Le lendemain j’ai cours qu’à 10:00, mais je prétexte la nécessité d’aller à la bibliothèque pour prendre le bus de 6:45 conduit par "mon" Jeff. Inutile de dire que j’ai pas arrêté de penser à lui depuis qu’il m’a laissé hier au pied du bus. J’ai tellement peur de le rater que je suis à l’arrêt dès 6:30…

Mon arrêt est le premier du parcours. Il n’y a personne pour l’instant. Je prie pour rester seul. Plus 45 approche, plus mon coeur bat. Et le doute me gagne. Qu’est-ce que j’espère, un gars la quarantaine, sûrement marié qui s’est amusé d’un lycéen gay… Je suis presqu’à rentrer chez moi gagné par la raison, mais trop tard le bus arrive. Je suis toujours seul. Je crois qu’on entendrait battre mon coeur à 50m. J’ai reconnu Jeff de loin, j’hésite entre sourire et honte, c’est perturbant. Le bus s’arrête, les portes s’ouvrent, Jeff me regarde de côté, un regard sur son rétroviseur gauche pour surveiller la circulation. Il esquisse un sourire :

— je t’emmènes beau brun?

Il éclate de rire. 

— bonjour

— bonjour beau brun, t’es tout seul on dirait?

— oui

— je démarre vite alors… 

Il quitte l’arrêt et me regarde furtivement en souriant légèrement. Il a une chemise bleue à manches courtes, largement ouverte. Je le laisse conduire et vais m’asseoir à ma place avec vue. Il me regarde dans le rétroviseur et me fait un clin d’oeil. Je souris, conquis!

Il s’arrête rapidement en sortie de village sur le parking du cimetière. À cette heure matinale on est sûr que personne va venir… 

Moteur éteint, il se lève, avance vers moi de sa démarche assurée et tranquille. Il m’interpelle :

— alors ça va bonhomme, bien dormi?

— oui, même si j’ai beaucoup pensé à hier!

— j’imagine, moi j’ai mis du temps à débander après t’avoir quitté.

Machinalement je baisse les yeux sur son entrejambe et vois une légère protubérance. Il ne relève pas et continue :

— j’ai été touché qu’un jeune comme toi ait des vues sur un mec de 45 piges, ça me rajeunit un peu…

Je rougis. Il me dit :

— j’ai envie de t’embrasser…

Et il s’approche sans attendre ma réponse, il sait déjà que j’ai envie, et il prend les devants. Ses lèvres se posent sur les miennes. Je retrouve l’odeur de cigarette et son parfum de mâle. Il a posé un genou sur le siège à côté du mien et se colle peu à peu à moi un bras tendu, main appuyée sur la vitre. Sa chemise est complètement lâche et me laisse voir son torse en entier, ses seins, ses tétons, le début de son bide… Il est enrobé, ça me plaît comme ça. Moi c’est surtout les poils que je vois. Il plaque mon visage sur son torse et me serre fort quelques instants :

— tu m’as manqué Lionel.

Il s’écarte et me regarde dans les yeux en souriant franchement avant de m’embrasser à nouveau, cherchant ma langue avec la sienne. En même temps, il déboutonne complètement sa chemise.

Je pose mes mains sur lui sans attendre son invitation cette fois. Je bande. Il m’excite, je me laisse aller, en totale confiance. Je caresse son torse, ses poils glissent entre mes doigts, je titille ses tétons. Il commence à gémir :

— hmm c’est bon, tu m’excites bonhomme… pince-les doucement, joue avec, ils sont à toi mon bébé…

Je m’exécute. J’ose même porter ma bouche sur son téton gauche. Je lèche, je suce, je sens son téton dur, il a la chair de poule. Il gémit, il me caresse la nuque et l’arrière de ma tête pour m’encourager à continuer. J’ose serrer mes dents :

— hmmmm ouah bébé, j’adore, hmmm…

J’alterne le même traitement sur son autre téton… Il gémit tout autant :

— ah bébé, tu m’excites vraiment, qu’est-ce que c’est bon… hmmm

On s’embrasse à nouveau à pleine bouche, il glisse sur le siège vide et m’attire à lui pour me câliner en m’embrassant. Il passe ses mains sur mon dos puis ma nuque pour appuyer son baiser, il touche mes fesses, mon torse. Je débande un peu gagné par la peur de la suite, j’entre dans l’inconnu à nouveau. Mais je m’habitue à ses caresses et recommence à bander dur. Il cherche à m’enlever mon t-shirt. Je l’aide un peu. Je rougis car aucun homme ne m’a vu torse nu, j’ai quelques kilos en trop et je complexe un peu. Il doit le sentir, il me rassure tout de suite :

— hmm un beau petit gars costaud, j’aime bien, tu fais du rugby?

