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De Dame patronnesse à libertine. – Chapitre 2




La Dame patronnesse.

Jeanne Dubois, sa fille Amandine, et les autres…

(À la demande de personnes à qui j’ai fait lire le premier volet, j’ai ajouté cette suite… J’espère qu’elle plaira autant que le début de l’histoire).

Ce soir-là…

C’est dimanche… Je n’ai pas faim !

Je monte à l’étage et je regagne ma chambre de bonne heure en prétextant un léger mal de tête. Selon sa bonne habitude, mon mari regarde un match sur une des chaînes sportives auxquelles il est abonné et n’ira se coucher dans sa chambre que vers minuit. Amandine est partie rejoindre une amie…

Je veux repenser aux heures que j’ai vécues avec les garçons dans ce quasi-taudis de la périphérie de la ville et au plaisir que j’avais eu et à toutes ces jouissances…

Sur le coup, je m’étais sentie avilie mais en y repensant dans l’intimité de ma chambre, je suis fière d’avoir su faire cracher leur sperme à cette bande de joyeux drilles qui ne pensent qu’à une chose : sauter des filles et prendre du plaisir avec elles.

La jeune Agathe qu’ils avaient engrossée n’était elle pas retournée les voir et ils ne s’étaient pas privés de la baiser encore malgré son gros ventre !

Dans la pénombre de la chambre je suis bercée par une musique douce avec laquelle j’aime me relaxer. Je pensais à Agathe et je l’enviais un peu tout en sentant mon corps quelque peu endolori par les prouesses de l’après-midi.

Mes tétons et les lèvres de mon sexe sont encore hyper sensibles… je ne parle pas de mon sphincter douloureux.

La soirée s’écoule lentement…

Je me sens bien, apaisée…

Lorsqu’elle rentre à la maison après sa brève soirée passée au-dehors, Amandine vient me voir… inquiète de me voir couchée de si bonne heure… Je la tranquillise en lui disant :

— Je n’avais pas envie de passer la soirée avec ton père devant la télévision… Tu sais que le sport ne m’intéresse pas. Et puis… j’ai eu une rude journée…

— Raconte… Ta distribution ne s’est pas bien déroulée ?

— Oh si… J’ai même rencontré un groupe de jeunes gens qui te connaissent !

— Ah bon… Lesquels ?

— Il y avait Pierre, Thierry, Bruno… et Jacques qui semble assez bien te connaître.

— Ah… ces coquins… Que deviennent-ils ? Tu t’en souviens peut-être, nous étions en terminale ensemble !

— Ils vont très bien… la vie de Bohème semble leur convenir.

— OK… je vois, ils étaient plutôt décontract… je vois que ça n’a pas changé. Bonsoir Maman, bonne nuit !

— Bonsoir Amandine… Dors bien !

Je ne m’étends pas plus sur ce qui s’est déroulé au cours de l’après-midi…

Après une nuit pleine de rêves érotiques dans lesquels j’étais prise par des membres surdimensionnés, je me lève vers 9 heures…

Une bonne douche et un thé sans sucre, je suis de nouveau opérationnelle.

Le lundi est consacré à des tâches ménagères… comme la lessive et le ménage où je suis aidée par une femme d’une cinquantaine d’années…

Lorsque je glisse dans la machine mes sous-vêtements de la veille, mes pensées sont immédiatement reparties vers ces quatre garçons qui m’avaient si bien baisée…

Je sens mon sexe s’émouvoir à cette pensée et instinctivement ma main soulève ma jupe et se glisse dans ma culotte… Ma chatte est toute poisseuse… Comment cela est-il possible en aussi peu de temps ?

Je me laisse emporter par cette montée de désir et introduisant plusieurs doigts dans ma chatte gluante je me caresse jusqu’à la délivrance…

Je ne me souvenais plus que cela était aussi bon… Depuis mon mariage, cela ne m’était plus arrivé de prendre du plaisir de cette manière.

