Le soir même, en rentrant, ma mère m’annonçait qu’elle se séparait de mon père, qu’elle avait invité à partir.
Effectivement, mon père avait préparé ses valises et était sur le point de quitter la maison. Je lui ai demandé où il comptait aller, il ma répondu qu’il irait à l’hôtel dans un premier temps et se trouverait ensuite un studio. Il précisait vouloir laisser la maison à ma mère.
Il semblait très triste. Ma mère était montée dans la chambre.
Quand mon père est parti, je suis allé demandé des explications à ma mère. Elle m’a dit qu’elle avait connu autre chose et qu’elle ne se voyait plus continuer avec lui. Je lui ai dit qu’elle était dure et que ça ne se faisait pas. Elle m’a répondu :
« Peut-être mais c’est comme ça, je veux faire ma vie. »
Ma mère sortait beaucoup, recevait Teddy de temps à autre. Et un jour je ne l’ai plus vu. Ce dernier m’a appelé en me disant que ma mère l’avait jeté.
Quelques jours après, ma mère m’a demandé si je me souvenais de mon ancien prof de judo. Je n’ai pas réfléchi longtemps, je m’en souvenais bien, un grand black bien bâti. Je lui ai dit que je m’en souvenais très bien mais lui demandais pourquoi cette question.
« Disons qu’il m’a contactée il y a quelques temps, on s’est revus et puis voilà, on est ensemble ».
« Comment t’a t’il contactée ? Et pourquoi toi ? » lui demandais-je
« En fait il a vu tous mes films et a fini par me contacter. Je te dis ça car il va venir s’installer à la maison. Je vais préparer un dîner vendredi, comme ça tu pourras parler du bon vieux temps avec lui »
Nous sommes vendredi soir, ma mère s’est mise sur son trente et un, une robe rouge assez longue assez échancrée, des collants noirs, enfin plutôt des bas je pense et des escarpins rouges. Elle s’est beaucoup parfumée.
Elle a préparé un apéro dînatoire pour ne pas avoir trop à cuisiner et utiliser le temps plutôt à se pomponner pour son nouvel homme.
Vers 20 h 00, la sonnette retentit, ma mère se précipite à la porte, et laisse entrer Sylvio, mon ancien prof de judo. Il a pris de l’âge mais est toujours gaillard.
« Salut ma Belle » lui dit il en l’embrassant sur la bouche.
Il lui offre un beau bouquet de fleurs et se dirige d’un pas décidé vers moi, en affichant une mine radieuse.
« Salut Antoine, ça fait longtemps ! ça me fait plaisir de te revoir ! » en me serrant la main avec poigne.
Ma mère nous dit de nous installer tranquillement le temps d’aller chercher le champagne.
La soirée se passe agréablement, Sylvio relate tous les souvenirs communs que nous avons, ma mère semble admirative devant cet homme.
Vers minuit, ma mère dit qu’elle est fatiguée et qu’elle veut se coucher, et, s’adressant à moi :
« Mon chéri, je vais aller me coucher. Tu sais, Sylvio et moi sommes maintenant ensemble, donc il va rester là cette nuit. Ça ne te dérange pas j’espère ? »
« Euh Non, ça va.. » dis je en balbutiant
Ma mère et Sylvio prennent main dans la main le chemin de la chambre parentale qui se trouve au rez de chaussée, à côté du séjour.
Je me mets sur le canapé et j’allume la télé, sur une série américaine.
Environ un quart d’heure après, je commence à entendre ma mère gémir doucement puis de plus en plus fort.
Maintenant je l’entends pousse de petits cris à espaces réguliers. Je suppose que c’est à chaque fois que Sylvio lui enfonce sa bite.
Ça commence à m’exciter. Je vais me chercher une clé usb contenant des scènes porno pour la brancher sur la télé. Je commence à mater une scène avec une femme d’une cinquantaine d’années qui s’en prend quatre en même temps. Au vu de l’âge ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec ma mère que j’entends encore plus dans sa chambre.
