L’ombre du passé
Coulybaca
Texte personnel
Chapitre 9 : La vie s’organise.
Bientôt, la tâche de chacune se diversifia, ainsi Arlette Dumas, qui en plein après-midi se promenait dans la ville haute, se livrant à une partie de lèche vitrines, se vit aborder par un arabe à la mine patibulaire, la cinquantaine, qui l’invita à prendre place dans sa Mercedes rangée quelques mètres plus loin.
Il s’assit au milieu du siège arrière et la pria de le rejoindre, profitant du moment où Arlette enjambait le marche pied, pour glisser avec décision sa grosse main entre les cuisses disjointes, empaumant à pleine main le sexe dénudé, le malaxant cruellement avant qu’elle ne s’assoit, jupes relevées, serrant frileusement les fesses au contact du cuir du siège.
Il introduisit fiévreusement ses doigts boudinés dans son intimité, défripant les grandes lèvres, les suivant, avant d’enfoncer son index jusqu’à la dernière phalange dans son con vibrant.
Arrachant sa fermeture éclair, il fit jaillir un gros membre noueux, surmonté d’une grosse prune bistre, qu’il décalotta lui même, avant de la saisir par les cheveux, la contraignant à se pencher sur ses genoux, lui forcent la barrière des dents d’une queue impérieuse, s’enfonçant jusqu’au fond du gosier pour lui projeter des salves de jus acres au fond de la gorge.
Elle resta longuement inclinée sur son chibre, le toilettant de sa langue habile, avant de la ranger dans son slip.
Elle si sage, il y a encore huit jours, se retrouvait dans une voiture, la queue d’un parfait inconnu projetant en saccades sa purée au fin fond de sa bouche, avant que docilement elle ne la nettoie soigneusement, retroussant les replis du prépuce, aspirant les dernières gouttes du prépuce, sans un mouvement de révolte, sans même s’enquérir de la suite de l’aventure.
Bientôt la voiture stoppa devant un hôtel louche de la périphérie, la main aux fesses il la poussa à l’intérieur, lui dégrafant sa jupe, avant de la propulser ventre nu entre les rangées de consommateurs qui détaillaient ses charmes étalés.
La jupe à la main, elle pénétra dans un vaste bureau qui semblait être la tanière du fauve qui l’entraînait, quelques sbires, aux mines sombres, à l’oil allumé les suivirent dans leur ascension, et c’est à cinq qu’ils se retrouvèrent dans la pièce.
La le gros arabe fit les présentations :
— Mes hommes : Marc, Denis, Smaïl, Rachid et Miloud mon bras droit…
— Madame Arlette Dumas, l’épouse du commissaire principal, responsable de tous nos ennuis, profitez en vous aurez jamais une telle occasion de vous venger …… Prenez la comme vous voudrez …… Vous allez la saillir tout l’après-midi …… Je veux qu’elle s’en rappelle!…
A ces mots, sur un signe de la main, Miloud la saisit par un bras et l’entraîna dans une des chambres attenantes.
Marc, l’oil luisant de convoitise, le front bas, l’air borné, Denis, un gros blond fadasse, Smaïl un grand arabe, dégingandé, la figure barrée de cicatrices, Rachid gros , onctueux, les lèvres épaisses, l’air vicieux, obéissaient visiblement aux ordre de Miloud, un nain contrefait qui se réjouissait déjà à l’idée de s’envoyer cette belle pute, ils bavaient tous d’envie, assis sur le vaste lit, attendant que Miloud donne le signal des réjouissances.
Il posa un disque sur une platine, un air lent, langoureux, un des slows à la mode retentit dans la pièce, lui claquant les fesses, attardant sa main sur ses formes rebondies, il ordonna :
— Allez ma belle, fais nous un strip …… Vas y lentement ….. On a tout notre temps …… Débrouille toi pour nous faire bander! ..
Elle commença à onduler, essayant de suivre le rythme de la chanson, virevoltant sur elle même, elle déboutonna son corsage, et le geste ample le lança à un de ses spectateurs qui riaient de la voir évoluer au bord des larmes, le contraste entre sa mine déconfite, désolée et ses gestes sensuels étaient tel que bien vite les bites grossirent, formant de grosses bosses sous les braguettes.
Elle se débarrassa successivement de sa jupe, de ses bas, de son porte jarretelles, et enfin intégralement nue continua de danser seule, au rythme des claquements de mains des cinq salauds.
Précipitamment, ils arrachèrent leurs frusques, Miloud les freina cependant, enjoignant à Arlette de prendre des poses obscènes, propres à déchaîner leurs instincts.
Allongée sur le lit, elle dut relever les jambes, écartant les cuisses en grand, promener ses longs doigts vernis de rouge le long de ses babines, ouvrir de tous ses doigts son vagin, en révélant la texture interne, puis à quatre pattes, reins cambrés, elle exposa de même le cul.
