Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe mobiles

Stéphanie, chirurgienne et salope – Chapitre 6




Stéphanie vient de se faire prendre par son mari et ses deux patrons. Les deux hommes viennent de quitter la maison et elle se retrouve seule sur le canapé avec Anthony. Il la câline tendrement alors qu’elle se caresse doucement la chatte en repensant aux trois queues qui viennent de la faire jouir comme une folle. Il y a trois jours, elle ne se serait jamais cru capable de faire une chose pareil mais elle doit admettre qu’elle prend beaucoup de plaisir à sentir tous ses trous remplis par de bonne queue. Elle se sent salope mais elle aime ça. Elle se tourne vers son homme et rompt le silence :

—  Je dois te dire merci mon chérie.

—  Merci pour quoi mon cur ?

—  Pour m’avoir poussée à vivre ce que je viens de vivre. C’est comme une révélation pour moi. Je n’aurais jamais cru pouvoir me donner à plusieurs hommes mais je dois admettre que j’y prends énormément de plaisir.

—  Je suis ravi que ça te plaise. Je dois t’avouer qu’il y a longtemps que j’y pense mais je n’osais pas t’en parler. En te voyant partir ce weekend avec ces deux hommes, j’en ai profité pour te mettre ça en tête en espérant que tu sautes le pas.

—  J’avais très peur mais toutes ces choses que tu m’avais mises en tête avant mon départ m’ont beaucoup excitée. En fait, je ne pensais presque plus qu’à ça et je me suis laissée faire lorsqu’ils ont entrepris de me faire l’amour. Tout a commencé au restaurant lorsqu’ils se sont mis à me caresser sous la table. Ça faisait deux jours que j’en avais très envie et plutôt que de me défendre, j’ai ouvert les cuisses pour leur laisser libre accès à ma chatte. Nous nous sommes très vite retrouvés dans la chambre de Pierre et ils m’ont prise une partie de la nuit.

—  Oui et j’ai bien compris qu’ils t’avaient prise par tous les trous.

—  J’ai toujours refusé la sodomie mais ils ont su se montrer très persuasifs et je dois admettre que j’aime ça.

—  Tu es devenue une vrai petite salope !!

—  Oui ta petite salope et… un peu la leur !! j’ai envie que tu me prennes.

—  Vos désirs sont des ordres madame !

Anthony allonge sa femme sur le canapé, saisit ses jambes et les poses sur ses épaules avant de planter son dard tout au fond de sa petite chatte épilée encore pleine du jus de Franck. Il bouge lentement en elle en faisant coulisser toute la longueur de sa queue dans la petite chatte en feu. Son gland ressort presque de la petite grotte avant de replonger profondément dans le vagin offert. Stéphanie apprécie cette queue qui lui remplit la chatte et roule des hanches en gémissant pour encourager son mari à la prendre encore plus fort. Soudain la queue sort de sa petite chatte et Anthony remonte un peu plus les jambes de la belle sur ses épaules. Stéphanie sait que dans cette position elle offre un accès privilégié au petit trou sombre de son cul. Elle n’est pas surprise quand elle sent le gland de son mari se poser sur sa petite rosette. Son cul est bien lubrifié par le jus qu’Anthony y a déposé plus tôt et Stéphanie sent avec plaisir cette bonne queue entrer en elle jusqu’au fond. Elle passe une main entre ses cuisses et se caresse le clitoris pendant que son mari la sodomise. Il la pistonne tellement bien qu’elle sent la vague de plaisir monter en elle. Pour la première fois de sa vie, Stéphanie va jouir du cul. Elle plante deux doigts dans sa chatte et part dans un orgasme en criant son bonheur. Anthony se retire de son cul et enfonce sa queue dans la bouche de sa femme. Elle le pompe en se pistonnant la chatte avec ses doigts. Anthony décharge de longs jets de sperme et sa petite salope de femme avale tout.

Il est 8h30 ce lundi matin et Stéphanie arrive un peu fatigué à l’hôpital. Il faut dire qu’elle a passé une bonne partie du weekend à se faire prendre par tous les trous. Elle s’installe dans son bureau et commence à étudier les dossiers des patients qu’elle doit voir dans la journée lorsqu’on frappe à la porte.

—  Oui, entrez.

—  Bonjour ma belle ! dit Pierre en entrant avec un large sourire. Il contourne le bureau de Stéphanie et vient l’embrasser sur la bouche en glissant une main dans sa blouse de médecin.

