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Ce que l'on peut faire par amour – Chapitre 6




Il ne restait plus qu’une journée avant leur départ pour la Suisse. Les valises devaient encore être préparées et Solange, débordée, courait dans tous les sens, cherchant un T-Shirt par ci, un pantalon par là. Au bout d’un certain temps, constatant qu’elle ne pouvait plus continuer ainsi, Solange décida de s’organiser autrement. Elle ferait une valise pour chaque membre de la famille en commençant par elle-même puis son mari pour finir avec celles de ses enfants. 

Les prévisions météorologiques s’annonçant plutôt bonnes, elle mit dans sa valise plusieurs tenues légères ainsi que des chaussures à talons et une paire de souliers de marche pour la randonnée. Elle prit tout de même la précaution de rajouter un parapluie et des vestes tenant un peu plus chaud en cas d’intempérie. Solange rassembla tout son nécessaire de toilette sur la valise afin d’être sûre de pouvoir le trouver rapidement le jour du départ. 

Elle en fit de même pour la valise de Roger puis s’attaqua à celle de Manon. Solange se rendit dans la chambre de sa fille et en sortit quelques tenues légères ainsi qu’un ensemble un peu plus habillé pour la fête qui s’annonçait en Valais. Elle y ajouta des chaussures de marche, un parapluie ainsi que des vêtements chauds. 

Satisfaite, elle se promit de prendre un bon café juste après en avoir terminé avec les valises. Solange entra dans la chambre de Florent. Elle prépara sa valise de la même manière que les autres. En fermant la valise, elle poussa un soupir de soulagement et entreprit de sortir de la chambre en songeant au café qu’elle allait prendre. 

Alors qu’elle allait refermer la porte derrière elle, Solange remarqua un papier tombé au sol. Pensant qu’il devait provenir d’un des shorts de son fils, elle le ramassa. En prenant connaissance de son contenu, Solange manqua de s’étouffer. Elle reconnut l’écriture de Manon et les mots inscrits sur le papier la choquèrent. Incrédule, elle eut le réflexe de le lire à voix haute, comme pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas. 

Position de la brouette, union du lotus, debout…

En faisant le rapprochement entre ce papier et l’endroit où elle l’avait trouvé, Solange comprit rapidement ce qu’il se passait entre ses enfants. Un mélange de sensations la parcourut. Tantôt, elle eut envie de pleurer, tantôt elle souhaita tout détruire sur son passage. Reprenant contenance grâce à une longue inspiration, elle trouva la force d’appeler son mari. 

Roger !

En s’entendant prononcer le nom de son époux, Solange fut surprise de l’émotion qu’elle avait mise dans sa voix qu’elle jugea beaucoup trop coléreuse pour s’adresser à Roger. Celui-ci accourut vers elle, interloqué. 

Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ? Pourquoi tu cries comme ça ?

Il faut qu’on discute. 

Qu’est-ce que j’ai fait ?

Ce n’est pas toi mais nos enfants. Viens avec moi au salon, nous y serons plus à l’aise pour parler. 

Roger suivit sa femme jusqu’au salon, se demandant encore ce qui avait pu la mettre dans un tel état et quel rapport il pouvait y avoir avec Florent et Manon. Les époux s’assirent sur le canapé du salon et Solange présenta le papier qu’elle avait découvert à son mari. 

Lis ça et dis-moi ce que tu en penses. 

Roger prit le papier entre ses mains et y reconnut l’écriture de sa fille. L’expression de son visage passa de l’interrogation à l’incrédulité. 

Et tu as trouvé ce papier dans la chambre de Florent ?

Oui. Nos enfants sont incestueux, Roger ! Tu te rends compte ?! Ce n’est pas normal !

Détends-toi, ma chérie. Il doit y avoir une explication logique à tout ça. Ne tirons pas de conclusions hâtives. Attendons leur retour pour leur poser la question et éclaircir cette histoire. 

La seule chose à éclaircir par rapport à ça, c’est ce qui leur a pris de coucher ensemble. 