— non, du judo…

— un petit judoka, encore mieux

Il me tâte les épaules, les bras, les cuisses à travers mon jean…

— je sens tes jeunes muscles, hmmm

Et il couvre mon torse de baisers et de coups de langues. Il trouve mes tétons de ses doigts. Il me les pince et les titille avec sa langue. Je gémis, je respire fort. Je bande dur et naturellement mon bassin commence un mouvement de va et vient en me frottant sur sa jambe. Il pose une main sur mes reins pour accompagner ce mouvement. J’aime ça. Je m’étourdis presque. Je transpire, lui aussi, mes doigts glissent sur sa peau. J’aime son odeur. Il m’embrasse à pleine bouche. Mon excitation monte toujours. Il me relève un peu, défait ma ceinture, dézippe ma braguette et glisse sa main droite à l’intérieur en disant :

— ouhla, il fait chaud la dedans, t’es tout dur mon bébé. Laisse-moi sortir ta bite…

Je l’aide un peu. Mon sexe est bandé, près de son torse, il s’amuse à titiller son téton gauche avec ma bite dure et humide. Ça me fait un peu mal, j’ai le gland sensible. Il essaye de me décalotter mais n’y arrive pas complètement, j’esquisse une crispation de douleur.

— tout doux mon beau, je vais pas jusqu’au bout, t’es très dur, ça arrive…

Il me branle sans me décalotter. Quelle sensation de voir un autre homme, surtout "mon" Jeff, me branler… La jouissance est proche, il le remarque et il continue plus fort en m’encourageant :

— vas y bébé, jute sur moi…

Il me pince un téton et je viens sur lui : 1 jet puissant s’étale sur toute la longueur de son torse, un deuxième tout aussi puissant, puis il ouvre la bouche et gobe ma queue pour récolter les 2 jets suivants et les spasmes qui s’en suivent. Je le sens avaler. Tout mon corps tremble, il me serre fort contre lui, ma queue toujours dans sa bouche :

— hmmm…

Ma queue se calme peu à peu et je débande rapidement. Il repositionne mon prépuce habilement avec sa langue tout en aspirant les dernières gouttes. J’ai un petit mouvement de recul. Étrange sensation. Mon dieu, je viens de me faire sucer et d’éjaculer dans la bouche d’un mec. Je n’ose plus bouger. On reste quelques instants comme ça, je reprends mon souffle, il me caresse le dos… En regardant les traînées de sperme sur son torse je dis :

— je suis désolé…

— désolé de quoi mon bébé?

— pour le sperme

Il regarde son torse et souris :

— faut pas être désolé, je suis content que t’aies joui sur moi. t’étais beau…

Avec son doigt il récolte un peu de sperme et le porte à sa bouche :

— hmm il est bon ton sperme, il est un peu sucré…

Il en recueille à nouveau et lèche son doigt en me regardant interrogateur :

— tu veux goûter?

Je fais non de la tête.

— tant pis pour toi, moi j’aime, y’en aura plus pour moi!

Et il éclate de rire. Il m’embrasse sur les lèvres en passant sa main dans mes cheveux.

— bon relève-toi mon bébé, il va falloir prendre la route.

Je m’écarte en me rhabillant. Lui s’essuie le torse avec un mouchoir puis reboutonne sa chemise. Il s’étire le dos en se relevant, légèrement courbaturé :

— c’est plus de mon âge ces positions… Ouille…

Il m’embrasse et regagne son siège pour redémarrer. Je le rejoins, debout à côté de lui, accroché d’une main à son cou pendant qu’il conduit. Il met sa main droite sur ma taille quand il ne passe pas les vitesses. On reste quelques kilomètres comme ça, sans parler mais heureux l’un et l’autre. On voit 2 lycéens à l’abris bus qui point au loin. Il me dit :

— allez fais moi un bisou et regagne ta place

Baiser furtif sur les lèvres pour ne pas trop perturber sa conduite. Il me dit :

— je bande encore moi…

— désolé 

— ne le sois pas, j’aime…

Je glisse ma main vers son téton gauche et le pince légèrement en déposant un gros bisou sur sa joue :

— putain bébé, c’est pas ça qui va me calmer… Allez va t’asseoir coquin, et révise tes fiches… Descends en dernier que je te dise au revoir dignement…

Il éclate de rire, j’aime son rire. Je regagne mon siège en riant aussi. Il arrive à l’arrêt, regard mutuel et clin d’oeil, puis il accueille les lycéens. Encore un jour de grève, la récolte est maigre. J’essaye de me consacrer à mes fiches de révisions pour le bac mais c’est mission impossible, je repasse en boucle le moment qu’on vient de passer. Je prends confiance autant que je prends peur. Je croise son regard de temps en temps, il est toujours bienveillant, quelques fois lubrique. Je rebande. C’est fou, ce mec m’attire depuis si longtemps et là la réalité va au-delà de mes fantasmes. Je fantasmais des scénarios très compliqués pour espérer le voir nu, espérer le toucher. Et là tout est arrivé simplement, il prend les devants, il balaye mes complexes, tout se fait spontanément.