—  Humm, bonjour professeur ! répond Stéphanie après lui avoir rendu son baiser.

—  Tu pourrais peut-être me tutoyer maintenant !

—  Et bien, malgré ce qui s’est passé entre nous… je n’y arrive pas professeur.

—  Comme tu voudras. Dis-moi, tu ne serais pas un peu trop habillée ? dit Pierre en glissant une main dans le décolleté de sa robe pour lui caresser un sein.

—  Et bien, je ne porte qu’une petite robe sous ma blouse, professeur !

—  Je pense que c’est beaucoup trop. A partir de maintenant, je veux te savoir nue à tout moment sous ta blouse.

—  Vous n’y pensez pas ! Tout le monde va… elle n’a pas le temps de terminer sa phrase car Pierre l’interrompt.

—  Personne n’en saura rien, à part Franck, et je veux que tu fasses ça tout de suite !

—  Bien professeur, répond timidement Stéphanie en entendant le ton autoritaire de son chef de service. Elle se lève, retire sa blouse et laisse tomber sa robe à ses pieds. Comme à son habitude, elle ne porte pas de soutien-gorge et elle hésite un court instant avant de retirer son string. Elle remet sa blouse sur sa peau nue et va ranger ses vêtements dans son placard.

—  Voila qui est mieux ! Approche ! lui dit Pierre en s’assaillant dans le fauteuil de Stéphanie.

—  Oui, répond-elle timidement comme une petite fille que l’on vient de prendre en faute.

—  Tant que tu seras dans mon service, je veux que tu travailles dans cette tenue, dit Pierre en passant une main sous sa blouse pour remonter lentement entre ses cuisses.

—  Comme vous voudrez professeur ! Stéphanie comprend qu’elle est en train de devenir le jouet de son chef de service et cette situation l’excite beaucoup plus qu’elle ne le voudrait. Elle écarte légèrement ses jambes pour laisser la main de son patron accéder à sa petite chatte.

—  Je vois que ce concept ne te laisse pas indifférente ! dit Pierre en glissant un doigt sur les lèvres intimes déjà humides de sa collègue.

—  Humm… vous allez me rendre folle professeur.

—  J’y compte bien ! lui répond Pierre en glissant son doigt dans la petite chatte affamée.

—  Humm… encore ! c’est bon ! hummmm

—  Il va falloir se mettre au travail, dit-il soudain en retirant son doigt de la petite chatte toute humide de Stéphanie.

Pierre quitte le bureau en laissant sa jeune collègue toute pantelante de n’avoir pu assouvir l’envie qui naissait dans son ventre. Elle aurait voulu qu’il la prenne, là, sur son bureau pour calmer cette envie de sexe qui ne la quittait plus depuis le weekend. Son chef de service pourrait bien lui demander n’importe quoi qu’elle obéirait tant elle a envie de lui faire plaisir. Elle chasse vite ces pensés car il faut effectivement qu’elle se mette au boulot, bon nombre de consultations l’attendent. Elle commence à recevoir ses patients et elle a le sentiment que tout le monde sait qu’elle est complètement nue sous sa blouse de médecin, tout particulièrement lorsque ce sont des hommes. Le comportement habituel de ses patients la rassure et elle se rend compte qu’elle est la seule à savoir qu’elle ne porte rien sous sa blouse.

Les jours passent, entre consultations et opérations et Stéphanie est désormais habituée à ne plus rien porter sous sa blouse. Elle en est même arrivée à trouver ça normal et ne s’en plein surtout pas quand Pierre ou Franck l’attrape dans un coin pour glisser une main entre ses cuisses et lui caresser la chatte. Ces attouchements sont toujours furtifs mais maintiennent en permanence sa libido en éveille. Elle est ravie de pouvoir leur offrir sa petite chatte toujours accessible sous sa blouse. Elle est leur petite salope et elle aime ça !