Bon, d’accord. Admettons qu’ils aient couché ensemble. Nous ne pouvons rien faire pour les en empêcher. Ils sont majeurs et consentants. 

Je sais, mon chéri. Mais je m’inquiète pour eux et pour nous. Imagine si ça se sait. Tout le monde nous regardera de travers et je ne suis pas sûre de pouvoir supporter ça. 

Les gens pourront dire ce qu’ils veulent. Tant que nous ne faisons rien de mal aux yeux de la loi, nous pourrons toujours nous regarder dans le miroir. Et puis, toi et moi, nous avons toujours fait fi du qu’en-dira-t’on. Souviens-toi : tes copines se fichaient de moi parce que j’ai fait un apprentissage de mécanicien tandis que toi, tu as fait des études brillantes. 

Ce n’est pas pareil, Roger. Là, il s’agit d’inceste. C’est mal vu, immoral. 

Tant que ça reste dans la famille, tout ira bien. Je te le promets. Et puis, en y réfléchissant, je me rends compte que les enfants ont hérité de ce petit grain de folie que tu avais quand nous nous sommes rencontrés. 

Solange sourit à cette analogie. 

Si moi, j’avais un grain de folie, eux, ils doivent en avoir je ne sais combien. 

"J’avais, j’avais…" Cesse de parler au passé. Tu l’as peut-être encore, ton grain de folie. 

Mari et femme rirent de bon coeur et Solange se blottit contre Roger. 

Tu veux vérifier si j’ai toujours mon grain de folie ?

Je t’avoue que, selon moi, nous sommes devenus beaucoup trop responsables depuis la naissance des enfants. Je pense que nous méritons de nous lâcher un peu, nous aussi. 

Roger prit le visage de son épouse dans ses mains et l’attira vers le sien pour l’embrasser avec passion. Solange, de son côté, sourit intérieurement en songeant à l’ironie de la situation. Le secret qu’elle avait découvert au sujet de ses enfants avait relancé une complicité nouvelle avec son mari. Une complicité qu’elle croyait avoir perdu des années auparavant. Avec un regain de désir, elle rendit son baiser à Roger puis elle décida de prendre les devants. 

Et si nous poursuivions dans la chambre ?

Sans attendre de réponse, Solange lança un regard aguicheur à Roger et lui prit la main pour le guider jusqu’au lit conjugal. Les deux époux s’enlacèrent à nouveau pour échanger un baiser, leurs langues exécutant un ballet endiablé. Roger fit ensuite lentement tomber la robe de sa femme au sol, la découvrant en sous-vêtements. 

Roger recula d’un pas pour admirer le corps de Solange. À quarante-deux ans et après deux accouchements, sa femme n’avait rien perdu de ses courbes au niveau de ses hanches et sa poitrine généreuse le séduisait toujours autant. Il constata également avec plaisir que les jambes de son épouse avaient toujours la même finesse. En outre, Roger se prit à penser que Solange pouvait aisément paraître dix ans de moins. Elle remarqua sa réaction. 

Je te plais toujours autant, on dirait. 

Oh que oui, chérie !

Solange lui sourit et lui retira sa chemise et son pantalon avant de faire tomber son slip au sol, découvrant une verge droite et dure. 

Effectivement, tu sembles dire la vérité. 

Sur ces mots, Solange se mit nue à son tour, dévoilant à son mari une toison pubienne bien fournie. Celui-ci la taquina. 

Là, par contre, il y a du laisser-aller. 

Oh, je t’en prie. Je sais que ça te plait. Tu détestais que je m’épile au début de notre relation et tu me disais sans cesse que ce geste était celui d’une gamine qui ne voulait pas devenir femme. 

Je plaisantais. Comment puis-je me faire pardonner de t’avoir offensée ?

Solange répondit par un sourire dont Roger connaissait la signification par coeur. Il fit assoir son épouse sur le lit conjugal et s’agenouilla face à elle pour lui prodiguer une cunnilingus. 

