Depuis que Pierre m’a fait lire les récits de quelques unes de nos aventures, après avoir été d’abord un peu gênée, mais assez excitée de savoir que vous ètes nombreux à savoir, j’ai aujourd’hui envie de lui faire cette surprise, et de me lancer moi aussi.

Je m’appelle Bénédicte. J’ai 34 ans, je suis brune aux cheveux mi-longs. Je me trouve un peu petite, et j’aurais aimé avoir de plus longues jambes, mais Pierre dit que ce qui est petit est très mignon ; Il y a en tous cas un sujet sur lequel nous sommes d’accord, c’est ma poitrine : un vrai 95C qui se tient très bien tout seul.

Après quelques années d’une vie ennuyeuse, au cours desquelles souvent j’étais assaillie de rêves et d’envies qui m’effrayaient, dont je n’osais même pas parler avec mes amies et que je calmais seule le soir dans mon lit, ma rencontre avec lui a été une véritable révélation : j’ai osé me découvrir telle que je suis. Aimée d’un homme que j’aime, et qui me montre sans cesse qu’il est fier de m’avoir à ses cotés, j’aime quand je suis avec lui les regards des hommes qui s’attardent sur moi, et j’y prends un vrai plaisir, d’autant que je sais que Pierre y prend autant de plaisir que moi, et avec lui je repousse sans cesse les limites des interdits que je croyais infranchissables.

Vous avez pu le constater dans ses récits, mon compagnon est un cochon, mais un cochon doux et tendre, qui m’a appris avec patience à oser être ce que j’étais secrètement. Et je me demande si je ne suis pas moi aussi une cochonne?qui aime les cochons?

Il m’a donné une telle confiance en moi, qu’aujourd’hui, même sans lui, j’avoue que quand je vois un homme s’attarder sur moi, me suivre et me déshabiller des yeux, même sans aucune discrétion, je me sens très excitée. Et je fais tout ce qu’il faut pour attirer ces regards : Jupes souvent très courtes et décolletés toujours audacieux.

Au début, j’avais peur que cela se voie, et la peur d’ètre abordée ou violentée gâchait tout mon plaisir. Mais j’ai appris maintenant que la plupart des mecs sont timides, quant aux autres, je sais les remettre à leur place. En un mot, vous avez compris, je suis une vraie exhibitionniste.

Malgré cela c’est avec lui que mon plaisir est le plus intense, parce que je ne sais jamais ou vont s’arrêter nos aventures, ce qui est très excitant, et que je me sens parfaitement en confiance et en sécurité à ses cotés. S’il m’arrive de prendre quelques initiatives dans le feu de l’action, je préfère en général être conduite. Et je ne crois pas que Pierre vous ai raconté une des premières exhibitions qu’il m’ai demandées de faire seule?

Il m’avait emmenée, un vendredi, comme il le fait lorsque je peux me libérer (je travaille à 1/2 temps) dans une de ses tournées que nous voulions faire suivre d’un week-end dans sa maison au bord de la mer. Je m’étais un peu promenée ? et ennuyée- entre ses rendez-vous. J’avais fait quelques magasins, allumé quelques mecs de passage?

il faut dire que ma tenue était plus que courte, comme toujours avec lui, et je ne sais pas si ce sont ces regards ou la perspective d’une soirée avec lui, mais j’étais assez excitée, et le bout de mes seins nus sous mon chemisier ne permettait aucune équivoque?

Nous avions un peu de route à faire pour rejoindre sa maison, et je me sentais bien, appuyée contre lui, avec sa main qui caressait ma cuisse et frôlait le fond de ma culotte. ( Oui oui, j’en avais une ! ) Nous avions pris une route qui longeait la cote, et comme ça n’était encore l’époque des vacances, les voitures que nous voyions sur les parkings n’étaient pas celles de gens venus à la plage ! Il y avait beaucoup de mecs seuls au volant, et nous nous demandions en plaisantant s’ils trouvaient ce qu’ils cherchaient. Et bien sur, Pierre a décidé de faire un petit arrêt?

