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Tonton et moi – Chapitre 1




Je m’ennuyais. C’est de là que tout est parti. Les vacances venaient à peine de commencer et mes parents m’avaient forcé à les accompagner dans le Sud de l’Italie, dans une petite maison de campagne. J’avais 18 ans à l’époque, j’étais avec Papa et Maman, perdue au milieu de nulle part, et je m’ennuyais. Je passais mes journées sur le transat, à bronzer en maillot au soleil, parce qu’ils ne voulaient m’emmener nulle part.

Au bout de trois jours là bas, est arrivé un homme que mes parents m’ont présenté comme mon oncle, le cousin de ma mère, que je n’avais pas vu depuis des années. Il m’a prise dans ses bras en me disant en Italien combien j’avais grandi. Il s’est permis de me caresser rapidement un sein, en me faisant remarquer à quel point j’étais devenue une femme, et ça a fait rire mes parents. Moi, ça ne m’a pas fait rire, parce que c’était la première fois qu’un homme, je veux dire, un vrai homme et pas un gamin, me touchait la poitrine. J’ai tout de suite sentie quelque chose dans mon bas ventre, une douce chaleur… et pourtant ça n’avait duré qu’une fraction de seconde.

Lorsqu’il venait à la maison, il m’observait souvent sous ses lunettes de soleil, pendant qu’il discutait avec mes parents sur la terrasse. Au début j’étais gênée, je me cachais à l’intérieur de la maison jusqu’à ce que mes parents me forcent à rester avec eux. Et puis bien vite, j’ai décidé de jouer avec lui. Après tout, c’est moi qui avait le pouvoir. Je le fixais pendant qu’il discutait, les jambes croisées et la poitrine presque découverte. Lorsqu’il me posait une question, je mordillais mes lèvres avant de lui répondre. Je me passais lentement la langue sur les lèvres sans le quitter des yeux. C’était ridicule, c’était comme dans les films où les personnages utilisent des techniques de drague qui n’excitent jamais personne. Mais lui, ça l’excitait. Je le voyais dans ses gestes, dans son regard. Il perdait ses mots et riait nerveusement. Mes parents ne voyaient rien.

Un jour, nous étions tous dans la cuisine, lui était derrière le bar. Je me suis positionnée entre lui et le bar, face à mes parents. Comme ils ne pouvaient pas voir le bas de nos corps, j’ai reculé mes fesses jusqu’à les coller contre son bas ventre. Je sentais son sexe contre moi et je reculais, avançais, et me frottait contre lui. Tout ça sous les yeux de mes parents qui pourtant ne voyaient rien. Ça a duré 10 minutes, 10 longues minutes. Je sentais son sexe durcir contre mes fesses. Je souriais, c’était un homme et il me désirait, moi. Je frottais autant que possible, mimant l’acte sexuel dans ma cuisine. Je me suis tournée vers lui, il était cramoisi. Lorsque mes parents sont sortis de la pièce, j’ai arrêté mon manège et les ai suivis comme s’il ne s’était rien passé. Lui, n’est pas ressorti de la maison tout de suite. Je pense qu’il avait quelque chose à régler avant…

Il devait avoir 45 ans et moi 18, et je le menais à la baguette. Je jouais avec lui, me dandinant en mini-short et débardeur, agitant sous son nez mes longues jambes en feignant la désinvolture. Notre premier baiser eut lieu le lendemain de la scène du bar. Il venait de plus en plus nous rendre visite, pour mon plus grand bonheur. Ce soir là, il dînait avec nous. Maman avait découpé des morceaux de légumes que nous trempions dans du fromage blanc. Lorsque Papa l’a appelée, elle est sortie de la pièce et m’a laissée toute seule avec mon oncle. Je me suis emparée d’un radis que j’ai trempé dans la sauce, et l’ai fourré dans sa bouche. Il a retenu mon poignet, il en avait partout. Moi, j’avais de la sauce sur les doigts. Il les a consciencieusement léchés sans lâcher mon poignet, et sans me quitter des yeux. Je me suis approchée pour lécher le peu de sauce qui s’était égarée sur son menton. Il a lâché mon poignet et m’a empoigné les cheveux pour approcher ma bouche de la sienne. Ce n’était pas un baiser délicat ni doux, c’était un baiser violent, frustré. Il me mordillait les lèvres, il caressait ma langue avec la sienne en gémissant. Il a passé une main impatiente sous mon débardeur, sur mes petits seins, et mes tétons durcis. Et puis il s’est arrêté très vite, pour éviter que nous soyons surpris par mes parents. Il a eu raison, 10 secondes plus tard ils débarquaient dans la pièce…

J’avais envie de lui. J’avais envie de sentir sa grosse queue en moi, de le sentir m’agripper les fesses, me lécher les seins. Je n’avais jamais sucé un homme. Je voulais lui faire plaisir, après tout, c’était mon tonton. Je n’avais pas énormément d’expérience dans les choses du sexe, mais je savais que j’avais réussi à faire bander un homme. Et je savais qu’il se masturbait en pensant à moi. Mes parents ne sortaient jamais, ils sont assez vieux et aiment leur petit confort. Je leur ai dit que j’aimerais aller à la mer, un après midi, et que par exemple, tonton pourrait m’accompagner pour que je ne sois pas seule. Ils ont trouvé cette idée géniale. Tonton aussi.