Malgré son âge et l’expérience qui l’accompagnait, Solange sentit des papillons dans son ventre, comme si cela avait été la première fois qu’un homme s’occupât ainsi de son intimité. Elle se dit que son mari avait raison, qu’elle et lui étaient devenus trop sages depuis la naissance de Florent et Manon et qu’ils se devaient de retrouver leur intimité d’antan tant qu’ils le pouvaient encore. 

Voulant savourer ces retrouvailles intimes avec Roger, Solange plaqua son visage contre son sexe jusqu’à ce que ses coups de langue le fassent déborder de mouille à boire. Elle constata avec plaisir que l’appétit de son époux pour son jus intime n’avait pas changé. 

J’ai toujours aussi bon goût ?

Tu as même encore meilleur goût, ma chérie. 

Vilain flatteur !

En riant, Solange fit de la place à Roger pour qu’il s’allongeât à ses côtés. Se saisissant ensuite de la verge de son mari, elle y fit aller et venir sa main pour en éprouver la rigidité. 

Toujours aussi dur, mon chéri. Je vais me régaler. Comme au bon vieux temps. 

Solange se pencha entre les cuisses de Roger et le prit en bouche. Comme elle le faisait vingt ans auparavant, elle commença par faire lentement coulisser ses lèvres le long de sa verge afin de lui permettre de savourer ce contact. Ronronnant de plaisir, Roger passa une main dans les cheveux de son épouse puis il la fit gentiment descendre sur sa nuque puis son dos jusqu’à parvenir à ses fesses qu’il pétrit avec passion avant de leur donner quelques petites claques. 

En sentant la main de son époux s’abattre sur son postérieur, Solange comprit tout de suite le message et accéléra le rythme de ses va-et-vient jusqu’à l’amener aux portes de la jouissance. Lorsqu’elle interrompit sa fellation, Solange se positionna à quatre pattes sur le lit, invitant Roger à la prendre en levrette. 

Toujours aussi coquine, ma chère. 

Solange remercia son mari pour le compliment puis celui-ci enfonça sa verge jusqu’à la garde dans ses chairs intimes. 

Allez, chéri ! Baise-moi à fond.

Roger n’eut pas besoin de se le faire dire deux fois. Crispant ses mains sur les hanches de sa femme, il entama une série de puissants va-et-vient, lui arrachant rapidement des hurlements de plaisir au fur et à mesure que ses bourses butaient contre son fessier. Au bout de quelques minutes, il sentit les chairs intimes de Solange se contracter sur son sexe. Il fut tenté de poursuivre son oeuvre jusqu’à la jouissance tant il se sentait bien dans ce fourreau mais il savait que son épouse désirait autre chose. 

Presque à contrecoeur, il finit par se retirer de la chaude intimité de Solange pour la faire s’allonger sur le dos. Roger lui releva ensuite les jambes aussi haut que possible pour se faciliter l’accès à son petit trou. Sans attendre d’invitation, il s’y enfonça jusqu’à la garde puis la lima de toutes ses forces, les amenant tous deux inexorablement vers le plaisir. 

Alors que le cul de son épouse se contractait sur sa verge et qu’il se sentait venir, il eut tout de même la lucidité nécessaire pour lui poser une dernière question coquine. 

Tu te souviens de ce que tu aimais dans le temps ?

Oui ! Vas-y, mon amour !

Sa résistance vaincue par le rythme effréné de ses va-et-vient et les encouragements de Solange, Roger se retira et se masturba au-dessus de son épouse, finissant par éjaculer sur son visage, son cou et sa poitrine. Solange lui nettoya le gland en lui prodiguant une ultime fellation puis il s’allongea, épuisé. Il savait cependant que son répit serait de courte durée. 

Je suis complètement vidé. Mais toi, je sens que cette histoire entre Florent et Manon t’a bien déboussolée et que tu as encore besoin de te défouler. 

Tu sens bien, mon chéri. Mets-toi en position pendant que je me prépare. 

