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entretien avec un détenu – Chapitre 1




Florence, jolie assistante sociale de vingt huit ans, très séduisante, se rend au pénitencier dans le cadre de la remise en liberté de trois détenus. Elle est vêtue d’un tailleur noir, avec jupe arrivant a mi cuisses, d’un chemisier blanc, et d’escarpins noirs de huit centimètres, la faisant culminer à un mètre soixante dix neuf.

Elle s’occupe essentiellement de réinsertion, et d’orientation professionnelle pour petits délinquants.

Elle s’installe dans la salle prévu à cet effet, sort ses questionnaires, et attend le premier détenu.

C’est Abou, un bellâtre noir de un mètre quatre vingt dix, menotté dans le dos. Sur qu’il fait de la musculation dans la salle de sport de la prison. On voit nettement ses muscles tendre le vêtement de toile.

"Houa, se dit Florence, çà c’est du mâle, s’il est taillé partout comme çà".

Plus Florence avance dans le questionnaire, plus les propos du détenu, qui s’oriente vers le sexe, la trouble. Elle essaie de soutenir son regard, mais s’aperçoit que celui-ci reluque l’échancrure du chemisier, légèrement ouvert. Elle est confuse, se sent déshabillée par ce regard perçant, mais attirée aussi. Elle fait mine de s’arranger, mais en fait, fait sauter un second bouton.

— Alors, comme çà, on aimes les filles. Et elles, elles vous aiment?

— Oui, répond Abou, les femmes mariées aussi m’aiment bien.

La voix est remplie de sensualité. Florence sent une agréable chaleur envahir son ventre. Elle se lève, arpente la salle. Arrivée à la porte, elle donne un tour de clé, et appuie sur l’interphone.

— Qu’on ne nous dérange pas, ordonne-t-elle.

Elle passe derrière le détenu, à le frôler. Visiblement, ce corps d’athlète l’attire. Elle n’y tient plus. Elle passe ses bras autour de la taille d’Abou, écarte l’élastique du pantalon, et plonge sa main à l’intérieur. Elle rencontre une bite de vingt centimètres, bien tendue. Elle saisit les couilles dantesques, fait rouler les testicules certainement pleines. Elle remonte sur le calibre de chair, le décalotte, et caresse le gland. Elle libère une main, pour dégager entièrement ses magnifiques seins de son chemisier, remonte sa jupe, ouvre ses cuisses. Elle sent l’acier des menottes sur sa peau, puis les doigts recroquevillés écarter la culotte. Abou fait courir son majeur sur la fente humide de Florence, qui ne peut retenir un léger gloussement de plaisir. Elle ne reste pas inactive, ses doigt parcourent la queue en pleine érection, la branle, arrachant à son tour un râle de plaisir au jeune black.

L’index d’Abou rejoint le majeur. Les deux doigts jouent avec les lèvres intimes de la jeune assistante, pénètre la chatte, franchement mouillée maintenant.

— Hou…hou…qu’est-ce que tu me fais salaud…comment peux-tu oser…

— C’est vous qui l’avez cherché Madame. Restons-en là si vous voulez.

— Trop tard… gémit-elle… vas-y… branle moi… fais moi jouir oh… mais tu as décalotté mon clitoris…ah… gratte le… oui…

Florence colle sa bouche entre les omoplates du détenu, mord la chemise de toile, pour étouffer ses cris.

— Et toi, tu ne viens pas… c’est pas bien ce que je te fais… attends…

L’assistante se place devant Abou, quitte entièrement le pantalon. Elle continue ses caresses, puis se baisse, jusqu’à être à la hauteur de son sexe. Elle enroule sa langue autour du gland, parcourt la queue de haut en bas, gobe les testicules, puis entame une fellation. L’énorme bite vibre dans la bouche de Florence, les râles du jeune black s’intensifient. Soudain, de puissant jets de sperme giclent au fond de la gorge de la jeune femme. Elle se relève, fière d’elle, et lui donne un langoureux baiser. Mais Florence en veut encore. Elle prend le détenu par la queue, et s’assied sur la table, cuisses totalement ouverte. Petit à petit, la bite ouvre les lèvres gonflées de désir, et pénètre la chatte.

