Suite de la précédente histoire
Comme tous les vendredis, jai cours de math jusquà onze heures, la reprise des cours ensuite ne se faisant quà quatorze heures.
Jai décidé ce vendredi dallumer et dexciter mon professeur de mathématiques.
Pour loccasion, jai revêtu des vêtements assez sexy : petit haut légèrement transparent, une jupe tout ce quil y a de plus court.
Pendant deux heures, bien positionnée au premier rang, juste en face de lui, je lai passablement bien chauffé, en croisant et décroisant mes jambes assez haut, laissant apercevoir par intermittence le haut de mes cuisses et surtout le petit string rouge en dentelle ajourée que jai mis pour loccasion.
Durant les deux heures de cours, les yeux de mon prof étaient le plus souvent dirigés vers mon entre cuisses pour essayer dapercevoir ce bout de tissu trempé par le désir.
Jaime provoquer et surtout mexhiber devant un mâle, lui donner envie de mon corps, envie de me posséder, le sentir prêt à tout pour que je lui appartienne, même quelques instant, quelle salope je fais
Nous sommes donc vendredi, à la fin du cours de math, mon professeur les joues rouge et en sueur par ce que je viens de lui faire subir me fait signe de rester, jai bien compris, et traine un peu pour ranger mes affaires.
Tous mes camarades ont quitté la classe, Pierre ferme la porte à clef et se dirige vers moi dun pas décidé, lil vif, visiblement en colère : je vais prendre une gifle, mais non, il se ressaisit au dernier moment et dépose un léger baiser sur mes lèvres.
Tu mas manqué me dit-il, jai très envie de toi, surtout après ce que tu viens de me montrer.
Puis il me saisit dans ses bras, et me fait un baiser assez appuyé, en insérant sa langue dans ma bouche, ses mains ne sont pas inactives, elles sinfiltrent dans mon chemisier à la rencontre de mes seins qui se raidissent sous le contact de ses doigts qui me tripotent.
Très rapidement ma jupe est relevée, il me masse les fesses, et le sexe en sinsérant dans mon mini slip tout humide de mouille, petite salope me dit-il, regarde dans quel état tu mas mis, me dit-il en me faisant toucher la bosse de son pantalon qui en dit long sur son état
A peine cinq minutes viennent de passer, quand on toque à la porte, Pierre nest pas surpris, il ouvre et laisse entrer Jean mon prof de physique.
Cest un homme dune cinquantaine dannées assez grand, je les regarde ne comprenant pas très bien ce qui se passe, ma tête va de lun à lautre dun air interrogateur.
Alors cest cette salope de Julie, cest vrai que cest une belle pouliche cette petite, je pense que lon ne devrait pas sennuyer avec elle, daprès ce que jai pu voir sur les photos, elle aime le sexe.
Cest mon prof de math qui prend la parole en me disant quil a invité son copain pour me prendre en double, ce qui devrait dit il me plaire.
Lui aussi est au courant, de mes partouze dans les caves, de toute façon, je nai pas le choix, après mêtre fait sauter la semaine dernière par mon prof de math, voilà quils ont décidé maintenant de me tringler à deux.
Les deux hommes ouvrent leur braguette et me présentent leurs queues, celle du nouvel arrivant est longue et fine, ils minvitent à les sucer pour leur donner de la vigueur dit Jean.
Leurs sexes sont déjà bien raides, je saisi les deux tiges pour tout dabord bien les astiquer à laide de mes mains, puis je passe ma langue sur leurs glands tout rouge de désir qui commencent déjà à gouter légèrement.
Je les prends en bouche à tour de rôle, ils me baisent littéralement la bouche, en mintroduisant leurs bites au plus profond de ma gorge, je manque plusieurs fois de métouffer tant leurs pénétrations sont profondes et brutales, surtout de la part de Jean qui a une queue assez longue et quil memmanche assez profondément.
Pendant ces fellations, ma poitrine est libérée, bien dressée, elle subit de nombreux attouchements, mes tétons sont tout dabord pincés, puis mordillés, si bien que je pousse quelques cris de douleur.
Mes deux amants me couchent sur le bureau, mes cuisses sont bien ouvertes, mon string écarté sur le côté, mon abricot en sueur est ouvert sans ménagement sous la pénétration des doigts qui coulissent dans mes chairs intimes.
Pendant que lun soccupe de mes nichons et de ma bouche, lautre me suce la chatte en linvestissant avec ses doigts et sa langue qui tente daller au plus profond de moi, à la recherche de ma cyprine quils adorent tous…
Avec un tel traitement, je ne suis pas longue à démarrer : des oh, des ah, des oui ponctuent notre partie de jambes en lair avec ces deux hommes murs qui pourraient être mon père.
Je les encourage vertement à aller plus en moi en me faisant mal, jadore être brutaliser, sentir la puissance du mâle, quand on me fait lamour.
Ils ont bien compris le message : ils mattachent les poignets au bureau, me bandent les yeux, je sens les bites qui se succèdent pour investir à tour de rôle mon entre cuisse, et je dois deviner quel est celui qui me pénétré.
Ce nest pas bien difficile, Jean en a une longue et fine, tandis que celle de Pierre est bien plus grosse.
Pendant une bonne heure, mes seins, ma bouche et mon sexe sont mis à rude épreuve, les deux mâles triturent mes petits nichons, tant quà ma vulve, elle est pénétrée à plusieurs reprises et tapissée par plusieurs giclées de sperme.
Je sens ma moule qui coule, la mouille et le sperme descendent sur mes cuisses et mon anus, mes amants ont éjaculé à plusieurs reprises dans mon intimité, je me sens bien remplie.
Puis ils décident de me détacher et de menlever mon bandeau, ils veulent disent- ils machever par une double pénétration dont selon leurs dires je devrais me souvenir.
Après les avoir remis en condition par une bonne fellation.
Pierre se couche sur le dos, sa queue bien droite, il me demande de venir mempaler sur sa tige imposante et bien raide. Les cuisses bien ouvertes, la minette écartée par mes mains je descends lentement sur ce pal qui va minvestir la chatounne.
Je descends lentement en regardant mon amant dans les yeux, la pénétration est lente, le gland se fait le passage en écartant mes chairs, une fois bien au fond de mon ventre, il fait quelques va-et-vient en me prenant par les fesses.
Il me fait cambrer mon petit cul, Jean se positionne derrière moi, il enfonce son index entre mes fesses pour me préparer.
Après plusieurs allers retours avec son doigt, me sentant prête, il présente sa longue queue, qui fort heureusement nest pas bien épaisse à lentrée de mon anus.
Lentement, il pénètre sans de trop de mal dans mon fondement, quand il est bien au fond, il fait quelques poussées.
Je suis prise par les deux trous, mes deux amants se déchainent en moi, je suis comme une poupée de chiffon, ballottée en tous sens, en ayant ces deux bites qui sactivent en moi en marrachant des cris de jouissance.
Prise en sandwich par ces deux types à la recherche du plaisir et surtout de se faire une petite cochonne quils pourront épingler à leur tableau de chasse.