Roger obtempéra en se mettant à quatre pattes sur le lit, savourant à l’avance le traitement que Solange aimait lui faire subir après l’accouplement, d’autant plus qu’elle ne l’avait plus fait depuis de longues années. Il eut envie de se caresser mais il connaissait l’opinion de sa femme à ce sujet et dut se résoudre à l’abstention. 

Son attente fut finalement récompensée par l’arrivée de Solange. Portant une tenue en cuir noire laissant voir son opulente poitrine, elle suscita immédiatement l’excitation de son mari. Elle portait également une paire de menottes dans sa main droite et s’était équipée d’un gode-ceintre. 

Tu as toujours l’air d’aimer ça, mon cochon. 

Oh oui, chérie ! Encule-moi bien fort. 

Solange rejoignit son mari sur le lit. 

Ça fait quand même longtemps que je ne t’ai plus pris. Par mesure de précaution, je vais te lubrifier un peu le cul. 

Elle se pencha sur la rondelle de son époux et cracha dessus trois fois avant de la badigeonner avec ses doigts. Elle caressa ensuite doucement le petit trou de Roger de la pointe de son gode afin de faire durer le plaisir puis elle s’enfonça en lui, centimètre par centimètre, jusqu’à la garde. Solange constata que la verge de son époux était toujours molle. Elle se dit intérieurement que ses coups de reins allaient vite remédier à la situation. 

Exauçant le voeu de Roger, Solange entama de suite une série de rapides et puissants va-et-vient, provoquant les gémissements de plaisir de ce dernier. Au bout de quelques minutes, le sexe de Roger retrouva sa rigidité et Solange décida de mettre un terme à la sodomie. Elle fit retourner son mari face à elle et l’invita à sucer son gode-ceinture. 

Hum… Tu te débrouilles toujours aussi bien, mon chéri. 

S’attendant à une réponse, Solange sortit son jouet de la bouche de son époux. 

J’ai eu une bonne prof. Et puis, égalité des sexes oblige, si tu me suces, je te suce aussi. 

Oui, c’est comme ça qu’on a toujours fonctionné. Continue. 

Sur ce dernier mot, Solange replongea son gode-ceinture dans la bouche de Roger. Plus il suçait, plus son excitation grandissait et elle savait qu’il était tenté de se masturber mais elle le lui avait toujours interdit afin de mettre une certaine dose de frustration dans leurs rapports SM. Elle aurait aimé faire durer ce plaisir plus longtemps mais, sachant que ses enfants n’allaient pas tarder à rentrer, elle se retira, se résolvant à l’idée qu’il était temps d’en finir. 

Elle fit assoir son mari contre le lit et lui attacha une main à l’un des pieds. Un sourire étira ses lèvres à la vue du sexe dur. 

Je sens que tu veux te finir, n’est-ce pas ?

Par jeu, Roger sut exactement ce qu’il devait répondre. 

Oui, ma chérie. Tu es si excitante. 

Ce serait un affront envers ta maîtresse. Je vais me mettre plus à l’aise. Interdiction de te branler pendant ce temps. 

Afin de faire durer la tentation, Solange prit tout son temps pour retirer sa tenue de dominatrice. L’attente parut être une éternité à Roger qui n’attendait plus que de pouvoir jouir à nouveau. Il dut se faire violence pour ne pas utiliser sa main libre pour se vider. Sa patience finit par payer lorsque Solange se présenta nue face à lui. 

Tu connais la règle, mon chéri : si je te fais plaisir, tu dois me faire plaisir aussi. 

Solange se pencha au-dessus de son époux, son fessier orienté vers son visage. Se sachant toujours tentante à l’arrière, elle prit son temps pour se saisir de la verge de Roger. À peine sa main s’était-elle refermée sur son sexe dur qu’elle sentit une langue frénétique lui chatouiller le petit trou. Le plaisir ressenti suite à ce contact la fit accélérer son mouvement. Au bout de quelques instants, elle sentit à nouveau son mari sur le point de jouir mais elle ne voulait pas que ça se termine là. Solange relâcha la verge de Roger et se replaça face à lui pour le masturber à l’aide de son pied. 