— Ah… ah… je comprend que les femmes aiment çà… quel coup de queue tu as… vas-y… fais toi plaisir… vide toi les couilles salaud… fais moi jouir encore… tu me rends folle oui… oui…

Abou accélère. Ses coups de reins sont de plus en plus violent, il prend plaisir à voir la jeune femme s’agiter au bout de sa queue. Il la sent soumise, prête à tout. Florence hurle de plaisir, tout son corps est pris de spasmes. Elle se prend les seins, fait rouler les bouts surdimensionnés entre ses doigts. Elle reprend son souffle, bras et jambes écartés sur la table. Elle croise le regard dominateur d’Abou.

— Salaud, soupire-t-elle…comme tu m’as niquée… quel dommage que tu es les menottes… Quoi… qu’est-ce que tu as à me regarder comme çà?…

— Je suis déçu, j’espérais une petite sodomie, répond Abou.

Lentement, Florence se relève, prend Abou par le revers de la veste. Elle se retourne, monte un genou sur la table pour mieux s’offrir. Sans le quitter des yeux, elle le défie du regard, tout en lui prenant la bite.

— Viens, souffle-t-elle.

Elle présente le membre d’Abou qui n’a pas faibli d’un poil, la contre sa chatte baveuse, pour en lubrifier le bout, et le guide à l’entré de son petit trou.

Petit à petit, l’illet de l’assistante sociale se dilate sous la pression de l’énorme calibre. Les dernier coup de rein lui arrache un cri. Le mandrin du jeune détenu la pénètre jusqu’aux couilles, coulisse dans le petit orifice.

— Enfoiré… comme tu m’encules…vas-y… bourre moi le cul… pourquoi je t’ai pas enlevé les menottes… qu’elle conne…

Florence glisse une mai sous son ventre, et se doigte violemment le clitoris. Au bout de dix minutes, elle a un orgasme terrible. Son corps, couvert de sueur, vibre sous les coups de boutoirs du détenu. Elle sent sa semence affluer dans ses entrailles. Lentement, Abou se retire, elle le suit comme si elle ne voulait pas le perdre. Épuisée mais heureuse, elle s’affale sur la table, pour reprendre ses esprits.

Elle arrange sa tenue, va pour remonter le pantalon du jeune détenu, et s’aperçoit que la bite n’a toujours pas faibli.

— Tu le laisse dans cet état? Dit-il.

— Putain, répond-elle, mais tu es increvable toi. Tu veux encore me le mettre, oh non, j’en peux plus. Je te taille une pipe avant de partir si tu veux.

Florence n’attend pas la réponse, elle se penche et le prend en bouche. Abou s’y branle sans vergogne dedans, avant d’exploser dans la gorge de la jeune femme. Elle avale le foutre épais, se relève, et s’essuie les lèvres d’un revers de manche, puis réajusta le pantalon du jeune black.

— Qu’est-ce que tu m’as mis salaud, j’en ai pris pour la journée. Embrasse moi vilain.

La relation a été forte, très forte. Florence a succombé sous les coups violents du jeune délinquant, qui jusqu’à aujourd’hui, se contentait de gâteries manuelle.

— Quel amant merveilleux tu es, murmure-t-elle. Tu sors demain je crois, ou vas-tu aller? Je peux t’héberger si tu veux, je vie seule.

— C’est gentil, répond-il, mais je suis pas seul, mon frère ainé aussi est libéré demain.

— Mais c’est super, sourit-elle, deux mâles pour moi toute seule, il est de ton gabarit j’espère. Allez, embrasse moi, je rentre prépare vôtre cham… heu… la chambre, pardon.

Florence quitte le pénitencier sans se douter qu’elle vient de commettre une erreur monumentale. Elle n’a pas pensé que, comme dans toute les prisons, la salle était équipée d’une caméra de surveillance.

Dans la pièce à côté, les deux gardiens n’ont rien perdu des ébats sulfureux de la jeune assistante sociale.

Les attouchements entre eux sont allés bon train. Une relation gay serait-elle en train de s’installer. Allez savoir. Justement, là, ils finissent de se palucher.

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