On arrive en ville, je laisse passer l’arrêt de mon lycée comme hier, j’attends bien sagement le terminus. Je range mes affaires tardivement pour être le dernier. Tous les autres sont descendus, il ferme les portes et me lance :

— reste assis, je vais me mettre plus loin pour qu’on soit tranquille.

Il contourne le stade attenant au lycée et se gare sur un parking non goudronné près des terrains d’entraînement de rugby. L’endroit est désert. Juste un gars qui tond la pelouse sur le terrain principal. Jeff me rejoint, il m’embrasse furtivement et m’invite à le rejoindre au fond justifiant qu’on sera plus confortable sur la banquette. Il tire les rideaux autour de nous pour nous donner un peu d’intimité. Il me prend dans ses bras, me serre fort et m’embrasse à pleine bouche. Il est doux et viril à la fois, je me laisse aller. Il s’allonge sur la banquette et m’attire à lui. On passe une longue minute à se câliner, puis il me dit :

— j’ai envie de te voir nu.

Je me relèves, j’ôte mon t-shirt, je défais mon pantalon, je deviens nerveux.

— doucement bébé, j’ai compris que tu débutes, c’est ce qui me plaît chez toi, je vais te faire découvrir les sensations petit à petit.

Il me rassure, il m’aide à enlever mes chaussures et mon jean.

— reste comme ça en sous-vêtements 

J’ai une légère érection. Il le remarque et souris. Il se lève, déboutonne sa chemise et l’enlève. Ses gestes sont lents, il me laisse apprécier l’instant. Ouah je découvre son torse nu, il est poilu sur les épaules et le haut des bras. Il est musculeux, on voit qu’il a fait du sport jeune. Il s’est enrobé avec le temps mais tout est encore ferme. Il est beau. Ses tétons roses pâles sont proéminents, ils sont durs. Mon regard s’abaisse, il a un ventre naissant. Ses mains sont déjà sur son pantalon. Il rougit en l’enlevant et manque de tomber. Il rigole puis dit :

— tu vois tu m’impressionnes aussi… ça va je te plais?

Je le regarde de haut en bas. Il est en slip et chaussettes devant moi. Ses jambes sont poilues, ses cuisses sont musclées.

— oui, t’es beau Jeff

— arrête tu dis ça juste parce que je t’ai fait jouir

— non

Il rigole.

— je te taquine mon bonhomme.

Il m’attire à nouveau à lui sur la banquette.

— hmm enfin je sens ton corps sur le mien…

Le contact peau contre peau sur toute la longueur du corps m’électrise et me donne un frisson. Il m’étreint fortement. J’aime sa force. On s’embrasse, on se caresse. Nos sexes raides se frottent. Je passe ma main sur ses poils, du cou aux cuisses en passant par les bras. Lui s’est arrêté sur mes fesses, une dans chaque main, il accompagne mes mouvements de bassin. Il me dit :

— tu m’excites, t’es vraiment un beau gaillard comme j’aime… tu es tendre… déjà viril pour ton âge… 

On continue nos caresses, puis il glisse ses mains sous mon shorty, plus de réaction, j’en avais envie. Du coup il fait glisser mon shorty jusqu’à mes genoux. Pendant que je finis de l’enlever il baisse son slip et me dévoile son sexe en érection :

— voilà dans quel état tu m’a laissé…

Il sourit, je ne peux détacher mon regard de sa bite. Je suis émerveillé. J’en ai déjà vu lors d’escapades dans les toilettes publiques. Mais là c’est différent ! Je n’ai pas beaucoup de recul pour juger sa taille. Elle est légèrement plus longue et quand même plus épaisse que la mienne. Elle doit faire 15 cm. Il dit :

— elle est à toi mon bébé, caresse moi…

Je pose ma main droite autour de sa bite bien raide, légèrement courbée vers la gauche, le gland naturellement décalotté. Il me sourit en guise d’encouragement. Je commence un lent va et vient. 