Je suis seule jusqu’au soir…

Je m’installe devant mon ordinateur et je vais sur des sites de vente par correspondance…

Je veux m’acheter un beau gode… celui que les garçons m’avaient prêté m’avait fait tant de bien…

Ces quatre coquins ont réveillé ma libido, qui, il faut bien l’avouer, était plutôt en berne car mon homme ne me faisait plus l’amour depuis bien des semaines…

Je suis surprise de tout ce que je vois sur mon écran… Il y a tout un tas de jouets coquins… Il est vrai que mon éducation rigoriste, ma vie d’épouse comblée puis délaissée ne m’avaient jamais incité à découvrir cet univers.

Adolescente, je m’étais caressée comme beaucoup… mais je culpabilisais tellement que cela était rare… et remontait à bien des années…

Finalement j’arrête mon choix sur un beau jouet qui, d’après la description, a une souplesse comparable à celle de la rigidité d’un vrai sexe. Marron foncé avec les veines bien marquées, un gland mafflu tirant sur le parme et bien détouré… il peut m’être livré par porteur dans un délai de 48 heures.

Pourquoi ai-je choisi celui-là plutôt qu’un autre ? Certainement qu’inconsciemment, j’ai cédé au fantasme du black au membre surdimensionné dont on vante les prouesses…

Mercredi en milieu d’après-midi… Je suis seule comme toujours… Un coup de sonnette… Je regarde par la fenêtre… C’est le coursier qui sonne au portillon de la villa.

J’ouvre, quelques secondes plus tard, il s’encadre dans la porte d’entrée : surprise… c’est une toute jeune femme, de l’âge d’Amandine qui me tend le colis et appareil pour signer la réception…

Elle a un petit sourire en me disant :

— Amusez-vous bien… Je sais quelle est cette maison dont je reconnais les colis…

Je sens mon visage s’empourprer… et je reste sans voix, refermant précipitamment la porte d’entrée.

Le colis (qui ne porte aucune indication d’origine) me brûle les doigts… et c’est fébrilement que je l’ouvre.

Le gode est bien tel que décrit sur le site… Il est accompagné d’une notice, de quelques préservatifs et de deux petits flacons de gel.

Bizarre… je lis rapidement la notice et je comprends mieux… un des flacons contient du gel lubrifiant (soi-disant pour faciliter la pénétration en cas de sécheresse vaginale ou de sodomie…), le second est un gel désinfectant pour l’entretien de l’objet !

Quant aux préservatifs, il est indiqué sur le bon de livraison qu’ils sont recommandés en cas de sodomie et qu’ils sont compatibles avec le gel lubrifiant…

Je ne m’étais pas imaginé tout cela ! Moi qui n’ai pris que deux bites dans le cul quelques jours auparavant… et pour la première fois…

Ainsi, je pourrai utiliser recto verso ce beau gode presque aussi gros que la queue de Pierre qui était bien pourvu par la nature !

Comme le lundi matin ma chatte s’humidifie rapidement à la lecture de la notice et à la contemplation de mon nouveau jouet si bien que pour en profiter (et prendre mon pied…) je m’allonge sur mon lit, je trousse le bas de ma robe, je fais glisser mon string et je m’enfile le gode dans la chatte… Au passage, je le fais courir entre mes lèvres intimes et sur mon bourgeon : déjà humides !… Hum ! Que c’est bon…

Les va-et-vient de plus en plus rapides dans mon sexe gorgé de mouille bien grasse ne tardent pas à déclencher une jouissance démentielle pendant que dans ma tête je repasse les images fugitives du dimanche après midi…

Ce soir encore, je me retrouve pour la soirée dans ma chambre. Avant, je prends une longue douche chaude et dans le grand miroir de la salle de bains, je contemple mon reflet…

Je me dis que la vie est belle…

Je vois mes seins orgueilleusement tendus avec les aréoles bistre au centre desquelles pointe le téton que je fais dresser par une brève caresse…

Je contemple ma fourche intime avec un buisson de poils noirs et drus… Il va falloir que je pense à réduire ma toison…

Elle est vraiment trop importante… et je sais à qui demander ce travail. Amandine saura faire ce qu’il faut car je sais qu’elle discipline sa toison…

Je l’entends frapper à la porte… Je lui dis d’entrer sans penser à couvrir ma nudité.

