Michael et Turna étaient de jeunes mariés anglais, en voyage de noces sur la Côte. Plutôt que de s’établir sur les bords de mer, trop populeux et peu authentiques, ils avaient opté pour l’arrière-pays, plus authentique. C’est ainsi qu’en fin du même après-midi, ils se trouvèrent se promenant sur les terres du château de Convallon, au milieu des oliviers. Comme de coutume, Turna ne portait pas de culotte. Cela excitait son jeune époux qui pouvait ainsi mettre directement la main sur les intimités de sa femme. Il aimait aussi l’idée que, lorsqu’ils se trouvaient tous les deux assis à une terrasse de café, d’autres hommes puissent apercevoir la chatte de sa femme. Il cherchait ainsi à l’initier au plaisir de l’exhibitionnisme auquel il s’était lui-même livré fort tôt, en commençant par les séances de masturbation collective entre adolescents lorsqu’il était élève dans un des meilleurs collèges d’Oxford. L’un de ses mentors, plus âgé de trois ans, organisait de tels rassemblements dans sa petite chambre et chacun se devait d’exhiber son intimité devant les autres. Il était par exemple interdit de croiser les jambes ou même de garder les cuisses fermées : tous devaient se branler en exhibant leur anus, voire en se le doigtant de façon bien visible. C’est ainsi que Michael demandait à Turna de se caresser devant lui, non seulement la chatte mais aussi son cul, son fantasme étant qu’elle le fît un jour devant des hommes rassemblés, se masturbant autour d’elle et venant les uns après les autres la souiller de leurs jus.

Alors donc qu’ils étaient au milieu des oliviers, Michael avait demandé à Turna de relever sa jupe et de se promener le con et le cul à l’air, lui-même ayant dégagé de la braguette une pine bien durcie par l’excitation. Puis, s’étant arrêtés pas loin du château qu’ils apercevaient à travers les branchages, il lui avait demandé de commencer à le sucer. Son secret désir était qu’un des habitants les voient en pleine action. Il fut rapidement comblé car la baronne se promenait, elle aussi, dans les parages et ayant aperçu des formes humaines s’approchait pour savoir quels étaient ces intrus immiscés dans son domaine. Progressant silencieusement, elle se rendit rapidement compte que ces deux formes se livraient à des jeux licencieux. Turna était en train de lécher la bite tendue de Michael, allant et venant le long de la tige, excitant le gland par des coups de langue circulaires, puis revenant vers les burnes qu’elle honorait par de brefs mais fermes lancées. Lui tenait sa tête avec ses mains, la tête légèrement penchée en arrière, éclairée d’un sourire qu’irradiaient de temps en temps de petits gémissements. La tournant, il aperçut soudain la baronne qui ne se tenait pas trop loin, mais immobile, comme la femme de Lot pétrifiée par la vue de Sodome en flamme. Feignant de ne pas remarquer cette présence, Michael paria que la spectatrice prendrait sûrement plaisir à des plaisirs encore plus explicites. Débouclant sa ceinture et dégageant d’admirables cuisses d’un jean déjà fort ’sexy’, Michael se retourna et se penchant en avant laissa son épouse lui lécher le cul. La vision de ce superbe fessier, peu poilu mais si musclé, aux formes si pleines et bien dessinées, s’offrant aux ardeurs féminines causa à la baronne une s vive émotion que sa main droite se porta instinctivement vers son sexe qui recommençait à brûler. Pendant que ses doigts surfaient sur les poils du pubis, ceux de Turna dessinaient de grandes courbes à l’intérieur des cuisses de Michael, sa langue parcourant la raie de son époux de haut en bas puis de bas en haut, avec une insistance sur les lèvres roses de son anus.

Michael se releva et fit un demi-tour avec un double objectif : vérifier que la voyeuse était toujours là et poursuivre le spectacle avec une nouvelle scène. Son regard croisa celui de la baronne et vérifia qu’ils étaient sur une même longueur d’ondes : celles du plaisir sexuel montré, offert, exhibé. Soulevant le t-shirt de Turna qu’il pressait son dos contre lui, il prit ses seins comme deux beaux fruits qu’il palpait fermement, avec des effleurements sur les tétons bientôt suivis d’une prise plus ferme de ces deux points. Puis, ayant fait glisser sa jupe aux talons, tout en continuant d’une main à lui caresser une mamelle, il écartait de l’autre les lèvres de sa chatte, la renversant contre lui et lui demandant d’ouvrir ses cuisses. Turna pensait que c’était pour s’abandonner à ses doigts qui allaient lui branler la chatte, mais Michael voulait surtout exhiber la chatte de sa femme à l’autre femme, celle qui matait et que Turna n’avait pas encore vue. La baronne, n’y tenant plus, s’approcha et, s’agenouillant devant le couple, fourra sa tête entre les cuisses de Turna pour lui lécher le sexe. Celle-ci, surprise, tenta un mouvement de dégagement mais fut maitrisé par Michael dont la bite était plus dure que jamais à l’idée d’offrir sa femme non pas à un homme, mais à une autre femme. Rassurée par la présence de son mari, la jeune femme se laissa faire, d’autant plus que cette lèche de gouine lui procurait déjà de vives sensations. La baronne savait y faire, qui allait et venait du bord supérieur des lèvres pubiennes à leur zone proche de l’entrecuisse, en parcourant tantôt l’extérieur, tantôt l’intérieur, tantôt la crête. Pendant ce temps, ses mains palpaient les fesses musclées du jeune anglais, qui se mouvait afin de se branler son propre sexe contre le cul de son épouse. Le glissant entre les cuisses de la jeune femme, il en fit apparaître le gland tout proche des lèvres de la baronne qui, délaissant de sa bouche mais non de ses doigts la chatte de Turna, s’appliqua à recueillir de fines gouttes de précum en train de sourdre de la fente du gland de Michael. Elle goûtait ainsi aux liquides des jeunes époux car sa bouche venait également de savourer le musc imprégnant les parois humides du sexe de Turna. Les mains de Michael pinçaient maintenant fort les tétons de sa femme, lui arrachant de petits cris qu’accompagnaient les gloussements de la baronne. Sous ces efforts conjugués, le corps de Turna se tordait et la jeune femme gémissait de plus en plus fort. La retournant une nouvelle fois, Michael lui bloqua la tête entre ses cuisses, dégageant ainsi sa belle croupe devant la baronne. Ouvrant les fesses, il invita celle-ci à lécher à présent l’anus de l’anglaise, ce que dont la baronne ne se priva évidemment pas. Elle savait si bien faire que Turna en oublia sa honte et senti le plaisir monter en elle, bougeant sa croupe de plaisir. De ses mains, Michael écartait ses grosses fesses afin de permettre à leur nouvelle compagne de jeu de plonger plus profond sa langue experte, lui-même penchant sa tête pour mieux mater la rondelle rose de sa femme s’ouvrir de plaisir.

Finalement Turna n’y pouvant plus demanda à son mari de l’enculer. La retournant à nouveau, Turna se retrouva cette fois la bouche face au triangle poilu et déjà poisseux de la baronne, qu’elle entreprit de lécher pendant que Michael lui donnait des coups de son vît au plus profond de son cul. Elle rendait ainsi à la baronne l’hommage dont celle-ci avait honoré sa propre chatte quelques instants plutôt. Michael se retira pour jouir et le jet de liquide chaud et épais giclant de son gland fut si puissant qu’il atteignit les seins de la baronne qui, dans des gémissements de vraie jument en chaleur, se caressa avec, comme d’un baume précieux. Turna elle, se finit en se branlant une chatte qui coulait de moiteur séminale.

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