Il est passé me prendre en début d’après-midi. Il était tendu, lorsque je suis entrée dans la voiture. J’ai dit au revoir à mes parents d’un geste de la main, et de l’autre main, je caressais son entrejambe à travers son short, en appuyant bien fort. En effet, il était tendu, très tendu. Il était dur, je passais ma main sur son sexe de haut en bas, comme je l’avais appris. Je crois qu’il ne pouvait pas attendre. Il ne m’a pas emmené à la mer, mais il s’est engagé sur un petit chemin de campagne, non loin de la résidence de mes parents. Il connaissait les coins où personne ne s’aventurait. Au bout de quelques minutes, nous sommes passés près d’une maison en chantier. Il l’a contournée et s’est arrêté juste derrière la maison. Je sentais ma respiration s’accélérer. Je faisais ça pour jouer, et maintenant, nous allions vraiment le faire.

Il s’est penché vers moi pour défaire ma ceinture. J’étais pétrifiée. Je ne faisais plus la maligne. Il est resté penché au dessus de moi et a abaissé sa tête jusqu’à mes seins, les mordant doucement un à un à travers mon débardeur. Il a stoppé bien vite et est sorti de la voiture, m’invitant à en faire de même. Nous sommes entrés dans la maison en chantier, il n’y avait ni portes ni fenêtres. La construction avait été abandonnée depuis des années… pour son plus grand plaisir. Par terre, un matelas et quelques draps emmêlés. J’ai voulu monter les escaliers pour aller voir ce qui se trouvait à l’étage, mais tonton m’a attrapée par la taille et m’a jetée sur le matelas. "Tu vas voir" il disait. "Tu vas voir". J’allais voir quoi ? Je le sus bien vite lorsqu’il abaissa son short pour faire apparaître sa queue magnifiquement raide. Il empoigna mon bras et mis ma main sur son sexe Au début, je n’osais pas trop bouger. C’était la première fois que j’en voyais une aussi grosse. Mes doigts fins se sont refermés autour de sa queue et on commencé à le branler doucement, puis de plus en plus vite. Mais je voyais qu’il n’attendait qu’une chose, que je le suce. Alors sans lâcher sa queue, j’ai approché ma bouche et ai posé mes lèvres sur son gland. Je l’ai mordillé, aspiré, et il gémissait. Je crois qu’il aimait ça. Je promenais ma langue sur toute la longueur, en caressant ses bourses. Je les gobais, je les léchais comme une glace. C’était gros et bon. Il a appuyé ses deux mains sur ma tête pour que j’aille plus vite. Son gland butait contre mon palais. J’ai senti une de ses mains lâcher mes cheveux, et je l’ai senti se pencher en avant. Puis j’ai senti un doigt dans mon intimité, et une main impatiente frotter ma petite chatte. C’était bon, c’était tellement bon.

Il a reculé ma tête de sa queue et m’a embrassée. J’étais déçue, je pensais qu’il allait éjaculer dans ma bouche… je me demandais quel goût ça avait, je n’avais jamais avalé, mais pour lui j’aurais été prête à le faire. Peut être plus tard. J’étais légère, il n’a pas eu de mal de me retourner rapidement et a plongé son nez entre mes cuisses. Il m’a arraché ma petite culotte et s’est mis à me fouiller de sa langue, la faisant entrer et sortir d’entre mes lèvres comme si ça avait été son sexe. Je ne savais plus où j’étais ni comment je m’appelais. Je savais juste que c’était délicieusement bon. J’ai attrapé une de ses mains qui se reposait sur mon ventre pour la porter à ma bouche et lécher lentement ses doigts. Il les enfonçait dans ma bouche et ma salive s’y répandait généreusement. Puis il les retira et les inséra ailleurs, doucement. Je sentais ses doigts en moi, préparer ma petite chatte à sa venue. Ça ne servait à rien, j’étais déjà mouillée. "Petite salope" il grognait en Italien. Oui, j’étais une petite salope, avec ses doigts dans mon trou. Il se redressa et enleva totalement son short. Puis il se rabaissa et s’allongea sur moi. Sa tête était au niveau de mes seins. Il les prit en bouche et les mordilla doucement, tandis que sa main fouillait toujours ma chatte. Je vis son autre main s’éloigner pour attraper un préservatif. Il positionna son sexe au niveau de mon torse et m’ordonna de lui mettre la capote. Ce que je fis bien vite, j’avais de l’entraînement. Lorsqu’elle fut mise, il s’abaissa sur mon sexe, et après un dernier coup de langue, il m’agrippa les jambes pour les passer au dessus de son épaule.

Je senti sa grosse queue entrer en moi et lâcha un petit cri ; je n’étais pas habituée à ça. Il commença ses va et viens, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je le voulais totalement en moi, j’avançais mon bassin au maximum en gémissant de plus en plus fort. J’aimais le frottement de nos deux corps, lui l’homme viril, façonné par le temps, et âgé, et puis moi, une poupée de 18 ans qui avait encore tout à découvrir. J’aimais ses mains dures qui malmenaient mes seins, qui me soulevaient le bassin pour entrer entièrement en moi. J’aimais sa barbe drue contre ma petite chatte, et sa voix dure et sèche qui m’ordonnait de le sucer, de me caresser ou de me mettre à quatre pattes. J’ai joui comme jamais je n’avais joui auparavant. Ce n’étais pas un tremblement, c’était une déflagration dans tout mon corps, je ne le maîtrisais plus. Je gémissais comme jamais je n’avais gémi. En fait, j’hurlais pratiquement. Il a joui quelques secondes après moi, dans un dernier coup de rein, et s’est retiré doucement sans me quitter des yeux. Moi je ne bougeais plus. Nous avons remis cela deux autre fois avant de rentrer à la maison…

Lorsque nous sommes rentrée, Tonton m’a accompagnée dans le salon. Papa et Maman m’ont demandé si la mer était bonne et j’ai ri. Oh oui, elle était bonne, très bonne. Par la suite, je ne me suis plus ennuyée une seconde, pendant mes vacances.

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