— Oh, Maman, que tu es belle !

— Ne dis pas de sottises ! J’ai passé la quarantaine depuis quelques années.

— Non, ta maturité te va bien. Je veux bien être comme toi à ton âge !

— Tu sais, ce n’est pas évident mais cela a été facile pour moi… La très bonne situation de ton père m’a permis de continuer à faire du sport, d’aller régulièrement à la salle faire du fitness et à la piscine… et j’ai encore envie de plaire !

— Ne me dis pas que tu veux prendre un amant ! Je sais qu’avec Papa, tout est fini…

— Oh… Oui… il ne s’intéresse plus à moi… Il n’y a plus que SON affaire et les sports. Mais garde bien le secret que je vais te confier !

— Sois tranquille, je serai muette !

— Dimanche dernier, j’en ai eu quatre amants en même temps !

— Oh… Les garçons ?

— Oui… Je suis allé dans ce quartier isolé faire la distribution des gâteaux et publications de la paroisse, et dès que je suis entrée chez eux, la situation a dérapé ! Si au début, j’étais réticente, je dois dire qu’ils ont su me faire aimer ce qu’ils me faisaient… Jacques et Pierre sont même parvenus à faire ce que j’ai toujours refusé à ton père !

— Ne me dis pas qu’ils t’ont sodomisée ?

— Si… Et j’ai aimé me sentir pleine de partout. Thierry venait de me remplir la chatte et Bruno se délectait de ma bouche !

Tout en parlant avec Amandine, je me sèche et je la vois se trémousser, croisant et décroisant ses jambes et plaquer sa main fermée sur son entrejambe.

— Oh… Maman, tu me fais mouiller ! Je n’aurais jamais cru cela possible de ta part… quatre hommes à ton service pour te baiser et prendre du plaisir.

— Oui… C’était dantesque ! Jamais je n’avais eu autant de plaisir malgré l’inconfort des lieux et la rudesse des assauts ! Ce que tu ne sais peut-être pas, c’est que ta copine Agathe est passée chez eux il y a un peu plus d’un an… Ce sont eux qui l’ont engrossée… et que cette coquine y est retournée quelques semaines avant d’accoucher…

— Ce sont eux qui lui ont fait cet enfant ?

— Oui… et personne ne sait qui est le père puisqu’ils l’ont baisée sans capote !

— Je comprends… C’était une fille sage qui ne prenait certainement pas la pilule ! Au moins, avec moi, je n’aurais pas eu cette surprise !

— Ne me dis pas que tu aurais envie d’une séance avec plusieurs garçons ?

— Tu sais, je suis libre, ce n’est pas quand j’aurai un mari que je pourrai refaire une séance pareille !

— Nous en reparlerons… En attendant… Au lit, demain tu te lèves de bonne heure.

Le samedi en fin d’après-midi, je vais voir le curé de la paroisse pour lui confier mes fautes… Il me sermonne vertement, surpris que je me sois laissée faire, disant que j’aurais dû appeler au secours… En me faisant promettre de ne plus recommencer, il m’accorde son pardon.

Les bonnes résolutions n’ont guère duré.

Il était convenu avec Amandine que nous prenions nos douches l’une après l’autre avant d’aller nous coucher et que c’est à ce moment-là qu’elle s’occuperait de ma toison.

Nues toutes les deux, nous avons comparé nos anatomies…

Si j’ai une poitrine opulente (je fais un bon 90 C), j’ai gardé ma taille étroite qui s’évase sur des hanches pleines de femme mature qui a eu deux enfants. Je mesure un bon mètre soixante dix… et mes cheveux longs tombant sur les épaules encadrent un visage ovale aux lèvres bien ourlées et des yeux marron avec des rides d’expression. Ma peau brune conserve cependant les marques de mon maillot de bain… résultat du bronzage sur la plage il y a deux ans mais qu’y faire ?