Enfin Smaïl s’étendit sur la couche, elle l’enfourcha et les jambes pliées le long de son torse s’encloua sur sa virilité dardée, le chibre conséquent la remplit toute, la prenant aux hanches, il l’attira sur son ventre et à deux mains lui ouvrit les fesses, révélant son cratère contracté de frousse à ses complices.
Marc cracha sur ses doigts puis lui graissa l’anus avant de présenter sa pine mafflue devant l’oillet annelé, elle n’avait pas bien vu son sexe, mais la qualité de la pression, les difficultés auxquelles il se heurtait lui prouvèrent rapidement son ampleur.
Elle aurait frémi, su elle avait pu apprécier de l’oil la taille du gourdin qui la menaçait, il paraissait inimaginable qu’une si énorme mentule puisse entrer dans son petit trou serré par l’appréhension, le contraste était tel, que les trois spectateurs approchèrent pour mieux voir l’impossible s’accomplir.
Bêlante de douleur, elle sentit d’abord le gland s’insinuer, dilatant son anneau à craquer , son sphincter le baguait si étroitement, qu’il dut faire une pause pour éviter de se déverser immédiatement dans le boyau frémissant.
Elle profita de ces quelques instants pour reprendre souffle, s’habituer à l’énorme présence, son oillet prit les mesures de son agresseur, se conforma à ses dimensions, s’apaisa attendant peureusement la pro-chaine étape, la bite dans son ventre s’était immobilisée, elle grossissait encore à la vue de l’ignoble enculage.
D’un coup de reins il se propulsa au fond de sa gaine, elle hurla tandis que son boyau se dépliait, faisant place au chibre triomphant qui la remplissait jusqu’à l’estomac.
Perforée jusqu’au cour, les deux membres se mirent en action, sortant ensemble de ses orifices pour y retourner de toutes leur longueur, se frottant l’un contre l’autre au travers du périnée.
Elle sanglotait convulsivement, à chaque coup de boutoir elle se sentait éventrée, à chaque retrait, il lui semblait que ses boyaux sortaient de son ventre accompagnant les immondes visiteurs
Lassé de ses pleurs, Miloud la bâillonna de son braquemart imposant.
Si la taille du bonhomme était réduite, en compensation celle de son chibre était énorme, il dépassait en longueur et en grosseur tout ce qu’elle pouvait imaginer, d’emblée, s’enfonçant au fond de son palais, il força aux commissures des lèvres, les déchirant pour mieux entrer dans un élan inarrêtable.
La bouche, le con et le cul plein des trois types, inerte, hébétée, elle se laissait faire comme une poupée de son, masturbant à pleine mains les deux chibres libres quand ses tourmenteurs le lui demandèrent, s’appliquant à bien faire de façon tout à fait mécanique, alors que de ses organes malmenés, des ondes de souffrance montaient jusqu’à son cerveau, comme engourdi, anesthésié par la douleur.
Enfin elle les sentit se raidir, et elle ressentit un réel soulagement au torrent de sperme qui lui englua les fesses, à son tour Smaïl se vida dans sa matrice, puis les yeux exorbités, elle absorba en hoquetant, en suffocant le flot de semence que Miloud lui injecta en longues giclées dans l’osophage, lui engluant les amygdales alors même que les deux qu’elle branlait jaillissaient à leurs tours sur sa poitrine plantureuse, couvrant ses seins de filaments blanchâtres.
Ils changèrent alors de place, un des deux branlés en bouche, l’autre en ventre, elle dilata désespérément son anneau, poussant comme pour déféquer pour mieux admettre l’énorme gourdin de Miloud dans son anus, des éclairs éclatant derrière les paupières, elle força encore logeant l’épaisse byroute dans son fondement, un à un les obstacles cédaient devant l’impitoyable bélier, cela craquait dans son cul, elle craignait d’être mutilée, et pourtant elle forçait encore pour faire cesser le calvaire de cet interminable empalement.
Enfin elle le sentit bien calé au fond de son rectum, les poils de ses bourses lui chatouillant les fesses, elle respira à fond, appréhendant la terrible douleur qu’allait endurer lorsqu’il se mettrait en branle.
Ce fut encore pire que tout ce qu’elle craignait, elle s’évanouit plusieurs fois, folle de souffrance, ne revenant à elle que pour repartir dans les limbes.
C’est dans un corps inerte qu’il se soulagea avec abondance.
De retour à la conscience, elle enquêta du doigt dans son anus, pour apprécier l’étendue des dégâts, à son grand étonnement son anneau s’était fait à l’énorme envahisseur et seuls quelques gouttes de sang avaient suinté de ses reins, la ou elle craignait une abondante hémorragie.
Elle subit passivement ses deux derniers enculeurs, ne ressentant ni plaisir ni douleur de les sentir au fond, tant elle était élargie, ils ne prirent d’ailleurs pas grand plaisir, se perdant dans l’anus distendu, baignant dans le jus de leurs prédécesseurs, ils préférèrent la tenir aux oreilles, pour se servant de sa bouche comme d’un vagin artificiel la secouer de grands coups de pine avant de s’exonérer dans sa gorge tendue.
