes.
le spectacle est fini les garçons !
Oh non ! Vous ne pouvez pas vous arrêter là! Vous êtes trop belle Madame, on veut vous voir nue !
Dans vos rêves les gars… Stephen, tu peux aller me chercher un peignoir dans ma chambre ?
Il s’en occupa sans rechigner, sans doute un peu soulagé de la fin du strip.
A POIL, A POIL, A POIL, s’exclament-ils tous alors en chur comme des supporters à un match.
Non les garçons ! Vous en avez assez eu !
Sérieux, Marion, continuez ! Vous êtes trop canon ! On ne dira rien à personne si vous vous mettez à poil. Hein les mecs ?
C’était Valentin qui parlait, le meilleur ami de Stephen, 18 ans, 1m80 et beau garçon. Son sourire et ses arguments commençaient à faire mouche, le tout aidé par une excitation et une curiosité malsaine.
Donc, si je comprends bien, j’enlève mon string et on en reste là? C’est tout ?
C’est ça et personne ne le saura jamais…
Bon… Alors OK……
Trop bien ! Merci !
C’était l’excitation qui avait parlé et aussi la curiosité de me mettre nue devant quelqu’un d’autre que mes fils ou de mon gynéco…
De beaux jeunes hommes pleins de vitalité qui manifestement me trouvaient bandante : ça me plaisait !
Je me retourne donc, commence à baisser mon string en tortillant du cul, jambes serrées car il est hors de question que j’expose ma chatte comme une actrice porno.
Une fois mon string à terre et mes fesses totalement nues, je commence à me retourner doucement pour leur montrer ce minou tant désiré et que j’avais, ça tombe bien, taillé ce matin en ticket de métro.
Je me retrouve donc nue face aux garçons et je découvre avec surprise qu’ils sont debout, en arc de cercle autour de moi, bites à l’air, tous en train de se masturber en me matant !!