Nous sommes jeudi et comme chaque fin d’après-midi, Stéphanie se rend faire les visites dans les chambres de ses patients. Elle attend l’ascenseur lorsque Pierre apparaît derrière elle et comme depuis qu’il lui a demandé d’être nue sous sa blouse, sa petite chatte se met immédiatement à mouiller. Ils entre seuls dans l’ascenseur et dès que les porte se referment, Pierre la plaque contre la paroi et l’embrasse avec passion alors qu’il passe une main sous sa blouse et glisse un doigt dans sa chatte. Le temps presse, ils n’ont que quatre étages à monter et Pierre fait virevolter son doigt dans la petite chatte en feu arrachant de profonds gémissements à Stéphanie qu’il étouffe en lui mangeant la bouche. Il retire prestement son doigt au moment où ils entendent le « ding » de l’ascenseur qui annonce la fin du voyage. Stéphanie est toute retournée et c’est dans cet état qu’elle commence les visites à ses patients. Elle passe de chambre en chambre et arrive enfin à la dernière où elle doit voir avant sa sortie un jeune homme de 25 ans qu’elle a opéré d’une hanche suite à un accident. C’est une chambre double, son patient occupe le premier lit et le second est occupé par un homme d’une quarantaine d’année qui a le bras dans le plâtre et qui semble dormir. Pour ne pas déranger l’autre patient, Stéphanie chuchote et demande à son patient comment il se sent. Il lui répond qu’il a une douleur au bas ventre et qu’il s’inquiète un peu. Elle soulève le drap pour voir se qui se passe et découvre avec stupeur une énorme bite en érection. Elle pensait avoir tout vu avec celle de Charles mais celle-ci fait bien 30 cm et est au moins aussi épaisse. Le trouble s’installe chez Stéphanie et un picotement significatif se fait sentir entre ses cuisses. Elle revoit en flash sa brève séance avec Pierre dans l’ascenseur et sa petite chatte mouille de plus belle. Son patient profite de son trouble et attrape sa main pour la poser sur sa queue et la maintient fermement tout en commençant à imprimer un lent mouvement de va et vient.

—  Mais que faites-vous ! murmure Stéphanie. Elle a bien senti que son ton manque de conviction et son patient en profite.

—  Ça fait trois jours que tu me montres tes seins sous ta blouse et j’ai envie que tu me branles, chuchote-t-il en glissant sa main libre entre les cuisses de sa chirurgienne.

—  Vous n’y pensez pas, dit-elle dans un souffle en constatant qu’il a retiré la main qui maintenait la sienne sur sa queue. Elle pourrait s’enfuir de la chambre mais elle n’en a pas envie car se gourdin la fascine et lui fait envie.

—  Si, j’y pense et apparemment toi aussi, chuchote-t-il en sentant les cuisses de la chirurgienne s’écarter.