— hmm c’est ça, branle moi doucement mon bébé… hmm c’est bon… hmmm 

Il ferme les yeux et se laisse aller à mes caresses. De l’autre main je lui pince le téton droit. Il gémit.

— ah oui bébé…

J’avance ma bouche sur le téton gauche, je le lèche puis le pince des lèvres.

— rha oui, c’est bon… continue tu es parfait… hmmm

Je lui mordille le téton.

— ha, tu vas me faire jouir si tu continues…

Il me relève la tête en la prenant entre ses mains et m’embrasse. Sa langue est vigoureuse, il est véritablement excité. Il pose une main sur ma main qui le branle pour calmer mon ardeur.

— j’aimerais tant que tu me suces, j’ai envie de sentir ta bouche autour de mon sexe mon bébé.

Je m’exécute mais encore une fois j’ai peur d’être maladroit. Il pose sa main sur ma joue et me caresse :

— ouvre bien et évite de me mordre.

Il avance sa queue dans ma bouche, son gland entre en contact avec ma langue et il commence un lent va et vient, sans aller trop loin. 

— hmm…

Il continue comme ça quelques secondes et me demande :

— referme peu à peu ta bouche, pose tes lèvres autour de ma queue et serre légèrement.

Je m’applique à suivre ses consignes et je comprends vite le truc. Sa bite qui glisse entre mes lèvres et ma langue commence à m’exciter. Lui prend son pied. Il pose une main sur ma nuque et commence à donner du rythme. Il sort presque et va un peu plus loin à chaque coup. Il va trop loin à un moment et j’ai la respiration coupée. Je recule machinalement :

— pardon mon bébé, je suis allé trop loin, je cherchais ta limite…

— c’est rien, ça m’a surpris

Et je reprend sa bite en bouche.

— mais tu as l’air d’aimer ça mon grand

Je lève les yeux et fais oui avec la tête sans lâcher sa queue.

— vas y toi, suce moi

J’imprime un mouvement, la vitesse a l’air de lui convenir :

— ah bébé, c’est ça… T’apprends vite…

Je veille bien à pas mettre les dents. Il prend beaucoup de plaisir à l’entendre gémir. Il se caresse les tétons. Moi je pose mes mains sur ses fesses, elles sont velues. Il est vraiment poilu de partout. J’arrive à aller plus loin tout seul, j’ai le nez dans ses poils pubiens, j’aime son odeur un peu forte. J’accélère, je commence à avoir mal à la mâchoire.

— hmm… tu me fais du bien bébé, je vais pas tarder à jouir, j’en ai envie… 

Il me repousse doucement d’une main pour que je retire ma bouche de son sexe, il le prend et commence à se branler fortement. De son autre main il continue à se caresser et se pincer les tétons. Je vois la jouissance monter en lui. Il est beau, ses muscles ressortent au niveau du bras, de ses pecs et de ses cuisses. Ses poils ont une légère couleur dorée avec le rayon de soleil qui passe entre 2 pans de rideaux. Quel beau mec. Il laisse finalement son téton et tend sa main près de son gland.

— ouah bébé je viens… hmmmmm

Il gémit fortement et se met à jouir, il recueille son sperme dans sa main. Je regarde la scène avec fascination. Il me prend l’envie d’y goûter. J’approche ma bouche de son gland. Il me laisse faire comprenant mon intention en écartant ses mains. Je récolte les dernières gouttes, c’est salé et légèrement âcre.

— régale toi mon bébé…

Il débande plus lentement que moi. Il me caresse derrière la tête.

— merci mon grand, tu es très excitant et doué… tu suces bien, tu es doux…

— toi tu es un bon prof

— je suis ravi que tu découvres tout ça avec moi…

Il me prend dans ses bras. Nus l’un contre l’autre, le temps s’est arrêté. Nous sommes en sueur. Il me caresse tendrement. Il se remet à bander légèrement. Il remarque la sueur sur mon front, passe un doigt pour l’essuyer :

— tu voudrais prendre une douche?

Je réfléchis et dis :

— oui ce serait bien, mais où?

— il y a des douches dans les vestiaires du stade… j’entraîne les poussins ici, il me suffit d’aller récupérer la clé… 

Il m’invite à me lever et me rhabiller. Il fait de même.

— tu vas m’attendre près du bâtiment, j’ai vu Thierry sur son tracteur-tondeuse là-bas, je vais lui demander s’il a les clés sur lui…

— il va pas trouver ça bizarre?

— non je dirai que j’ai besoin de voir si j’ai tout l’équipement prêt pour l’entraînement des petits demain.

Nous sortons du bus et je vais l’attendre comme il a demandé. Je le regarde s’éloigner vers le jardinier après qu’il ait allumé une cigarette.

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