Ça me rend encore plus dur. Je commence à me branler en regardant cette pute se faire baiser par quatre mecs, mais en réalité je pense à ma mère qui est en train de se faire démonter par mon ancien prof qui a mon avis doit être super bien monté, connaissant maintenant un peu les goûts de ma mère.
Je ne tarde pas à décharger. Putain ça fait du bien.
J’entends toujours ma mère qui gueule. Et ça dure encore. Je prend le chemin de la chambre au premier étage, tout en entendant toujours les deux amants prendre du plaisir visiblement.
Je me couche dans mon lit. Même d’ici, je les entends encore. Je n’arrive pas à trouver le sommeil. Au bout d’une demi heure, je n’entends plus de cris, juste des voix. Et plus rien
Je me réveille en pleine nuit, je regarde le radio-réveil, il est trois heures du matin et j’entends encore gueuler en bas. Non ça ne va pas recommencer ! Je me retourne dans tous les sens, je n’arrive pas à retrouver le sommeil. Ça dure encore comme ça une demi heure, et plus rien.
Sept heures du mat, je rouvre l’il, et c’est reparti ! Ce n’est pas possible la santé qu’il a ! Ah ça c’est sûr j’étais moins embêté quand c’était mon père qui dormait avec ma mère.
J’allume la télé dans ma chambre en attendant. Vers huit heures, c’est lui que j’entends gueuler maintenant. Comme ça, ça va enfin s’arrêter et je vais enfin pouvoir dormir encore un peu.
Vers 10 heures, je me lève, descends, ma mère porte sa chemise de nuit en satin couleur saumon. Elle prépare le petit déj. Sylvio est à table.
« Bonjour mon chéri, comment vas-tu ? Tu as passé une bonne nuit ? »
« Oui très bien, et toi ? » avec un air qu’elle a compris tout de suite.
« Oui, une très bonne nuit mon chéri »
« Alors comment ça va ?? » me lance Sylvio
« Oui très bien Sylvio ».
Sylvio est juste en caleçon, il est musclé de partout.
Ils me disent qu’ils vont aller faire quelques courses. Pour ma part je leur dis que je vais aller voir un pote.
De retour dans l’après midi, il n’y a personne dans le salon, mais j’entends encore des bruits provenant de la chambre de ma mère.
Il la saute encore ! Mais là je reste à côté dans le salon pour écouter un peu ce qui se dit car ma mère se met à parler.
« Arrête Sylvio, arrête !! Tu es trop gros dans mon cul, j’en peux plus, arrête un peu s’il te plait !! »
Visiblement il s’est arrêté car ma mère ne se plaint plus, et quelques instants après je vois la porte de la chambre s’ouvrir et Sylvio sortir, à poil. Il a un de ces barreaux dressé à 45 degrés le salaud !! Je comprends que ma mère lui ait dit de s’arrêter. Je ne comprends même pas comment elle a pu se le prendre dans le cul !! Il est monté comme un cheval !
« Hey salut toi, je ne savais pas que tu étais là ! » me dit il sans la moindre gène et se dirigeant vers la cuisine pour aller boire un verre d’eau.
Il revient et s’assied à côté de moi. Je n’en reviens pas de la queue qu’il a.
« Wouah je suis un peu fatigué là » me dit il.
« Tu sais, ta mère, c’est un avion de chasse !! Mais ça tu le sais ! » ajoute t’il en me faisant un clin d’il.
Je ne peux m’empêcher de regarder sa queue énorme qui maintenant a débandé, mais reste encore impressionnante, tombant le long de sa cuisse.
« Qu’est ce que tu regardes ? » me demande Sylvio d’un air amusé.
« Je me demande comment un truc comme ça peut entrer dans le cul de ma mère ? »
« Ah ah ah !! T’inquiète pas pour elle, elle encaisse bien !! » me répond il en rigolant.
« Attends, je vais te montrer quelque chose « ajoute t’il en se levant et en se dirigeant vers la chambre. Il ouvre la porte.