Je sais que je plais car souvent j’ai des compliments de la part des hommes que je croise lors des soirées d’entreprise… Je pense que plus d’un aurait envie de m’accrocher à son tableau de chasse. Mais je suis toujours restée sage, répondant aux avances trop poussées par une boutade…

Amandine est légèrement plus grande… Je découvre deux petits seins en forme de pomme accrochés bien haut. Je n’avais plus vu sa poitrine depuis plusieurs années… Je la complimente :

— Tu as une jolie poitrine… Prends en soin…

— Sois tranquille, je porte toujours un soutif… ce n’est pas comme certaines camarades d’université qui n’en portent jamais et chez qui les seins tombent déjà ! Tu es prête ?

— Oui… taille ma touffe comme la tienne, ça me plaît bien !

Suivant les directives de ma fille, je m’installe le plus confortablement possible, assise sur l’angle de la baignoire, je suis à la bonne hauteur. J’écarte mes cuisses et aussitôt Amandine couvre mon pubis d’une abondante mousse parfumée.

Elle prend un rasoir jetable et commence par enlever les poils follets qui se sont égarés en haut de mes cuisses puis elle passe de chaque côté de l’aine, enlevant à chaque passage une masse de poils qui disparaît dans la mousse jetée dans le lavabo.

Bientôt, je n’ai plus qu’une bande de la largeur du rasoir sur le pubis…

— Voyons ce que cela donne… à la douche vite fait !

Je passe rapidement la douche sur mon pubis pour éliminer la mousse et les poils coupés… Je regarde dans la glace et je dis :

— Cela me semble bien… Tu ne trouves pas ?

— Non, ça ne va pas ! Il faut réduire la longueur des poils… 2 à 3 mm, c’est largement assez ! C’est plus agréable pour celui qui te fait un cunni !

— Comment le sais-tu ?

— Ne sois pas naïve ! Tu dois bien te douter qu’à dix-huit ans passés, j’ai goûté aux deux sexes !

Amandine taille rapidement au ciseau la longueur superflue et avoue que je suis très sexy avec ma toison taillée en ticket de métro.

Pendant tout ce temps, je sens mon vagin s’humidifier progressivement et une folle envie de me caresser me tenaille le bas-ventre. Ma fille me dit alors en riant :

— Mais Maman, tu coules comme une fontaine !

Rouge de honte, j’en conviens :

— C’est ton rasage qui m’a excitée. En plus je pensais à la surprise de ceux qui vont me baiser car désormais, ton père va porter des cornes comme jamais !

— Mais Maman, je suis tout aussi mouillée que toi ! Allons dans ta chambre, je vais chercher ce qu’il faut pour nous satisfaire ! Quant aux amants, tu n’auras aucun mal pour en trouver… Je t’aiderai si tu veux…

La disposition des lieux facilite les choses : la salle de bains donne sur nos chambres respectives…

Moins de deux minutes plus tard, Amandine revient avec une trousse de cuir fauve qu’elle ouvre devant mes yeux ébahis :

— Tu as tout cela ?

— Oui… je ne peux pas baiser trop souvent ni changer de partenaire. On me prendrait pour une salope ! Alors j’ai acheté à la ville voisine tout ce qu’il me faut pour me satisfaire… et même plus !

— Regarde ce que j’ai acheté moi aussi… Je l’ai reçu mercredi !

Et je lui montre le fameux gode !

— Oh Maman, je veux l’essayer, je t’en donne un autre !

— Comme tu veux ma puce !

Ma fille me tend alors un gode souple en matière translucide pourvu de deux têtes bien dessinées et elle m’explique :

— Celui-là, c’est quand je rencontre Valérie ma copine de fac. Il est à elle mais c’est moi qui le garde car sa sur est curieuse comme une pie et elle ne peut rien garder secret…

— Je comprends…

— Il nous sert quand nous voulons nous satisfaire en même temps… mais bien sûr, nous n’en aurons pas besoin. C’est juste pour te le montrer !

— Je te découvre… Je ne te savais pas aussi libérée !

— Oh Maman… Il faut aller avec son temps…

Toujours nues, nous montons sur mon grand lit (l’ancien lit conjugal…) et nous commençons à nous caresser. Je titille mes tétons qui ne tardent pas à pointer au milieu de l’aréole… Ils ont toujours été sensibles mais depuis ce fameux dimanche, ils sortent à la moindre sollicitation.