Toujours nue, dégoulinante de foutre, le palais imprégné de liqueur spermatique, elle rejoignit Miloud qui s’entretenait avec ses protecteurs au téléphone, il lui passa l’écouteur, elle put ainsi suivre les tractations :
— Dis donc Ali … On s’est copieusement servi de la commissaire …. Elle en a prit plein les miches … Je passerai te payer …. Mais je voudrai encore l’utiliser ces jours ci, c’est possible? ..
— Si t’y mets le prix tout est toujours possible ! ..
— As-tu d’autres putes qui aurait rapport avec la justice?.
— J’ai encore la femme du maire, une femme d’avocat ….. Une femme de procureur …… Un prix de vertu …… Comme tu veux tu choisis! …
— Un de ces soirs je voudrai disposer d’Arlette et ….. De l’avocate ….. Je les ferai faire le spectacle ……. Tu peux les faire raser …… elles travailleront pour des NordAfs, tu connais leurs goûts ….. Et même pour nous un abricot lisse ……
— C’est d’accord, tu reprends contact pour le jour, en attendant je te les ferai préparer…
Les larmes aux yeux, l’anus brûlant, le ventre meurtri, hébétée, Arlette comprenait que prochainement elle aurait de nouveau affaire à ces salauds qui se défouleraient sur elles pour se venger de son mari.
Titubante, sous l’oil goguenard des deux hommes elle se rhabilla avec des gestes frileux, puis s’agenouillant, elle suça une dernière fois leurs gros braquemarts, avant de monter dans le taxi qu’ils lui avaient appelé, pour rentrer chez elle.
A peine rentrée, elle prit un long bain, relaxant son corps et son esprit, puis allongée sur le lit se massa longuement le cul et le con avec une pommade calmante, avant de se remaquiller, pour dissimuler les cernes mauves qui cernaient ses yeux.
Puis, rompue, lasse elle attendit le retour du mari se comportant alors en parfaite épouse, digne de la confiance de son cocu .
L’affaire se traita le surlendemain, Karim, le distingué truand qui avait étrenné Arlette prit contact avec Ali, il voulait organiser une soirée qui lui permettrait de se venger en bloc de la société Moulinoise, pour cela il avait prévu une soirée spéciale, il l’organiserait pour son plaisir, la totalité des gains reviendrait à Ali.
Ils convinrent d’une date : le vendredi soir paraissait le mieux indiqué, Karim voulait disposer de quatre femmes au sexe rasé, qui feraient le spectacle et deux salopes, proches du maire pour distraire le service d’ordre qui serait formé d’employés municipaux.
Dès le lendemain, au briefing quotidien, Ali distribua les tâches.
Mohamed était chargé de transformer les sexes velus d’Arlette, Sylvette, Milène et Jeannine en figues imberbes.
Toutes quatre participeraient au spectacle, alors qu’Aurore et Isabelle serait chargées de distraire le service d’ordre.
Passablement inquiètes, les quatre femmes, devant les yeux ravis de Mohamed et Moktar se rasèrent mutuellement la fente, avec précaution, douceur, se demandant ce que l’avenir leur réservait.
Connaissant la préférence des arabes pour les chattes épilées, elles se doutaient qu’elles seraient livrées à une meute de moricauds déchaînés, mais en ce qui concerne le spectacle qu’elles devraient assurer au préalable, elles se perdaient en conjonctures.
Aurore et Isabelle savaient elles ce que seraient leurs tâches, elles s’en réjouissaient à l’avance, préférant combler les désirs de quelques membres du service d’ordre, bien qu’elles ignorassent à ce moment la constitution de ce groupe, aux incertitudes auxquelles étaient livrées leurs compagnes.
Les trois jours qui précédèrent, elles furent toutes six retirées du circuit, et subirent un entraînement intensif sous les ordres de Mohamed et Moktar.
Pendant les trois après-midis elles se firent ramoner par tous les trous, les cinq hommes se relayaient dans leurs orifices, leur élargissant le goulot, assouplissant leurs sphincters, les faisant évoluer jambes serrées sur de menus cylindres qu’elles devaient retenir dans leurs ventres et leurs culs, musclant leurs muscles intimes, en renforçant l’élasticité, les rendant capables d’absorber les plus grosses queues tout en continuant à pouvoir comprimer les plus humbles.
Enfin le grand soir arriva, un transit chargea les quatre artistes les emmenant sur les lieux de leur prestation ; Ali en compagnie de Clothilde amènerait plus tard Aurore et Isabelle, alors que Mohamed, qui avait fait de Solange sa préférée se ferait charrier par cette dernière .
Une fois en présence de Karim, après avoir déjà soulagé des lèvres Miloud et consort, les quatre artistes partirent se mettre en tenue .
Coulybaca
Texte personnel