Je vous l’ai dis, c’est un cochon et il ne rate jamais une occasion. Mais aussitôt nous avons été entourés d’une nuée de voiture ! Là c’était trop et nous sommes partis. Mais j’avoue qu’a la vue de tous ces mecs se précipitant vers nous, moi bien en sécurité avec lui dans sa grosse voiture, j’étais très excitée et je me sentais toute humide?

Il y avait un gars qui semblait plus hardi que les autres et qui s’est mis à nous suivre. Au bout de quelques kilomètres, il était toujours là, pas trop près, mais bien là. Pierre m’a annoncé qu’il avait une ’petite idée ’ dans la tète, et j’ai tout de suite sentie que j’allais être mise à contribution !

Nous sommes arrivés à l’entrée d’un petit village, passé devant un tout petit café-bureau de tabac encore ouvert et tenu par un garçon seul derrière son comptoir. Pierre s’est arrêté, imité par notre suiveur, et m’a demandé d’aller chercher un paquet de cigarette. Mais avant que je ne descende, il a ouvert mon chemisier jusqu’au-dessous de mes seins. Avec en plus ma jupe au ras des fesses, j’ai un peu hésité.

Mais je crois que j’étais déjà pas mal excitée. Je suis passée devant la voiture de notre suiveur. Je me sentais un peu flageolante sur mes jambes, et le gars avait les yeux qui lui sortaient de la tète. A la façon dont il me regardait, j’ai senti une grande chaleur dans mon ventre ; Je mouillais franchement ma culotte, et mes joues me cuisaient. Devant la porte du magasin, j’ai failli reculer, je me sentais terriblement pute. Mais ma nature avait parlé. D’abord ce trac mêlé d’excitation, ce poids sur l’estomac qui se transforme en une boule de chaleur dans le ventre et entre les cuisses, puis cette agréable sensation de brouillard, avec les tempes qui battent un peu, et la prise de conscience de mon corps, de mes seins qui durcissent, de ma chatte qui s’entrouvre et de cette humidité qui coule de moi. J’ai poussé la porte dans cet état second, et là je savais que rien ne pouvait plus m’arrêter. J’ai vu le visage totalement stupéfait du type qui me regardait, me déshabillait des yeux sans aucune retenue, me parcourait du haut en bas, et plongeait entre mes seins. Je me sentais totalement nue, mais pas agressée.

Je me suis tournée vers le rayon des magasines, comme pour chercher une revue. Le gars ne me lâchait pas des yeux, et je sentais ma chatte couler comme une fontaine. J’étais complètement hors du réel, me penchant sur les revues du bas pour lui permettre de voir mes seins en entier. Je sentais son regard comme s’il me touchait les tétons avec ses doigts. ( Rien qu’en l’écrivant je me sens mouiller ) Je ne sais pas combien de temps j’ai fais durer ce jeu, mais le garçon ne disait rien, ne bougeait pas. Tout à coup, j’ai entendu la porte s’ouvrir.

J’ai failli tomber de plaisir en imaginant que Pierre allait découvrir la façon dont je me tenais, mais à ma grande surprise, c’est notre suiveur qui s’est approché, cherchant lui aussi un magasine. Nos regards se sont croisés. Il était rouge et tremblant. S’il m’avait passé la main sous la jupe, j’aurai joui ! Je me suis encore un peu penché, le c?ur battant, pour qu’il voie ma poitrine, et je l’ai entendu murmurer

? ’ Vous êtes superbe ! ’

Je l’ai laissé se rincer l’?il un peu, puis je me suis rapproché du buraliste pour acheter un paquet de cigarette. Le gars était lui aussi cramoisi. Il lançait des coups d’?il à son autre client comme s’il avait voulu le faire disparaître, et ses mains tremblaient un peu en me rendant la monnaie. A ce moment, j’ai vu son bras s’avancer alors qu’il me disait tout bas :

— ’Joli ! On peut toucher ? ’