J’introduis le gode à deux têtes dans ma chatte parfaitement lubrifiée pendant qu’Amandine m’explique comme avec son amie Valérie, elles se placent pour avoir chacune une des extrémités à leur disposition : Cela s’appelle le papillon… mais il y aurait de nombreuses variantes…

De son côté, Amandine est à quatre pattes et commence à se pénétrer avec mon gode qui entre avec une facilité déconcertante dans son sexe dont le clapotis laisse penser qu’il est aussi humide que le mien…

Quelle n’est pas ma surprise quand j’aperçois dans son sphincter un instrument qui émerge de la corolle :

— Oh Amandine… qu’as-tu mis dans ton anus ?

— Mais Maman… c’est ce qu’on appelle un rosebud en anglais ou si tu veux un Plug… Cela sert à maintenir le passage ouvert ou à l’assouplir !

— Décidément avec toi je vais de surprise en surprise !

— Oh, si tu savais…

L’un comme l’autre nous ne mettons pas longtemps à atteindre l’orgasme libérateur. Repues de jouissance et d’émotions, nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre… Quelle nuit apaisante… Au matin, nous nous réveillons presque comme nous sommes endormies… La Maman berçant sa fille…

Plusieurs jours passent…

Chaque soir Amandine vient me retrouver dans ma chambre pour me souhaiter une bonne nuit et bavarder un peu… et je découvre combien ma fille chérie est une femme libérée. Je savais qu’elle avait des flirts pour ou moins poussés avec des copains de fac mais je n’aurais jamais cru qu’elle était ouvertement bisexuelle…

C’est sans honte aucune qu’elle m’avoue avoir couché avec deux hommes en même temps lorsqu’elle était logée à la Cité U. Mais qu’en fait ses premières relations amoureuses, elle les a eues dans les bras d’une amie de la famille, dix ans plus jeune que moi !

Lorsqu’elle regagne sa chambre, ses récits m’ont tellement émoustillée que je ne peux m’empêcher de caresser mes seins avec l’extrémité de mon gode avant de descendre plus bas et de l’introduire dans mon sexe jusqu’à ce que la jouissance m’emporte… avant que le sommeil m’emporte également !

Au cours de ces conversations avec ma fille, je lui avoue que moi aussi, j’aurais envie de faire l’amour avec deux hommes mais la rudesse des assauts des quatre compères ne m’enchante guère…

J’aurais besoin de douceur et de tendresse…

Je ne demande pas d’amour… je veux du sexe pour le sexe !

Je voudrais aussi connaître une étreinte saphique pour voir comment cela se passe.

Ce soir-là, Amandine me dit qu’elle sait qui va satisfaire mon envie…

Vendredi soir.

Amandine m’a envoyé un SMS pour me dire qu’elle rentrerait vers 22 heures et qu’elle avait une surprise pour moi.

Je lisais dans ma chambre en écoutant de la musique quand je l’ai entendue passer dans le couloir…

Elle n’était pas seule : aurait-elle ramené un bel étalon dragué à mon intention à la Fac ?

Eh bien NON… Je me trompais… Quelques minutes plus tard, on frappait à la porte de communication avec la salle de bains.

— Oui, entre Amandine !

— Je te présente Domi, une amie…

— Enchantée Domi… Moi c’est Jeanne !

— Enchantée également ! Que vous êtes belle dans cette robe d’hôtesse !

— Merci… c’est gentil mais tu peux me tutoyer !

Les deux filles sont simplement vêtues d’une nuisette transparente que ne cache rien de leur corps juvénile.

Domi est légèrement plus petite qu’Amandine avec des formes menues très agréables à contempler.

Son visage, encadré de cheveux roux flamboyants, est parsemé d’éphélides et de magnifiques yeux verts l’illuminent.

Je ne peux m’empêcher de lui dire combien je la trouve jolie.

— Mais toi aussi tu es belle !