Oh oui, chérie ! Fais-moi jouir avec tes si jolis pieds. 

Motivée par cet encouragement, Solange bougea son pied de haut en bas le long de la queue de son époux jusqu’à le pousser aux râles libérateurs de la jouissance. Elle finit par le libérer et à l’inciter à prendre une douche pendant qu’elle rangerait la chambre avant l’arrivée de Florent et Manon. 

Environ un quart d’heure plus tard, alors qu’ils avaient tout juste eu le temps d’effacer les preuves de leurs ébats, la porte de la maison s’ouvrit, livrant passage à leurs enfants. Solange et Roger s’empressèrent de se rhabiller pour aller les accueillir. 

Ah, vous voilà enfin !

Désolé, Maman. Nous avons retardés à cause des changements d’horaires du bus. 

Vous avez été retardés par le bus ou autre chose ?

Ben… Le bus, bien sûr. 

Sentant que sa mère n’était pas convaincue, Florent tenta de changer de sujet. 

Bon, j’ai faim. Qu’est-ce qu’on mange ?

Solange vit en cette question la porte d’entrée pour aborder le sujet qui lui tenait à coeur. 

On va manger léger aujourd’hui. Votre père et moi n’avons pas faim. Vous nous avez coupé l’appétit. 

Comment ça ?

Solange montra à ses enfants le papier qu’elle avait découvert. À leur expression choquée, elle comprit que ce qu’elle soupçonnait s’était avéré exact. 

Nous aimerions des explications à ce sujet. 

Florent et Manon se regardèrent. Après un hochement de tête de sa soeur, Florent commença l’explication. 

Manon est amoureuse d’un garçon qui s’appelle Johann. 

J’en suis ravie mais ça n’explique pas pourquoi vous couchez ensemble. 

Manon poursuivit. 

Le problème est que Johann a une vie sexuelle très riche. Comme j’étais encore vierge, j’avais besoin de quelqu’un qui m’apprenne le sexe. J’ai fait beaucoup de recherches sur internet mais rien ne correspondait à ce que je cherchais. J’ai donc demandé à Florent de m’aider. Comme il a eu quelques conquêtes, j’ai pensé qu’il était le seul à pouvoir me comprendre et m’aider. Il ne voulait pas au début mais j’ai insisté et il a fini par accepter pour moi. 

Dois-je comprendre que votre relation est temporaire ?

Oui, c’est exactement ça. 

Et jusqu’à quand comptez-vous entretenir ce lien entre vous ?

Jusqu’à ce que je sois tellement bonne au lit que Johann ne pourra plus se passer de moi. 

Solange se mit à rire. Seul Roger comprit la signification de ce rire en regardant ses yeux. 

Vous me rassurez. Je pensais que vous souhaitiez coucher ensemble jusqu’à la fin de vos jours. Bien qu’elle me surprenne, votre explication me paraît plausible. Si c’est vraiment ce que tu veux, Manon, ton père et moi pourrons te faire bénéficier de notre expérience pour t’aider à atteindre cet objectif. 

Florent et Manon furent surpris de la réaction de leur mère car ils s’attendaient à une énorme crise de colère en cas de découverte de leur secret. Roger fut le seul à comprendre que le fait d’avoir retrouvé leur complicité intime avait aidé Solange à prendre mieux les choses. 

Alors, qu’en dites-vous, les enfants ? Vous acceptez notre aide ?

Manon n’hésita pas une seconde à répondre. 

Oui ! J’accepterai toute l’aide que je pourrai trouver. 

Excellent ! Comme nous partons demain, je propose que nous poursuivions ton initiation à notre retour. 

D’accord, Maman. 

Finalement, j’ai de nouveau faim. Je vais préparer le dîner. Ah, mes enfants, vous êtes incroyables ! Vous m’avez coupé et redonné l’appétit dans la même journée. 

Ils rirent tous les quatre de cette boutade et mangèrent en discutant avec animation de leurs vacances. 

[ à suivre ]

 

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