Et ça n’était pas une question parce que j’ai senti ses doigts sur mon sein. Il a eu le temps de le caresser en dessous et de saisir le téton avant que je me recule. A ce contact, j’ai senti une décharge dans le bas de mon ventre. J’avais la chatte complètement trempée (comme maintenant ) et je crois que si ces deux mecs m’avaient sauté dessus, je me serais laissée faire. Je devais vraiment avoir l’air d’une salope pour que ce type se permette de me toucher comme ca. Je me suis retourné au moment ou Pierre entrait à son tour, souriant, l’air calme. Il m’a pris par la main, entraînée vers le minuscule bar en demandant au gars si on pouvait boire quelque chose. Il m’a aidé à m’asseoir sur un grand tabouret. Là, ma jupe m’est remontée jusqu’à la culotte, et je n’ai rien fait pour essayer de prendre une pose moins outrageusement provocatrice. Notre suiveur attendait que le patron nous ai fait deux cafés et me fixait sans équivoque directement entre les jambes. J’ai failli tomber de mon tabouret quand j’ai entendu Pierre dire :

— ’ Elle est jolie, Hein ! ’

Il était debout derrière moi, sa main posée sur ma hanche comme pour montrer que je lui appartenais. Il a glissé son autre main sur ma cuisse et l’a tirée sur le coté. Complètement soumise, envoûtée par sa présence et sa voix, j’ai ouvert les jambes. Le patron s’est penché par-dessus son bar pour regarder, et notre suiveur était complètement statufié. Moi j’étais à la limite de l’orgasme, sans me toucher, mais j’avais l’impression se sentir physiquement leurs regards me toucher la chatte, les seins.

Et comme je portais un slip noir assez fin et transparent, et que je suis presque complètement rasée, j’imagine qu’ils voyaient mes lèvres ouvertes. Je me laissais aller, appuyée contre mon ami, m’attendant à ce qu’il ouvre aussi mon chemisier et permette aux deux autres de venir me peloter. Je crois même que j’avais envie qu’il leur demande de venir me tripoter comme si j’étais une poupée, un objet. J’avais envie de sentir des doigts sur mes nichons, sur mon clito et dans ma fente pour calmer ma fièvre. Dans ses moments là, j’aime lui appartenir complètement et être entièrement soumise, passive et guidée par lui. Mais Pierre a décidé de partir, et les gars n’ont rien fait pour nous en empêcher. Il m’a soutenue jusqu’à la voiture, et nous avons démarré sans un mot. J’étais presque un peu déçue, j’ai honte en le disant, et j’avais vraiment le feu au cul. Notre suiveur a décidé de continuer à nous suivre. Il devait être bien allumé. Pierre s’est arrêté dés qu’il a trouvé un parking un peu discret, et là j’ai senti que ça allait être ma fête ! Il s’est penché sur moi et m’a demandé avec sa voix qui me fait complètement craquer de retirer ma jupe et mon chemisier. En le racontant, je suis encore étonnée du plaisir avec lequel j’ai obéi sans une hésitation. Il est sorti pour aller jusqu’à la voiture du type qui avait l’air scotché à son volant, lui a parlé et est revenu avec lui. Il a ouvert ma portière, et le temps qu’il fasse le tour pour revenir s’installer au volant, le type s’est penché sur moi et a commencé à me toucher la chatte et les seins. Je crois que j’ai eu un orgasme tout de suite.

Pierre lui a dit qu’il pouvait se branler et m’a mis la main entre les cuisses, en m’obligeant à les écarter. Le gars a sorti sa bite et a commencé à se branler sous mes yeux en me pelotant les nichons. Pierre m’a demandé de l’aider à se masturber, et au moment ou je prenais la queue du garçon dans ma main, m’a enfoncé son doigt dans la vulve. J’ai eu un autre orgasme au moment ou le type m’a déchargé dans la main en m’éclaboussant les seins. Après, très vite nous sommes partis, et je peux vous dire qu’arrivés à la maison, je me suis fait baiser de façon royale. Il y a quelque temps, même si j’en avais rêvé, jamais je n’aurais imaginé qu’une telle situation m’excite à ce point.

Le simple fait de raconter cette histoire m’a mis dans un tel état que je vais devoir me soulager toute seule en attendant que Pierre ne vienne me voir ce soir, et je crois que je vais même utiliser le godemiché qu’il m’a offert.

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