— Tu es comme Amandine… je sais l’âge que j’ai !

— Cela importe peu, le principal est de plaire… et tu me plais bien !

— Je vous laisse faire connaissance… Ne soyez pas sages…

Nous sommes passées immédiatement au tutoiement…

Sur ces mots, Amandine regagne sa chambre.

Avec Domi, nous nous faisons face…

Elle s’approche et m’enlace… Elle prend ma bouche pour des baisers doux puis de plus en plus chauds si bien que je finis as entrouvrir mes lèves… Sa langue entre et titille la mienne, entamant un baiser humide qui se prolonge…

Ses mains dénouent les cordons de ma robe d’hôtesse qui glisse jusqu’au sol… Je suis NUE dans les bas d’une autre femme ! Et qui plus est, une jeune femme de l’âge de ma fille !

Je m’enhardis et j’ôte la nuisette de Domi…

Sa peau laiteuse est d’une douceur… que je caresse avec plaisir.

Quand elle prend mes seins opulents dans ses paumes pour faire rouler les tétons, j’en fais autant avec les siens… Deux seins à peine renflés de jeune femme…

Très vite, je sens mes tétons s’ériger…

Les mains de Domi sont remplacées par sa bouche qui vient sucer à tour de rôle mes bourgeons… C’est si bon que je sens une boule chaude naître dans mon ventre…

Domi me guide pour que je m’allonge sur le lit, les pieds reposant sur la moquette.

Elle s’agenouille devant moi et écarte mes cuisses sur lesquelles je sens son souffle remonter vers ma fourche intime… C’est doux et chaud à la fois…

Elle écarte mes nymphes vaginales et pose ses lèvres sur mon clitoris qui s’érige rapidement sous ses baisers… puis je sens qu’elle me suce le bourgeon, le prenant entre ses lèvres pour l’aspirer puis au bout de quelques instants c’est entre ses dents que Domi fait rouler mon clitoris… Je n’aurais jamais cru qu’il s’allongerait de cette façon…

C’est bon, c’est doux et lancinant à la fois… et je ne me prive pas de dire à Domi combien j’aime ce qu’elle me fait.

— Ne t’inquiète pas ! Amandine m’a tout dit… Je vais te faire ton éducation saphique.

— Oui, j’ai envie de tout découvrir…

— Nous n’aurons sûrement pas le temps de tout te faire découvrir. Il faudra que tu viennes me voir chez moi.

— Oh oui, quand tu seras disponible !

— D’accord… Maintenant allongeons-nous sur le lit, je vais découvrir les zones érogènes de ton corps. Laisse-toi aller ! Après tu chercheras les miennes… Ainsi, tu sauras où les chercher chez une autre femme… Nous sommes presque toutes semblables…

Je fais ce que Domi m’indique… ses doigts fins et légers parcourent mon corps, passant du contour de mes lèvres à derrière mes oreilles, puis elles descendent le long de mon cou, effleurent ma nuque au travers de mes cheveux, reviennent sur ma poitrine qu’elles massent avant s’attarder sur les tétons qu’elles font saillir en pinçant ce bout sensible entre deux doigts…

Hummm ! C’est bon ! Je sens le plaisir renaître dans mon sexe ! Oui Domi avait su s’arrêter avant le point de non-retour lorsqu’elle avait ébauché son cunni…

La boule chaude envahit à nouveau mon bas-ventre et je ne peux empêcher l’ouverture du compas de mes cuisses…

Ma main droite vole vers le bas et empaume mon pubis… que je trouve très humide.

Je n’aurais jamais cru que l’ambiance érotique qui règne dans la chambre et les effleurements de Domi donnent ce résultat…

Quand elle quitte ma poitrine, elle joue quelques instants avec la pointe de sa langue dans mon nombril puis elle gagne ma fourche intime dans laquelle elle reprend son cunni, de plus en plus appuyé :

— Que tu sens bon… Je parie que c’est Amandine qui a taillé ta toison ?

— Oui… à qui d’autre voudrais-tu que je confie ce travail ? J’ai toujours été trop prude pour qu’une esthéticienne me fasse même le maillot. De toute façon, cela fait deux ans que je ne me suis plus mise en maillot !