Stéphanie ne commande plus sont corps, sa main s’est mise à branler la magnifique matraque qu’elle a sous les yeux et ses jambes se sont ouvertes pour laisser libre passage à la main qui remonte entre ses cuisses. Après le petit intermède dans l’ascenseur avec Pierre, elle mouille comme une folle et son patient n’a aucun mal à introduire un doigt dans sa petite chatte toute trempée. Cette énorme queue l’attire comme un aimant et elle a une furieuse envie de la prendre en bouche d’autant que le doigt qui joue dans sa chatte augmente dangereusement son excitation. Elle a envie de cette queue ! Après un bref regard en arrière pour s’assurer que l’autre patient dort encore, elle se penche sur son patient, écarte les lèvres et pose sa langue sur le gland violacé arrachant un gémissement au jeune homme. Elle ouvre grand la bouche et suce aussi loin qu’elle le peut cette énorme queue tout en continuant à la branler. Sa bouche monte et descend sur l’énorme chibre alors qu’un deuxième doigt vient d’entrer dans sa petite grotte d’amour lui arrachant un gémissement étouffé par la colonne de chair qui emplit sa bouche. De sa main libre, le patient tire sur les boutons pressions de la blouse qui s’ouvre jusqu’au nombril de Stéphanie et libère ses seins nus. Il lui caresse un sein et fait rouler son téton tout tendu entre le pouce et l’index, de plus en plus fort, jusqu’à ce que la jeune chirurgienne ne retienne plus ses gémissements. C’est alors que Stéphanie sent une autre main se poser sur ses fesses. Elle détourne vivement la tête et s’aperçoit que le patient du lit d’à côté s’est levé et qu’il s’est placé derrière elle pour lui caresser le cul. Maintenant qu’elle est entrée dans son rôle de salope, elle va laisser cet homme s’occuper de son cul car ça l’excite encore plus. Elle reprend sa pipe avec encore plus d’entrain et cambre le dos pour signifier à l’homme qui est derrière elle qu’elle attend ses caresses. L’homme ne se fait pas prier et remonte la blouse sur les reins de Stéphanie. Il lui caresse les fesses, les écarte et pose sa langue sur le petit trou brun qui palpite déjà d’excitation faisant gémir de plus belle la jeune femme. Stéphanie sent la langue se darder et entrer lentement dans son anus détendu. Elle adore cette caresse anale et se demande comment elle a fait pour la refuser pendant tant d’année. L’homme glisse un doigt dans sa chatte et elle se retrouve avec trois doigts de deux mains différentes à jouer dans son intimité. Les deux hommes abusent de son corps à leur guise. Elle se sent chienne et elle aime ça ! Après l’avoir bien lubrifié, l’homme ressort le doigt de sa chatte et vient le mettre à la place de sa langue sur la petite rosette offerte. Il pousse lentement et le doigt ne tarde pas à disparaître entièrement dans l’anus qui n’attendait que ça. La jeune chirurgienne est au comble de l’excitation. Elle suce son patient avec passion et arrive à avaler près des trois quart de l’énorme queue. L’homme derrière elle a lubrifié sa queue avec sa salive. Il retire son doit du petit cul de Stéphanie et vient poser son gland sur le petit trou brun déjà assoupli par son doigt. Stéphanie a envie de sentir cette queue en elle et elle recule le bassin pour accélérer la pénétration. Le gland entre d’un coup et c’est toute la hampe qui s’enfile dans le petit orifice arrachant un râle de plaisir à la jeune chirurgienne. Malgré un bras dans le plâtre, l’homme saisit les hanches de Stéphanie et commence à la limer sans trop de ménagement. Elle regarde son jeune patient et lui demande de lui fourrer un troisième doigt dans la chatte avant de reprendre sa queue en bouche. Une fois encore elle est prise par tous les trous comme la bonne petite salope qu’elle est devenue. Les gémissements à peine étouffés fusent dans la chambre d’hôpital et Stéphanie sent la vague de plaisir monter en elle. Elle se met à jouir au moment où elle sent les deux hommes décharger leurs puissants jets de sperme dans son cul et dans sa bouche. Elle avale l’offrande de son jeune patient avant de se remettre debout et de rajuster sa tenue. Elle passe dans la salle de bain pour essuyer le sperme qui sort de ses fesses et reprend de la contenance avant de retourner voir son patient.

—  Vous êtes suffisamment en forme pour rentrer chez vous. Je vais faire vos papiers de sortie.

—   Bien, docteur, lui répond le jeune patient.

—  Je vous revoie en consultation dans trois semaines après l’ablation du plâtre. Soyez en forme ! lui dit elle avec un clin d’il avant de quitter la chambre.

En sortant, elle tombe nez à nez avec Julien, un infirmier du service. Il la regarde d’un air étrange et lui dit :

—  Alors tout se passe bien avec tes patients ?

—  Oui tout va bien, lui répond-elle un peu sèchement.

—  Ça t’a fait du bien ?

—  De quoi veux-tu parler ?

—  Et bien, je suis entré dans la chambre mais il semble que vous étiez trop occupé pour me voir !!

—  Tu as tout vu ? dit Stéphanie sur un ton affolé.

—  Je ne suis resté que quelques secondes mais j’en ai vu assez pour savoir ce que vous faisiez ! Je suis ressorti et je suis resté près de la porte pour que personne d’autre ne puisse vous surprendre, dit Julien sur un ton de complot.

—  N’en parle à personne s’il te plait. Je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris ! dit Stéphanie implorante.

—  D’accord, je ne dirai rien mais tu devras tout de même m’accorder quelques faveurs ! Sinon… dit-il d’un air menaçant.

—  Dit-moi ce que tu veux et je verrai ce que je peux faire, lui répond Stéphanie d’un air penaud.

—  Tu le sauras en temps utile. En attendant je resterai bouche cousue ! Promis !

—  Merci ! lui répond Stéphanie avant de le voir tourner les talons qui si de rien n’était.

Stéphanie se sent prise au piège. Que va bien pouvoir inventer Julien pour se faire payer son silence ?

A suivre

Related posts

Eveil d'une pucelle – Chapitre 5

historiesexe

Lise, une passion torride – Chapitre 4

historiesexe

La bourgeoise et le puceau. – Chapitre 6

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .