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Histoire avec ma soeur – Chapitre 1




Bonjour,

Par hasard j’ai découvert ce site que je trouve merveilleux…

En le parcourant, cela m’a donné l’idée de raconter l’aventure que j’ai eue avec ma soeur il y a maintenant plus de trente ans. C’est une histoire vrai. Seul les noms ont été changés…

Voici le décor: Nous sommes dans les années 1964/65, habitons la campagne de la France profonde, à quelques kilomètres d’un village d’environ cinq cents âmes. Le chef lieu de canton est à une vingtaine de kilomètres et le premier "super marché" à plus de quarante.

Notre maison est une ancienne ferme qui, grâce à une rentrée d’argent imprévue (un billet gagnant de la loterie nationale) a subi d’importants travaux il y a deux ans:

A l’aide de cloisons, les grandes pièces ont permis de faire une chambre pour chacun de nous (nos parents couchent dans la même).

Avec l’arrivée du réseau de distribution d’eau, des WC et une salle de bains ont également été installés. Finies les toilettes dehors, à la pompe ou sur le coin de l’évier. Finis les WC au fond du jardin.

Notre famille se compose d’un grand-père veuf et blessé de la guerre 14/18, de nos parents, de ma soeur aînée (Josette) et moi même (Joseph). Dix-huit mois nous séparent. Nous utilisions réciproquement le diminutif "Jo" pour nous appeler…

Après notre scolarité primaire, à quatorze ans, certificat d’études en poche, nous avons suivi trois années d’apprentissage qui ont permis, à ma soeur d’obtenir un C.A.P. de secrétariat et de trouver un emploi au dépôt de la coopérative agricole du coin. Moi, j’ai obtenu un C.A.P. de mécanicien agricole mais comme le service militaire était encore obligatoire pour les garçons, je ne trouvais pas de travail tant que je ne serais pas dégagé de cette obligation… Je fis des petits boulots ici ou là…

Pas plus à l’école qu’à la maison, nous n’avons été instruits ou éduqués sur "les choses du sexe"…Si ce n’est quelques leçons de "sciences naturelles" reçues en classe où nous avons appris la reproduction des plantes ou des oiseaux (la graine et l’oeuf couvé). Les filles, avec la venue de leurs règles, étaient un peu mieux informées par les femmes de la famille (mères et tantes) ou leurs marraines.

Rien sur l’accouplement, en particulier des mammifères dont fait partie l’espèce humaine…

Pas de télévision, pas de cinéma, pas de journaux ou de revues pour combler cette lacune.

Nous étions totalement ignorants sur le sujet; sauf qu’enfants de la campagne, nous avions l’exemple des animaux de ferme ou le mâle devait introduire son "zizi" dans le "trou qui pisse" de la femelle. Les naissances arrivaient quelques mois plus tard et les "mises bas" n’avaient pas de secrets pour nous…

Nous nous doutions bien que les bébés devaient se faire de la même façon … Mais c’était un sujet tabou… Des siècles d’éducation judéo-chrétienne laissent des traces… Même aux environs de nos vingt ans, nous étions bien ignorants et naïfs…

Sans être particulièrement pudiques ou exhibitionnistes, il nous arrivait parfois de se croiser, incidemment, dans la maison, en tenue d’Adam ou d’Eve sans que cela ne déclenche de réactions particulières des membres de la famille….

Pour nous, parents et enfants, la nudité, c’était naturel…

Un week-end d’automne, nos parents ont accompagné grand-père chez l’un de ses frères. Ils ne devaient rentrer que le dimanche soir.

Tout le samedi après-midi, Jo et moi, nous avons bien sués en rangeant la provision hivernale de bois pour la cuisinière.

Elle partit la première prendre une douche bien méritée pendant que je finissais le rangement et le nettoyage avant d’aller me doucher…

Il faut préciser que l’eau chaude était fournie par un chauffe-eau à gaz en bouteille. Bien que la pièce soit aérée, en cas de malaise de l’utilisateur, la porte de la salle de bain, dépourvue de verrou, ne pouvait pas être fermée de l’intérieur. Un oculus permettait, en allumant la lumière, de signaler une présence. Il y avait aussi le bruit de l’eau quand le ou les robinets étaient ouverts…

La douche était dans un angle de la pièce. Un rideau en plastique amovible évitait les projections d’eau. Un tabouret permettait à grand-père, dont la station debout était particulièrement pénible, de faire sa toilette assis…

En face de la douche, il y avait un meuble de rangement avec un miroir fixé sur toute la hauteur de sa porte…

Cela faisait plus d’une heure que ma soeur était partie… Je pensais qu’elle était dans sa chambre car en passant devant sa porte fermée j’entendis de la musique…

La lumière de la salle de bain était éteinte… Seulement vêtu de mon slip, j’y entrai sans retenue…

Quelle n’est pas ma surprise de voir le rideau ouvert, Jo nue, assise sur le tabouret, cuisses écartées, le manche de sa brosse à cheveux enfoncée dans sa chatte, l’index de sa main droite décrivant des cercles au dessus, l’autre main caressant ses seins. Elle gémissait doucement en se regardant dans le miroir en face d’elle…

Mais ce qui me choquait le plus, c’était les traces de sang sur la brosse et sur ses doigts ainsi que la flaque de sang dans le bac à douche.

Aussi surprise que moi, Jo se figea, tenta de cacher sa nudité intime, devint toute rouge, se mit à trembler, larmes aux yeux, me demandant de sortir…

Pensant à une blessure grave, je ne voyais que ma soeur qui souffrait… Je ne voyais pas la jeune fille nue…

Mettant un genou à terre, je tentai d’écarter sa main d’entre ses cuisses. Tout d’abord résistante, elle se laissa faire, ce qui permit de retirer la brosse sanguinolente. Comme elle resserrait ses cuisses, je ne pus voir la gravité de sa "blessure". Se mettant à sangloter, je lui entourai les épaules de mes bras, la serrai contre ma poitrine et lui demandai si elle avait mal…

Me répondant par la négative, elle se leva, emportant sa brosse, quitta la salle de bain en me disant, entre ses sanglots, qu’elle m’attendait dans sa chambre pour m’expliquer…

Je me douchais tout en ayant en mémoire la position insolite de Jo… Le sang et les gémissements me firent penser à un traumatisme grave… C’est donc particulièrement inquiet qu’après avoir fini ma toilette et vêtu seulement d’un short, j’allais rejoindre ma soeur dans sa chambre…

Elle m’attendait assise sur son lit, vêtue d’une robe de chambre, finissant de se sécher les cheveux en les brossant…

Les yeux encore rougis d’avoir pleuré, elle me fit un petit sourire timide tout en attrapant une revue posée sur sa table de nuit.

"Tiens – me dit-elle, regarde et lis, tu comprendras mieux ce que j’ai fait… et ce qui m’est arrivé…"

Je prends ce qu’elle me tend… Je réalisai de suite que c’était un des premiers fascicules pornographiques qui commençaient à circuler "sous le manteau" à l’époque…

Je lis les courts textes se rapportant aux photos de femmes et d’hommes nus, se caressant (fellations et cunnilingus), s’accouplant, gros plans de sexes en érections avec giclées de sperme à la fin…

Ayant fini de parcourir la quinzaine de pages, je demandai à ma soeur quelles relations il pouvait y avoir entre cette revue et son attitude dans la salle de bain…

"- Un matin, il y a quelques jours, j’ai trouvé ce livre oublié sur un banc au jardin public. Je l’ai ramassé, caché dans mon sac et rapporté ici… Tous les soirs, je le feuillette… Il me donne des sensations de chaleur dans mon bas ventre… J’ai ma foufounette qui mouille… Mon bouton qui gonfle et devient sensible… Comme décrit dans le texte, je me caresse et je ressens un plaisir qui monte à l’intérieur de mon ventre avant de véritablement éclater dans tout mon corps… Il me semble alors que je flotte dans l’air, je me sens bien… C’est ça qu’on appelle l’orgasme chez les filles…

J’ai voulu faire comme sur les photos : avoir quelque chose qui rentre dans ma chatte. J’ai donc essayé avec le manche de ma brosse à cheveux… Au début, j’ai eu un peu mal, puis c’est rentré et j’ai saigné un peu… Mais avec l’eau qu’il y avait encore dans le bac et sur mes cuisses, le sang s’est dilué et c’est ça qui a donné l’impression d’avoir beaucoup saigné… Je me suis dépucelée toute seule… Très vite ma petite douleur s’est transformée en un grand plaisir et j’étais prête à avoir un orgasme quand tu es rentré… en surprise.

"- Si tu avais allumé la lumière j’aurai frappé ou j’aurais attendu…

— Je ne pensais pas que je serais restée aussi longtemps…"

— Mais ce sang sur tes doigts et par terre, il venait d’où? Pourquoi tu frottais ta chatte? Pourquoi tu gémissais? Je croyais que tu avais très mal…

— Dans ma chatte… Quand le manche de la brosse est entré, ça a fait une déchirure… C’est ça qui a saigné…

Je me frottais la chatte parce que ça me faisait beaucoup de bien… Je le fais de temps en temps, le soir… Tu ne peux pas savoir comme c’est bon… C’est le plaisir qui me faisait gémir et pas la douleur … Maintenant ça va… J’espère que tu ne le diras à personne… Ce sera notre secret…

— Bien sûr que non, je ne le dirai pas… Mais tu aurais pu me demander de te le faire…

— Je ne pouvais pas… Tu es mon frère… Entre frère et soeur on ne fait pas ça… C’est immoral… C’est un péché mortel… Dieu nous punirait…

— Qui t’a dit ça? …. Laisse Dieu où il est… Tu es une femme, je suis un homme, rien ne nous empêche de piner ensemble… Ce qui est immoral, c’est de vivre ensemble et de faire des bébés… Tu es sûre que tu ne saignes plus?…Tu n’as pas mal?… Fais-moi voir…"

Sans gène, elle enlève sa robe de chambre… Elle est complètement nue …

S’asseyant sur le bord du lit, elle écarte bien les cuisses m’exposant ainsi sa chatte qui, effectivement, n’avait pas de traces de sang. Pour bien me faire voir, avec ses doigts, elle écarte ses "lèvres intimes" .

Je ne peux détacher mon regard de cette partie inconnue du corps de ma soeur…

Bien sûr, instantanément, ma bite s’est raidie tel un bout de bois…

Ce n’était plus ma soeur que je voyais mais une "grotte" ouverte qui attendait que l’on vienne la visiter…

Je défaisais les boutons de mon short et le laissais tomber à mes pieds… J’étais aussi nu que Josette à qui je dis:

"- Regarde ce qui m’arrive – en lui montrant mon sexe tendu – …Tu crois que si je le rentre dans ta fente ça te fera autant de bien que ta brosse à cheveux?… Tu crois que tu n’auras pas mal et que tu ne saigneras pas?…

— Essaye et on verra bien… Si tu vas doucement et si j’ai mal, tu arrêteras et tu sortiras…"

Je montais sur le lit, me mis à genoux entre les cuisses écartées de ma soeur. Prenant ma bite dans la main, je la présentais à l’entrée de sa chatte. Avant d’y pénétrer, je frottais le bout entre ses petites lèvres ce qui eut pour effet de la faire mouiller. Mon membre gonfle et se raidit encore plus à la limite de la douleur…

Doucement, je poussais en avant… Tout d’abord serré, je sent le passage qui s’ouvre… Millimètre par millimètre, je m’enfonce dans cet antre chaud et glissant à souhait…

Ma soeur retenait sa respiration… me murmurait des "c’est bon – vas-y – encore" et bien d’autres mots d’encouragement…

Quand enfin je sent que je touche au fond, que toute ma queue est bien rentrée, je demande à Josette si ça lui fait du bien ou du mal…

"- C’est très bon… Je sens bien ta grosse pine toute chaude… C’est encore meilleur que ma brosse ou mes doigts…je te sens bien…"

Alors je commence à faire des va et viens… Lentement au début puis de plus en plus vite…

Ma soeur ferme les yeux… Sa respiration est de plus en plus rapide… Elle pousse des petits gémissements, qui se transforment vite en un râlement continu… Elle se tend tel un arc… Ses râles sont de plus en plus forts… Sa respiration de plus en plus rapide… La cadence de mes coups de butoir aussi…

Nous nétions plus un homme et une femme qui s’accouplaient mais… Josette était une femelle en chaleur, jétais un mâle en rut… Nous étions coupés des réalités qui nous entouraient…

Soudain ce fut l’éclatement final : Dès que je sentis les spasmes de l’éjaculation, je m’enfonçais bien au fond de la grotte de ma soeur et m’immobilisai… Ce qui eut pour effet de lui provoquer un orgasme si puissant que je crus qu’elle allait s’évanouir… Elle ne râlait plus, elle ne criait pas… Elle hurlait sa jouissance à chacune de mes giclées… Il me sembla que ça nallait pas s’arrêter…

Quand enfin le calme revint, nous nous allongeâmes sur le lit défait, l’un en face de l’autre, toujours "emboîtés" l’un dans l’autre…

Nous nous regardâmes en souriant… En silence…Savourant le bonheur qui a été le notre pendant ces quelques secondes de jouissance extrême…

Sans un mot, d’un commun accord, nous allâmes dans la salle de bain… Une fois l’eau réglée à la bonne température, nous nous sommes savonnés mutuellement… D’abord le dos puis le devant…

C’est à ce moment que je réalisai combien le corps de ma soeur était beau…. Des cheveux châtains foncés coupés à hauteur des épaules, des yeux marron, une petite bouche aux lèvres pulpeuses toujours souriante, un petit nez légèrement en trompette… Mais surtout une poitrine avec deux seins bien ronds et bien fermes, aux mamelons bien plantés au milieu de leurs auréoles foncées. Un ventre plat et des hanches larges surmontant deux jambes longues et fines aux cuisses musclées complètent sa silhouette de fille qui, sans être sportive, n’a pas un gramme de graisse en trop… C’est une grande fille d’un mètre soixante-dix environ…

Enfilé dans un gant de toilette, ma main se fit la plus douce possible pour savonner ce corps merveilleux…

Après les épaules, je m’attardai plus que de raison sur ses seins… Je passais et repassais sur les mamelons que je sentais durcir et pointer fièrement… Puis, de mon autre main, je les roulais entre mes doigts, l’un après l’autre…

Jo commençais à pousser de petits gémissement de plaisir… Après le dos, elle aussi me savonna le devant… Très vite elle est descendue de mes épaules à mon bas ventre… Elle insista entre mes cuisses; passant et repassant contre mes couilles et ma bite qui retrouvait un peu de vigueur… Ses mains étaient très douces…

Quand j’arrivai en bas de son ventre, je savonnais ses cuisses. Elle les écartait un peu pour me faciliter le passage entre elles… J’y passai doucement ma main gantée… A chaque passage, je sentais un "tremblement" dans les jambes de ma soeur… Croyant que c’était le rugosité du gant qui lui faisait mal, je l’enlevai et c’est à main nue que je continuais le savonnage… J’insistai doucement… Très vite je sentis un liquide qui coula de sa chatte velue… Je passai un doigt entre ses lèvres… Je sentis qu’il ne demandait qu’à rentrer plus profondément… Ma soeur se retint à mon cou pour ne pas tomber car ses jambes avaient de plus en plus de mal à la supporter… Sa tête appuyée sur mon épaule, j’entendais sa respiration qui se faisait de plus en plus rapide… Tout en gémissant, elle me murmura : "-que c’est bon …Tu me fais beaucoup de bien… Oui!… Continue!… Ha!…"