— Pourquoi ?

— Je n’avais plus personne à qui plaire ! Mon mari avait décidé de faire chambre à part et ma sexualité était plutôt en berne !

— Que s’est-il passé pour qu’elle se réveille ainsi… Tu as le corps extrêmement sensible. Tes tétons bandent au moindre attouchement et je ne parle pas de ton bourgeon d’amour… qui suinte comme une source !

— Oh, c’est une longue histoire…

Peu de temps après, je connaissais pour la première fois une jouissance donnée par une autre femme.

C’était doux et violent à la fois. La délivrance arrive dans un grand râle assourdi pas ma main plaquée sur ma bouche et un long soupir…

— MERCI ! C’était très bon !

— A toi de m’en faire autant. Je veux voir si tu as retenu ce que je viens de te faire ! Ensuite nous passerons à autre chose ! Je me mets sur le dos et c’est à toi…

Dès que Domi est allongée, je l’étreins et prends sa bouche dans un baiser profond dans lequel je retrouve ma senteur… Hum, excitant ! Puis je suis le même chemin qu’elle…

Je caresse ses seins… ils tiennent dans ma main ! Ils sont doux et chauds, les tétons sortent à peine mais je les découvre très sensibles eux aussi…

Ma bouche descend jusqu’au nombril qui est muni d’un piercing en forme de cur… Je n’ose le caresser ni même utiliser ma langue pour titiller l’orifice… Je descends encore et je découvre que Domi n’a plus de poils sur le pubis qui est entièrement lisse et doux !

— Oh… Tu n’as plus de poils ! Que c’est doux !

— Oui, dès que j’ai pu, j’ai fait une épilation définitive au laser… Comme cela, je suis tranquille !

— Il y a quinze jours, j’avais encore une toison complète. C’est Amandine qui s’est chargée de faire le ménage comme elle dit !

— Elle a eu raison ! Nos amants et amantes trouvent cela bien plus érotique !

Je poursuis la découverte du sexe de Domi…

Le capuchon du clitoris est percé lui aussi… Il est orné d’un cavalier doré !

Naïvement, je découvre ces bijoux intimes… Je savais que cela existait car j’avais lu un article à ce sujet… Mais en contempler d’aussi près, je ne l’aurais jamais envisagé !

Les nymphes de Domi sont très larges et gorgées de sang, un léger fumet poivré sort de sa chatte…

J’approche ma langue que je darde dans l’entrée… Hum… Quelle saveur indéfinissable !

— Mets-y deux doigts pendant que tu suces mon clito… Tu verras, cela va me faire partir très vite !

En effet, Domi jouit quasi instantanément sous cette caresse, expulsant quelques jets de liquide !

— excuse-moi, j’aurais dû te prévenir, quand on touche un endroit précis comme tu viens de le faire, cela déclenche ma fontaine…

— Oui, c’est surprenant ! Mais quel élixir !

Nous restons à bavarder pendant plus d’une heure comme deux amies de longue date…

Nous parlons de nos expériences amoureuses (je tais pudiquement celle avec les quatre garçons)…

Domi m’explique qu’elle a été initiée très jeune et que depuis, elle ne peut plus se passer de sexe…

Je découvre qu’elle est totalement bisexuelle comme peuvent l’être Amandine et son amie/amante.

Elle explique qu’en dehors de ses cours à l’université, elle anime des soirées coquines comme les enterrements de vie de garçon ou de fille, des anniversaires où elle est le cadeau offert… Parfois, il lui arrive de terminer avec l’un ou l’autre des participants… Pour elle, ce n’est pas de la prostitution, c’est juste un moyen de se faire de l’argent en prenant beaucoup de plaisir.

Après avoir expérimenté un 69 saphique qui nous donne encore des belles jouissances, nous endormons dans les bras l’une de l’autre.

Le lendemain matin, nous nous quittons sur la promesse de nous revoir bien vite :

— Tu as encore beaucoup de choses à apprendre…

— Oh oui, je suis impatiente !

À suivre.

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