« Hello toi, repose toi encore, je discute un peu avec ton fils » dit il à ma mère que j’aperçois sous la couette.
Il récupère son téléphone portable, referme la porte de la chambre, et revient s’asseoir à côté de moi.
Il manipule son téléphone et me dit :
« Tiens regarde ! » Il me montre des photos de ma mère. Putain le salopard, il l’a prise en photo dans des situations hard !
Il fait défiler rapidement différentes photos où l’on voit ma mère assise les jambes croisées sur un canapé, ensuite avec la robe retroussée, une autre avec les jambes écartées. Viennent ensuite celles où on l’a voit sucer son gros gourdin, ensuite le gourdin dans la chatte.
Sylvio s’arrête enfin sur une photo où l’on voit en gros plein sa grosse queue noire rentrée au trois quart d’un anus que je devine être celui de ma daronne. C’est impressionnant comment un si petit orifice peut accueillir un monstre comme ça.
Il affiche un plaisir non feint à me montrer ça.
Il me montre la suivante. Cette fois, c’est le trou du cul de ma mère totalement dilaté. Je pense qu’elle a été prise juste après la sortie de sa queue. On voit les mains de ma mère, avec un joli vernis à ongles rouge, qui s’écarte les fesses.
Il m’en montre une dernière où c’est le visage de ma mère qui est en gros plan, la bouche ouverte, le maquillage coulant, avec une bonne dose de foutre un peu partout, sur les joues, les lèvres, la langue, le nez, le front, les cheveux.
« Eh ben dis donc !! « dis je à Sylvio.
« Et encore, j’étais tout seul !! » me répond il en s’éclatant de rire.
« Sylvio !! » C’est ma mère qui l’appelle depuis la chambre.
« Ah, je crois que le devoir m’appelle ! » me dit Sylvio en souriant.
« Dis moi, tu veux que je laisse la porte entre-ouverte ? me demande t’il en me faisant un clin d’il complice.
« Euh.. oui si tu veux »
« Ok »
Je le vois se lever et retourner dans la chambre. Comme il l’a dit, il laisse la porte entre-ouverte pour ne pas dire ouverte.
Je me déplace légèrement sur le canapé pour avoir une meilleure vue sur le lit.
Il monte sur le lit à genoux, vire la couette par terre, je vois maintenant ma mère à poil. Il la prend par les hanches et la met avec autorité à quatre pattes, cul vers moi. Il l’a fait exprès pour que je voie mieux.
Il se met debout derrière, s’astique le manche pour lui faire reprendre de la vigueur, vigueur qui revient très rapidement. Il humidifie le trou avec ses doigts, fléchit les jambes et place son mastodonte à l’entrée de la rondelle. Il se retourne à ce moment pour s’assurer que je regarde bien et s’introduit doucement. Je vois sa grosse queue noire disparaître dans le cul blanc de ma mère qui commence à gueuler. C’est sûr, on gueulerait pour moins que ça
Il commence à aller de plus en plus vite pour finir par lui mettre des coups de butoir.
Il commence à gémir, ça y’est il va jouir, il jouit !! Il jouit dans son cul en poussant de grands cris rauques.
Il ralentit maintenant la cadence, sa bite est toujours grosse. Il s’extirpe maintenant du trou, se retourne pour se placer debout face à moi, les jambes de chaque côté de ma mère. Il écarte maintenant les fesses de maman pour me montrer son anus complètement ouvert. Il m’affiche un grand sourire. Je vois maintenant son foutre s’écouler du trou.
« Que fais tu petit salaud ? » lui demande ma mère.
« Je montre à ton fils que tu encaisses bien ! Il s’inquiétait pour toi. » lui répond il en rigolant.
« Ne t’inquiète pas pour lui, il connaît mon potentiel ! » lui répond elle
« Oui je sais ! Il jouait même dans la scène à Miami » répond Sylvio
Il a donc vu ça aussi. Sauf que les blacks de Miami étaient quand même moins bien montés que lui.
Je sens que ça promet avec Sylvio