Soudain ce fut un cri long et sourd qu’elle poussa… Elle se pendait littéralement à mon cou… Pendant quelques secondes, elle ne respira plus, ses yeux se révulsaient avant de se fermer. Elle serra tellement les dents qu’elles grincèrent…

J’arrêtai ma caresse pour la soutenir….

Quand elle reprit ses esprits, elle me regarda et, d’un sourire, me remercia de lui donner autant de bonheur.

Elle approcha sa bouche de la mienne pour me donner un baiser de reconnaissance. Nos lèvres s’unirent et nos langues se trouvèrent pour entamer une danse frénétique…

C’est alors que Jo s’aperçut que mon sexe était raide comme une matraque… Elle le prit d’une main et le caressa par de petits va et viens qui ont eu pour effet de la raidir encore plus…

Elle s’approcha et voulut se l’introduire dans la chatte… Comme nous étions debout, plein de savon et dans le bac à douche particulièrement glissant, la manoeuvre n’était pas aisée…

Ouvrant l’eau, on se rinça… Puis j’étalai une serviette de bain sur le carrelage. Comprenant mes intentions, Ma soeur se baissa pour s’allonger. Se faisant; à un moment ma queue se trouva à la hauteur de ses yeux face à sa bouche. Elle s’approcha pour déposer un baiser sur le bout. Quand ses lèvres entrèrent en contact avec mon gland, j’ai eu comme une décharge électrique qui me fit donner un coup de reins en avant faisant entrer ma bite dans sa bouche sur près de la moitié de sa longueur… Je me retirai aussitôt…

"- Excuse-moi, Jo, c’est involontaire…

— Il n’y a pas de mal…"

Reprenant mon chibre en main, elle me fit remarquer :"- Regarde, on dirait une glace…

— Tu peux toujours essayer de la sucer, elle n’est pas prête à fondre…"

Entrouvrant ses lèvres, elle sortit sa langue et commença à lécher toute la longueur du membre…

Quand elle passa sa langue sur le bout , c’était tellement sensible que mes jambes en tremblèrent…

Elle mit ses lèvres en "cul de poule", les posa sur mon gland et aspira tout en essayant de faire rentrer sa langue dans le petit trou…

Je posai mes mains sur sa tête et appuyais pour faire rentrer mon sexe dans sa bouche… Elle accepta cette intrusion et je sentis la chaleur de sa salive… Doucement, commença un va et viens qui fit encore grossir et raidir ma queue… Elle était devenue tellement sensible que c’était presque douloureux…

Je sentais monter la pression que je ne pus me retenir… J’éclatai au fond de sa gorge en longs jets saccadés… Appuyant mes mains plus fortement, je maintins sa tête contre mon ventre. Surprise, Jo ne put qu’avaler le cadeau que je venais de lui faire…

"- C’est ça le sperme ? … Ce n’est pas si mauvais …." Me dit-elle quand elle put parler…

Épuisés, nous nous retrouvâmes assis sur la serviette et après un long baiser… Nous n’avions plus envie de continuer nos "jeux amoureux"…Le temps a passé … Nous avions faim et soif… Nous nous retrouvâmes à table partageant un bon repas réparateur… Étant seuls dans la maison, nous sommes restés nus…

"- Si tu veux, nous pourrions coucher ensemble…" Proposais-je à ma soeur…

D’un sourire elle accepta…

Nous avons terminé la soirée en pensant, chacun de notre côté, à la nuit qui allait venir…

Mais cela est une autre histoire…

Joseph,,

Petikokin

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